On aurait pu le deviner.
Inexistence de dieu : approche épistémologique
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L’athéisme peut être considéré comme une attitude ou une doctrine qui ne conçoit pas l’existence ou affirme l’inexistence de quelque dieu, divinité ou entité surnaturelle que ce soit. C'est une position philosophique qui peut être formulée ainsi : il n'existe rien dans l'Univers qui ressemble de près ou de loin à ce que les croyants appellent un « dieu », ou « Dieu ».
L’athéisme peut être considéré comme une attitude ou une doctrine qui ne conçoit pas l’existence ou affirme l’inexistence de quelque dieu, divinité ou entité surnaturelle que ce soit. C'est une position philosophique qui peut être formulée ainsi : il n'existe rien dans l'Univers qui ressemble de près ou de loin à ce que les croyants appellent un « dieu », ou « Dieu ».
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 16 sept.22, 23:18Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 16 sept.22, 23:40Ce qui est très amusant, encore une fois, c'est que lorsqu'on montre une absurdité de la Bible, le croyant répond "c'est une image, une métaphore, il faut voir avec les yeux de l'esprit etc."
Mais le Déluge universel n'est en aucun cas présenté comme une métaphore, une image, mais comme un récit réel tout comme Adam et la preuve en est que les généalogies reprennent ces personnes.
C'est donc de la pure malhonnêteté intellectuelle, les croyants prennent ce qu'ils veulent dans leurs livres sacrés et laissent le reste.
Si Adam n'a pas existé alors tout tombe à l'eau, le péché originel, le sacrifice de Jésus.... si le Déluge n'a pas existé, alors ceux qui en ont parlé comme d'une réalité savoir Jésus et Pierre se trompaient et donc ne peuvent être pris en compte etc.
Mais le Déluge universel n'est en aucun cas présenté comme une métaphore, une image, mais comme un récit réel tout comme Adam et la preuve en est que les généalogies reprennent ces personnes.
C'est donc de la pure malhonnêteté intellectuelle, les croyants prennent ce qu'ils veulent dans leurs livres sacrés et laissent le reste.
Si Adam n'a pas existé alors tout tombe à l'eau, le péché originel, le sacrifice de Jésus.... si le Déluge n'a pas existé, alors ceux qui en ont parlé comme d'une réalité savoir Jésus et Pierre se trompaient et donc ne peuvent être pris en compte etc.
"Les religions sont comme les vers luisants: pour briller, elles ont besoin d'obscurité.
Un certain degré d'ignorance générale est la condition de toutes les religions, le seul élément dans lequel elles peuvent vivre."" Arthur Schopenhauer
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Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 16 sept.22, 23:42Non, on peut avoir une interprétation différente, Adam est peut-être un personnage sur le long terme, mais ça ne change pas chose, le message reste le même.
Et ça ne change rien au message de Jésus.
Ajouté 0 minutes 57 secondes après :
Ce qui est assez marrant est de voir des types comme toi qui pensent avoir tout casser de la croyance en relevant certaines choses alors qu'il y a des choses, et qui ne sont pas des échappatoires cela va de soi, mais des compréhensions réels de la chose.
Le pire étant que je te vois déjà te gausser de ta nouvelle trouvaille (qui n'en est pas).
Modifié en dernier par d6p7 le 16 sept.22, 23:46, modifié 4 fois.
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 16 sept.22, 23:43L'Apocalypse base son langage sur le principe du surréalisme.
Le surréalisme étant ce qui ne semble pas à première vue exister mais qui existe avec force toutefois à travers l'image que son créateur, le peintre, lui donne afin de faire passer son message.
Comme le dragon dans justement l'Apocalypse qui donne l'image d'une bête grimaçante, énorme, qui pulvérise tout sur son passage, comme une locomotive énorme et sa queue de wagons interminables, l'illusion du serpent qui fait des ravages, car il se trouve que le dragon c'est justement le serpent mais qui a pris de l'ampleur, le basilic comme la Bible l'appelle.
