Définition du mot "racisme" ???

[Forum-Interreligieux]

Nous vous invitons, Éliaqim et moi, à sortir vos dictionnaires encyclopédiques, vos Petits Larousse Illustrés, vos dictionnaire de l'enseignement, etc., etc., etc.

Le but est de définire, entre-nous, laquelle interprétation que ce forum devrait donner au mot "racisme". Par la suite, les résultats de cet exercice sera utilisé pour y formuler un nouveau règlement du Forum Chrétien & Inter-Religieux francophones.

Répondre à cette question-ci: Laquelle définiton est à apporter à mot "racisme" ?

[Franck]

C'est un mot qui ne devrait pas existé, même pas dans le dico.

[Mickael Keul]

Le Racisme est une théorie, fondée sur un préjugé, selon laquelle il existerait des races humaines qui présenteraient des différences biologiques justifiant des rapports de domination entre elles et des comportements de rejet ou d'agression. C'est une croyance pseudo-scientifique en la supériorité d'un groupe humain, définie comme une race, sur tous les autres. Le racisme est la haine d'un de ces groupes humains. Il mène à l' intolérance des autres peuples.
Dans le langage courant, le terme "racisme" se rapporte le plus souvent à la xénophobie et à la ségrégation sociale qui en sont les manifestations les plus évidentes.

[Gabriel Ange]

Mais ce mot est utilisé non seulement concernant la race mais aussi suivant l'option politique ou de système, la croyance religieuse et la langue et bien entendu la condition sociale et même la civilisation différente entre blanc ex: Caucasiens VS Slaves

[Forum-Interreligieux]

Je répondrai donc moi-même, à ma propre question ainsi:


Selon mon amie de femme qui n'est même pas une Chrétienne, la Swami Sergine, qui a étudié aussi soit dit en passant, la théologie du Rite de l'Orthodoxie Grec. Elle défini le racisme ainsi:

"Le racisme c'est ce qui part de l'endans de la personne et qui à l'exterieure de soi pour rejeter la couleur de la peau, les yeux, les cheveux, le nez, tout le physique, et l'esprit, et l'âme de l'autre qui est face à soi. Y incluant sa spiritualité, et son développement et sa lumière et son rythme, sa vibration."

Et mon Pasteur à l'église se matin me disait que le racisme se définit aussi ainsi:

"Le racisme c'est aussi lorsque l'on nierait qu'un groupe homogène de personnes devront prouver qu'ils sont dignent de l'amour et de la grâce du Seigneur juste à cause de leur race ou de leur nationnalité.

[Forum-Interreligieux]

Ou bien encore, toute utilisation de la "speudo-science" par égard à la "race" Juifs, Israelite, hébraique, orthodoxe, Mosaique, etc.

[desertdweller]

Selon mon amie de femme qui n'est même pas une Chrétienne, la Swami Sergine, qui a étudié aussi soit dit en passant, la théologie du Rite de l'Orthodoxie Grec. Elle défini le racisme ainsi:

Moi je n'en connais qu'une qui a "une amie de femme" Swami.
Alors Cocotte on se paye des clones?

[septour]

LE RACISME C'EST CROIRE QUE NOUS SOMMES SEPARÉS,C'EST CROIRE QUE L'AUTRE CE N'EST PAS VOUS. SEPTOUR

[IIuowolus]

Racisme n.m.
Idéologie qui affirme la supériorité d'un groupe sur un autre, en préconisant la séparations "ségrégation" ou l'élimination "génocides"
© Larousse 1997

Ethymologie:
Calquer de l'allemand vers 1930
© Larousse 1938

Sémantique:
Déglutition ou aphèrése des mots Race (Espéces humaine) et Schisme(séparation)
Littéralement on peux lire; séparation des espéces humaines.

Le sens originel:
Le racisme n'est pas tant que l'on sois pour ou contre un raçe,
le racisme défini des activités bonne ou mauvaise d'on le but est de diviser les communautés.

le sens générale:
Putativement on admets qu'un personne raciste et une personne qui tiends des propos discriminatoire.

le sens causale:
Mais plus généralement un raciste et une personne qui manque de respect.
Il n'utilise pas seulement la couleur d'une personnes pour la dénigrer.
Mais aussi la manières d'êtres, les comportements, son travail,etc...

Moralité:
le racisme et un forme de jalousie lier à l'Elitisme
Alors que tout forme de supériorité physique, physique, et mentale
n'est purement spéculative. L'idéale du genre humaine serrat plutot
du genre eugénique ou communautaire.

Conclusion:

Le racisme à son importance c'est un thermomêtre de la société ou un indice de qualité de vie.
Quand tout va bien on se dit que les gens cons et intelligents sont représenter en nombres égale sur terre.
Qu'une théorie en vaux un autres, et que tout théorie et démontable part son antithése.
Bref quand tout va bien on as le temps de phylosopher et de faire des samalécum
ou d'entrainer son côté affable.

