En disant que ce n'est pas Jésus qui a été crucifié lui-même, tu t'empêches de recevoir l'Esprit Saint et de feu que Jésus a promis, l'Esprit de Christ qui est l'Esprit de vérité, le Paraclet, qu'il a envoyé à ses disciples au jour de la Pentecôte et qui fit dire à Pierre lui-même (actes 2) : "22 Hommes Israélites, écoutez ces paroles! Jésus de Nazareth, cet homme à qui Dieu a rendu témoignage devant vous par les miracles, les prodiges et les signes qu'il a opérés par lui au milieu de vous, comme vous le savez vous-mêmes; cet homme, livré selon le dessein arrêté et selon la prescience de Dieu, vous l'avez crucifié, vous l'avez fait mourir par la main des impies. Dieu l'a ressuscité, en le délivrant des liens de la mort, parce qu'il n'était pas possible qu'il soit retenu par elle"
Dieu l'a ressuscité : l'Esprit Saint (son Père en lui), l'a ressuscité.
C'est incroyable comme tu te fermes à l'éclairage que par moi, Jésus qui par son Esprit Saint, qui est en moi, essaye de te donner !!
Réfléchis pour une fois, qui a été crucifié, Jésus qui Est Esprit Saint, où son Corps de chair ? Un Esprit quelqu'il soit ne peux pas être crucifié. :grinning-face ; comme Jésus l'a clairement dit ici à ses Apôtres :
Je le dis à vous, mes amis :
Ne craignez pas ceux qui tuent le corps,
et qui après cela ne peuvent rien faire de plus. (Luc 12, 4)
Aurais-tu oublié que notre corps est l'image de notre esprit, il n'est pas notre esprit, à partir duquel nous parlons, nous animons notre corps qui est à notre service, car il ne fait rien par lui-même.
Quand Jésus a dit le Jeudi Saint à ses Apôtres, après que l'Esprit Saint son Père leur ai fait don du corps de chair de son fils, le sanctuaire de la Nouvelle Alliance :
Croyez sur ma Parole que Je Suis dans le Père, l'Esprit Saint mon Père dans les mains de qui je viens de remettre mes brebis devenus la chair de ma chair, mon corps de chair, le Sanctuaire de la Nouvelle Alliance, en lui demandant "de me glorifier dans mon corps de chair devenu leur Corps de chair, le Corps de chair de mon Eglise)
Ici, Jésus venait de révéler à ses Apôtres, qu'il n'était plus avec eux dans son corps de chair, puisqu'il s'en était retourné dans l'Esprit Saint, son Père, son Être divin, comme il venait de leur annoncer :
Je suis sorti du Père, et je suis venu dans le monde;
maintenant je quitte le monde et je vais au Père (he retourne dans mon Père)." (Jean 14, 16)
Disant un peu plus loin à son Père dans les mains de qui il venait de remettre son corps de chair, le Sanctuaire de la Nouvelle Alliance :
"Et maintenant à vous Père, gloriez (divinisez) votre fils afin que votre fils vous glorifie (vous divinise)
Puisque vous lui avez donné autorité sur toute chair, afin qu'à tous ceux (ses Apôtres) que vous lui avez donnés, et qui sont devenu par leur communion, leur union à sa chair, sa propre chair ( il donne la vie éternelle). (Jean 17, 1-2)
Quand Jésus a fait cette demande à son Père, pour ses Apôtres, il s'en était retourné dans son Père d'où il était sorti. Et c'est donc, à son Père l'Esprit Saint, devenu "dans la chair de son Fils, dont il allait lui-même prendre soin dorénavant, à la place de son Fils", il demandait, à son Père de le glorifier dans ses Apôtres, où il venait d'établir sa demeure avec ce même Esprit Saint son Père ; comme sur le Mont Thabor, il l'avait glorifié dans sa chair, par son Esprit Saint, quand son corps de chair se mit à rayonner sa gloire, la gloire de son Père l'Esprit Saint qui était en Lui, à savoir la gloire de sa divinité.
Ce n'est donc pas Jésus qui s'en était retourné dans l'Esprit Saint son Père, qui a été crucifié, mais son corps de chair remis entre les mains de son Père, l'Esprit Saint, l'Esprit d'Elie, à qui il laissa sa place à la Table de sa Pâques, pour accomplir la prophétie, quand il avait annoncé jadis, qu'Elie reviendrait :
Voici que je vous envoie Elie, le prophète, avant que vienne le jour de Yahweh, grand et redoutable. Il ramènera le coeur des pères vers les enfants et le coeur des enfants vers les pères, de peur que je ne vienne et que je ne frappe la terre d'anathème. (Malachie 3, 23-24)
Ce jour grand et redoutable, c'était ce jour dont parla Jean le Baptiste aux Juifs :
" Race de vipères (descendant du diable), qui vous a appris à fuir la colère qui vient?
Faites donc de dignes fruits de repentir (Luc 3, 8)
C'est ce qui explique qu'à la Table du Sedder (de la Pâque ancienne), le chef de famille déposait une coupe de vin, pour ce jour où Elie devait revenir pour sauver le Peuple. Elie déjà venu dira Jésus à ses disciples en disant que c'était Jean Baptiste ; ajoutant après la mort de Jean Baptiste, à ses Apôtres qui l'avaient vu apparaître dans la gloire de Jésus, avec Moïse, que Elie venait pour rétablir toute chose ; sous entendant que Jean Baptiste (Elie), revenait pour rétablir toute chose.
