d6p7 a écrit : ↑15 sept.22, 08:12
Pas du tout, tu m'as mal compris, je montre votre inintelligence parce que vous êtes inintelligents. Te montrer supérieur est sûrement un truc à toi ça, du coup tu penses que les autres font pareil.
Nous pouvons leur montrer, ce qu'est l'intelligence que reçoivent les enfants de Dieu avec un exemple pris en Jean 19, versets 25, 26 et 27.
"Près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie, femme de Clopas, et Marie de Magdala. Jésus, voyant sa mère, et auprès d'elle le disciple qu'il aimait, dit à sa mère: Femme, voilà ton fils. Puis il dit au disciple: Voilà ta mère. Et, dès ce moment, le disciple la prit chez lui".
Se tenaient donc près de la croix, trois Marie : sa mère, la soeur de sa mère femme de Clopas, et Marie de Magdala.
Le mot "voilà", strong 2400 donne la définition du mot grec ainsi : vois, regarde, voici, voilà.
Si donc l'on remplace "voilà" par : "vois, regarde", cela donne :
"Près de la croix de Jésus se tenaient
sa mère et
la sœur de sa mère, Marie, femme de Clopas, et
Marie de Magdala.
Jésus, voyant sa mère, et auprès d'elle le disciple qu'il aimait,
dit à sa mère: Femme, vois, regarde ton fils. Puis il dit au disciple:
vois, regarde ta mère. Et, dès ce moment, le disciple la prit chez lui".
Pourquoi les religieux sont-ils allés dire que Jean est l'apôtre auquel Jésus a remis sa mère ? Pourquoi avoir désigné un apôtre qui n'est pas mentionné près de la croix, Jean ne mentionne pas un homme dans son propre Evangile près de la croix, ce n'est pas un oubli de sa part.
Quand Jésus dit "Femme, voilà ton fils",
il se désigne lui, Jésus, ce fils qui va mourir à la chair et au sang, elle n'en a plus, il la confie au disciple qu'il aimait et dit à ce disciple : "Voilà ta mère", désignant sa mère, et ce disciple la prit chez lui.
Les autres évangélistes ne contredisent pas ces versets quant à la présence des femmes.
Matthieu dit : "Parmi elles étaient Marie de Magdala, Marie, mère de Jacques et de Joseph, et la mère des fils de Zébédée".
Marc dit : "Il y avait aussi des femmes qui regardaient de loin. Parmi elles étaient Marie de Magdala, Marie, mère de Jacques le mineur et de Joses, et Salomé".
Luc dit : "Tous ceux de la connaissance de Jésus, et les femmes qui l'avaient accompagné depuis la Galilée, se tenaient dans l'éloignement et regardaient ce qui se passait".
Pour trois, ces femmes se tiennent de loin, pour Jean elles se tiennent de près, ce n'est qu'un détail, pas l'essentiel, car si l'apôtre Jean rapporte ces paroles, c'est soit qu'il n'était pas si loin quant à lui sans être près, suffisamment pour les entendre, soit qu'elles lui ont été rapportées par les femmes. L'essentiel est que s'il s'était tenu près de la croix, il aurait cité non pas trois femmes, mais deux femmes et un homme.
J'ajoute la version Chouraqui souvent plus parlante : "Se tiennent près de la croix de Iéshoua‘ sa mère, la soeur de sa mère, Miriâm, celle de Clôpas, et Miriâm de Magdala. Iéshoua‘ voit donc la mère, et près d’elle l’adepte qu’il aime. Il dit à la mère: « Femme, voici ton fils. » Ensuite, il dit à l’adepte: « Voici ta mère. »
Et, depuis lors, l’adepte la prit chez lui".
Cette intelligence est donnée aux Fils de Dieu par l'Esprit du Seigneur qu'ils ont reçu et qui leur montre la vérité, ce n'est pas l'intelligence qui vient de ce monde et elle se nomme intellect.
Je reviens ajouter cette précision : en vérité, cet Evangile a été attribué à l'apôtre Jean, mais il n'est pas de Jean. Le chapitre 21 le révèle, Jean, fils de Zébédée, était sur les bords de la mer de Tibériade avec les autres, participant à la pêche. A la fin du chapitre, Pierre se retourne et voit arriver le disciple que Jésus aimait, qui n'était donc pas présent auparavant.
Ajouté 1 minute 45 secondes après :
ronronladouceur a écrit : ↑15 sept.22, 07:36
N'édifie non plus qui que ce soit lorsque le nom est utilisé comme faire-valoir...
Je t'ai déjà dit : pas faire-valoir, mais porte-paroles. Retiens le.
Ajouté 13 heures 7 minutes 17 secondes après :
Je reviens sur un point que j'ai évoqué hier en répondant à ronronladouceur, point qui n'a pas été relevé, celui-ci : « le Royaume de Dieu est à l'intérieur de nous, notre coeur, notre âme et notre esprit. L'Esprit de Dieu (qui est Esprit) est dans notre ciel (entendre donc par ciel l'esprit renouvelé que nous avons reçu), l'Esprit qui nous habite qui est l'Esprit de Christ,
notre nouveau ciel, chez ceux qui ont cru et ont suivi le Seigneur (en lien avec le sujet), ainsi dans notre coeur et notre âme,
notre nouvelle terre qui est notre corps. Jésus sur terre avait l'Esprit de Dieu son Père, le Royaume de Dieu s'était donc approché des hommes en Jésus-Christ notre Seigneur et Dieu ».
