J'ai omis de te renvoyer ça mon frère
Ajouté 2 minutes 10 secondes après :
ronronladouceur a écrit : ↑24 nov.22, 08:19
C'est un texte qui est l'écho de l'esprit d'un certain temps...
Quant à proposer un mythe comme argument ou justification, ça ne fait pas très sérieux...
Tandis qu'on y est, et pour remettre les choses dans une plus juste perspective, je verrais plutôt l'homme sortir de la femme, ce qui serait plus conforme à la nature... Et un Dieu uniquement mâle ne m'inspire pas trop... C'est peut-être pour ça qu'on l'a imaginé avec la barbe...
En Christ, il n'y aurait ni homme, ni femme... Mais une hiérarchie!
Et, en considérant simplement l'idée que nous sommes UN, je ne vois pas trop comment établir une hiérarchie...
J'aimerais bien un Christ-femme... Un nouveau ciel, une nouvelle terre, une adorable Christelle...
C'est un texte toujours d'actualité.
"Toutefois, dans le Seigneur, la femme n'est point sans l'homme,
ni l'homme sans la femme", dès que tu vivras en Christ, tu auras une merveilleuse Christelle, un nouveau ciel, une nouvelle terre : la naissance de nouveau
Le premier point : avoir la foi en lui, et ce qu'il a dit, ses paroles. Tu peux aussi naître de nouveau à la manière orientale, Gzab est donc ton interlocuteur pour cela, je n'ai pour ma part découvert que c'était identique au Christianisme qu'en l'ayant constaté.
Ajouté 18 minutes 4 secondes après :
gadou_bis a écrit : ↑23 nov.22, 20:05
La bible annonce une joie intérieure de bien différente de la gnose, du bouddhisme, etc...
Elle annonce une personne, une présence, une communication, une communion avec un être aimé.
Ce n'est pas un impersonnel, une fusion dans le grand tout, l'absence de douleur, la négation du temps.
C'est la vie partagée, la communion dans la joie et la souffrance, l'espérance d'un futur merveilleux.
Je n'ai pas répondu à ça : il n'y a aucune souffrance dans la vie en Christ, ni du corps, ni de l'âme puisqu'elle a la vie éternelle, ni d'esprit.
La souffrance chrétienne dont tu parles, c'est celle que nous vivons lorsque nous nous convertissons : le renoncement à soi-même (le personnage), se charger de sa croix pour s'en dépouiller, mourir à soi-même (la mort du vieil homme) dont je suis certaine qu'il a son équivalent dans l'éveil à sa véritable nature, le soi-même étant le personnage, le faux soi-même.
Mourir à soi-même, les chrétiens appellent donc cela avoir été crucifié avec Christ, partageant ses souffrances en esprit. S'ensuit la naissance de nouveau, l'éveil à notre véritable nature, la première résurrection chrétienne, l'homme nouveau en Christ. Ensuite, il n'y a plus aucune souffrance puisque nous sommes conduits par l'Esprit de Dieu, Christ en nous.
Paul lui-même en a témoigné aux Corinthiens : "16
C'est pourquoi nous ne perdons pas courage. Et lors même que notre homme extérieur se détruit, notre homme intérieur se renouvelle de jour en jour. Car nos légères afflictions du moment présent produisent pour nous, au delà de toute mesure, un poids éternel de gloire, parce que nous regardons, non point aux choses visibles, mais à celles qui sont invisibles; car les choses visibles sont passagères, et les invisibles sont éternelles".
Ces légères afflictions dont parle Paul étant celles de nos contradicteurs, qui nous accusent injustement, nous qualifient faussement, etc. Toutefois, parvenus à une certaine mesure de notre stature, cela ne nous fait ni chaud ni froid car cela ne nous atteint pas, c'est du vent qui passe.