COMPRENNE QUI POURRA
Esaïe 11:8
Le nourrisson s'ébattra sur l'antre de la vipère, Et l'enfant sevré mettra sa main dans la caverne du basilic.
5min de lecture : 4521 mots
Le Basilic, est une créature mythique le plus souvent représentée comme un serpent géant . Il est même raconté que cette bête énorme est le roi des serpents. Etant l'un des monstres mythologiques les plus redoutés, le Basilic aurait le pouvoir de tuer avec un simple regard ; tel les gorgones de la mythologie grecque.
Bien qu'il est été popularisé par J.K. Rowling et par son apparition dans le deuxième film de la saga Harry Potter intitulé La Chambre des Secrets, ce serpent monstrueux fait partie de la mythologie européenne et du folklore médiéval depuis la Grèce antique . Cette bête mythique est notamment présente dans la culture roumaine sous le nom de Vasilisc. Et le roi des serpents est aussi très souvent représenté avec des plumes et des ailes.
De l'origine du mythe de ce monstre légendaire à la manière de le tuer, en passant par son apparition dans Harry Potter ; dans cet article tu vas découvrir tout ce qu'il y a à savoir sur le Basilic !
1) Qu'est-ce qu'un Serpent Basilic ?
Tout d'abord il faut savoir qu'il existe deux types de Basilics. Le premier, le plus connu, est un serpent géant. C'est la première et la plus ancienne représentation du basilic. On la retrouve notamment dans le deuxième film Harry Potter .
La seconde représentation du Basilic est sous une forme de créature mi-serpent mi-coq . Cette dernière est nommée Basilicoq.
Quelle que soit son apparence, dans toutes les légendes le Basilic est considéré comme un prédateur féroce et extrêmement hostile, notamment envers les humains. Il est souvent décrit comme une créature légendaire, représentant le mal dans sa forme la plus pure .
Bien qu'ils le nomment "Le roi des serpents", certains mythes mentionnent l'existence de plusieurs Basilics en utilisant ce terme au pluriel . Il est donc tout aussi correct de dire "le" basilic, ou "un" basilic.
Bien que se nourrissant plutôt d'animaux tels que des chèvres et des cerfs, le Basilic peut tout aussi bien se jeter sur d'autres proies issues des comtes et légendes : licornes, pégases, fées, ... En tant que mangeur d'hommes, ne rechigne pas non plus à visiter des villages paisibles la nuit afin de trouver son prochain repas .
2) Le Basilic Serpent
Aujourd'hui nous connaissons le Basilic sous sa forme de serpent géant, car cette dernière a été popularisée par la saga Harry Potter. Mais cette représentation existait bien avant que J.K. Rowling n'écrive ses romans . En effet, elle est la toute première forme qu'a pris le Basilic dans les mythes et les légendes.
Les premières mentions de ce serpent géant remontent à l'Antiquité. Si l'on en croit la légende, le Basilic serait né de la tête tranchée de Méduse, tuée par le héros grec Persée . Mais certaines autres sources affirment qu'un Basilic né d'un œuf de crapaud ou de serpent, couvé par un coq.
3) Un Basilic à Plumes ?
Ce n'est qu'à partir du moyen-âge que l'on commence à représenter le Basilic sous les traits d'une créature mi-oiseau, mi-serpent. Ce monstre chimérique (assemblage de deux animaux) appelé Basilicoq (ou Basilic Coq), serait aussi né d'un d'un œuf de crapaud ou de serpent, couvé par un coq.
On confond souvent le Basilicoq avec la Cocatrix (ou Cocatrice). Cette dernière est aussi un monstre mi-oiseau et mi-reptile, mais à la différence près qu'elle née d'un œuf de coq (oui oui de coq, donc c'est "très rare" ), couvé par un serpent ou un crapaud. De plus, même s'il sont très semblables, les deux monstres présentent tout de mêmes des différences. La Cocatrix serait apparemment une variété différente de Basilicoq.
"Cocatrice" est devenue synonyme de "Basilic" à cause d'une traduction de De Proprietatibus Rerum de Bartholomeus Anglicus, écrite en 1260 . L'adaptation de 1397 de John Trevis remplace également le mot latin Basiliscus par Cocatrice.
