Et lui, t'aime-t-il ?
Laisse-t-il par ci par là des petits diamant, des jolis mots doux, qui te touchent ?
Te serre-t-il dans ses forts bras d'amour où il fait bon se laisser aller ?
Te défend-t-il contre ceux qui t'agressent ?
Et lui, t'aime-t-il ?
1/ oui
Très bien dit. Je partage tout à fait cette vision des choses.lafrisée a écrit : ↑14 nov.22, 20:10 Pour détecter "le personnage", qui est en chacun de nous, pour ma part ça a été une grosse déchirure, une perte difficile, un deuil. Car lorsqu'on s'identifie au personnage, on se sent "vivant", "fort" et exalté de vie, en quelque sorte.
C'est l'ego qui donne cette illusion.
Et quand on repère le jeu des émotions en nous, on se rend compte que ce qu'on prenait pour de la force est en réalité le pouvoir qu'ont pris sur nous les émotions, et que nous sommes traversés par des émotions qui font semblant de nous rendre vivant, qui nous obligent à une course en avant incessante, vers la joie, le plaisir, la volupté, le pouvoir, l'argent.
Et lorsque l'on se rend compte qu'en fait nous sommes des marionnettes, la chute est difficile à vivre et à accepter, car il ne reste plus rien, qu'un grand vide, un champ de ruine en quelque sorte.
Mais imperceptiblement, au moment-même où cette angoisse fondamentale nous empêche presque de respirer tellement le choc de la découverte est violent, imperceptiblement nous sommes amenés à découvrir d'autres choses, qui viennent remplir le vide, des "révélations intimes", en quelque sorte, indicibles.
Sans le vide, rien ne peut prendre place.
(mon avis)
Tout le monde a un personnage, d6p7. Même Jésus-christ en avait un. C'est ce qu'on appelle "l'incarnation".d6p7 a écrit :
Tu n'écoute donc pas ce que je dis... Pourquoi ne lis-tu pas ce que j'écris ? Je viens de te dire que je me connaissais, que je n'avais pas de personnage comme toi.
Je connais ton Cœur, tout comme je "vois" ton personnage, et la différence est flagrante.Tu fais la sourde oreille, et ne réponds pas à ce que je dis, tu ne me vois qu'au travers de ce que tu en dis, de ce que tu penses...
J'écoute ton personnage, et j'aime ce qu'il y a ton Cœur, c'est à dire ton "vrai toi". C'est à lui que je voudrais m'adresser, mais c'est ton personnage qui intercepte le message.Tu n'écoutes donc pas l'autre, et tu prétends l'aimer ? Je te le dis, si tu ne vois pas l'autre parce que tu ne le connais pas, tu ne l'aimes pas.
Exact. Le problème, c'est que tu crois TE connaître alors que tu connais seulement ton personnage. Zt comme tu t'identifies complètement à lui, alors ton mental te fait croire que c'est toi. Tu crois donc te connaître alors que ce n'est pas le cas.Car la personne qui se connaît pas dit des choses pour elle.
Je t'écoute avec plaisir, et je te réponds avec plaisir aussi. Je te parle de choses spirituelles, mais tu les reçois mentalement, intellectuellement. C'est précisément pour cette raison que tu as l'impression que je n'explique pas les choses. Tu veux tout comprendre avec ton mental alors que les choses spirituelles se comprennent avec le Cœur.Non, tu ne peux pas dire les choses... car je te répète, il faut des faits pour ça, chez toi les faits sont absents, tu n'expliques pas les choses, sinon "tu es dans ton personnage" etc. sans donc nullement expliquer tes propos, je te l'ai déjà dit, mais tu n'écoutes pas.
Je suis mort crucifié avec Jésus, et je suis ressuscité avec Christ, mon Seigneur.J'ai très bien conscience d'avoir compris ce qu'a dit Jésus parce que je le vis moi-même en symbiose avec lui, toi qui ne connais pas Jésus personnellement parce que tu n'es pas mort crucifiés en croix avec lui (comme Sophia je crois pour qui elle c'est le cas) tu ne sauras pas vraiment ce qu'il a pu dire.
