Nous constatons surtout que lorsque le sujet devient par trop évident qu'il contredit tes délires tu préfères accuser de la rage ce qui te dérange
Up ... retourne plus haut sur les citations que j'ai faite d'Emmanuelle Pouydebat ... L'invention de l'outils et même de la pierre taillée n'est pas une spécificité humaineagecanonix a écrit : ↑26 janv.23, 10:00 La question n'est pas sur la raison mais sur la capacité à inventer. Or, tailler des pierres, en faire des outils, oblige à admettre une certaine intelligence.
On ne part pas de rien, des sapiens ont bien inventé des outils et donc la capacité de comprendre que l'action sur certains éléments comme la pierre pouvait améliorer la vie, était déjà présente dès le début.
loin de là
Par ailleurs, nous pouvons continuer sur cette auteure que tu nous as toi même vantée
Dans le chapitre 6 E Pouydebat nous parle aussi de l'inventivité pour résoudre un problème ...
je cite
et un peu plus loin nous parle de Fetnat’innombrables exemples existent quant aux capacités d’apprentissage dans le monde animal. Mais il en est une autre moins diffusée et qui semble pourtant très pertinente. Prenons l’exemple de Paula, femelle ayant une position hiérarchique très basse dans le groupe à l’époque et donc très dominée. Premier défi de Paula : récupérer une noix. Lorsqu’elle y parvient enfin malgré la pression de ses congénères, elle s’éloigne systématiquement sur les hauteurs des infrastructures en bois de l’îlot, pour ne pas se faire subtiliser son butin. Jusque-là, rien de surprenant, sauf que, visiblement, pour frapper sa noix, elle semble se rendre en permanence au même endroit, précisément situé à l’extrémité d’un rondin de bois. Elle se tient ainsi hors de portée des autres femelles occupées à frapper leurs noix sur les lieux les plus stratégiques, au sol. Pourquoi Paula choisit-elle donc cet emplacement en particulier et de manière systématique ? Je décide d’aller jeter un œil sur ce lieu de prédilection et je découvre qu’à cette extrémité du rondin de bois qu’affectionne tant Paula se trouve un clou en métal… Ainsi, Paula, dominée et n’ayant pas accès aux zones privilégiées pour casser de manière optimale ses noix, doit non seulement s’éloigner, mais trouver une autre solution.
Dans ces deux exemples E. Pouydebat nous montre l'inventivité.Voyons un autre exemple. Fetnat est une toute jeune femelle qui a accès aux substrats les plus durs. En revanche, elle a un autre problème que celui de Paula : elle n’a ni la force ni la technique nécessaires pour ouvrir ces mêmes noix en les frappant contre les supports, même les plus durs. Mais sa motivation pour ouvrir les noix est bien présente. C’est le matin. Je me trouve sur le chemin central de l’îlot des capucins, chemin constituant le substrat le plus dur et le plus utilisé par les adultes dominantes pour casser leurs noix. Des noix sont disposées au sol autour de moi. Pendant que les autres individus s’affairent à la tâche, la petite Fetnat reste à proximité de moi et observe les noix disponibles. À ma stupéfaction, elle décide alors de s’approcher de mon pied droit et tente de le soulever. Elle n’y parvient pas, mais comprenant ce qu’elle souhaite faire, je l’aide quelque peu et soulève la pointe de ma chaussure. Que fait Fetnat ? Elle place une noix dessous et se met à sauter à plusieurs reprises sur ma chaussure !
