Inexistence de dieu : approche épistémologique
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L’athéisme peut être considéré comme une attitude ou une doctrine qui ne conçoit pas l’existence ou affirme l’inexistence de quelque dieu, divinité ou entité surnaturelle que ce soit. C'est une position philosophique qui peut être formulée ainsi : il n'existe rien dans l'Univers qui ressemble de près ou de loin à ce que les croyants appellent un « dieu », ou « Dieu ».
L’athéisme peut être considéré comme une attitude ou une doctrine qui ne conçoit pas l’existence ou affirme l’inexistence de quelque dieu, divinité ou entité surnaturelle que ce soit. C'est une position philosophique qui peut être formulée ainsi : il n'existe rien dans l'Univers qui ressemble de près ou de loin à ce que les croyants appellent un « dieu », ou « Dieu ».
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 13 sept.22, 19:06Dieu est dans le monde sans y être tout en y étant*...
*Mais sans y être
C'est un des mystères que la pensée humaine ne peut pas percer.
À l'exception des croyants, bien sûr
*Mais sans y être
C'est un des mystères que la pensée humaine ne peut pas percer.
À l'exception des croyants, bien sûr
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 13 sept.22, 22:07"Quiconque demeure en lui ne pèche point quiconque pèche ne l'a pas vu et ne l'a pas connu"
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 13 sept.22, 22:15Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 14 sept.22, 21:24Avec un dieu théorique, bien sûr, ça peut fonctionner.
Mais faut vraiment pas être regardant.
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Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 14 sept.22, 22:14C'est plus un exercice de pensée, parce que inconcevable dans la réalité.
Et le croyant, on peut lui faire croire n'importe quoi. C'est même ce qui fait de lui un croyant.
« La Bible se laisse pas faire, dès lors où vous introduisez un enseignement non conforme, la bible vous rattrape toujours quelque part. » - Agecanonix
Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix
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Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 14 sept.22, 22:39Pauvre Satanas ! il arrive toujours en retard ! ? . . . .
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 14 sept.22, 23:57Si on récapitulait tout ce que l'espèce humaine a cru depuis qu'elle essaye de comprendre le monde, on n'aurait pas assez d'une vie pour tout lire.MonstreLePuissant a écrit : ↑14 sept.22, 22:14 Et le croyant, on peut lui faire croire n'importe quoi. C'est même ce qui fait de lui un croyant.
Mais, comme chantait Brassens, la bande au professeur Nimbus est arrivée et a frappé les Cieux d'alignement. Depuis, les dieux, déesses, demi-dieux,
héros, qui vivaient des vies riches en sachant s'amuser ont été remplacés par un personnage unique, sinistre, qui n'avait même pas su devancer ses
concurrents et qui vient maintenant la ramener comme s'il était le seul.
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 15 sept.22, 00:13L'athée doit faire murir en lui des réflexions existentielles métaphysiciennes car l'athée a des yeux comme les croyants ont, des yeux en face des trous qui plus est, lesquels voient l'existence d'une planète, ronde, qui semble flotter dans un Univers, et qui doit normalement appeler chez lui, l'athée toutes sortes d'interrogations du type "C'EST MAGNIFIQUE" ou "C'EST INCROYABLE" car autant l'athée a un cerveau qu'il peut très bien s'en servir pour faire émerger en lui de l'émerveillement devant une réalité au titre de laquelle IL NE SAIT RIEN car s'il veut toujours remonter à l'origine de la survenance "de l'objet scientifique" qu'il observe, il est en pamoison devant un SPECTABLE époustouflant dont il ne sait absolument rien, et mieux encore donc, dont il ne s'explique pas du tout la survenance, ni les moyens mis en oeuvre, ni rien du tout, nada, rien de rien.....
Qu'il ne vienne pas nous dire la bouche en coeur "c'est le big bang" car du big bang je vais lui en donner et ça faire big, et ça va faire bang derrière sa tête si ça continue.
Heureusement que je n'ai aucun pouvoir, heureusement !
Ajouté 5 minutes 28 secondes après :
Qu'il ne vienne pas nous dire la bouche en coeur "c'est le big bang" car du big bang je vais lui en donner et ça faire big, et ça va faire bang derrière sa tête si ça continue.
Heureusement que je n'ai aucun pouvoir, heureusement !
Ajouté 5 minutes 28 secondes après :
"Quiconque demeure en lui ne pèche point quiconque pèche ne l'a pas vu et ne l'a pas connu"
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 15 sept.22, 00:44Bonjour Stop,
Oui et, justement, les dieux ont été sacrément utiles pour assurer un réconfort de façade face à l'ignorance !
Par exemple, c'est une chose terrible que la foudre, elle peut mettre le feu, incendier une récolte, une forêt, une habitation, tuer sur place homme ou bête!
Bref, évidemment, c'est un danger mais, si on dit que c'est un dieu qui tient la foudre, alors on peut se rassurer en le priant, en lui faisant des sacrifices.....
Donc, au départ, la foi est là pour rassurer, rassurer sur les évènements naturels (qu'on croyait surnaturels) sur la mort, la maladie etc. bref, toutes les choses sur lesquelles l'homme pense ne pas avoir de contrôle.
Aujourd'hui, il ne viendrait pas à l'idée, même du pire intégriste, de faire une prière en branchant quelque chose sur une prise électrique et pourtant, c'est un danger comparable à la foudre mais, l'homme a désormais compris ce qu'était la foudre, ce qu'était l'électricité et, (à part Claude François) sait par exemple le danger de la proximité entre l'eau et l'électricité.
