témoignages de conversion
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Ecrit le 21 mai04, 10:31
Issa, ne sois pas ridicule.
Qui a parlé de prouver la vérité ?
D'ailleurs, parait que charité bien ordonnée commence par soi même...
Pourquoi ne tenterais-tu pas de prouver la vérité de ta religion ?
Tu verras que c'est pas si facile quand on n'admet pas le Coran comme hypothèse.
Qui a parlé de prouver la vérité ?
D'ailleurs, parait que charité bien ordonnée commence par soi même...
Pourquoi ne tenterais-tu pas de prouver la vérité de ta religion ?
Tu verras que c'est pas si facile quand on n'admet pas le Coran comme hypothèse.
- issa
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Ecrit le 21 mai04, 14:55
pou cela il y a d autre sujet sur ce forum afin de discuter de la veracite ou non de l islam ,ici je fais juste remarquer que les principale cause de conversion ne sont pas les recherches basée sur des faits tel l histoire de la bible,,de la validite ou non des dogmes exposes etc choses qui fait partie du debat inter religieux,des données scientifique mais que generalement ces conversions sont du a un declic"emotif" tout simplement
- issa
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Ecrit le 22 mai04, 08:25
ton raisonnement est un peu simple merieme ,en effet ,des musulmans sont devenus catholique et alors? l homme aime la facilite et aime etre rassure et en cela la religion catholique y arrive tres bien voila tout quand un chretiens devient musulmans c est parce qu il voit par des preuves historique que la bible est alteres,qu ensuite il voit et reflechit et qu il admet que la trinite et autre sont impossible meme de maniere rationnel et que ce n est la que des passages rajoute par les tenant de cette doctrine par contre un musulmans se convertisant au catholicisme le fait pour des raisons emotives comme on le voit dans les recits de cnversion de kate" je me sentais seul il me manquait quelques choses et bam j ai trouve jesus" il n y a pas la de reflexion base sur la logique ou l observation de preuves tangble et rationnel il n ya la que de l emotif ce que je disais plus haut et de plus lorsque dans cette religion qui flatte l emotif la seule choses a faire est de croire en jesus pour aller au paradis (peut importe les peches jesus est mort pour les racheter selon eux) ensuite quand tu vois que toutes les lois a l exception de l adlutere et de la sodomie on ete abolie par les ecrits de paul(saint) il n ya pas photo c est clairement plus facile de vivre en tant que catholique qu en tant que musulman mais ce n est pas la facilite qu i t ammenne au paradis c est Allah
- kate
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Ecrit le 22 mai04, 08:41
TEMOIGNAGE DE MALIKA :
DE L'ISLAM A JESUS CHRIST
Originaire du Maroc, je suis née dans une famille musulmane très pratiquante. Dans mon plus jeune âge, j'ai donc été élevée dans la plus pure tradition islamique. Dès le début de mon adolescence, mon désir le plus cher était d'être une bonne musulmane, une femme exemplaire aux yeux d'Allah. Je rejetais tout ce qui avait un rapport avec les juifs et les chrétiens, la simple vision d'une croix m'exaspérait.
A l'âge de 16 ans j'ai rencontré au lycée mon actuel mari qui m'a parlé de Jésus Christ et m'a donné l'évangile de Jean à lire. J'étais très méfiante pour ne pas dire très réticente mais j'éprouvais des sentiments pour ce garçon j'ai donc accepté cet évangile et décidé de le lire en cachette bien sûr parce que si mes parents découvrait ma lecture je risquais de sévères réprimandes. La lecture du premier chapitre m'a transpercé le coeur, en un instant j'ai su que la bible était la parole de Dieu et que Jésus était la vérité. Ce fut un véritable bouleversement pour moi qui était tellement opposée à tout ce qui était spirituel et qui n'appartenait pas à l'islam. J'avais compris une chose bien précise : Dieu aime chaque être humain et ne fait exception de personne. Je continuais de découvrir, de lire un calendrier par exemple où des versets disaient que nous pouvions parler à Dieu comme à un Père. J'expérimentais donc ce dialogue avec Dieu : chaque soir avant de dormir je parlais à Dieu tout simplement et je sentais avec certitude comme une présence qui inondait mon coeur alors qu'auparavant je récitais des prières à Allah mais je ressentais comme un vide, c'est là encore une expérience qui m'a véritablement marqué.
Le temps passa, j'avais donc cette certitude que Jésus Christ est le fils de Dieu, que la bible est la vérité mais je n'avais pas encore véritablement pris conscience du sacrifice de Jésus à la croix, je n'avais pas fait l'expérience du pardon de mon péché. Un soir alors que je rentrais chez moi je découvrais ma mère prostrée dans ma chambre : elle venait d'apprendre par un coup de téléphone anonyme que je fréquentais un garçon français de plus non musulman, ce fut un véritable choc pour elle et aussi pour moi. J'ai pleuré et souffert de nombreux jours je pensais même arréter la lecture de la bible, ne plus avoir de communion avec Dieu. Pour moi tout était fini même ma relation avec ce garçon. Mais c'était sans compter sur la volonté de Dieu de me sauver. Le lundi suivant son père à appeler mes parents afin de les rencontrer. Pendant leur rencontre j'ai prié de tout mon coeur et Dieu m'a exaucé dans sa bonté car ma mère en rentrant m'a parlé de mariage, j'étais très heureuse malgré mon jeune âge (18 ans).
Nous nous sommes donc mariés ce qui est un véritable miracle quand on connaît la religion musulmane. Mais le miracle passé nos coeurs n'étaient pas véritablement attachés à Dieu, nous prions le soir mais ne fréquentions pas d'église, pas de communion fraternelle et il n'y avait toujours pas une véritable repentance. L'ennemi de notre âme a donc semé le trouble dans notre couple et je souhaitais divorcer. Mais mon mari et moi savions que le divorce ne peut satisfaire Dieu, nous avons donc pris contact avec l'église évangélique de Pentecôte. Mon mari commençait à aller aux réunions mais pas moi. Puis un jour Dieu dans sa bonté m'a conduit dans cette maison de prière. C'est là que je me suis véritablement repentie de mes péchés et c'est là le véritable départ de ma vie avec le Seigneur Jésus. Nous avons pris le baptême en 1996 et je suis très heureuse de connaître la vérité et de suivre Jésus. Avec le recul je réalise combien notre Dieu est grand, combien Il nous aime et sa volonté c'est que nous soyons sauvés, jamais Il ne m'a abandonné. Merci Seigneur.