J'ai fait référence en disant « notre nouveau ciel » et « notre nouvelle terre », au livre de l'Apocalypse, ce livre ayant, comme toutes les paroles de notre Seigneur Dieu, un double sens. Le premier sens est interprété selon la lettre, d'une manière obscure et souvent dans les ténèbres, le second, selon l'Esprit, dans la lumière, plus ou moins vive selon la mesure de notre stature en Christ.
Ce qui rejoint la réponse que j'ai faite à ronronladouceur lorsqu'il a laissé entendre que la phrase de Jésus dans le livre de l'Apocalypse : «
Oui, je viens bientôt ! » fait perdre à ce livre sa crédibilité. Je lui ai donc répondu que non, pour ceux qui avaient cru, il vient en Esprit et en vérité pendant leur vie terrestre. Eux savent donc que ce livre est toujours d'actualité et le sera jusqu'à la fin en ce qui concerne le monde, quand bien même eux, ont déjà expérimenté la fin en Esprit ou sont en marche pour le faire selon leur stature.
Le livre de l'Apocalypse a donc un double sens, et selon l'Esprit, il se vit ainsi intérieurement, selon l'Eglise de laquelle nous sommes parmi les 7. Le Royaume de Dieu est à l'intérieur de nous, mais extérieurement pour ceux qui sont de ce monde et le vivront donc dans le monde. « La ville sainte, Jérusalem, qui descendait du ciel, d’auprès de Dieu » sur la nouvelle terre et le nouveau ciel, car
la première terre avait « disparu ». Il faut comprendre ces mots selon l'Esprit et non selon la lettre, car ils sont à l'image de l'homme « ancien » qui « disparaît » pour paraître selon l'homme « nouveau ».
Beaucoup cherchent quel est le signe de la bête « 666 » et sa marque. Il est juste nécessaire de garder à l'esprit ce que l'Eternel a dit, Deutéronome 11:19 : «Gravez donc bien ces ordres que je vous donne dans votre cœur et au tréfonds de votre être, qu'ils soient attachés comme
un signe sur vos mains, et comme une marque sur le front ».
Ce livre révèle son sens lorsqu'il est écrit « C’est ici qu’il faut de la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence attribue un nombre à la bête, car c’est un nombre d’homme. Et son nombre est : six cent soixante-six », et que nous avons donc gardé : « qu'ils soient attachés comme un signe sur vos mains, et comme une marque sur le front ».
Le nombre de la bête est un nombre d'homme : l'homme demeuré ancien, bête, inintelligent. Le nombre de l'homme nouveau est 999, inversé, la marque de Dieu comme un signe sur ses mains et une marque sur son front, l'homme nouveau a « renversé » les valeurs de ce monde, il a « mis la lune sous ses pieds, son vêtement est le soleil et il porte une couronne de douze étoiles sur sa tête ».
Les nommes nouveaux, les nés de Dieu, sont les membres du Corps de Christ, c'est l'Eglise de Christ, celle qu'il a bâtie, son épouse et sa Reine. C'est ainsi selon l'Esprit la femme de l'apocalypse, qui enfante à la manière dont Paul en parle aux Galates en 4 « mes enfants, pour qui j’endure une fois encore les douleurs de l’enfantement jusqu’à ce que Christ soit formé en vous ».
Jusqu'à ce que Christ soit formé en nous, et que nous parvenions à la mesure de la stature parfaite de Christ car son Corps, son Eglise, est Parfait.
J'arrête là pour ne pas faire trop long, sachant que les longs messages ne sont bien souvent pas lus, et nous en viendrons, si le Seigneur Dieu le veut, à Moïse et Elie, les deux témoins de la transfiguration de Jésus, selon Matthieu en 17 : "Six jours plus tard, Jésus prit avec lui Pierre, Jacques et Jean son frère, et les emmena sur une haute montagne, à l’écart. Il fut transfiguré devant eux : son visage se mit à resplendir comme le soleil ; ses vêtements prirent une blancheur éclatante, comme la lumière. Et voici que
Moïse et Elie leur apparurent : ils s’entretenaient avec Jésus".
Gloire à Dieu seul, je te loue, ô Père, Seigneur du ciel et de la terre, parce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et que tu les as révélées à ceux qui sont tout petits. Oui, Père, car dans ta bonté, tu l’as voulu ainsi.
Paroles de Jésus-Christ, que je reprends en Lui et avec Lui, Gloire à lui seul, notre Sauveur et Rédempteur.
L'intelligence de ce monde selon la lettre est en vérité bête, elle n'est pas l'intelligence qui nous vient de Dieu, selon l'Esprit, renouvelée, mise en lumière, l'intellect.