mais surtout la suite du chapitre aborde un autre aspect non moins important dans l'utilisation des outils dans la partie
Innovation et intelligence :alors, t’innoves ou t’innoves pas ? nous apprendrons que l'innovation n'est pas non plus une "spécificité humaine"
ce qui donne par effet miroir une bien piètre image de ta théorie ... puisque non le cerveau humain n'est pas plus une machine à inventer que n'importe quel autre cerveau ... au finalL’innovation est un élément clé de la plupart des définitions de la culture et de l’intelligence, suggérant que la capacité à produire des innovations est une mesure de l’intelligence192. Elle peut même affecter la survie d’un individu, voire d’une espèce, et ainsi jouer un rôle majeur dans l’évolution de cette espèce. Attachons-nous pour commencer au lien qui unit innovation et intelligence. Nombreuses sont les définitions de l’intelligence animale qui font référence à des solutions nouvelles pour résoudre des problèmes anciens comme nouveaux193. On comprend alors rapidement que la capacité à innover est une mesure importante de l’intelligence194. Et en effet, pour innover, il faut tout d’abord être capable de répondre à la nouveauté, d’explorer et de trouver une solution nouvelle. Or les facteurs susceptibles d’influencer ces capacités sont multiples. Ils peuvent être indépendants de l’individu : pénurie de nourriture, rareté d’un objet attrayant, pression des autres individus ou des prédateurs… Dans le cas de Paula, la pression des autres individus l’a conduite à ne pas avoir accès à la zone la plus facile pour casser sa noix et elle a donc dû chercher une autre solution. Mais ces facteurs peuvent également être dépendants de l’individu : personnalité (curieuse ou non), expérience, âge, sexe, statut social… – Fetnat est de toute évidence une petite femelle très curieuse, observatrice et exploratrice. De nombreux facteurs sont ainsi impliqués. De plus, certaines innovations peuvent être considérées comme simples et ont pu émerger par accident – Fetnat aurait vu quelqu’un écraser une noix sous sa chaussure – ou après de multiples essais et erreurs – Paula a peut-être essayé bien d’autres supports avant de se focaliser sur le clou. D’autres peuvent être considérées comme complexes et vont davantage refléter des inventions suite à un raisonnement de cause à effet impliquant énormément d’explorations, d’apprentissage et de pratique. Ces innovations n’arrivent jamais par accident, car les actes moteurs impliqués ou le contexte sont très inhabituels et sont très éloignés du comportement coutumier de l’individu.
et même , Pouydebat explique que pour qu'une innovation soient partagée il faut quelle soit transmise
Mais non seulement elle explique que cela se produit à l'échelle de la population locale , autrement dit , la troup d'Eureka connait une nouvelle technique par "apprentissage"Considérons une population de chimpanzés vivant en forêt de Taï, en Côte d’Ivoire, et évoluant dans un environnement d’arbres produisant différentes espèces de noix. L’une de ces espèces d’arbres (Dura laboriosa) produit des noix très dures qui nécessitent d’être cassées et ouvertes avant d’être consommées. Pendant que d’autres populations de chimpanzés utilisent des pierres, ces chimpanzés-là emploient systématiquement des branches depuis plusieurs générations. Un jour, une femelle du groupe nommée Eureka se met à utiliser une pierre à la place d’une branche pour casser ses noix. Eureka emploie ensuite régulièrement cette nouvelle méthode. Que se passe-t-il ? Eh bien les autres chimpanzés qui observent Eureka lorsqu’elle casse ses noix avec une pierre vont commencer eux-mêmes à casser leurs noix avec des pierres. Après plusieurs générations, toute la population de chimpanzés a changé d’outil pour ouvrir les noix, passant des branches aux pierres
mais pas les autres troupes !
Si pour une raison x ou y la pression selective faisait disparaitre les "noix tendre" la troupe d'Eureka aurait là un avantage sélectif
Cette partie cite également le cas d'innovation et d'inventivité chez les Corvidées
et des techniques de chasse de cétacé qui n'existe que dans une troupe de cétacé transmise également d'individu à individu de la même troupe mais qui ne se retrouve pas dans les autres groupes de cétacé de la même espèce.
