Walt Disney, la perversion de l'enfance et la « transe formation » de la société

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'Abd asSalam

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Walt Disney, la perversion de l'enfance et la « transe formation » de la société

Ecrit le 18 janv.23, 06:22

Message par 'Abd asSalam »

Walt Disney, la perversion de l'enfance et la « transe formation » de la société

بسم الله الرحمن الرحيم

L'exposé ne sera ni trop long, ni indigeste (in châ Allah).
En 1923, apparaît la fascination de l'anglais Walt Disney pour la fille dénommée Alice dans le roman de "Lewis Carroll".
En juillet 1951, le producteur sort le long-métrage "Alice au pays des merveilles", 19 jours avant la mystérieuse affaire du Pont-Saint-Esprit (où plusieurs personnes sont mortes dans le sud de la France).

Quelle est donc la réalité de ce film ?
Il est rempli de références et de symboles dont les gens des ténèbres sont passionnés :
L’amanite tue mouche, champignons, arômes et pilules (les drogues et particulièrement le LSD), le lapin, son trou, son parapluie noir et sa montre (le temps, l'attardement, la perdition et l’infini), le marteau, le ciseau, le miroir, le labyrinthe, les signes de mains de la franc maçonnerie...
S'ajoute à cela la reine de coeur (pendentif en forme de cœur ; symbolique de l'envoûtement avec la couleur rouge), et des choix qui peuvent être assimilés aux manigances des élites américaines : l'oiseau bleu qui émerveille Alice au début du film (possible allusion au projet « Bluebird » de la CIA en 1951 ou au projet « Oiseau moqueur » de 1948), les jumeaux (possible allusion aux expérimentations du nazi Joseph Mengele) et la transformation de la chenille en papillon (projet « Monarque »).

Au début, la petite Alice se couche dans une prairie remplie de fleurs.
Elle est fascinée par le vol d'un oiseau bleu puis commence une sorte d'initiation en suivant le lapin qui jure par ses moustaches (le même type de lapin blanc contactant Néo dans le film Matrix en 1999). En le pourchassant, elle pénètre dans le terrier dont l'entrée est en forme de vagin ou d'anus, puis tombe dans le trou noir (abîme de la transe) sous l’effet des fleurs et des champignons. Ensuite elle se retrouve dans une loge cuboïde à damier (symbole maçon), chemin vers la porte basse des franc maçons, porte dont la clef lui permettra d’accéder au « pays des merveilles », une autre dimension.

Le lapin blanc (animal nocturne à l'inverse des humains) est un personnage important, un chiffre de programmation censé permettre d’aller à des endroits inaccessibles pour l’aventure. En 1958, Frank Tashlin qui travaillait avec Disney produit "Kid en kimono" où un acteur juif a pour rôle un "magicien pas très doué, heureusement aidé par son lapin blanc, bien meilleur magicien que lui."
Le lapin peut représenter le maître, la drogue et son usage. Il est hyperactif, toujours en mouvement. Il a une énergie très nerveuse comme lors d’une prise de cocaïne. Devant la porte fermée, une voix inconnue et un papier ordonnent à Alice de boire un liquide afin de rétrécir (allusion au LSD).
Le contenu est un mystère et les effets secondaires sont imprévisibles. Si elle cède à l'injonction, elle est promit a être esclave d'un système bio-terroriste.
Après hésitation, elle finit par boire mais la porte basse par laquelle le lapin est sortie ne s'ouvre pas.
Le lapin (que l’on ne voit pas) donne un « wafer » (sucre-cocaïne) à Alice.
Elle peut y lire : « Mangez-moi ».
Elle doit le manger pour grandir et attraper la clef qui ouvrira la porte.

Alice mélange donc les drogues et finira par tomber dans la bouteille qui l’emporte sur un océan (un délire ou un programme).

La suite ?! Une séquence plus tard, deux jumeaux racontent une histoire d'huîtres, l'un se transforme en lune, l'autre en soleil (deux symboles omniprésents dans l'imagerie occulte).
Un morse (ou un phoque) surgit alors des ténèbres avec un complice charpentier. Le morse tient un langage séducteur à des bébés avant de les manger. Son comportement fait allusion au conte du "Joueur de flûte de Hamelin" ; joueur mystérieux que les enfants suivent sans révolte, et qui mourront eux aussi.