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Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 16 sept.22, 23:53Bien entendu ce n'est pas une trouvaille, il y a longtemps que ces exégèses sont faites, mais elles sont de taille à ruiner complètement tout l'édifice car en plus elles sont accompagnées d'autres du même acabit, voire pires, tout au long du bouquin. Et parler de mauvaise compréhension ne peut pas plaider pas en faveur de la qualité du message.
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 16 sept.22, 23:55Alors je t'écoute ouvertement, je vois pas en quoi ça dézingue quoi que ce soit.Stop ! a écrit : ↑16 sept.22, 23:53 Bien entendu ce n'est pas une trouvaille, il y a longtemps que ces exégèses sont faites, mais elles sont de taille à ruiner complètement tout l'édifice car en plus elles sont accompagnées d'autres du même acabit, voire pires, tout au long du bouquin. Et parler de mauvaise compréhension ne peut pas plaider pas en faveur de la qualité du message.
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 16 sept.22, 23:56►► le dragon
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Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 17 sept.22, 00:30C'est toi qui manques d'informations. Tu ignores que seuls les démons réclament des sacrifices sanglants. Mais moi je le sais.
« La Bible se laisse pas faire, dès lors où vous introduisez un enseignement non conforme, la bible vous rattrape toujours quelque part. » - Agecanonix
Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix
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Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 17 sept.22, 00:31Si tu le sais, tout va bien.MonstreLePuissant a écrit : ↑17 sept.22, 00:30 C'est toi qui manques d'informations. Tu ignores que seuls les démons réclament des sacrifices sanglants. Mais moi je le sais.
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 17 sept.22, 01:21Prenons le Déluge : C'est bien Dieu qui ne trouve pas les hommes à sa convenance et qui décide de les exterminer ? Parce qu'ils sont mauvais, qu'ils ne s'entendent pas, qu'ils se font la guerre ? S'il faut y voir autre chose, alors évidemment.... Mais restons sur la première lecture. Il remarque néanmoins Noé qui est un homme bon, alors il décide de le sauver, lui et sa famille, car à partir de cette famille renaîtra une espèce humaine enfin saine. C'est bien ça ? Alors il noie tout le monde sauf la famille Noé, qui reprend pied sur la terre ferme, se remet à la cultiver, cultive la vigne...et fait du vin. Et Noé se pinte, circule à poil (très mal vu de Dieu qui devait rester le seul à savoir qu'Adam et Ève n'avaient pas d'habits) et un de ses fils le voit et répand la nouvelle. Noé voit rouge :« Maudit sois-tu, tu seras le dernier des serviteurs de tes frères...! »
Ça n'aura pas duré très longtemps, et on ne sache pas qu'il s'ensuivit une période de douce harmonie dans les rapports humains....Quoique...
Prenons la tour de Babel, épisode qui suit de près celui du Déluge : Les hommes s'entendaient apparemment bien puisqu'ils avaient tous décidé de collaborer pour construire une tour qui monte jusqu'au ciel. Dieu, qui était "descendu voir", prend peur et craint que les hommes ne deviennent aussi puissants que lui. Il brouille alors leurs langages pour qu'ils ne se comprennent plus... et ne s'entendent plus.
Faudrait savoir !! Surtout quand on est Dieu !!
Alors, non seulement il rate complètement son Déluge car jamais l'humanité n'a été meilleure après qu'avant, mais ensuite il vient foutre la merde quand une amélioration se dessine parce qu'il a oublié combien de couches il a données à son atmosphère.
On peut, tout au long de la Bible, faire le constat que ce dieu a dû être un très mauvais élève à l'école des dieux.
Nous, les athées, avons de Dieu (comme du Père Noël) une image plus flatteuse.
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 17 sept.22, 01:27Oui.
Parce qu'ils sont mauvais oui.Stop ! a écrit :Parce qu'ils sont mauvais, qu'ils ne s'entendent pas, qu'ils se font la guerre ?
