d6p7 a écrit : ↑02 oct.22, 23:36
C'est pourquoi même nous commençons déjà à voir (spirituellement) comme un nourrisson ressentirait peut-être des choses dans le ventre, il n'y a que quand il sort qu'il aperçoit les formes et les couleurs.
Et Paul en écrit donc aux colossiens en 3 : "3 Car vous êtes morts, et votre vie est cachée avec Christ en Dieu. 4
Quand Christ, votre vie, paraîtra, alors vous paraîtrez aussi avec lui dans la gloire".
Nous le voyons alors face à face. Jean d'en écrire dans sa première lettre en 3 : "2 Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n'a pas encore été manifesté; mais
nous savons que, lorsqu'il paraîtra, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu'il est. 3 Quiconque a cette espérance en lui se purifie, comme lui-même est pur".
C'est pour cela que personne, jamais personne, ne m'empêchera de dire qu'il est paru en moi, que je l'ai vu, que je le connais comme il me connait, parce que je le vois tel qu'il est et Il est le Merveilleux, le Roi des rois, le Saint des saints et mon face à face chaque jour que Dieu fait.
Ce fut le plus beau jour de toute ma vie que ce jour là et cela fait 14 ans maintenant que je vis en Lui et Lui en moi h24,
alors pourquoi certains me jugent orgueilleuse de témoigner de sa Gloire et de sa magnifique Grâce ? comme si personne ne savait qu'il ne se révèle qu'aux humbles, aux plus petits, et particulièrement à ceux qui ont reconnu qu'ils ne sont rien sans lui ? Ne peuvent-ils donc pas voir que le Seigneur se manifeste à ceux qui l'attendent avec persévérance ?
C'est de plus un témoignage de ce qu'est la foi en Jésus-Christ, qui passe par l'espérance et n'est qu'amour pour Lui et son prochain, Paul en écrivait aux Romains en 8 :
" 19
Aussi la création attend-elle avec un ardent désir la révélation des fils de Dieu. Car la création a été soumise à la vanité - non de son gré, mais à cause de celui qui l'y a soumise - avec l'espérance qu'elle aussi sera affranchie de la servitude de la corruption, pour avoir part à la liberté de la gloire des enfants de Dieu.
Or, nous savons que, jusqu'à ce jour, la création tout entière soupire et souffre les douleurs de l'enfantement. Et ce n'est pas elle seulement; mais nous aussi, qui avons les prémices de l'Esprit, nous soupirons en nous-mêmes,
en attendant l'adoption, la rédemption de notre corps.
Car c'est en espérance que nous sommes sauvés. Or, l'espérance qu'on voit n'est plus espérance: ce qu'on voit, peut-on l'espérer encore? Mais si nous espérons ce que nous ne voyons pas, nous l'attendons avec persévérance".