Quand elle reprend une pilule, Alice grandit au point que ses bras et ses jambes dépassent de la maison close ; une maison entièrement fermée, sauf la fenêtre du bas ouverte au niveau de sa culotte.
Emportée dans une vision psychédélique, un horrible chat se moque d'elle. Celui-ci, haut perché, éclaire de son sourire démoniaque toute la perversité de la cinématographie.
Alice cherche son chemin (son genre ou sa personnalité).
Elle rencontre la chenille bleue fumant le narguilé d’opium sur le champignon, puis la chenille devient un papillon et s’en va. Alice mange alors à nouveau des champignons, elle doit permettre à son esprit de se trouver dans le monde sous-terrain.
Elle est dans un "dialogue de sourd" avec les animaux, inconsciente de sa nature réelle.

Dans le même registre pervers, il y a l'expression "Peignons les roses en rouge", allusion fort probable au viol des filles, puis, il y a le roi inoffensif sous l'emprise de sa femme forte et égocentrique ; une reine diabolique habillée du checkboard (damier maçon).
A la fin, le réalisateur montre que tout cela n'était qu'un rêve d'Alice... Nous savions bien que le sommeil est le moment privilégié de Satan pour jouer avec l'humain et lui insuffler ce qui le dérange, même s'il n'y parvient pas systématiquement, il est capable de fomenter des cauchemars très perturbant.

Il faut dire les mots et la chose, mettre les points sur les i.
Le dessin animée peut symboliser les étapes par lesquels sont passés beaucoup de jeunes avant de se suicider. Celles-ci sont la déstabilisation, la torture sadique ou agression subliminale puis la décomposition psychologique.
Avec la "magie" tyrannique des médias et des traîtres obscurantistes qui diffusent les injonctions, il n'y a maintenant plus besoin du LSD ou de l'ecstasy pour provoquer ces étapes.

Le thème d’Alice est repris en 1967 dans la chanson "White Rabbit" (lapin blanc) du groupe "rock psychédélique" Jefferson Airplane. On y trouve l'apologie du LSD. Cette chanson est réintégrée dans de très nombreux films, y compris des épisodes des Simpsons, une scène pornographique entre deux femmes en 2005, puis en septembre 2021 dans "Matrix Resurrections". Il y est dit :
« Rien qu'une pilule et tu grandis, rien qu'une, et te voilà petit. Celles que te donne ta mère n'ont aucun effet. Va, demande à Alice, lorsqu'elle mesure dix pieds de haut… »

Le LSD est un hallucinogène, dans le sens où il perturbe l'ensemble des cinq sens. En 1940, avant même la découverte officielle de cette drogue, Walt Disney sort deux films où se trouve le thème de l'addiction et de la folie ; Fantasia et Pinocchio...
Coïncidence ou pas, le biologiste Jean-Marie Pelt dit dans son livre "Drogues et plantes magiques" (en 1983) que la «fantasia» est l’une des phases liées à la prise de drogue, qui provoquerait un syndrome délirant et franchement hallucinatoire.

En résumé, Alice est au pays de la défonce et de la manipulation mentale, un monde merveilleux pour Satan qui veut voir grandir les filles sous son emprise jusqu'à ce qu'elles meurent mécréantes, loin de la soumission au Créateur.
*Le message pour le spectateur étant que le monde n'est pas le terrain de l'éveil spirituel mais celui de la métamorphose vers la bestialité et la tyrannie insurmontable.*
La fiction d'Alice rappelle ce qu'a subit la petite Bernadette à Lourdes en février 1858 comme "apparitions", bien que cette dernière fut victime d'un démon sans l'intermédiaire d'une drogue quelconque.

En 1941, Disney sort "Dumbo"... Là aussi le personnage principal a des illusions et des hallucinations (éléphants roses dont un qui se transforme en chameau ; derrière celui-ci apparaît une pyramide puis un oeil, arcs-en-ciel déformés, etc.).

Une réalité à ne pas oublier :
*L'enfance est un temps de jeu et de divertissement, puis, dans un second temps, un temps de structuration et d'apprentissage.*
Les dessins animés de ce genre visent à briser les possibilités imaginatives des enfants et à les agresser par l'imagerie et la musique. C'est avant tout en cela qu'ils sont une grande injustice envers eux. Ils absorbent le temps à rêver de l'enfant et risquent de devenir addictifs.