DE L'ISLAM A JESUS CHRIST
Originaire du Maroc, je suis née dans une famille musulmane très pratiquante. Dans mon plus jeune âge, j'ai donc été élevée dans la plus pure tradition islamique. Dès le début de mon adolescence, mon désir le plus cher était d'être une bonne musulmane, une femme exemplaire aux yeux d'Allah. Je rejetais tout ce qui avait un rapport avec les juifs et les chrétiens, la simple vision d'une croix m'exaspérait.
A l'âge de 16 ans j'ai rencontré au lycée mon actuel mari qui m'a parlé de Jésus Christ et m'a donné l'évangile de Jean à lire. J'étais très méfiante pour ne pas dire très réticente mais j'éprouvais des sentiments pour ce garçon j'ai donc accepté cet évangile et décidé de le lire en cachette bien sûr parce que si mes parents découvrait ma lecture je risquais de sévères réprimandes. La lecture du premier chapitre m'a transpercé le coeur, en un instant j'ai su que la bible était la parole de Dieu et que Jésus était la vérité. Ce fut un véritable bouleversement pour moi qui était tellement opposée à tout ce qui était spirituel et qui n'appartenait pas à l'islam. J'avais compris une chose bien précise : Dieu aime chaque être humain et ne fait exception de personne. Je continuais de découvrir, de lire un calendrier par exemple où des versets disaient que nous pouvions parler à Dieu comme à un Père. J'expérimentais donc ce dialogue avec Dieu : chaque soir avant de dormir je parlais à Dieu tout simplement et je sentais avec certitude comme une présence qui inondait mon coeur alors qu'auparavant je récitais des prières à Allah mais je ressentais comme un vide, c'est là encore une expérience qui m'a véritablement marqué.
Le temps passa, j'avais donc cette certitude que Jésus Christ est le fils de Dieu, que la bible est la vérité mais je n'avais pas encore véritablement pris conscience du sacrifice de Jésus à la croix, je n'avais pas fait l'expérience du pardon de mon péché. Un soir alors que je rentrais chez moi je découvrais ma mère prostrée dans ma chambre : elle venait d'apprendre par un coup de téléphone anonyme que je fréquentais un garçon français de plus non musulman, ce fut un véritable choc pour elle et aussi pour moi. J'ai pleuré et souffert de nombreux jours je pensais même arréter la lecture de la bible, ne plus avoir de communion avec Dieu. Pour moi tout était fini même ma relation avec ce garçon. Mais c'était sans compter sur la volonté de Dieu de me sauver. Le lundi suivant son père à appeler mes parents afin de les rencontrer. Pendant leur rencontre j'ai prié de tout mon coeur et Dieu m'a exaucé dans sa bonté car ma mère en rentrant m'a parlé de mariage, j'étais très heureuse malgré mon jeune âge (18 ans).
Nous nous sommes donc mariés ce qui est un véritable miracle quand on connaît la religion musulmane. Mais le miracle passé nos coeurs n'étaient pas véritablement attachés à Dieu, nous prions le soir mais ne fréquentions pas d'église, pas de communion fraternelle et il n'y avait toujours pas une véritable repentance. L'ennemi de notre âme a donc semé le trouble dans notre couple et je souhaitais divorcer. Mais mon mari et moi savions que le divorce ne peut satisfaire Dieu, nous avons donc pris contact avec l'église évangélique de Pentecôte. Mon mari commençait à aller aux réunions mais pas moi. Puis un jour Dieu dans sa bonté m'a conduit dans cette maison de prière. C'est là que je me suis véritablement repentie de mes péchés et c'est là le véritable départ de ma vie avec le Seigneur Jésus. Nous avons pris le baptême en 1996 et je suis très heureuse de connaître la vérité et de suivre Jésus. Avec le recul je réalise combien notre Dieu est grand, combien Il nous aime et sa volonté c'est que nous soyons sauvés, jamais Il ne m'a abandonné. Merci Seigneur.
- issa
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Ecrit le 22 mai04, 08:49
ensuite tu ajoute a cela le deformation et l usage dans un autre sens des paroles coraniques concernant la bible (va voir le sujt "l evangile falsifié?") tu ajoute encore l oublis de dire que l histoire bibliques n est pas un "long fleuves tranquille" quand a sa redaction et tu obtient les ingredients pour faire changer un musullman en chretiens mais a la lumiere d une analyse serieuse l ont trouve tj la verite el hamdoulilllah
- kate
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Ecrit le 22 mai04, 20:35
Je me suis très tôt senti menacé par l'Islam, la religion de mes pères.
D'abord de manière confuse et émotionnelle en tant qu'enfant avec la peur de la circoncision à laquelle je dois sans doute à mon retour en France avant l'âge de sept ans d'avoir échappé.
Puis, au fur et à mesure que la connaissance de Jésus s'approfondit en moi, je compris l'ampleur de l'opposition au plan de salut au travers du sang de l'agneau de Dieu que constitue cette forteresse spirituelle.
A la différence de l'ancien testament (Psaume 2, verset 7, par exemple), le Coran nie farouchement, obsessionnellement que Dieu ait un Fils (sourates 2-116, 6-101, 9-30, 10-68, 17-111, 18-4, 19-92, 21-26, 25-2, 39-4, 72-3). Or, Jean nous met clairement en garde dans sa première lettre : "Qui est le menteur sinon celui qui nie que Jésus soit le Christ ? Le voilà l'Antichrist ! Il nie le Père et le Fils. Quiconque nie le Fils ne possède pas non plus le Père. Qui confesse le Fils possède aussi le Père." (2 22-23).
