ronronladouceur a écrit : ↑18 oct.22, 13:53
Ce n'est pas l'impression que vous créez... Vous donnez plutôt à penser que vous jugez, vous fiant à ce que vous croyez ou pensez croire de l'
esprit du Christ...
Je fais sa volonté, pas la mienne, lorsque j'écris ici.
En vérité, il s'écoulera maintenant autant de temps que lorsqu'un enfant nait au monde, il puisse entrer à la maternelle, soit 3 années, avec moins de la moitié d'une année de plus, avant que le retour de notre grand Dieu de gloire advienne.
En effet, la grâce de Dieu s'est révélée comme une source de salut pour tous les hommes. Elle nous éduque et nous amène à nous détourner de tout mépris de Dieu et à rejeter les passions des gens de ce monde.
Ainsi menons nous dans le temps présent une vie équilibrée, juste et pleine de respect pour Dieu en attendant que se réalise notre bienheureuse espérance, la révélation de la gloire de Jésus-Christ, notre grand Dieu et Sauveur, son retour promis pour venir enlever les siens, afin que nous soyons pour toujours avec Lui et tous nos frères ses saints et nos compagnons de route, qui ont suivi le même chemin sur terre, sans la crainte d'une fin qui puisse emplir nos cœurs de tristesse en voyant son jour s'approcher, puisque ce sera pour l'éternité.
Il s'est livré lui-même en rançon pour nous, afin de nous délivrer de l'injustice sous toutes ses formes et de faire de nous, en nous purifiant de toutes iniquités, un peuple qui lui appartienne et qui mette toute son ardeur à accomplir des œuvres bonnes, à vivre pour Lui dans la foi, l'espérance et l'amour, le temps qu'il reste à chacun à vivre dans ce monde jusqu'à son retour dans la gloire de son Père.
Paul écrivit à Tite en terminant sa lettre : «
Voilà ce que tu dois enseigner, dans quel sens il te faut encourager et reprendre les gens. Fais-le avec une pleine autorité. Que personne ne te traite avec mépris ».
Ce dont sont emplis nos cœurs, c'est notre bouche qui le révèle, par nos paroles, nos écrits. Jésus, notre Emmanu'El Glorieux, a comparé et compare toujours le cœur à un trésor. Il l'est en effet, puisque c'est dans ce lieu sacré qu'il vient faire sa demeure en nous, le Royaume de Dieu à l'intérieur de nous, le trône où il vient siéger pour régner en nous, remplissant tout notre être de sa présence intérieure et le revêtant.
Lorsqu'il enseigna ce qu'était le blasphème contre le Saint Esprit, il dit :
«
Quiconque parlera contre le Fils de l'homme, il lui sera pardonné; mais quiconque parlera contre le Saint-Esprit, il ne lui sera pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir. Ou dites que l'arbre est bon et que son fruit est bon, ou dites que l'arbre est mauvais et que son fruit est mauvais; car on connaît l'arbre par le fruit. Races de vipères, comment pourriez-vous dire de bonnes choses, méchants comme vous l'êtes? Car c'est de l'abondance du cœur que la bouche parle. L'homme bon tire de bonnes choses de son bon trésor, et l'homme méchant tire de mauvaises choses de son mauvais trésor. Je vous le dis : au jour du jugement, les hommes rendront compte de toute parole vaine qu'ils auront proférée. Car par tes paroles tu seras justifié, et par tes paroles tu seras condamné » Matthieu 12.
Il désigne ici le cœur comme étant le bon trésor, celui de l'homme bon, ou le mauvais trésor, celui de l'homme méchant, ainsi chaque homme rendra compte de toute parole vaine qu'il aura proférée au jour du jugement. Il ne dit pas : au jour du jugement dernier, où personne ne rendra compte de rien, ce jugement sera le verdict rendu puisque c'est le jugement
dernier, ce mot indiquant donc qu'un autre le précède, le premier, et c'est le jugement selon la justice : celui qui fait de nous des élus pour le jour de l'enlèvement, ou des non élus.