Je ne vois ici aucune polémique. Seulement une discussion entre deux personnages, l'un étant en roue-libre, complètement livré à lui-même, er l'autre s'exprimant sous l'autorité de son être véritable.Grosso modo, cette "discussion" se passe dans la polémique suivante : ce que vous essayez de retrouver est votre nature d'antan, votre nature d'"enfant", ce que j'appelle une régression. Comme certains chrétiens qui disent qu'on doit revenir à comment étaient Adam et Eve avant le péché. C'est méconnaitre le sacrifice du Christ. Car en lui nous sommes bien plus excellents pour ce que nous devenons en lui après la résurrection.
Tu vois, d6p7, cette façon de s'exprimer, tranchante, vindicative, accusatoire, c'est précisément le résultat de ce que j'appelle ta "susceptibilité".Je ne suis pas susceptible, je reprends le mal là où il est pour vous, Sophia m'avait fait le même reproche ; et non, moi je ne suis pas comme vous, me connaissant je peux reprendre l'autre pour ce qu'il est sur la base de faits (comme tout l'heure à l'égard de la sincérité finalement tu étais d'accord avec moi reconnaissant implicitement ton mal donc) ce que toi tu ne fais pas, tu ne fais seulement qu'un jugement de principe pour te complaire en ta réalité illusoire. Ce n'est pas étonnant, car tu n'as pas de réalité, voulant te débarrasser de ton personnage je te dis, tu te crées un réalité factice qui ne prend nullement compte de la réalité des faits.
Je t'invite à relire ce que tu viens d'écrire, car c'est très vrai. (sauf les 5 premiers mots )Tu joue sur les mots, je sais qu'on communique avec un personnage dans la mesure où s'il est en rapport avec le mental ce sera avec les mots, et cela ne veut pas dire que c'est nous.
Sophia te manque ? C'est normal, elle est si attachante.Non, si tu ne comprends pas mon propos dans ce que je viens de te dire, c'est que tu ne connais pas Dieu, et je suis sûr que Sophia comprend très bien ce que je veux dire par là, elle m'aurait donner raison, et elle aurait été d'accord, donc si elle n'est pas été hypocrite elle le reconnaitra elle-même.
Reprenons pour la 3ème fois : Je T'aime, d6p7, de l'amour le plus puissant qui existe, l'amour divin. Et toi, d6p7, ressens-tu de l'amour pour moi ?Car nous en avions déjà parlé ensemble, c'est pour ça que je dis ça avec un tel aplomb, et elle avait approuvé se réjouissant avec moi. C'est que Dieu nous connaît oui en notre for intérieur, au plus profond de nous-même, parce qu'il nous dit la vérité sur nous avant d'y installer sa demeure. Ainsi, il nous connaît oui, car nous avons une relation intime avec lui.
Donc, mon amour n'est pas en toi, non, car je ne te connais pas ; et ton amour n'est pas en moi, surtout pas.
Juste une chose importante ici : lorsque la pensée a surgit dans ton esprit de m'écrire ces mots "tu es bien trop orgueilleux", n'y a-t-il pas eu une petite voix qui t'a murmuré à l'oreille que d'écrire ce genre de chose pourrait se retourner contre toi ? C'est la voix de ta conscience, et tu devrais l'écouter davantage.Tu n'as rien à faire, tu es bien trop orgueilleux pour ne pas comprendre que tu n'as rien à faire pour moi
pas comprendre que tu n'as rien à faire pour moi.
Donc tu confirmes que je ne peux rien faire pour toi. Et en même temps tu me reproches de ne pas t'aimer "en actes". Tu es un peu difficile à suivre parfois.Cette manière de psychanalyser est triste... elle m'a fait rire au départ, car je suis surpris par tant de bêtises, puis elle m'a fait triste pour toi. Tu vois mon malheur, dis-tu, ou ma tristesse ? Tu es qui pour ça ? Où est-elle ? Qui t'as dit que tu pouvais faire quoi que ce soit ?