Et il faut aussi savoir que, lors de ses premières révélations, Muhammad vit une apparence d'ange dans du feu qui prétendit s'appeler Djibraïl, le Gabriel de la Bible. Les apparitions de Djibraïl rendaient Muhammad si malade, accablé de force fièvre et de nausées, qu'il pensait au début que Djibraïl était un méchant djinn, nous dirions un démon.
Détail troublant, au début de ses apparitions, Djibraïl dit à Muhammad qu'il était venu lui révéler la véritable Bible parce que Juifs et Chrétiens l'avait falsifiée. Rapproché du début de la lettre aux Galates : "Eh bien ! si nous-même ou quelqu'ange venu du ciel vous proclamait un évangile différent de celui que nous vous avons annoncé, qu'il soit maudit ! (1-8)", cet épisode décisif rend superflu tout commentaire.
Un jour de juin 1998 que je priais avec mes collègues dans le lieu de recueillement du Parlement européen, j'eus la vision d'une rivière coulant impétueusement à l'endroit d'une petite cataracte. Une main approcha une cruche en terre cuite décorée à la façon des poteries d'Afrique du nord et la remplit d'eau jusqu'à ras bord. Et il me fut donné de comprendre que Dieu s'apprêtait à intervenir chez les peuples musulmans, à les remplir de l'Esprit et à leur donner part au salut en Jésus-Christ.
Par la suite, j'eus l'occasion de connaître une association chrétienne implantée dans le Dauphiné qui, en liaison avec un mouvement mondial d'intercession, édite un livret de prière qui, pendant chaque jour de ramadan, cible une région du monde sous l'emprise de l'islam pour qu'elle puisse s'ouvrir à l'Evangile. Je m'y joignis avec un enthousiasme que tempéra bien vite une sinistre expérience. Il me suffisait de commencer cette intercession pour que je sois envahi de tentations et de pensées glauques d'une brutalité indicible. Chaque année, il en alla de même.
Je conseille à ceux qui doutent de l'existence de satan qu'ils fassent l'expérience d'intercéder plusieurs jours très précisément pour que des nations musulmanes découvrent le salut en Jésus. L'ennemi aura tôt fait de jeter bas le masque et de se révéler désagréablement à eux.
L'association demandait chaque année si l'on avait constaté quelqu'impact sur des musulmans dans son entourage. Pour ma part, je n'en connaissais aucun dans un Luxembourg qui a jusqu'ici beaucoup moins accueilli d'immigrés musulmans que les quatre pays voisins.
Or, voici que, par un concours de circonstances, je réussis au cours de l'été 2001 à trouver avec l'aide de Nadine une adresse e-mail comportant notre patronyme dans son orthographe kabyle. Intrigué, je contactai avec force prudence la personne concernée qui se révéla une jeune cousine germaine d'Alger. C'était la première fois que je nouais un contact personnel direct avec un membre de ma famille paternelle.
Par l'entremise de cette cousine, mes soeurs purent entrer en contact avec le plus jeune frère de mon père qui vivait à Paris depuis douze ans et que j'avais connu, petit garçon d'un an de moins que moi, dans le village d'Aït Boumahdi, au pied du Djurdjura.
Nous étions convenus de nous rencontrer lui et sa femme, mes soeurs et moi, à la Toussaint 2001.
J'appréhendais cette rencontre ... à cause de l'islam. J'imaginais cette citadelle dressant ses hauts murs entre eux et nous et entravant une communion fraternelle.
Mais voici que j'étais au seuil de l'appartement. Comme Larbi avait changé ! Il avait toujours ses yeux bleus vifs mais il avait perdu ses cheveux blonds flamboyants ! Nous avions tant à nous dire, à nous raconter et à apprendre l'un de l'autre après 34 ans !
Et voici que, au cours de la conversation, Laura ne put s'empêcher d'émailler ses observations de mots aussi peu neutres que "grâce" et "providence". Mis en confiance, notre oncle nous révéla alors qu'il était devenu chrétien à Alger, qu'il y avait fréquenté une église pentecôtisante dans la mouvance d'une célèbre église coréenne. Je ne sais quel sentiment l'emportait en moi de l'étonnement abasourdi et de la joie rayonnante.
Comme le Seigneur nous avait conduit sur des voies parallèles ! Mon oncle avait même suivi le même type d'études que moi. Et sa femme avait elle aussi "Jésus dans son coeur", selon sa belle expression.
Puis, le Seigneur continua à ouvrir les portes si longtemps closes. A l'automne 2002, je fis la connaissance d'une soeur aînée de mon père qui vit en Belgique depuis 34 ans et de cinq cousines ... catholiques !
Tout cela est si extraordinaire. Ceux qui étaient si loin me sont maintenant si proches ! Comment ne pas voir la main du Seigneur sur nos vies ?
Je termine à ce sujet par une vision que j'avais eue plusieurs fois. Je voyais sur la Méditerranée des nuages rouges massifs, aussi imposants en hauteur qu'en longueur. Ils attendaient de couvrir les côtes d'Algérie pour y faire puissamment pleuvoir l'Esprit, comme jamais dans toute l'histoire du pays.
in http://webplaza.pt.lu/public/crojy/B/djibrail21.html
D'abord de manière confuse et émotionnelle en tant qu'enfant avec la peur de la circoncision à laquelle je dois sans doute à mon retour en France avant l'âge de sept ans d'avoir échappé.
Puis, au fur et à mesure que la connaissance de Jésus s'approfondit en moi, je compris l'ampleur de l'opposition au plan de salut au travers du sang de l'agneau de Dieu que constitue cette forteresse spirituelle.