Oui.Stop ! a écrit :C'est bien ça ?
Ben si quand même, t'imagines l'horreur d'avant ?Stop ! a écrit :non seulement il rate complètement son Déluge car jamais l'humanité n'a été meilleure après qu'avant,
Pas du tout ils veulent collaborer pour se faire un nom, c'est très dictatorial.Stop ! a écrit :mais ensuite il vient foutre la merde quand une amélioration se dessine
Je vais te dire franchement que je comprends pas ce que tu veux dire qui ne va pas, la nudité de Noé (quoi?), la tour (?) et alors ? Désolé, mais je comprends pas ce qui va pas.
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Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 17 sept.22, 01:28Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 17 sept.22, 02:30C'est intéressant ce terme "dézinguer" cela en dit long sur le rapport à l'autre, un rapport de violence, de guerre, de soumission....
Pour ma part, je ne prétends "dézinguer" rien ni personne, je me contente de dire ce que je pense sur un forum de discussion où à priori, on a le droit de donner son sentiment sur ceci ou cela !
Donc, encore une fois, je trouve ridicule de s'appuyer sur un livre pour affirmer des choses tout en rejetant d'autres enseignements de ce même livre.
J'ai ainsi eu l'occasion de discuter avec des croyants qui rejetaient pratiquement tout l'Ancien Testament, considérant Adam, Noé, Abraham, Moïse comme des personnages mythiques tout en considérant comme parole d'évangile (oui je sais, c'est facile) tout ce qui avait trait à la résurrection, à Jésus etc.
Il y en a même qui considèrent les miracles de Jésus comme des exagérations mais croient dur comme fer à la résurrection !
A mon humble avis c'est totalement illogique mais, encore une fois, je ne fais que donner mon opinion, je n'oblige personne à la partager
Pour ma part, je ne prétends "dézinguer" rien ni personne, je me contente de dire ce que je pense sur un forum de discussion où à priori, on a le droit de donner son sentiment sur ceci ou cela !
Donc, encore une fois, je trouve ridicule de s'appuyer sur un livre pour affirmer des choses tout en rejetant d'autres enseignements de ce même livre.
J'ai ainsi eu l'occasion de discuter avec des croyants qui rejetaient pratiquement tout l'Ancien Testament, considérant Adam, Noé, Abraham, Moïse comme des personnages mythiques tout en considérant comme parole d'évangile (oui je sais, c'est facile) tout ce qui avait trait à la résurrection, à Jésus etc.
Il y en a même qui considèrent les miracles de Jésus comme des exagérations mais croient dur comme fer à la résurrection !
A mon humble avis c'est totalement illogique mais, encore une fois, je ne fais que donner mon opinion, je n'oblige personne à la partager
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Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 17 sept.22, 02:41C'est parce qu'en faite tu as une approche particulière de ce livre, et je peux te comprendre car beaucoup de chrétiens le prennent à la lettre, et oui c'est vrai font des pirouettes pour harmoniser des écrits alors qu'on peut pas, mais ce n'est pas mon cas. Je comprends néanmoins la pensée biblique comme inspiré, chose que je peux expliquer, ce n'est pas parce que des détails collent pas, parce qu'il y a des imprécisions, des incorrections ou des erreurs, qu'elles est faussent. Parce que c'est Dieu qui l'a inspiré dans une mesure qui est que des gens ont été inspiré parce qu'ils vivaient avec Dieu, et il nous l'ont écrit. La Bible n'est pas un écrit écrit du doigts de Dieu, mais Dieu a communiqué avec les hommes, et ceux-ci ont écrit, c'est une nuance de taille.
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Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 17 sept.22, 03:23Si on compte le nombre de personnes prétendant avoir communiqué avec Dieu (ou ses représentants), et qui disent des choses différentes, ce n'est pas crédible.d6p7 a écrit :mais Dieu a communiqué avec les hommes, et ceux-ci ont écrit, c'est une nuance de taille.
Mahomet, Joseph Smith, Raël, Prisca, pour ne citer qu'eux. Trop facile !
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