Ce qu'il n'est pas possible de prouver scientifiquement un jour, peut l'être un autre.ronronladouceur a écrit : ↑05 déc.22, 11:03 Je comprends la fable, mais même scientifiquement, il n'est pas possible de prouver un commencement...
Vous l'aviez vous-même écrit : ''Dieu est parce que je suis.''
Le simple fait de considérer l'âme éternelle dit de nous que nous sommes de toute éternité...
Pourquoi en faire à sa tête dès lors que, pour l'âme, tout est clair?
J'ai lu avec attention ce message de Lafrisée, qui m'a retenu toute mon attention, je le cite ici :
N'est ce pas ce dont nous parlons ici, un être pourvu de la conscience de lui-même, un éveillé, un né de Dieu ? que nous étions prédéterminés depuis le big bang ? même si je dis pour ma part, comme les premiers apôtres, prédestinés avant la fondation du monde en lieu et place de : prédéterminés depuis le big bang.lafrisée a écrit : ↑30 nov.22, 21:17 la machine que nous sommes est à l'image de Dieu, conçue par Lui, avec des dimensions inconnues actuellement par la science : la délocalisation de la conscience, la mémoire de l'eau, la dimension invisible où la majorité des événements prennent racine.
La science actuellement commence à peine à comprendre certaines choses, en étudiant les phénomènes quantiques, qui, scientifiquement, échappent totalement à toute logique, et qui pourtant sont prouvés.
"Selon Jean Staune, qui vient de publier Jésus. L’enquêtechez Plon, les propos que tient le Christ dans l’Évangile de saint Jean montrent définitivement qu’il n’est pas seulement un homme mais l’incarnation de celui qui est à l’origine de notre Univers. Et les derniers progrès de la science donnent une crédibilité nouvelle à cette affirmation qui a pu paraître absurde pendant deux mille ans."
"Le paradigme de la rationalité classique a été anéanti par le théorème de Gödel qui apporte une forte crédibilité aux témoignages de grands mathématiciens disant qu’ils sont en contact avec « un monde des mathématiques».
L’idée d’une évolution orientée, canalisée ou pouvant se répéter développée respectivement par Denton, Conway-Morris ou de Duve donne une crédibilité scientifique à des intuitions comme celle de Teilhard de Chardin qui avance qu’un être pourvu d’une conscience de lui-même devait apparaître, que nous étions en quelque sorte « attendus» voire même que les nœuds du grand arbre sont « prédéterminés depuis le big bang. »
https://www.cielterrefc.fr/vers-un-mond ... -sciences/
La science peine mais elle semble émerger des ténèbres. Il est évident que si Dieu n'est pas, je ne suis pas, mais si Dieu est, alors je suis, et si Dieu ne s'est pas contenté de demeurer conscience "je suis", mais qu'il s'est formé lui-même un corps, l'être : "je suis celui qui suis", alors je suis celui qui suis, à son image.
Ce n'est donc pas l'âme qui est éternelle, mais l'être entier, conscience et âme, le corps. Avant de venir sur terre, car dans le monde de la matière, l'âme humaine (psuche) est mortelle donc le corps l'est aussi, quand bien même la conscience (l'esprit) ne l'est pas, l'âme est mortelle en tant que psuche. Il lui faut donc chercher, trouver et entrer dans la vie éternelle, la Zoe, pour redevenir comme au commencement.
Je n'en fait pas qu'à ma tête : je suis consciente de ce que je suis sur terre, mortelle, si je n'entre pas dans la Zoe qui est en Christ, Esprit de vie (Zoe) (et j'y suis désormais, parfaitement unie à l'Esprit de Christ), je n'ai pas la vie éternelle.
Ceux qui n'en font donc qu'à leur tête sont ceux qui n'ont pas cette connaissance d'eux-mêmes : de ce qu'ils sont, non conscients d'eux-mêmes.