A la différence de l'ancien testament (Psaume 2, verset 7, par exemple), le Coran nie farouchement, obsessionnellement que Dieu ait un Fils (sourates 2-116, 6-101, 9-30, 10-68, 17-111, 18-4, 19-92, 21-26, 25-2, 39-4, 72-3). Or, Jean nous met clairement en garde dans sa première lettre : "Qui est le menteur sinon celui qui nie que Jésus soit le Christ ? Le voilà l'Antichrist ! Il nie le Père et le Fils. Quiconque nie le Fils ne possède pas non plus le Père. Qui confesse le Fils possède aussi le Père." (2 22-23).
Et il faut aussi savoir que, lors de ses premières révélations, Muhammad vit une apparence d'ange dans du feu qui prétendit s'appeler Djibraïl, le Gabriel de la Bible. Les apparitions de Djibraïl rendaient Muhammad si malade, accablé de force fièvre et de nausées, qu'il pensait au début que Djibraïl était un méchant djinn, nous dirions un démon.
Détail troublant, au début de ses apparitions, Djibraïl dit à Muhammad qu'il était venu lui révéler la véritable Bible parce que Juifs et Chrétiens l'avait falsifiée. Rapproché du début de la lettre aux Galates : "Eh bien ! si nous-même ou quelqu'ange venu du ciel vous proclamait un évangile différent de celui que nous vous avons annoncé, qu'il soit maudit ! (1-8)", cet épisode décisif rend superflu tout commentaire.
Un jour de juin 1998 que je priais avec mes collègues dans le lieu de recueillement du Parlement européen, j'eus la vision d'une rivière coulant impétueusement à l'endroit d'une petite cataracte. Une main approcha une cruche en terre cuite décorée à la façon des poteries d'Afrique du nord et la remplit d'eau jusqu'à ras bord. Et il me fut donné de comprendre que Dieu s'apprêtait à intervenir chez les peuples musulmans, à les remplir de l'Esprit et à leur donner part au salut en Jésus-Christ.
Par la suite, j'eus l'occasion de connaître une association chrétienne implantée dans le Dauphiné qui, en liaison avec un mouvement mondial d'intercession, édite un livret de prière qui, pendant chaque jour de ramadan, cible une région du monde sous l'emprise de l'islam pour qu'elle puisse s'ouvrir à l'Evangile. Je m'y joignis avec un enthousiasme que tempéra bien vite une sinistre expérience. Il me suffisait de commencer cette intercession pour que je sois envahi de tentations et de pensées glauques d'une brutalité indicible. Chaque année, il en alla de même.
Je conseille à ceux qui doutent de l'existence de satan qu'ils fassent l'expérience d'intercéder plusieurs jours très précisément pour que des nations musulmanes découvrent le salut en Jésus. L'ennemi aura tôt fait de jeter bas le masque et de se révéler désagréablement à eux.
L'association demandait chaque année si l'on avait constaté quelqu'impact sur des musulmans dans son entourage. Pour ma part, je n'en connaissais aucun dans un Luxembourg qui a jusqu'ici beaucoup moins accueilli d'immigrés musulmans que les quatre pays voisins.
Or, voici que, par un concours de circonstances, je réussis au cours de l'été 2001 à trouver avec l'aide de Nadine une adresse e-mail comportant notre patronyme dans son orthographe kabyle. Intrigué, je contactai avec force prudence la personne concernée qui se révéla une jeune cousine germaine d'Alger. C'était la première fois que je nouais un contact personnel direct avec un membre de ma famille paternelle.
Par l'entremise de cette cousine, mes soeurs purent entrer en contact avec le plus jeune frère de mon père qui vivait à Paris depuis douze ans et que j'avais connu, petit garçon d'un an de moins que moi, dans le village d'Aït Boumahdi, au pied du Djurdjura.
Nous étions convenus de nous rencontrer lui et sa femme, mes soeurs et moi, à la Toussaint 2001.
J'appréhendais cette rencontre ... à cause de l'islam. J'imaginais cette citadelle dressant ses hauts murs entre eux et nous et entravant une communion fraternelle.
Mais voici que j'étais au seuil de l'appartement. Comme Larbi avait changé ! Il avait toujours ses yeux bleus vifs mais il avait perdu ses cheveux blonds flamboyants ! Nous avions tant à nous dire, à nous raconter et à apprendre l'un de l'autre après 34 ans !
Et voici que, au cours de la conversation, Laura ne put s'empêcher d'émailler ses observations de mots aussi peu neutres que "grâce" et "providence". Mis en confiance, notre oncle nous révéla alors qu'il était devenu chrétien à Alger, qu'il y avait fréquenté une église pentecôtisante dans la mouvance d'une célèbre église coréenne. Je ne sais quel sentiment l'emportait en moi de l'étonnement abasourdi et de la joie rayonnante.
Comme le Seigneur nous avait conduit sur des voies parallèles ! Mon oncle avait même suivi le même type d'études que moi. Et sa femme avait elle aussi "Jésus dans son coeur", selon sa belle expression.
Puis, le Seigneur continua à ouvrir les portes si longtemps closes. A l'automne 2002, je fis la connaissance d'une soeur aînée de mon père qui vit en Belgique depuis 34 ans et de cinq cousines ... catholiques !
Tout cela est si extraordinaire. Ceux qui étaient si loin me sont maintenant si proches ! Comment ne pas voir la main du Seigneur sur nos vies ?
Je termine à ce sujet par une vision que j'avais eue plusieurs fois. Je voyais sur la Méditerranée des nuages rouges massifs, aussi imposants en hauteur qu'en longueur. Ils attendaient de couvrir les côtes d'Algérie pour y faire puissamment pleuvoir l'Esprit, comme jamais dans toute l'histoire du pays.
in http://webplaza.pt.lu/public/crojy/B/djibrail21.html
- kate
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Ecrit le 23 mai04, 05:13
Jésus ma donné une raison pour vivre
« Où est Dieu ? Pourquoi ne se montre-t-Il pas ? Comment est-Il ? Que peut-II faire pour moi? ».