Quand c'est la crise, il faut passée à l'action.
Tout les belles théories et phylosophie tombent à l'eau.
C'est la porte ouverte au beau parleur.
Ceux qui vous fonds miroité des veau d'or et mille merveille
alors que nous savons que c'est des espoir vain.
qu'il conduise à la ségrégation ou à des génocides.
Mais enséduisant les plus ignorant, en cultivant la peur de l'étranger
et l'incompétence de l'état ses gens balaie large et remporte toujours
un grands suffrage.

C'est pour ça que le thermométre et important.

(Vous pouvez constatez la recrudescence d'actes racistes
ainsi que la dégradations de l'ambiance sociale et de la qualité de vie
lier à des notions d'insécurité et de protectionisme. )

[Arcadia]

Salut à tous,

Concernant le racisme, voici mon avis ou ma définition.

La différence incite à l’incompréhension,

l’incompréhension à la méfiance, l

La méfiance au rejet,

le rejet à la haine,

la haine à la violence.

Pour moi le racisme est le rejet de tout ce qui différent de nous, le mot racisme est forcément associé à l’ostracisme.

L’homme, par sa nature, tout en essayant de se différencier des autres, a besoin de se reconnaître, pour se rassurer, au sein d’un groupe. C’est ce que l’on appelle le « phénomène d’appartenance à un groupe. »

Uns fois qu’il s’est identifié à un groupe, d’une façon générale, il rejettera tous groupes différents au sien, c’est une défense, puisque forcément son manque d’humilité lui fera dire que son groupe est le meilleur.

On parle de Racisme, mais je pense que le Phénomène est plus général. Un breton ayant mal à partir avec un normand dira « Ces normands tous des c…. » Et le contraire bien sur. L’action d’un homme, lui fait rejeter et condamner l’ensemble.

Donc pour en revenir au racisme, qui concerne la différence entre race par définition.

Entre la couleur de la peau, la religion, la façon de manger, de se vêtir etc.. etc… Autant de choses représentant autant de différences, représente autant d’incompréhensions et de rejet, par la force des choses.

Regardons sur ce Forum, Dieu merci sans en faire une généralité, on ressent dans beaucoup d’interventions, la défense du groupe de l’intervenant et son rejet par rapport aux autres groupes, et quelques fois limite haine. Nous sommes dans un forum virtuel, autrement certains en viendraient aux mains.

Je crois que sans le défendre, que c’est un phénomène humain. Chacun de nous, pouvant contrer ce sentiment de rejet par la tolérance.

Mais cette tolérance ne pourra s’acquérir que par l’analyse de nous même et l’autocritique de soi, ce qui n’est pas toujours évident.


Amitiés.

[InfoHay1915]

Le déni d'un génocide, c'est vouloir tuer une deuxième fois. C'est un racisme qui se pousse lui-même au crime.

On l'a vu avec l'assassinat de Hrant Dink (1954-2007) https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Hrant_Dink

Les turco-racistes ne supportent pas que des descendants de survivants puissent témoigner, sur le nettoyage ethnique en table rase qui avait été organisé par le Gouvernement Jeune-Turc de l'Empire ottoman. https://www.imprescriptible.fr/documents/archives/

Les Arméniens étaient les autochtones du Haut-Plateau arménien.



Alors que les Ottomans, en séjournant en Anatolie occidentale non loin de Constantinople, puis passant en Macédoine par le Détroit des Dardanelles, avaient assimilé la gouvernance byzantine. On rappelle que Byzance se prenait pour la 2ème Rome et méprisait les Chrétiens orientaux -dont les Arabes chrétiens.

Aujourd'hui les derniers autochtones restants sont les Kurdes. De même il y a un turco-mépris à l'encontre des Kurdes.

Sans parler de l'archarnement d'Ankara à vouloir détruire les anciennes églises arméniennes :
~ http://armenianweekly.com/wp-content/up ... 38moks.jpg
~ https://paara.am/wp-content/uploads/2013/04/HHPKA57.jpg
#1633

[indian]