et de conclure une fois de plusLa recherche de nourriture par coopération chez les baleines à bosse dans le sud-est de l’Alaska et la côte ouest de l’Amérique du Sud est d’ailleurs remarquable. Nombreuses sont les espèces de mammifères marins qui utilisent le système de bulles qu’ils projettent pour encercler, rassembler et mieux capturer les proies. En revanche, les baleines à bosse développent une méthode unique pour entourer les bancs de harengs. Leur stratégie est la suivante. Une baleine expire tout d’abord une longue ligne circulaire de bulles qui monte pour former une sorte de rideau. D’autres baleines lancent alors des appels qui orientent les harengs vers le mur de bulles. Une fois les harengs à proximité des bulles, la baleine chargée de faire
Figure 12. Baleine produisant des bulles circulaires pour contraindre les poissons piégés à remonter en surface.
Les exemples de créativité et d’innovation sont nombreux chez les primates et les oiseaux, mais pas seulement. Les mammifères marins sont également de bons représentants. La recherche de nourriture par coopération chez les baleines à bosse dans le sud-est de l’Alaska et la côte ouest de l’Amérique du Sud est d’ailleurs remarquable. Nombreuses sont les espèces de mammifères marins qui utilisent le système de bulles qu’ils projettent pour encercler, rassembler et mieux capturer les proies. En revanche, les baleines à bosse développent une méthode unique pour entourer les bancs de harengs. Leur stratégie est la suivante. Une baleine expire tout d’abord une longue ligne circulaire de bulles qui monte pour former une sorte de rideau. D’autres baleines lancent alors des appels qui orientent les harengs vers le mur de bulles. Une fois les harengs à proximité des bulles, la baleine chargée de faire les bulles les encercle en créant un cylindre. Les harengs sont alors pris au piège à l’intérieur, les bulles formant une barrière. Pendant ce temps, les autres baleines se positionnent au fond du cylindre et les harengs fuient vers le haut, poussés par les appels provenant des baleines placées en dessous. Les baleines se déplacent ensuite toutes ensemble vers le haut et, à l’approche de la surface, ouvrent largement leur bouche et capturent les harengs (figure 12). Cette technique de capture de poissons par coopération permet aux baleines de consommer jusqu’à une tonne de nourriture en un jour ! De plus, elle n’est pratiquée que par certaines populations de baleines à bosse, en particulier celles d’Alaska, suggérant qu’il a probablement dû s’agir d’une innovation.
Bien des phénomènes complexes entourent ces capacités d’innovation et si les types d’innovations sont multiples, une question fascinante se pose : comment l’individu qui crée transmet-il son invention à d’autres individus ? Plus fascinant encore : la transmet-il à tout le groupe, à d’autres groupes, voire aux générations suivantes ? Sous ces questions se cachent des concepts très complexes d’innovation au sens strict (et pas seulement de création, d’invention), mais également de tradition, voire de culture – termes encore trop largement réservés à l’espèce humaine.
Ce que vous ne comprenez pas c'est que à travers la taille de la pierre pour en faire des outils, le sapiens qui y parvient prouve qu'il avait déjà entre les oreilles le cerveau qui inventera la roue et bien plus.
sous la partie Tu sais innover ? Alors transmets ! Emmanuelle Pouydebat nous parlera maintenant de la transmission avec des exemples connu des mesanges et rouges-gorge anglais au début du XX eme siècle et des bouteilles de lait
Ou les mésanges inventent une technique pour boire le lait entier dont les bouteilles sont scellé par un opercule d'aluminium pratique qui est géographiquement limité puis qui s'étend sur le territoire alors que les rouges-gorges eux laisse tomber.
La différence entre les 2 ?