Dès mon enfance, ces questions me poursuivaient. Le jour où j'avais questionné ma mère. Elle avait répondu seulement : « Dieu existe... et II punit le mal ». Ces paroles m'avaient inquiété, car j'étais né avec un bras paralysé et me demandais avec angoisse pourquoi Dieu m'avait puni ainsi. Par la suite, ma mère avait tenté de me rassurer en disant que ce n'étaient que les personnes de douze ans et plus que Dieu châtiait. Comment, en effet, ma chère maman, qui était très ignorante elle-même, aurait elle pu fournir de meilleures explications ? II faut dire que j'étais né dans une famille kabyle, de religion musulmane, au Nord de l'Algérie. Nous étions assez pratiquants pour respecter l'Aïd-le-Kébir et le Ramadan; j'avais aussi été circoncis. Donc, tout semblait en ordre du côté religion et en France, où nous étions venus habiter, nous menions aussi une vie satisfaisante du point de vue matériel. Alors pourquoi n'étais-je pas heureux ?
Je n'avais que cinq ans lorsque j'eus ma première crise d'épilepsie. J'en garde un souvenir particulièrement vivace et pénible. Je cueillais des fleurs dans un pré lorsque je perdis subitement connaissance et me retrouvai à l'hôpital. On me raconta plus tard que, sans l'intervention rapide d'un voisin, je serais tombé dans un fossé profond. J'en étais désormais réduit à prendre des doses répétées de médicaments. Hélas, mon premier traitement devint vite inefficace. Les drogues ne guérissaient pas mon mal, c'était tout juste si elles en atténuaient les symptômes. Je me sentais très malheureux, humilié de mon état. Un jour, dans un moment de découragement extrême, j'avalai le contenu de plusieurs tubes de comprimés à la fois. Naïvement. je croyais qu'une très forte dose de médicament pourrait me guérir d'un coup. En tout cas, je me dis : « Maintenant je guéris, ou je meurs !»
Pendant une semaine je demeurai plongé dans un coma profond, puis, lentement, je revins à la vie. J'avais compris la folie de mon acte, et j'étais prêt à affronter à nouveau mon existence, mais au plus profond de moi-même j'aspirais à une vie et à un monde meilleurs, j'avais toujours soif de Dieu ! Aussi, lorsque deux personnes se disant chrétiennes vinrent me visiter dans le centre médico-social où j'étais soigné, je leur prêtai une oreille attentive. Toutefois, je ne tardai pas à découvrir que leur «christianisme» n'était qu'une forme de religiosité un peu originale, qui, pas plus que ma propre religion, ne pouvait satisfaire mon coeur. Ces personnes prétendaient croire tout l'enseignement de la Bible, mais elles tenaient à me faire lire toutes sortes de livres et leurs périodiques, sauf précisément cette bible sur laquelle elles disaient fonder leur croyance.
Vers la fin de mes quatorze ans, je retournai chez moi, dans un petit hameau forestier. L'un des habitants de cet hameau, un musulman qui me connaissait depuis longtemps, m'apprit que son collègue de travail, un forestier, lui parlait souvent de ce qu'il appelait « les choses de Dieu ». -- II aimerait sûrement discuter avec toi, dit-il. Tu devrais aller le voir.
Dès le lendemain, je me présentai donc, muni d'un de mes livres « chrétiens », auprès de ce forestier. Je fus très bien accueilli, mais lorsque je lui posai des questions sur mon « livre » mon nouvel ami me le retira sans dire un mot, puis me remit un volume intitulé ,« la Sainte Bible ». Le voilà donc, enfin, ce fameux livre dont j'avais entendu parler, mais que je n'avais pas lu. Nous discutâmes pendant plus de trois heures, je fus retenu à dîner, puis je retournai chez moi, serrant sous le bras la précieuse Bible, que mon hôte m'avait offerte, après y avoir inscrit ce texte : « Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées, voici, toutes choses sont devenues nouvelles " (1).
Sur le chemin de retour d'autres versets me revinrent à esprit, dont celui-ci : « Le salaire du péché, c'est la mort, mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ, notre Seigneur » (2). Dès cet instant je compris ma situation devant Dieu, je vis que j'étais perdu à cause de mon péché, qui me séparait de Lui. mon coeur fut aussi touché par la bonté et l'amour de Dieu, qui voulait donner, gratuitement, le salut que ne pourrais jamais mériter ni gagner. Seul JESUS-CHRIST pouvait me redonner une raison de vivre et la seule chose qu'Il me demandât était de me détourner du péché, par la repentance qui vient du coeur, et de recevoir personnellement Jésus, le Sauveur, envoyé par Dieu pour que je puisse être sauvé, ainsi que tous les autres humains, tous pécheurs comme moi. Sur ce chemin du retour, peu avant mon arrivée à la maison, toutes choses prirent un autre sens dans ma vie. Je reçus comme une nouvelle conscience. Je compris soudain que ma vraie patrie, ce n'était ni la France, ni l'Algérie, ni aucun autre pays de cette terre où le malheur abonde, mais le ciel, lieu merveilleux où règne le Dieu qui m'aime et m'accepte tel que je suis, à cause de Jésus, qui a payé pour mes fautes.
Je ne pourrais, évidemment, raconter toutes les expériences de cette nouvelle vie qui est la mienne depuis des années maintenant. Mon récit deviendrait bien trop long. Je tiens à dire quand même combien je suis heureux dans mes rapports avec d'autres chrétiens et chrétiennes. Mes anciens amis algériens et français se moquaient de moi quand je leur parlais de ma vie changée et de mon nouveau bonheur en Jésus et, petit à petit, me faisaient comprendre qu'ils ne me considéraient plus comme un des leurs. Je cherchais donc la compagnie d'autres hommes et femmes qui, comme moi, aimaient le Seigneur Jésus. Aujourd'hui, je suis très encouragé de connaître des Algériens et des Français qui sont tous un en Christ. Nous nous réunissons pour l'adoration, la prière et l'étude de la Bible ; le lien qui nous unit est solide et durable; car nous puisons force et joie dans cette communion avec le Seigneur Jésus et nous nous aimons les uns les autres d'un amour qui cherche à donner plus qu'à recevoir.