Attends, je relis ce paragraphe... ton orgueil... une fiction... te complaire... juger l'autre... une abstraction... Ah ! Voilà ! La fin est intéressante : "tu te crois meilleur que les autres".Non, je ne fais pas ça... tu crois seulement que je fais ça, mais tu n'as rien pour le dire... sinon ton orgueil pour avancer des choses qui n'existent pas car tu n'as aucun faits pour les dire. Tu vis donc dans une fiction où tu t'imagines des choses, où tu es incapable de converser avec l'autre sans te complaire dans des allusions abstraites sans fondement qui te servent à juger l'autre sans aucune déclaration de faits. Je te le dis, tu vis dans une abstraction que tu t'es construite, et dans laquelle, bien entendu, tu te crois meilleur que les autres.
Euh... On n'a pas déjà parlé de ça ? Tu demandes des actes, et en même temps tu dis que je ne peux rien faire pour toi. C'est ce qu'on appelle une "injonction paradoxale".C'est exactement comme quand tu dis d'aimer sans le prouver par des actes, là tu condamnes l'autre sans le prouver par des actes.
Très bonne réflexion, d6p7 ! Tellement bonne que pour une fois je n'ai rien à y redire. C'est sûrement que je n'ai pas un discernement aussi affûté que celui de Jésus-Christ, et que je suis si naïf que j'ai encore espoir de franchir la barrière de ton mental pour atteindre ton Cœur. D'autre part, d'autres personnes lisent nos échanges, sans doute en diagonale pour certains, et ils peuvent tirer profit de ce qui est en train de se passer entre toi et moi.De plus, si j'avais besoin d'aide, tu ne pourrais pas le dire comme ça sans être extrêmement intrusif, car je te rappelle (ou te fait découvrir) que le Christ a dit qu'il n'était là que pour ceux qui ont besoin de médecin, autrement dit pour ceux qui savent reconnaître leur malheur.
Je suis certain que Lafrisée est l'objet de l'amour de Dieu c'est la première chose qui m'est apparue à la suite du message où elle nous ouvrait de ses doutes avec tant d'humanité. Et lorsque je la vois dans le découragement, alors oui, j'ai très envie se la serrer contre mon cœur. Je lui ai déjà laissé un petit mot d'amour hier matin, je crois, et elle me l'a bien rendu. (encore merci, chère amie ).
Oui aime là car je l'ai sentie défaitiste à se sentir en si bonne santé alors qu'elle n'a qu'une envie, celle de mourir.gzabirji a écrit : ↑15 nov.22, 05:23 ...
Je suis certain que Lafrisée est l'objet de l'amour de Dieu c'est la première chose qui m'est apparue à la suite du message où elle nous ouvrait de ses doutes avec tant d'humanité. Et lorsque je la vois dans le découragement, alors oui, j'ai très envie se la serrer contre mon cœur. Je lui ai déjà laissé un petit mot d'amour hier matin, je crois, et elle me l'a bien rendu. (encore merci, chère amie ).
C'est le chemin normal Lafrisée, l'ego, lorsqu'il s'efface, nous fait sentir totalement nu, vide, mais ce que tu es, toi, ton vrai Toi, ce que tu es dans ton coeur, aspire à vivre éternellement, même si tu ne le ressens pas encore. Je me souviens avoir connu trois jours et trois nuits de vide total, je n'ai pas de mots pour décrire exactement ce que je vivais dans mon coeur qui était brisé, comme mourant. En vérité, j'ai compris plus tard que c'était ce que l'on appelle dans le Christianisme : la circoncision du coeur, qui va te permettre de vivre et marcher selon l'Esprit, ton Seigneur, ton Soi, le vrai, et non plus selon le personnage. A l'issue du troisième jour, un très cher ami, n'ayant pas de nouvelles et s'en inquiétant, est venu me voir, j'étais restée trois jours sans manger, il m'a emmenée au restaurant, m'a parlé et parlé encore, et le lendemain, je me sentais beaucoup mieux, même si j'avais le sentiment d'être aussi fragile qu'un petit enfant dans un corps d'adulte. J'ai lâché prise, j'ai laissé faire, en parlant constamment à Jésus. Lâche prise, laisse faire, sans chercher à gérer la situation, et parle lui, à Jésus ou à ton coeur.lafrisée a écrit : ↑15 nov.22, 02:38 Mon personnage est vide, à nu, sec et il n'aspire qu'à la mort ; aussi la santé ne me paraît pas une chose si importante, car je souhaite mourir, et ce depuis longtemps, et avoir un corps en bonne santé est un obstacle à la mort ;
Que ce soit avec ou sans le personnage, la lassitude de la vie est toujours là.
