uzzi21 a écrit : ↑21 janv.23, 00:25
Je parlais des dieux monothéistes des livres bible et coran, qui aiment surtout ceux qui croient (et encore, pas n'importe quels croyants).
Dieu, je ne le conçois pas du tout comme ça.
Je comprends. Je suis un peu plus nuancé car je considère qu'il y a de très bonnes choses dans la bible, mais qu'il faut donc savoir faire preuve de discernement pour ne pas jeter le bébé avec l'eau du bain.
L'amour de Dieu doit être mérité, il aime l'homme au dessus de ce que l'homme n'est pas, mais nous devons être méritoire en son amour.
Par exemple, je crois qu'il détruira les pervers qui ont atteint un point de non-retour, par nécessité.
Ici, je ne partage pas du tout ta vision des choses. Ou plutôt je ne partage "plus" cette vision qui était pourtant la mienne il n'y a pas si longtemps. Désormais je
sais que l'amour divin est inconditionnel.
J'en profite pour avancer sur tes trois pensées suivantes :
- Pour avoir raison, il faut savoir reconnaitre ses torts.
Oui, là ça me semble du simple bon sens.
- Comment comprendre mieux son interlocuteur que de le comprendre, comme si on se comprenait soi-même, par empathie la plus profonde.
Je suis d'accord sur le principe. Le problème, c'est que si on ne se comprend déjà pas bien soi-même, ou bien si on a une piètre opinion se soi-même, on va "projeter" sur les autres (et même sur dieu) nos propres manquements.
- Si on connaissait la mort, on serait déjà éternel.
Pourrais-tu être plus explicite sur cette affirmation-là ? Parles-tu de la mort biologique ? D'autre part, l'expression "
déjà éternel" me semble contradictoire en elle-même, puisque par définition l'éternité n'a ni début ni fin.
Pourrais-tu donc préciser ce que tu as voulu dire ici ?