Les questions qui me tracassaient tant quand j'étais petit ont trouvé leur réponse. Demandez-moi : « Où est Dieu ? », et je réponds : « Dieu est au ciel, mais II est aussi près de moi;, en la personne de Jésus » ; ou « Pourquoi ne se montre-t-Il pas ? », je dis : « Parce que le péché met une barrière entre Dieu et les hommes pécheurs, mais II se laisse trouver par tous ceux qui Le cherchent sincèrement. II s'est révélé à mon coeur par Jésus, et y habite pour toujours par Son Esprit ». Et si vous voulez savoir ce qu'ils peut faire pour vous. j'affirme avec une pleine conviction : « II m'a. sauvé et changé, II a fait de moi un être nouveau, Il conduit ma vie, Il me rend heureux. Voilà ce qu'Il peut et veut faire pour vous aussi. Que faut-il de plus ? ».
« Où est Dieu ? Pourquoi ne se montre-t-Il pas ? Comment est-Il ? Que peut-II faire pour moi? ».
Dès mon enfance, ces questions me poursuivaient. Le jour où j'avais questionné ma mère. Elle avait répondu seulement : « Dieu existe... et II punit le mal ». Ces paroles m'avaient inquiété, car j'étais né avec un bras paralysé et me demandais avec angoisse pourquoi Dieu m'avait puni ainsi. Par la suite, ma mère avait tenté de me rassurer en disant que ce n'étaient que les personnes de douze ans et plus que Dieu châtiait. Comment, en effet, ma chère maman, qui était très ignorante elle-même, aurait elle pu fournir de meilleures explications ? II faut dire que j'étais né dans une famille kabyle, de religion musulmane, au Nord de l'Algérie. Nous étions assez pratiquants pour respecter l'Aïd-le-Kébir et le Ramadan; j'avais aussi été circoncis. Donc, tout semblait en ordre du côté religion et en France, où nous étions venus habiter, nous menions aussi une vie satisfaisante du point de vue matériel. Alors pourquoi n'étais-je pas heureux ?
Je n'avais que cinq ans lorsque j'eus ma première crise d'épilepsie. J'en garde un souvenir particulièrement vivace et pénible. Je cueillais des fleurs dans un pré lorsque je perdis subitement connaissance et me retrouvai à l'hôpital. On me raconta plus tard que, sans l'intervention rapide d'un voisin, je serais tombé dans un fossé profond. J'en étais désormais réduit à prendre des doses répétées de médicaments. Hélas, mon premier traitement devint vite inefficace. Les drogues ne guérissaient pas mon mal, c'était tout juste si elles en atténuaient les symptômes. Je me sentais très malheureux, humilié de mon état. Un jour, dans un moment de découragement extrême, j'avalai le contenu de plusieurs tubes de comprimés à la fois. Naïvement. je croyais qu'une très forte dose de médicament pourrait me guérir d'un coup. En tout cas, je me dis : « Maintenant je guéris, ou je meurs !»
Pendant une semaine je demeurai plongé dans un coma profond, puis, lentement, je revins à la vie. J'avais compris la folie de mon acte, et j'étais prêt à affronter à nouveau mon existence, mais au plus profond de moi-même j'aspirais à une vie et à un monde meilleurs, j'avais toujours soif de Dieu ! Aussi, lorsque deux personnes se disant chrétiennes vinrent me visiter dans le centre médico-social où j'étais soigné, je leur prêtai une oreille attentive. Toutefois, je ne tardai pas à découvrir que leur «christianisme» n'était qu'une forme de religiosité un peu originale, qui, pas plus que ma propre religion, ne pouvait satisfaire mon coeur. Ces personnes prétendaient croire tout l'enseignement de la Bible, mais elles tenaient à me faire lire toutes sortes de livres et leurs périodiques, sauf précisément cette bible sur laquelle elles disaient fonder leur croyance.
Vers la fin de mes quatorze ans, je retournai chez moi, dans un petit hameau forestier. L'un des habitants de cet hameau, un musulman qui me connaissait depuis longtemps, m'apprit que son collègue de travail, un forestier, lui parlait souvent de ce qu'il appelait « les choses de Dieu ». -- II aimerait sûrement discuter avec toi, dit-il. Tu devrais aller le voir.
Dès le lendemain, je me présentai donc, muni d'un de mes livres « chrétiens », auprès de ce forestier. Je fus très bien accueilli, mais lorsque je lui posai des questions sur mon « livre » mon nouvel ami me le retira sans dire un mot, puis me remit un volume intitulé ,« la Sainte Bible ». Le voilà donc, enfin, ce fameux livre dont j'avais entendu parler, mais que je n'avais pas lu. Nous discutâmes pendant plus de trois heures, je fus retenu à dîner, puis je retournai chez moi, serrant sous le bras la précieuse Bible, que mon hôte m'avait offerte, après y avoir inscrit ce texte : « Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées, voici, toutes choses sont devenues nouvelles " (1).
Sur le chemin de retour d'autres versets me revinrent à esprit, dont celui-ci : « Le salaire du péché, c'est la mort, mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ, notre Seigneur » (2). Dès cet instant je compris ma situation devant Dieu, je vis que j'étais perdu à cause de mon péché, qui me séparait de Lui. mon coeur fut aussi touché par la bonté et l'amour de Dieu, qui voulait donner, gratuitement, le salut que ne pourrais jamais mériter ni gagner. Seul JESUS-CHRIST pouvait me redonner une raison de vivre et la seule chose qu'Il me demandât était de me détourner du péché, par la repentance qui vient du coeur, et de recevoir personnellement Jésus, le Sauveur, envoyé par Dieu pour que je puisse être sauvé, ainsi que tous les autres humains, tous pécheurs comme moi. Sur ce chemin du retour, peu avant mon arrivée à la maison, toutes choses prirent un autre sens dans ma vie. Je reçus comme une nouvelle conscience. Je compris soudain que ma vraie patrie, ce n'était ni la France, ni l'Algérie, ni aucun autre pays de cette terre où le malheur abonde, mais le ciel, lieu merveilleux où règne le Dieu qui m'aime et m'accepte tel que je suis, à cause de Jésus, qui a payé pour mes fautes.