Aujourd'hui, il n'y a plus de dieu de la foudre tout simplement parce que plus personne ne croit que la foudre est un trait envoyé par une quelconque divinité....
"Les religions sont comme les vers luisants: pour briller, elles ont besoin d'obscurité.
Un certain degré d'ignorance générale est la condition de toutes les religions, le seul élément dans lequel elles peuvent vivre."" Arthur Schopenhauer
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Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 15 sept.22, 01:15Bonjour estra2,
Il est d'ailleurs amusant d'imaginer comment a pu apparaître la notion de divinité, comme tu l'as décrit, rapidement suivie
de la nécessité de faire à celle-ci des offrandes pour la calmer, puis des offrandes de prix (épisode de Caïn et Abel) puis des
sacrifices d'êtres vivants, des animaux, puis des humains, dont la valeur est supérieure, puis carrément un fils (Isaac), soit
une surenchère permanente au cours des siècles dans la valeur du sacrifice, jusqu'à atteindre le sacrifice dont on ne pourra
jamais dépasser la valeur, le dieu lui-même qui vient se sacrifier pour se contenter et accepter de s'apaiser.
Nous sommes arrivés à une perversion intégrale de l'idée de nos chers ancêtres préhistoriques. S'ils savaient ça !
Il est d'ailleurs amusant d'imaginer comment a pu apparaître la notion de divinité, comme tu l'as décrit, rapidement suivie
de la nécessité de faire à celle-ci des offrandes pour la calmer, puis des offrandes de prix (épisode de Caïn et Abel) puis des
sacrifices d'êtres vivants, des animaux, puis des humains, dont la valeur est supérieure, puis carrément un fils (Isaac), soit
une surenchère permanente au cours des siècles dans la valeur du sacrifice, jusqu'à atteindre le sacrifice dont on ne pourra
jamais dépasser la valeur, le dieu lui-même qui vient se sacrifier pour se contenter et accepter de s'apaiser.
Nous sommes arrivés à une perversion intégrale de l'idée de nos chers ancêtres préhistoriques. S'ils savaient ça !
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 15 sept.22, 01:18C'est selon la pensée de Dieu la pensée initiale, tu sais bien que selon les croyants de la Bible le sacrifice est prévu dès éternité même, mais ta pensée est judicieuse... merci de l'avoir poser.Stop ! a écrit : ↑15 sept.22, 01:15 Bonjour estra2,
Il est d'ailleurs amusant d'imaginer comment a pu apparaître la notion de divinité, comme tu l'as décrit, rapidement suivie
de la nécessité de faire à celle-ci des offrandes pour la calmer, puis des offrandes de prix (épisode de Caïn et Abel) puis des
sacrifices d'êtres vivants, des animaux, puis des humains, dont la valeur est supérieure, puis carrément un fils (Isaac), soit
une surenchère permanente au cours des siècles dans la valeur du sacrifice, jusqu'à atteindre le sacrifice dont on ne pourra
jamais dépasser la valeur, le dieu lui-même qui vient se sacrifier pour se contenter et accepter de s'apaiser.
Nous sommes arrivés à une perversion intégrale de l'idée de nos chers ancêtres préhistoriques. S'ils savaient ça !
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Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 15 sept.22, 02:06L'idée qu'il faut sacrifier à une divinité pour obtenir quelque chose en retour (recolte, pluie, pardon) est une idée perverse. Ça signifie que les dieux sont des êtres corruptibles que l'on peut acheter à coup de sacrifices.
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Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix
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Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 15 sept.22, 06:19Non,le sacrifice n'a pas cette vocation à part dans les milieux païens, sinon c'est se rendre compte de la valeur du sacrifice, une vie pour une vie, une vie nécessite pour être pardonner, car sa faute va jusqu'à la mort étant la séparation d'avec Dieu, qu'une vie soit sacrifié à la place.MonstreLePuissant a écrit : ↑15 sept.22, 02:06 L'idée qu'il faut sacrifier à une divinité pour obtenir quelque chose en retour (recolte, pluie, pardon) est une idée perverse. Ça signifie que les dieux sont des êtres corruptibles que l'on peut acheter à coup de sacrifices.
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Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 15 sept.22, 07:09Bah, tu viens de confirmer ce que je viens de dire. La perversité du sacrifice. Ce dieu est un type tellement détestable, qu'il te fait payer pour qu'il te pardonne, et en plus, en vie animale ou humaine. C'est abject comme principe.d6p7 a écrit : ↑15 sept.22, 06:19 Non,le sacrifice n'a pas cette vocation à part dans les milieux païens, sinon c'est se rendre compte de la valeur du sacrifice, une vie pour une vie, une vie nécessite pour être pardonner, car sa faute va jusqu'à la mort étant la séparation d'avec Dieu, qu'une vie soit sacrifié à la place.
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Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 15 sept.22, 07:13C'est pas de la perversité c'est pour montrer que la vie matérielle, la vie physique, est seconde.MonstreLePuissant a écrit : ↑15 sept.22, 07:09 Bah, tu viens de confirmer ce que je viens de dire. La perversité du sacrifice. Ce dieu est un type tellement détestable, qu'il te fait payer pour qu'il te pardonne, et en plus, en vie animale ou humaine. C'est abject comme principe.
Accepter la vérité sur soi, c'est accepter ce qu'on n'est pas de physique, c'est à dire que ce qu'on est n'est pas quelque chose de physique.
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