Jésus dit encore à la foule, à propos des paroles qui sortent de notre bouche, après que les pharisiens et les scribes lui aient demandé pourquoi ses disciples transgressaient la tradition des anciens car ils ne se lavaient pas les mains quand ils prenaient leurs repas, ce à quoi il leur répondit qu'ils transgressaient pour leur part le commandement de Dieu au profit de leur tradition, Jésus donc leur dit encore :
«
Ecoutez, et comprenez : Ce n'est pas ce qui entre dans la bouche qui souille l'homme; mais ce qui sort de la bouche, c'est ce qui souille l'homme. Alors ses disciples s'approchèrent, et lui dirent: Sais-tu que les pharisiens ont été scandalisés des paroles qu'ils ont entendues? Il répondit : Toute plante que n'a pas plantée mon Père céleste sera déracinée. Laissez-les : ce sont des aveugles qui conduisent des aveugles; si un aveugle conduit un aveugle, ils tomberont tous deux dans une fosse.
Pierre, prenant la parole, lui dit : Explique-nous cette parabole. Et Jésus dit : Vous aussi, êtes-vous encore sans intelligence ? Ne comprenez-vous pas que tout ce qui entre dans la bouche va dans le ventre, puis est jeté dans les lieux secrets ? Mais ce qui sort de la bouche vient du cœur, et c'est ce qui souille l'homme. Car c'est du cœur que viennent les mauvaises pensées, les meurtres, les adultères, les débauches, les vols, les faux témoignages, les calomnies. Voilà les choses qui souillent l'homme ; mais manger sans s'être lavé les mains, cela ne souille point l'homme ».
Que personne ne m'accuse pour ma part de mauvaises pensées injustes comme des injures ou des insultes, de calomnies, ou autres choses de semblable, car ce serait un faux témoignage : aucun de mes écrits depuis deux mois hier que je suis ici ne peut en attester, et en l'absence de preuves, il s'agit donc bien d'un faux témoignage. Ce que quelqu'un peut détester en moi, au travers de mes écrits et donc de mes paroles, c'est en vérité Jésus-Christ qui vit en moi, dans mon coeur et tout l'être qu'il a fait de moi, qu'il déteste, car je ne vis que par lui et pour lui qui parle en moi et par lequel je m'exprime. Comme je l'ai dit à maintes reprises dans divers topics : sans Lui, je ne suis rien ; les siens s'abaissent, diminuent, disparaissent (l'ego), afin que Lui s'élève en eux et les remplisse de toute sa plénitude.
Voilà ce que nous devons rappeler (nous, les élus), dans quel sens il nous faut encourager et reprendre les gens avec une pleine autorité, celle de Christ en nous, dans notre cœur et tout l'être qu'il a fait de nous, à sa ressemblance. Que personne ne nous traite avec mépris, car ce qu'il nous ferait en le faisant, c'est à Jésus qui vit dans chacun de ses petits qui ont cru en lui et qu'il a revêtus de lui, qu'il le ferait.
Maintenant, au regard du temps qu'il me reste à vivre dans la chair et dans ce monde, et dont j'ai reçu la confirmation ce matin car le Seigneur n'est pas à renier ce qu'il a déjà annoncé, je vais consacrer ce temps à l'édification de mes frères en Christ dans mon assemblée première où de nouveaux venus entrent, en vue de l'avènement de notre Seigneur Dieu. Je ne disparais pas d'ici, cependant je n'aurai plus de temps à consacrer aux discussions qui demeurent stériles, c'est à dire sans porter de fruit : si quelqu'un veut entendre, il entend, si quelqu'un ne le veut pas, il n'entend pas, chacun est responsable de lui-même, de ses paroles et de ses actes, et en premier lieu, de ses choix.
Matthieu 24 : "
Aussitôt après ces jours de détresse, le soleil s'obscurcira, la lune ne donnera plus sa lumière, les étoiles tomberont du ciel, et les puissances des cieux seront ébranlées. Alors le signe du Fils de l'homme paraîtra dans le ciel, toutes les tribus de la terre se lamenteront, et elles verront le Fils de l'homme venant sur les nuées du ciel avec puissance et une grande gloire. Il enverra ses anges avec la trompette retentissante, et ils rassembleront ses élus des quatre vents, d'une extrémité des cieux à l'autre. Instruisez-vous par une comparaison tirée du figuier. Dès que ses branches deviennent tendres, et que les feuilles poussent, vous savez que l'été est proche. De même, quand vous verrez toutes ces choses, sachez que le Fils de l'homme est proche, à la porte. Je vous le dis en vérité, cette génération * ne passera point, que tout cela n'arrive. Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point".
* : la génération méchante et adultère (qui vit selon la chair et les passions des gens de ce monde, et non selon l'Esprit, le Seigneur).