Je ne pourrais, évidemment, raconter toutes les expériences de cette nouvelle vie qui est la mienne depuis des années maintenant. Mon récit deviendrait bien trop long. Je tiens à dire quand même combien je suis heureux dans mes rapports avec d'autres chrétiens et chrétiennes. Mes anciens amis algériens et français se moquaient de moi quand je leur parlais de ma vie changée et de mon nouveau bonheur en Jésus et, petit à petit, me faisaient comprendre qu'ils ne me considéraient plus comme un des leurs. Je cherchais donc la compagnie d'autres hommes et femmes qui, comme moi, aimaient le Seigneur Jésus. Aujourd'hui, je suis très encouragé de connaître des Algériens et des Français qui sont tous un en Christ. Nous nous réunissons pour l'adoration, la prière et l'étude de la Bible ; le lien qui nous unit est solide et durable; car nous puisons force et joie dans cette communion avec le Seigneur Jésus et nous nous aimons les uns les autres d'un amour qui cherche à donner plus qu'à recevoir.
Les questions qui me tracassaient tant quand j'étais petit ont trouvé leur réponse. Demandez-moi : « Où est Dieu ? », et je réponds : « Dieu est au ciel, mais II est aussi près de moi;, en la personne de Jésus » ; ou « Pourquoi ne se montre-t-Il pas ? », je dis : « Parce que le péché met une barrière entre Dieu et les hommes pécheurs, mais II se laisse trouver par tous ceux qui Le cherchent sincèrement. II s'est révélé à mon coeur par Jésus, et y habite pour toujours par Son Esprit ». Et si vous voulez savoir ce qu'ils peut faire pour vous. j'affirme avec une pleine conviction : « II m'a. sauvé et changé, II a fait de moi un être nouveau, Il conduit ma vie, Il me rend heureux. Voilà ce qu'Il peut et veut faire pour vous aussi. Que faut-il de plus ? ».
- issa
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Ecrit le 23 mai04, 15:01
mouais dans un sens tu as raison m=ais ces copier coller ne sont pas innocent en fait de temoignage il tente egalement de critiquer l islam par les "dires" des nonveau convertit,ce pour quoi je reponds meme si cela restera lettre morte aupres de nos "amis" cependant si deja une personne "sincere" lit les reponses et est convaincue du fait que l isma n est pas mauvais comme voudrait le faire croire nos "amis" j aurai deja gagner
- kate
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Ecrit le 23 mai04, 20:51
QUI SERA CONTRE NOUS?
Je suis Algérien, je vis en Algérie et je suis marié, père de quatre enfants. Je suis né dans une famille musulmane pratiquante. Lorsque j'avais 10 ans, ma mère demanda à un couple chrétien qu'elle connaissait de m'accepter à 'l'Ecole du Dimanche'. Cette 'école' groupait une dizaine d'enfants, les jeudis et les dimanches. Nous nous réunissons autour de la Bible; pour en apprendre les belles histoires, et aussi pour prier ensemble. Il y avait aussi des travaux manuels, des jeux et concours. J'aimais ces classes, toutes ces occupations me plaisaient, j'y participais avec beaucoup d'ardeur et j'étais un bon élève. Les beaux récits de la Bible, la prise de Jéricho et le combat entre Goliath, le géant, et le petit berger David par exemple, captivaient mon imagination. Quant à l'évangile de Jésus-Christ, en me familiarisant pendant quelques années avec cet enseignement nouveau pour moi, je comprenais peu à peu que j'étais personnellement concerné, que ce n'était pas seulement une question de connaissances, d'intelligence et de mémoire. Les paroles du Christ étaient bien plus que cela, elles demandaient de ma part un engagement. A partir de 1966 j'approfondissais mes notions bibliques au moyen des cours bibliques de l'E.R.B. J'apprenais énormément de cette façon; près de chez moi il y avait aussi une chrétienne algérienne qui m'encourageait à suivre la voie de Christ.
Mais plusieurs questions me préoccupaient: l'évangile de la Bible était-il la vérité? Comment savoir si Jésus-Christ était vraiment MORT pour nos péchés? Chez nous on dit que Jésus est venu pour les Occidentaux. Moise pour les Juifs et Mohammed pour les Arabes. Comment avoir une certitude sur Dieu, sur Jésus, comment savoir sans aucune erreur possible ce qu'il faut croire, qui il faut suivre? Un verset de la Bible ne me léchait plus: "Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il a la vie éternelle" (évangile selon Jean, chap 3 verset 16).
"Dieu est un et n'enfante pas", disait ma religion. J'avais beaucoup de mal à saisir et accepter la notion de Jésus "fils" de Dieu. Après une année de lutte intérieure je compris que c'est une notion spirituelle, qui n'a rien à voir avec une filiation charnelle, avec la sexualité, et qu'il n'y a pas plusieurs 'dieux' dans la Bible. Non, c'est Dieu Lui-même, l'Unique, qui est venu parmi les hommes, qui s'est incarné en la personne de Jésus. Aucun prophète est né d'une vierge, seul Jésus a pu naître de cette façon miraculeuse. Aucun prophète n'a vécu sur la terre comme Jésus-Christ, sans commettre le moindre péché. Seul Jésus, SANS péché pouvait prendre sur Lui le péché de l'humanité. Lors d'une retraite avec des chrétiens, en 1968, j'ai fait le pas, je suis enfin allé au Christ avec le fardeau de MON péché; j'ai décidé de croire en Lui, de Le suivre et de Le servir. Je me suis CONVERTI.
Ma nouvelle foi n'a pas été comprise tout de suite par tout le monde. Il y avait de la méfiance dans mon entourage et j'ai même été questionné sur mes convictions chrétiennes, mais le Seigneur m'a délivré et protégé. "Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous?" , dit la Bible.
