Il n'y avait jamais vécu.Jean Moulin a écrit :Et il avait oublié comment étaient les toits en Palestine ?
C'est pourtant un fait admis. Officiellement, Luc était un disciple de Paul, lequel est censé avoir évangélisé les Romains.De toute façon, l'évangile de Luc n'a pas été écrit en Italie.
Nous avons même un cortège funéraire romain :
Lc 7.12 Lorsqu'il fut près de la porte de la ville, voici, on portait en terre un mort, fils unique de sa mère, qui était veuve; et il y avait avec elle beaucoup de gens de la ville.
Pas selon moi mais selon Marc 2.4 :Donc, selon tes dires les gens ont passé deux heures au moins à faire un trou dans un toit terrasse (faisant tomber des gravas sur les gens situés en dessous) assez grand pour faire passer une personne sur une civière ? C'est de la science fiction ton truc. C'est vraiment "une mauvaise excuse", qui s'appelle aussi "excuse foireuse".
Comme ils ne pouvaient l'aborder, à cause de la foule, ils découvrirent le toit de la maison où il était, et ils descendirent par cette ouverture le lit sur lequel le paralytique était couché.
Et Luc a trouvé cela aussi foireux que toi.
Luc est postérieur à Marc, à Matthieu, et à un tas d'autres :Qui, lui-même n'avait pas encore écrit son évangile au moment où Luc a écrit le sien.
Plusieurs ayant entrepris de composer un récit des événements qui se sont accomplis parmi nous,
(...) il m'a aussi semblé bon, après avoir fait des recherches exactes sur toutes ces choses depuis leur origine, de te les exposer par écrit d'une manière suivie, excellent Théophile,
Lc 1.1-3
L'Ancien Testament.Mais au fait, Marc a lu qui pour écrire son évangile ? (loll)
Il y a une différence de récit dont l'origine est la mauvaise transcription d'un mot latin.Tu veux nous faire croire quoi, là ? Qu'il y a une erreur parce que Marc cite le nombre de personnes qui transportaient le paralytique et pas Matthieu ?
La tempête vient du psaume 107 :Il ne peut pas y avoir de tempêtes sur une mer intérieure ?
107.26 Ils montaient vers les cieux, ils descendaient dans l'abîme; Leur âme était éperdue en face du danger;
107.27 Saisis de vertige, ils chancelaient comme un homme ivre, Et toute leur habileté était anéantie.
107.28 Dans leur détresse, ils crièrent à l'Éternel, Et il les délivra de leurs angoisses;
107.29 Il arrêta la tempête, ramena le calme, Et les ondes se turent.
107.30 Ils se réjouirent de ce qu'elles s'étaient apaisées, Et l'Éternel les conduisit au port désiré.
Mais tu appelles spontanément ces embarcations des barques.Puis je te rappelle qu'aujourd'hui encore en méditérrannée, nombre de pêcheurs ont des barques de la même taille, voir même plus petites, que celles dont disposaient les apôtres de Jésus sur la mer de Galilée. La différence c'est qu'au lieu de rames et d'une voile, ils ont un moteur.
Certaines disposent même toujours d'une voile. Et, ce n'est pas du tout une hérésie d'appeler ces embarcations des bateaux.
[img(400px,286px)]https://ae01.alicdn.com/kf/HTB1iBJ4gL1T ... pg_Q90.jpg[/img]Un navire, c'est autre chose :
Et selon le Bailly :
https://bailly.app/ploion
πλοῖον, ου (τὸ) navire :
I en gén. HDT. 1, 168 ; ESCHL. Sept. 601, etc. ; défini par un adj. : πλ. ἁλιευτικόν, XÉN. An. 7, 1, 20, bateau de pêche ; πλ. ἱππαγωγά, HDT. 6, 48, vaisseaux de transport ; πλ. μακρά, HDT. 5, 30 ; THC. 1, 14, vaisseaux longs ou navires de guerre ; πλ. στρογγύλα ou φορτηγικά, XÉN. Hell. 5, 1, 21, bateaux ronds ou marchands, etc. ;