SophiaSofia a écrit : ↑28 août22, 08:42
Il n'y a donc pas de mal à dire un fait.
Si, il y a du mal à voir le mal là où il est pas, c'est un défaut de perspective. C'est un défaut de vue qui peut amener à bien des déboires, moi je ne juge personne, car je veux que la personne soit libre, et je sais que quand elle dit quelque chose il n'y a rien à reprendre en moi.
Ce qui n'est pas le cas de tous, voir donc le mal où il n'est pas est forcément un mal qui nous habite, mais je l'ai déjà dit, donc je le répèterais pas.
SophiaSofia a écrit :Et non, mon pardon n'est pas de l'ogueil, c'est juste faire la volonté du Seigneur qui a dit dans la prière qu'il a enseignée
Ce n'est pas si simple ; dire à une personne qu'elle a besoin d'être pardonné, ou qu'on la pardonne, c'est directement la voir comme fautive, donc l'accuser et la condamner. C'est une position d’orgueil non seulement quand la personne ne voit pas l'offense qu'elle a faite, mais en plus quand on l'accuse sans montrer en quoi on a raison de le faire.
SophiaSofia a écrit :Donc tu vois, les faits, c'est une question d'interprétation de chacun.
Pas vraiment, car il y a des faits, oui des impressions de chacun, et y a voir le mal en l'autre et le dénoncer, et ça je ne l'ai pas fait, c'est vous qui accuser en premier en disant que je suis dans la moquerie, ce qui n'est pas le cas. Ce qui est un jugement car on dit une chose sans savoir, et sans montrer en quoi il est vrai. C'est pourquoi je dis, que je ne juge toujours que sur les faits. Car oui, on peut avoir chacun un sentiment, une vue particulière sur une circonstances, mais c'est autrement autre chose que de dénoncer l'autre en lui prêtant des intentions qu'il n'a pas, c'est même l'inverse de l'amour qui comme dit Paul se doit de voir le bien et non le mal (1 Cor.13).
SophiaSofia a écrit :N'insiste pas pour me faire croire que je vois le mal dans les autres, puisque je t'ai expliqué et que tu sembles avoir compris, si tu insistes, c'est que mon explication n'a servi à rien.
En quoi y a t-il de dramatique en disant qu'il y a du mal en une personne quand elle énonce un jugement sans fondement ? Car je rappelle que les fondements des faits pour que le jugement soit vrai n'est autre que des faits, pas juste des impressions et sensations de chacun.
Vous avez pensez que je moquais, alors que ce n'était pas le cas, vous avez donc vu le mal, et s'il n'est pas en moi, il est en vous.