Aujourd'hui je peux vivre tranquille, avec ma famille. On me respecte. On sait que je suis chrétien, mais on sait aussi que je suis sérieux, qu'on ne me verra pas dans les cafés, que je m'efforce de rendre service, de faire un bon travail. Je prie Dieu de m'affermir dans la foi, de m'aider à être un bon citoyen et un bon ouvrier.
Que Dieu garde sous Sa main protectrice notre magnifique pays et que la paix soit avec vous, chers lecteurs!
Hamid
Je suis Algérien, je vis en Algérie et je suis marié, père de quatre enfants. Je suis né dans une famille musulmane pratiquante. Lorsque j'avais 10 ans, ma mère demanda à un couple chrétien qu'elle connaissait de m'accepter à 'l'Ecole du Dimanche'. Cette 'école' groupait une dizaine d'enfants, les jeudis et les dimanches. Nous nous réunissons autour de la Bible; pour en apprendre les belles histoires, et aussi pour prier ensemble. Il y avait aussi des travaux manuels, des jeux et concours. J'aimais ces classes, toutes ces occupations me plaisaient, j'y participais avec beaucoup d'ardeur et j'étais un bon élève. Les beaux récits de la Bible, la prise de Jéricho et le combat entre Goliath, le géant, et le petit berger David par exemple, captivaient mon imagination. Quant à l'évangile de Jésus-Christ, en me familiarisant pendant quelques années avec cet enseignement nouveau pour moi, je comprenais peu à peu que j'étais personnellement concerné, que ce n'était pas seulement une question de connaissances, d'intelligence et de mémoire. Les paroles du Christ étaient bien plus que cela, elles demandaient de ma part un engagement. A partir de 1966 j'approfondissais mes notions bibliques au moyen des cours bibliques de l'E.R.B. J'apprenais énormément de cette façon; près de chez moi il y avait aussi une chrétienne algérienne qui m'encourageait à suivre la voie de Christ.
Mais plusieurs questions me préoccupaient: l'évangile de la Bible était-il la vérité? Comment savoir si Jésus-Christ était vraiment MORT pour nos péchés? Chez nous on dit que Jésus est venu pour les Occidentaux. Moise pour les Juifs et Mohammed pour les Arabes. Comment avoir une certitude sur Dieu, sur Jésus, comment savoir sans aucune erreur possible ce qu'il faut croire, qui il faut suivre? Un verset de la Bible ne me léchait plus: "Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il a la vie éternelle" (évangile selon Jean, chap 3 verset 16).
"Dieu est un et n'enfante pas", disait ma religion. J'avais beaucoup de mal à saisir et accepter la notion de Jésus "fils" de Dieu. Après une année de lutte intérieure je compris que c'est une notion spirituelle, qui n'a rien à voir avec une filiation charnelle, avec la sexualité, et qu'il n'y a pas plusieurs 'dieux' dans la Bible. Non, c'est Dieu Lui-même, l'Unique, qui est venu parmi les hommes, qui s'est incarné en la personne de Jésus. Aucun prophète est né d'une vierge, seul Jésus a pu naître de cette façon miraculeuse. Aucun prophète n'a vécu sur la terre comme Jésus-Christ, sans commettre le moindre péché. Seul Jésus, SANS péché pouvait prendre sur Lui le péché de l'humanité. Lors d'une retraite avec des chrétiens, en 1968, j'ai fait le pas, je suis enfin allé au Christ avec le fardeau de MON péché; j'ai décidé de croire en Lui, de Le suivre et de Le servir. Je me suis CONVERTI.
Ma nouvelle foi n'a pas été comprise tout de suite par tout le monde. Il y avait de la méfiance dans mon entourage et j'ai même été questionné sur mes convictions chrétiennes, mais le Seigneur m'a délivré et protégé. "Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous?" , dit la Bible.
Aujourd'hui je peux vivre tranquille, avec ma famille. On me respecte. On sait que je suis chrétien, mais on sait aussi que je suis sérieux, qu'on ne me verra pas dans les cafés, que je m'efforce de rendre service, de faire un bon travail. Je prie Dieu de m'affermir dans la foi, de m'aider à être un bon citoyen et un bon ouvrier.
Que Dieu garde sous Sa main protectrice notre magnifique pays et que la paix soit avec vous, chers lecteurs!
Hamid
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Ecrit le 23 mai04, 21:49
T'es bien toi aussi ! Il me semble bien, que Issa a aussi fait de même dans une autre discussion.Ryuujin a écrit :pas la peine de chercher à argumenter Issa : ce topic est réservé aux témoignages ( j'en vois pas l'intérêt, mais bon, si certains aiment faire des copier-coller, autant qu'ils s'amusent ici ).
Qui commence avec les copié collé de conversions ? Issa
Et après on se plaint que d'autres font des "copier-collé" aussi de conversions dans l'autre sens ?
On fait quoi alors à ton avis ? On lit, on approuve, on croit, on se tait et on ne dit rien ?
J'en ai pas collé, mais il suffit de faire le tour d'internet pour voir qu'il y en a dans tous les sens des conversions.
Comme tu dis quel intérêt ? Mais qui l'a commencé et dans quel but ?
C'est le tipe de justifications, justifiant l'Islam, qui ne justifient rien car le contraire est vrai également.
Amicalement
- issa
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Ecrit le 23 mai04, 22:49
la difference est qu ici ce sont des "copier coler brute" sans aucune argumentation la differene avec mon postes c est que mes copier coller de "conversions" entrent dans le cadre d une discussion et d un argumentaire dont le sujet est "le sabre de l islam" et qui vise ,je le rappelle a refuter l affirmation des orientalistes (et reprises par les islamomphobe de tout poil) que l islam ,la religion,la foi s est propagée par le sabre voila la grosse difference entre les copier coller ci present et ceux de "mon" poste "le sabre de l islam"
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