C'est aussi ce que je pense et que j'ai maintes fois exprimé... On a enrobé Jésus de mythe pour masquer son ''personnage''...
Le coeur est simplement recouvert... Il est notre part d'éternité, à l'image et ressemblance... Il ne peut être perdu...... personne n'est meilleur qu'un autre. C'est la base de mon enseignement : la "non-dualité". J'affirme depuis le début que le "vrai soi", c'est le Cœur, et qu'il est divin. Et j'affirme que c'est le cas pour TOUS les humains, passés, présents et à venir. Un Cœur divin ne peut absolument pas être être "meilleur" qu'un autre. Il est donc absolument impossible que je me croie meilleur qu'un autre, ça irait directement à l'encontre de ce que je vis.
je te rappelle que c'est toi qui m'as demandé de te dire si tu es éveillé ou non. J'ai simplement accédé à ta demande.dragon blanc a écrit : ↑15 nov.22, 03:48 Bonjour à vous gzabirji.
Oui nous sommes dans le direct...
Moi je le suis...
Souvenez vous de ce que vous disiez avant... celui qui pointe se voit la main...
Non, pas du tout, Dragon, bien au contraire. Je ne sais pas quelle est cette manière d'aimer dont l'Esprit serait incapable, mais si tu veux m'en dire plus là-dessus, je t'écoute attentivement.Moi je vous aime d'une façon que vous même ne pouvez vous aimer... Cela vous paraît-t-il incongru ?
Le personnage est constitué essentiellement du corps physique et du mental. Le seul moyen de le "démolir", c'est la mort physique, biologique.Et je rajouterai ceci:
Nul d'entre vous ne pourra démolir son personnage !
Pourquoi ?
Par ce que sans celui-ci, vous ne pourriez même comprendre ce que vous êtes, sinon être dans l'espace et vous regarder sans rien ressentir de vous.
Faire grandir l'énergie, je peux le concevoir, mais la matière ?Faire UN n'est pas de se laisser envahir par qui ou quoi que se soit mais bien de s'unir !
Prendre conscience de ce que nous sommes oui, mais aussi de faire grandir ce que nous sommes et par conséquent, de pouvoir le faire en soi et par ce que nous sommes... Matière et énergie.
Oui, là j'arrive à te suivre.Ce monde n'est pas une prison comme un geôlier nous empêcherait de liberté.
Il est un endroit où nous avons cette chance de nous affranchir et de grandir en prenant conscience de ce que nous sommes... et lié avec toutes vie ici.
Oui !!! Exactement !!Et parlant de maître de monde, celui qui vit dans ses pensées interprétera ce qu'il a lu et non ce qu'il a expérimenté...
Et pourtant, beaucoup l'ont fait, le font et le feront encore. Non pas "démolir" mais "démonter, dépouiller", ôter les feuilles de l'artichaut une par une, le voir tel qu'il est, mis en face de lui ainsi en face de la vérité, celle que nous avons refusé de voir si souvent auparavant.
Si l'on considère que le corps physique est l'enveloppe visible du personnage, alors comprend : Jésus est mort à la chair, son enveloppe physique visible est morte. Il est ressuscité dans un corps que personne ne reconnaissait à première vue puisque Thomas a dû le toucher, voir ses pieds et ses mains, pour le croire, que c'était bien lui, après quoi, il lui a dit : Mon Seigneur et mon Dieu.ronronladouceur a écrit : ↑15 nov.22, 05:34 C'est aussi ce que je pense et que j'ai maintes fois exprimé... On a enrobé Jésus de mythe pour masquer son ''personnage''...
