L'univers, si grand, semble presque infiniment possible.
Ô toi qui sait où je vais et quand j'y vais, toi qui connait la fortune que mon coeur porte.
Léger je me sentais, en vue d'une étoile qui naissait.
Mon pas se fait ressentir, mais dans l'écho du firmament, je la sens se perdre sous une pluie boréale.
Ô peine, toi qui m'accompagne, tu connais bien le fond de mes requêtes.
Ô toi sagesse, toi qui me visite, tu connais le fond de mes requêtes.
Ô toi amour, toi qui me connait, visite-moi plus souvent, car seul avec sagesse et peine, nous semblons prendre fond.
Mon coeur virevolte de haut en bas et de bas en haut, et d'écho tournant de la main gauche vers celle de droite.
Ô toi univers, avec des milliards de milliards de regard, moi petit, rêve toujours de vous plaire.
Oh oui je danse, pas comme vous mes frères et soeurs, Ce rêve ne l'oubliez pas, car vous êtes aurores.
J'ai même invité patience, on joue ensemble dans les nuages du vivant.
Alors, dites moi au grand sage des sages, que me manque-t-il pour revêtir mes plaies ?
Moi qui essaie toujours d'être à nu, frisson s'invite parfois à la danse et inquiétude dans le morceau vibrant.
D'un regard du bout de mes pas, vers l'ancienne étoile qui s'amuse encore dans le parc au centre de l'oeil, un papillon renaissant; L'ouverture féérique aux couleurs inconnues, s'ouvre en nous le moment, qui lui ne demande qu'à s'envoler vers sérénité.
Toi qui connait mes pas, toi qui sait où je vais, dis moi ! Le cap va-t-il bon train ?
J'ai le souffle qui se coupe parfois, comment ne pas voir !
Enrobé de frissons, errant dans l'immensité qui s'obscurcit, l'étoile du matin semble se cacher.
Où est le rayon qui jadis j'enivrait ? Où suis je donc tombé ?
Mon amour, toi qui se fait si grand et si haut, tu mes retiens dans tes bras si chauds; Rapprend moi à voler, rapprend moi ce que c'était la vie qui m'émerveillait. Relassons nos souliers ensemble.
Moi petit pas, qui s'enfarge dans cette peur de décevoir, ouvre moi ta plume, que ma porte s'élève...
Un regard me soulève, mais ta main qui pointe l'horizon elle, m'emporte...
Ô étoile des matins, retrouve moi et recouvre moi.
Que cela se fasse comme le vent qui vient et qui part, car seul et seulement la voie de ton coeur me dira.
Encore merci pour tout ces bagages de merveille, et que dire de l'atome qui vient me toucher...
Merci encore de ta confiance, même si parfois c'en en moi que la confiance se craint !
On se dit à bientôt, même si confiance tu me donnes, frisson m'accompagne avec chaleur et tièdeur.
Au nom d'une rose, où l'abeille se pose, je vous soumet la prose, de ce qui repose...
Étoile, vient vers moi.
- dragon blanc
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Étoile, vient vers moi.
Ecrit le 18 janv.23, 02:29- ronronladouceur
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Re: Étoile, vient vers moi.
Ecrit le 18 janv.23, 08:22Ô toi mon frère, nous qui sommes légion, en nous, sommes légion.
Ô toi qui gravit le chemin harpé et arpenté, charpenté nous sommes.
Une fleur se sent, et ressent l'avenir que l'abeille butine.
Nul doute que les chemins croisés se parlent du temps, un temps ou nous irions.
Soyez donc entendu, dans l'aurore des astres boréales.
Que mon coeur vous appartienne,
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Re: Étoile, vient vers moi.
Ecrit le 21 janv.23, 03:13Il y a un sage qui peut te dire si le cap va bon train, c'est le livre de l'Ecclésiaste.dragon blanc a écrit : ↑18 janv.23, 02:29
Toi qui connait mes pas, toi qui sait où je vais, dis moi ! Le cap va-t-il bon train ?
Un livre plein de sagesse, je loue et rends grâces à Dieu mon Sauveur en Jésus-Christ de m'avoir mis à coeur de revenir vers mon créateur pendant les jours de ma jeunesse, c'est ici le dernier chapitre de ce livre, le 12.
Mais souviens-toi de ton créateur pendant les jours de ta jeunesse,
avant que les jours mauvais arrivent et que les années s'approchent où tu diras : Je n'y prends point de plaisir,
avant que s'obscurcissent le soleil et la lumière, la lune et les étoiles, et que les nuages reviennent après la pluie, temps où les gardiens de la maison tremblent, où les hommes forts se courbent, où celles qui moulent s'arrêtent parce qu'elles sont diminuées, où ceux qui regardent par les fenêtres sont obscurcis, où les deux battants de la porte se ferment sur la rue quand s'abaisse le bruit de la meule, où l'on se lève au chant de l'oiseau, où s'affaiblissent toutes les filles du chant, où l'on redoute ce qui est élevé, où l'on a des terreurs en chemin, où l'amandier fleurit, où la sauterelle devient pesante, et où la câpre n'a plus d'effet, car l'homme s'en va vers sa demeure éternelle, et les pleureurs parcourent les rues,
avant que le cordon d'argent se détache, que le vase d'or se brise, que le seau se rompe sur la source, et que la roue se casse sur la citerne,
avant que la poussière retourne à la terre, comme elle y était, et que l'esprit retourne à Dieu qui l'a donné.
Vanité des vanités, dit l'Ecclésiaste, tout est vanité.
Outre que l'Ecclésiaste fut un sage, il a encore enseigné la science au peuple, et il a examiné, sondé, mis en ordre un grand nombre de sentences.
L'Ecclésiaste s'est efforcé de trouver des paroles agréables; et ce qui a été écrit avec droiture, ce sont des paroles de vérité. Les paroles des sages sont comme des aiguillons; et, rassemblées en un recueil, elles sont comme des clous plantés, données par un seul maître.
Du reste, mon fils, tire instruction de ces choses; on ne finirait pas, si l'on voulait faire un grand nombre de livres, et beaucoup d'étude est une fatigue pour le corps.
Ecoutons la fin du discours : Crains Dieu et observe ses commandements. C'est là ce que doit faire tout homme. Car Dieu amènera toute oeuvre en jugement, au sujet de tout ce qui est caché, soit bien, soit mal.
Christianisme libre, sans attachement et adhésion à une religion ou secte. En Christ qui m'a affranchie, rendue "pierre vivante" membre de son Eglise, le Temple céleste de Dieu et son Royaume qui n'est pas de ce monde. Dieu n'habite pas dans ce qui est fait de mains d'hommes, notre corps est le temple du Saint Esprit de Dieu en Christ.
Re: Étoile, vient vers moi.
Ecrit le 22 janv.23, 00:16Il me semble que tout a été créé par un certain "Éternel".
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Re: Étoile, vient vers moi.
Ecrit le 22 janv.23, 01:03Et comme je viens de te répondre dans un autre topic, l'homme fait n'importe quoi, vaniteux comme il l'est. Ce qui vient de l'homme non converti est "Vanité des vanités, dit l'Ecclésiaste, tout est vanité".
Christianisme libre, sans attachement et adhésion à une religion ou secte. En Christ qui m'a affranchie, rendue "pierre vivante" membre de son Eglise, le Temple céleste de Dieu et son Royaume qui n'est pas de ce monde. Dieu n'habite pas dans ce qui est fait de mains d'hommes, notre corps est le temple du Saint Esprit de Dieu en Christ.
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