https://www.cnrtl.fr/definition/racisme

RACISME, subst. masc.
A. −
1. Ensemble de théories et de croyances qui établissent une hiérarchie entre les races, entre les ethnies.
− En partic. Doctrine politique fondée sur le droit pour une race (dite pure et supérieure) d'en dominer d'autres, et sur le devoir de soumettre les intérêts des individus à ceux de la race. Le socialisme consiste à mettre le bien dans les vaincus, et le racisme dans les vainqueurs (S. Weil, Pesanteur, 1943, p. 176).Ces hurlements contre la raison et contre l'homme et ces cultes baroques du bel animal, du fauve blond et de la terre, le racisme et le nazisme sont néanmoins les produits inéluctables et absolument nécessaires de la philosophie naturaliste (J. Vuillemin, Essai signif. mort, 1949, p. 285):
1. ... actuellement les partisans extrémistes du racisme en Allemagne, ceux qui veulent revenir à une religion nationale et raciale, − nordique, − antérieure au christianisme, nourrissent pour le Saint-Empire la même aversion que pour le christianisme lui-même. Mais d'autre part cependant, c'est bien par la notion du Saint-Empire, matérialisée et devenue le privilège d'un peuple naturellement élu, que l'idéal politique du racisme germanique a chance de pénétrer aujourd'hui d'autres couches de la population allemande... Maritain, Human. intégr., 1936, p. 158.
2. Attitude d'hostilité pouvant aller jusqu'à la violence, et de mépris envers des individus appartenant à une race, à une ethnie différente généralement ressentie comme inférieure. Racisme anti-juif. Le grand passage. Ce western de King Vidor est conforme à l'imagerie des années trente. Le racisme anti-indien, à l'époque, allait de soi (Le Point, 11 déc. 1978, p. 39, col. 3):
2. Difficile pour un garçon ou une fille de 1984 de croire que le but assigné à leurs pères en uniforme était de faire entrer de force dans la nation française dix millions de personnes (vingt millions aujourd'hui) qui prenaient une conscience de plus en plus nette de leur identité. Ils ne voient que trop, trente ans après, un racisme croissant se hérisser contre ces mêmes Algériens, ressentis décidément comme « différents », et les mêmes hommes parfois qui voulaient les intégrer réclamer à grands cris leur renvoi dans leur pays. Le Monde, 27 oct. 1984, p. 2, col. 1.
B. − P. anal.
1. Attitude d'hostilité de principe et de rejet envers une catégorie de personnes. Racisme xénophobe; racisme sexuel. Réponse du ministre de l'Intérieur au cours d'une conférence de presse: « Une nation qui doute de sa police est une nation fragile. Si le racisme anti-policiers devait se perpétuer, c'est rapidement le gouvernement tout entier qui serait atteint » (Le Point, 12 sept. 1977, p. 89, col. 2).Les uns et les autres (...) parlent avec une colère identique et profonde du prix des loyers, de l'horreur solitaire des chambres de bonne, des services d'ordre des concerts, du racisme anti-jeunes, du chômage (Le Nouvel Observateur, 12 déc. 1977, p. 59, col. 1).
2. Sentiment d'hostilité de principe envers quelque chose. Existe-t-il ailleurs que chez nous cette sorte de racisme intellectuel qui inspire à chaque famille d'esprits le désir de brimer ses rivales et de les dominer? (Mauriac, Bâillon dén., 1945, p. 447).(Un homme et une femme). (...) Une palme d'or au Festival de Cannes et quelques autres récompenses ont provoqué naguère une réaction de racisme anti-succès à l'égard de cette pathétique romance (Le Point, 19 juill. 1976, p. 7, col. 3).
Prononc.: [ʀasism̭]. Étymol. et Hist. 1902 (A. Maybon, in R. blanche, n o223, 15 sept., p. 146-8 ds Quem. DDL t. 15). Dér. de race*; suff. -isme*. Fréq. abs. littér.: 19. Bbg. Antoine (G.). Liberté, égalité, fraternité... Paris, 1981, p. 119. − Dub. Dér. 1962, p. 36. − Jacquard (A.). Cf. Bbg. race. − Maulnier (Th.). Le Sens des mots. Paris, 1976, pp. 191-192. − Quem. DDL t. 26. − Taguieff (P.-A.). Les Présuppositions définitionnelles d'un indéfinissable : « le racisme ». MOTS. 1984, n o8, pp. 73-105; La Force du préjugé: essai sur le racisme et ses doubles. Paris, 1988, 644 p

[Saint Glinglin]

En quoi est-il raciste de vouloir vivre chez soi ?

[Pat1633]

Est si un Adricain
Venais vous voir directement et qu’il voudrais te parler …

« Que ferais tu? »

Révélation 7:9
9 Après cela, j’ai vu, et regardez ! une grande foule que personne ne pouvait compter, des gens de toutes nations et tribus et peuples et langues. Ils se tenaient debout devant le trône et devant l’Agneau, vêtus de longues robes blanches ; et ils avaient des feuilles de palmiers à la main.

Pour qu’ils sois parmis « La grande foule »
Ils faut qu’ils ai été prêché pour commencer et c’est encore ce que dit :

Matthieu 24:14
Et cette bonne nouvelle du Royaume sera prêchée sur toute la terre, en témoignage pour toutes les nations, et alors viendra la fin.

Avoir des pensées ou paroles raciste, n’est pas digne d’un Chretien, la bible nous aident à nous libérer des menottes de l’esclavage qu’est d’haïr son prochain …

[Saint Glinglin]

Selon Jésus, il existe des peuples différents. Donc Jésus est raciste.