Je ne crois pas en cet épisode de Thomas...SophiaSofia a écrit : ↑15 nov.22, 05:55 Si l'on considère que le corps physique est l'enveloppe visible du personnage, alors comprend : Jésus est mort à la chair, son enveloppe physique visible est morte. Il est ressuscité dans un corps que personne ne reconnaissait à première vue puisque Thomas a dû le toucher, voir ses pieds et ses mains, pour le croire, que c'était bien lui, après quoi, il lui a dit : Mon Seigneur et mon Dieu.
La santé, ce n'est pas seulement le corps, Prisca.
Si c'est son souhait, alors j'espère bien être là pour elle.Au moins chaque jour elle pourra venir dans le forum avec l'idée d'entendre des mots d'amour, comme tu dis.
J'agis selon mon Cœur, et avec grand plaisir. Je ne sais pas si le mot "dévoué" est le plus approprié, mais pourquoi pas. Il faut quand même préciser que ça ne fonctionne pas à chaque fois. J'ai déclaré ma flamme à Gadoubisse, mais elle a refusé tout net mes avances . J'ai aussi tenté ma chance avec dessisspessette mais pareil : un net refus. Son amour n'est pas en moi, m'a-t-iel dit pudiquement. Ah, et puis il y a aussi Agecanonix pour qui j'ai une affection toute particulière, et il est resté très gentil avec moi. J'le kiffe grave !Tu es un dévoué de ces dames à ce que je vois, c'est bien, tu leur donnes du baume au coeur.
Le très cher ami dont je parle dans le message que j'ai adressé il y a peu de temps à la Frisée, m'en avait parlé, de la souffrance, avant ma naissance de nouveau, en me demandant si je la percevais. Je lui avais répondu que je ne souffrais en aucune manière. Il m'avait répondu : c'est parce que tu ne la vois pas, tu n'en prends pas conscience. Ce qui m'avait laissée très dubitative, or combien il avait raison, combien vivre selon le personnage est une souffrance réelle, bien que nous ne nous en rendions pas compte tant que nous avons la tête dans le guidon, c'est le refus de voir la vérité en face, ou le mensonge à soi-même.gzabirji a écrit : ↑15 nov.22, 05:23
Donc tu confirmes que je ne peux rien faire pour toi. Et en même temps tu me reproches de ne pas t'aimer "en actes". Tu es un peu difficile à suivre parfois.
J'ai écrit que je percevais ta souffrance, oui, c'est vrai. Je n'en connais pas la nature, par contre. Mes "super pouvoirs" ont des limites, mais c'est sûrement parce que je débute.
Tu penses ainsi que tu ressusciteras dans un corps céleste (spirituel) qui ne sera pas celui que tu avais sur terre mais un autre que le tien ?ronronladouceur a écrit : ↑15 nov.22, 06:10
Je ne crois pas non plus à la résurrection de la chair... Si l'épisode de Thomas est à prendre au premier niveau, son corps éclopé n'augure rien de très agréable pour toutes ces âmes décédées ressuscitant dans leur corps éclopé, autrement plus meurtri que celui que présenterait Jésus...
Je n'avais jamais envisagé les choses sous cet angle, de façon aussi "biblique", ma sœur bien-aimée, mais effectivement ça donne à réfléchir. J'attire gentiment ton attention sur le fait que Jésus a défié les lois de la nature avant-même sa mort et sa résurrection. Il pouvait marcher sur l'eau, passer d'une rive à l'autre d'un Lac en un clin d'œil, disparaître au milieu d'une foule, etc. Quant aux disciples, ils avaient des "super pouvoirs" eux aussi, mais selon toi (qui connaît si bien la Bible) dirais-tu qu'ils avaient pour autant revêtu leur corps spirituel ?SophiaSofia a écrit : ↑15 nov.22, 05:55C'est ce même corps céleste que nous attendons, pendant le temps qu'il nous reste à vivre dans la chair (enveloppe du personnage), nous, les croyants en la résurrection de la chair. Je ne peux que dire le mot "croyants", puisque je ne l'ai pas encore expérimentée, mais j'y crois fermement avec pleine conviction dans mon coeur : la foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, une démonstration de celles qu'on ne voit pas. J'ai cette foi absolue et inébranlable qu'il en sera ainsi.
Ah j'adore
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