Merci Seigneur je vous aime de tout mon coeur, mon âme.
Merci de m'avoir donné cette place dans votre coeur dans votre Parole.
Résumé du chapitre :
Job dit qu’il s’essouffle, qu’il meurt tout doucement, que la tombe est là.
Il n’y a que des moqueurs autour de lui et lui il est obligé de les voir leurs railleries ?
Seigneur dit il, cautionne moi sinon comment pourrais je leur dire que j’ai raison. Parce que je sais que tu as fermé leur cœur à l’intelligence oui, mais tu les laisses me piétiner ?
Lorsqu’on a de la nourriture on invite ses amis à la partager, lorsqu’on a de la nourriture spirituelle on veut la partager aussi avec ses amis.
Et on a face à soi des enfants jamais fatigués de nous écouter.
Seigneur tu as fait de moi un affabulateur à leurs yeux, un conteur de fables. Et je fais l’objet de tous les mépris.
Je souffre de cette situation, tous mes membres me font mal assis là.
Les hommes honnêtes sont surpris par mon intelligence, et cela me donne du crédit contre l’impie.
L’homme juste cependant est imperméable à mes paroles mais celui qui a les mains pures se fortifie à mon contact.
Mais vous tous vous répétez en boucle toujours la même chose et je ne trouve pas un sage parmi vous.
Quoi ? Déjà nous sommes aujourd’hui et cela fait tant d’années que je combat ? Le combat de la Vérité que je mène à cœur ?
Eux ils disent tout l’inverse de la Vérité, le contraire, que le bien est sur terre alors que c’est le mal qui la dirige.
C’est la mort que j’attends patiemment, c’est au repos que je crois, ma famille ce sont les vers de terre et mon espérance, les résultats de ma quête comment saurais je ? Elle mourra avec moi mon espérance, lorsque tout sera fini.
- JOB 17
1 Mon souffle se perd, Mes jours s'éteignent, Le sépulcre m'attend. 2 Je suis environné de moqueurs, Et mon oeil doit contempler leurs insultes. 3 Sois auprès de toi-même ma caution; Autrement, qui répondrait pour moi ? 4 Car tu as fermé leur coeur à l'intelligence; Aussi ne les laisseras-tu pas triompher.
5 On invite ses amis au partage du butin, Et l'on a des enfants dont les yeux se consument. 6 Il m'a rendu la fable des peuples, Et ma personne est un objet de mépris. 7 Mon oeil est obscurci par la douleur; Tous mes membres sont comme une ombre. 8 Les hommes droits en sont stupéfaits, Et l'innocent se soulève contre l'impie. 9 Le juste néanmoins demeure ferme dans sa voie, Celui qui a les mains pures se fortifie de plus en plus.
10 Mais vous tous, revenez à vos mêmes discours, Et je ne trouverai pas un sage parmi vous. 11 Quoi! mes jours sont passés, mes projets sont anéantis, Les projets qui remplissaient mon coeur... 12 Et ils prétendent que la nuit c'est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là !
13 C'est le séjour des morts que j'attends pour demeure, C'est dans les ténèbres que je dresserai ma couche; 14 Je crie à la fosse : Tu es mon père ! Et aux vers : Vous êtes ma mère et ma soeur ! 15 Mon espérance, où donc est-elle? Mon espérance, qui peut la voir ? 16 Elle descendra vers les portes du séjour des morts, Quand nous irons ensemble reposer dans la poussière.