La musique n'est souvent pas un but en elle même, mais surtout, elle n'est malheureusement pas "le feu d'artifice", ni le délice de l'ouïe et du coeur. Elle n'a jamais était cela et ne le deviendra jamais. Si elle n'est pas un but, elle reste un outil nocif, tel un hypnotiseur qui dit des affirmations que le subconscient de l'hypnotisé enregistre. Cette comparaison avec l'hypnose nous mène au pouvoir des représentations imagées censées porter des âmes... C'est un thème central dans le monde de la sorcellerie et de l'envoûtement.
La vision d'images animées n'a pas le même effet produit chez l'enfant que chez l'adulte. Si l'adulte peut percevoir cela comme une déjection subtile et un marche pied pour l'occultisme décomplexé, ce c'est pas le cas de l'enfant qui est dans un âge d'insouciance et de croissance spirituelle.

En 1928 Disney anthropomorphise une souris ("Mickey"). En 1951, il embelli une drogue par le biais d'une bande dessinée intitulée « Mickey Mouse and the medicine man », mettant en avant Mickey et Dingo en Afrique comme trafiquants d’une drogue baptisée Peppo, nom qui désigne l’amphétamine ou le speed.

*Remarques pertinentes* :

Le 26 avril 1935, sous l'impulsion de Georges Mandel, dont le vrai nom était Jéroboam Louis George Edmond Rothschild, a lieu la première émission officielle de télévision française depuis un ministère.
Walt Disney suivait à la lettre l'esprit du sionisme selon les Rothschild pour la "distraction" ou le "divertissement" et la "consommation" des non-juifs.
En mai 2011, l'avocat juif Thierry Lévy s'indigne sur un plateau TV de la "disparition de la tolérance", de "l'interdiction totale de la pédophilie" et de la "sexualité" pour enfants. Il considère un film de Disney comme une référence dans le domaine en disant : "On interdirait Pinocchio aujourd'hui."
A la fin du dessin animé Pinocchio, le criquet prie et remercie avec recueillement
une étoile dans le ciel qui en retour lui donne de la lumière...
Et il se félicite d'avoir reçu de "l'or contrôlé" dans sa médaille au coeur... En bref, les jeunes spectateurs sont conditionnés à l'idolâtrie. Outre le concept idolâtre de "la bonne étoile" (astrologie), on peut aussi voir dans les films et dessins animés, américains ou anglais, l'omniprésence des thèmes du polythéisme ("Hercule" en 1997 ou le pseudo héros invoque Zeus et se prosterne pour lui) qui se mélangent au thème de l'adorcisme, comme dans un épisode des Simpson où les gens font la queue pour faire une offrande à une statue et entrer en transe en retour, c'est-à-dire devenir possédés par un djinn (rite présenté comme un "miracle").

Du côté d'Hollywood, l’histoire qui se cache derrière « Le Magicien d’Oz » (produit par le juif américaino-biélorusse Louis Brut Mayer en 1939) est aussi très sadique. Le tournage était lui-même rempli de scandales. Le film suggère que le magicien d’Oz a eu une part importante dans le monde de l’occulte. Un des secrets est celui des croyances païennes, en particulier le paganisme d'Égypte avec Isis (la mère d’Horus), ainsi que la capacité à utiliser les médicaments et les actes de torture afin de créer de multiples personnalités.
Le mot « Oz » est connu pour avoir été utilisé par son auteur comme une abréviation d’Osiris.

En 1994 sort le film Stargate en lien avec le paganisme égyptien. Comme dans "Alice...", on retrouve la notion de trou (« trou de ver permettant de voyager rapidement entre deux points de l'espace-temps, d'une porte à l'autre »).
Dans le film espagnol aux 3 oscars « Le labyrinthe de Pan », sorti en 2006, la jeune fille dessine sur le mur une porte avec une craie... Elle entre et découvre le couloir « Stargate » et son sol en damier. Les stargates (ou "portes des étoiles" et portes d’entrée entre les dimensions) ne restent ouvertes que pendant un temps limité, c’est pourquoi la fille du labyrinthe utilise un sablier.

Plus tard, l’entité démon lui demande l’enfant pour un sacrifice rituel : « La lune est pleine dans le ciel et nous pouvons ouvrir le portail ». Partout dans le monde, la nuit de la pleine lune est souvent attendue par les sorciers pour passer à l'acte rituel et satisfaire Satan.

A Allah notre Seigneur, glorifié, élevé et loué qu'Il est, nous demandons la protection contre notre ennemi et à l'Enfer auquel il invite. Notre Seigneur est certes Celui qui entend tout et répond aux invocations, il n'y a de changement du bien vers le mal et des ténèbres vers la lumière que par Lui.

AbdouSalam
Date : 18 rabi alawal 1444 soit le 14 octobre 2022

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