Cette coupe d'Elie étant celle que l'Esprit Saint son Père, l'Esprit d'Elie à qui il venait de confier son Corps de chair, s'en retournant en Lui, pris après le repas, en disant :
"Prenez et buvez en vous, ceci est mon sang, ma Vie, Jésus, le sang de la Nouvelle Alliance, répandu pour vous en mon corps de chair que vous venez de recevoir, pour la rémission de vos péchés.
Oui c'est le corps de chair de Jésus qui a été crucifié, mais par lui dans son Esprit, l'Esprit de son Père, dans lequel il venait de s'en retourner, pour laisser la place à son Père, chargé de donner son corps de chair à ses Apôtres.
Qui plus est je vous ai donné la preuve que ce n'est pas le corps de chair de Jésus qui a été crucifié, mais son corps de chair devenu celui de son Père l'Esprit Saint (le même corps, devenu la main de son Père, à qui il a dit qu'il confierait ses brebis, après les avoir pris dans sa main.
C'est que Jésus avant de mourir, avait dit à ses Apôtres qu'ils le reverraient après sa résurrection en Galilée. Ce qui veut dire que celui qui s'est montré aux Apôtres dans le Cénacle le jour de la résurrection, il ne pouvait être Jésus, puisque Jésus avait dit qu'ils le reverrait Lui, en Galilée. Sauf si tu traites de Jésus de menteur, admets que j'ai raison, et que c'est bien son Père qui a été crucifié dans le corps de chair de son Fils devenu son propre Corps de chair.
Ajouté 16 minutes 55 secondes après :
prisca a écrit :Vers 327, Constantin inaugura la première basilique du Vatican, construite sur un cimetière chrétien des Ier et IIe siècles où plusieurs papes avaient été inhumés (mais pas saint Pierre, contrairement la légende qui courait depuis le grand incendie de Rome en 64).
Ce n'est en rien une légende, la tombe de saint Pierre, la vrai a été retrouvé en 1950, ne t'en déplaise, sous la Basilique Saint Pierre, là où Constantin avait fait transférer les reliques de Saint Pierre.
Lorsque Pie XI (1922-1939) meurt, son testament indique sa volonté d’être enterré le plus près possible de la tombe présumée de saint Pierre. Pie XII (1939-1958), déjà très intéressé par l’archéologie chrétienne, entame alors des fouilles sous la basilique Saint-Pierre, afin de respecter les dernières volontés de son prédécesseur.
Lors de la première campagne de fouilles, de 1939 à 1949, la commission scientifique cherche la vérité à propos de la tombe de saint Pierre. Après des études historiques, archéologiques ou encore architecturales, Pie XII clôt le jubilé de 1950 en s’exclamant: «La conclusion finale des travaux et études répond un oui très clair: la tombe du prince des Apôtres a été retrouvée».
Du cirque de Néron à la basilique Saint-Pierre
Après l’incendie de Rome en 64, l’empereur Néron impose une vague de persécution des chrétiens, au cours de laquelle saint Pierre est crucifié tête en bas dans le cirque du Vatican. Long de 600 mètres, celui-ci est situé en dehors de Rome, dans un axe parallèle à celui de la basilique d’aujourd’hui. Le corps du saint est alors déposé dans une tombe à même le sol, sous un petit toit de tuile, dans la nécropole païenne de la colline du Vatican. Rapidement, tandis que la nécropole s’étend jusqu’aux rives du Tibre, le lieu de sépulture de saint Pierre attire les pèlerins.
Au 4e siècle, l’empereur Constantin permet le développement du culte chrétien et décide de construire une basilique dont l’autel serait à la verticale de la tombe de l’apôtre. Il fait remblayer le terrain en pente, en comblant la nécropole avec près de 40’000 m3 de terre. La basilique, de 90 mètres de long, se construit entre 319 et 322 environ. Au-dessus de la tombe originelle, Constantin fait édifier un monument haut de trois mètres, en marbre et en porphyre, dont on aperçoit encore aujourd’hui une colonne et un pan de mur.
Dès le pontificat de Libère (352-366), les papes furent enterrés dans la basilique constantinienne. En 1451, la nécessité des travaux est évidente. Jules II (1503-1513), arguant de la fragilité des bâtiments, décide de raser une partie de la basilique et d’en reconstruire une, majestueuse – celle que l’on connaît aujourd’hui. L’autel papal est bien sûr conservé au-dessus de la tombe de saint Pierre.
Les reliques de saint Pierre
En 1941, une boîte contenant des ossements est trouvée non loin de la tombe, dans une petite niche (loculus), près du mur rouge du monument de Constantin, puis est mise de côté. Une dizaine d’années après, lors de la deuxième campagne de fouilles, de 1952 à 1958, une archéologue et épigraphiste italienne, Margherita Guarducci, découvre l’inscription grecque «Pierre est ici» sur un fragment du mur rouge. La boîte est alors retrouvée pour analyser les ossements, et l’on découvre qu’ils sont ceux d’un homme de constitution robuste, du 1er siècle, d’âge avancé, présentant de l’arthrose, maladie courante chez les pêcheurs. Des restes de tissu pourpre, cousu de fils d’or, entourent les fragments d’os, signe d’une vénération certaine. Les os présumés de l’apôtre avaient été légèrement déplacés de la tombe à loculus, sans doute par des chrétiens désireux de prévenir toute profanation.
Le 26 juin 1968, lors d’une audience, Paul VI (1963-1978) déclare que «les reliques de saint Pierre ont été elles aussi identifiées d’une façon que nous pouvons tenir pour convaincante». Elles sont alors replacées dans le loculus, excepté quelques reliques destinées à la chapelle privée du pape.
Sources :
https://www.holyart.fr/blog/articles-re ... ecouverte/
https://www.cath.ch/newsf/le-vatican-me ... nt-pierre/