Le rouge-gorge est un solitaire , territorial ... alors que le mésanges vivent en groupe ... mieux les mésanges apprennent et transmette comment distinguer le lait entier des autres laits ... en choisissant la bonne couleur d'opercule
Elle cite également un autre cas celui des macaque Japonais qui apprennent à laver leurs aliments pratique qui se répandra dans l'archipel nipponEn 1921, l’industrie laitière bouche ses bouteilles de lait avec un opercule rigide en aluminium. En quelques années, les mésanges d’Angleterre apprennent à percer à coups de bec cet opercule métallique et profitent de cette crème de lait qui fait désormais partie de leur régime alimentaire. En revanche, seuls quelques rouges-gorges viennent à bout de cet opercule. Pendant ce temps, les mésanges deviennent capables de distinguer les bouteilles de lait entier des bouteilles de lait écrémé grâce aux opercules de couleurs différentes, et elles sont gourmandes… La suite devient bien plus passionnante encore. Dès 1949, l’ouverture des opercules par les mésanges est observée dans des centaines de villes en Angleterre, en Irlande et au Pays de Galle203 : le comportement s’est transmis. En revanche, la découverte ne se répand pas chez les rouges-gorges.
et mieux, ils finiront même par choisir l'eau salé .. apportant donc un supplément de gout !
et de là un enchainement de conséquences pour les macaques japonais
Dans la partie Plus on est de fous,plus on est intelligent !Cette habitude gagne ensuite ses camarades de jeu, puis tous les jeunes macaques, les femelles plus âgées et, enfin, les mâles dominants. La troupe compte à l’époque environ 60 membres. En l’espace de neuf ans, les trois quarts des macaques de l’île lavent leurs patates avant de les consommer. Cinquante ans plus tard, bien après la mort d’Imo et de la première génération de laveurs de patates douces, les macaques de la côte japonaise continuent de laver leurs patates douces en les plongeant et en les frottant dans l’eau. Mieux : ils lavent désormais leurs patates en mer, probablement pour la saveur salée ou améliorée que cela procure. Et l’histoire n’est toujours pas terminée. Trois années après qu’Imo a commencé à laver ses patates douces, elle a initié une seconde innovation. Afin d’habituer les macaques à leur présence, les primatologues les approvisionnaient également en blé, qu’ils déposaient aussi sur le sol. Alors âgée de 4 ans, Imo se met à jeter des poignées de blé sablonneux dans la mer. Le blé flotte, le sable coule. Comme le lavage des patates, ce lavage du blé sablonneux s’étend au sein du groupe : au bout de six ans, 19 individus lavent le blé204. Ces exemples sont particulièrement intéressants, car ils ont très clairement conduit à des changements de style de vie des macaques. Les petits, par exemple, qui se sont habitués à jouer avec l’eau, à force de tomber dedans pendant que leur mère lave les patates. Désormais toute la troupe nage, saute et plonge dans l’eau !
cette fois ci Pouydebat nous relate le role de l'imitation
Ici ce qui est important c'est que nous avons une imitation .. ainsi , les premiers homo sapiens .. n'ont pas eu à inventer ! mais juste à imiter ce qui avait déjà été fait !Les contacts contribueraient en quelque sorte à l’accès à des comportements intelligents. On parle alors d’apprentissage social. L’un des bénéfices potentiels de la vie en société serait ainsi la capacité d’acquérir des informations sur l’environnement via l’apprentissage social, c’est-à-dire l’apprentissage qui est influencé par l’observation ou l’interaction avec un autre individu ou avec le produit de ses comportements (un outil par exemple)206. Un individu peut ainsi apprendre en observant un autre individu qu’il est possible d’ouvrir une noix en allant chercher de la matière première adéquate (des pierres) sur un lieu donné de son territoire. Les animaux vivant en groupes sociaux seraient ainsi favorisés. Un autre individu peut, par apprentissage social, acquérir de nombreuses compétences pendant son développement (sa croissance) au contact d’autres individus, issus de sa famille ou non, compétences qu’il n’aurait jamais acquises seul207. Or si l’intelligence est largement répandue dans le monde animal, l’apprentissage social l’est aussi208. On l’observe dans des contextes très variés comme l’évitement de prédateurs, le choix du partenaire ou encore la recherche et l’acquisition de nourriture (quand, où, quoi et comment manger).
Imiter n'est donc pas inventer ... et pas besoin d'avoir une "intelligence" supérieur , et encore moins celle fantasmée par notre Ami sur ses supers cerveau
remarquons qu'a nouveau Agecanonix invente un cerveau d'homo sapiens qui réinventerai ex-nihilo tout ce qui l'entourait déjà ...
Le langage écrit semble remonter à environ 7000 - 6000 ans , auparavant bien compliqué est de dire depuis combien de temps homo sapiens à un langage articulé
mais une chose demeure certaine comme des troupes humaines éloignées ne nommait pas les choses avec les même "mots" d'un proto langage ou même d'une langue
naissante
Mais surtout , avant que de conceptualisé une chose, il faut un mot pour le concept. Ce n'est que par l'accumulation des concepts et des moyens de pensée par le langage
oral puis écrit que l'on franchir les étapes décisive qui ont conduit à notre humanité du XXI eme siècle ...
C'est surtout toi qui invente Emmanuelle Pouydebat nous cite et explique au fil des pages que justement .. le potentiel n'est pas là mais qu'il s'acquière et s'améliore au fil duagecanonix a écrit : ↑26 janv.23, 10:00 Vous minimisez l'impact de la création des outils au début des 300 000 années qui prouve que le potentiel était là, en marche.
temps ...
Et bien sur dans les délires agecanonicien aucune place pour les retours en arrière lorsque des populations entières retombent à des niveau culturel plus bas qu'au temps de leur grandeur ...agecanonix a écrit : ↑26 janv.23, 10:00 Et toute l'histoire de l'homme en témoigne, le progrès technique est impossible à stopper comme on ne stoppe pas l'écoulement du sable fin dans une main. Or, l'inventivité stoppe 300 000 années alors qu'elle existait au début.
j'ai parler des égout , de l'acier Damasquiné ?
Mais nous pourrions également parler du Béton Romain dont on vient juste de comprendre pourquoi il était si solide qu'il perdure aujourd'hui ?
Combien d'égyptien savent encore construire des pyramides ?
Combien de descendant des Incas sont capable de rebatir des cités comme leur ancètres avec les voie d'eau pour alimenter les dites citée ?
Tout cela c'est ou c'était perdu ... parce que justement il n'y a pas de linéarité dans l'histoire de l'homme
Tu inventes continuellement et tu brodes en évitant soigneusement les faits qui montre la bétise de ton propos !
Et nous l'avons vu , personne ne sait si c'est un "homme" justement qui à inventer le premier outils .. ( cf - Emmanuelle Pouydebat ci dessus dans les messages )agecanonix a écrit : ↑26 janv.23, 10:00 Kant est bien gentil, mais ce qu'il décrit a eu lieu quand l'homme a inventé le premier outil, au début.
Blabla mon ami , blabla c'est la même ritournelle que tu nous chantes depuis le début .. mais des faits des preuves ? rien nada .. toujours à présenter ton opinionagecanonix a écrit : ↑26 janv.23, 10:00 Peu importe que tu appelles cela la raison, moi je la nomme comme "le premier geste inventif" et si tu le distingues de la raison, c'est comme tu veux, mais il n'en reste pas moins vrai qu'il a existé avec ou sans la raison.
Seulement voici la définition de la raison: La faculté qui permet à l'être humain de connaître, juger et agir conformément à des principes (compréhension, entendement, esprit, intelligence), et spécialement de bien juger et d'appliquer ce jugement à l'action (discernement, jugement, bon sens).
Il faut une certaine raison pour créer un outil et si non, n'empêche que l'outil a quand même été inventé.
Donc avec ou sans raison, l'inventivité était là au début et ses mécanismes aussi : observation, projection, réflexion, détermination du bénéfice attendu.
Si ce n'est pas de la raison, c'est quand même suffisant pour inventer, et pour inventer pendant 300 000 années.
qui n'est pas un fait ni une preuve ...
et lorsque tu te risque à citer un auteur ... on s'apperçoit que son discours ne corrobore pas le tiens ... bien au contraire
Cordialement