Qui nous ?
Tu veux dire chez les saints.
Qui nous ?
Comme toute personne éveillée, je ne "crois" rien, considérant la "croyance" comme un poison pour l'esprit.
Non non. Lorsque Jésus a affirmé "Le Royaume de Dieu est au-dedans de vous", il s'adressait à des pharisiens qui s'opposaient à son enseignement.
Oui puisque ce sont des Sacrificateurs** donc des saints, et ce sont les seuls d'ailleurs qui sont exposés au blasphème contre l'Esprit Saint, le restant des mortels eux ne sont pas exposés à ce blasphème.
Tu peux dire que tu vis le Paradis en sachant que des gens vivent dans des sous sols car privés de logements, au milieu des rats ?
Bonne nuit, mon amie. Je travaille tôt demain matin. Mais j'ai lu ton message et je te repondrai, promis.prisca a écrit : ↑19 févr.23, 09:44 Oui puisque ce sont des Sacrificateurs** donc des saints, et ce sont les seuls d'ailleurs qui sont exposés au blasphème contre l'Esprit Saint, le restant des mortels eux ne sont pas exposés à ce blasphème.
** Sacrificateurs veut dire prêtres.
Ajouté 2 minutes 18 secondes après :
Tu peux dire que tu vis le Paradis en sachant que des gens vivent dans des sous sols car privés de logements, au milieu des rats ?
Selon la Gnose, dont est issu le christianisme, les âmes viennent des cieux et sont emprisonnées dans les corps pour ensuite finir aux enfers.
Il me semble qu'on a déjà eu cette conversation toi et moi, et la réponse est oui.
Tu connais beaucoup d'hommes qui posent leur tête sur la poitrine d'un autre homme ?gzabirji a écrit : ↑19 févr.23, 03:11 Je ne valide pas cette hypothèse pour les deux raisons suivantes :
1) L'apôtre Jean avait déjà une mère, épouse de Zébédée, ainsi qu'un grand frère, à savoir Jacques. Il n'avait donc besoin de personne pour prendre soin de lui.
2) Jésus a confié Marie au fameux "disciple mystère", et la Bible précise que "dès ce moment, le disciple la prit chez lui."
Cette simple indication permet d'identifier le disciple à un habitant de Jérusalem où à proximité immédiate. Ça ne correspond pas à un pêcheur de Galilée qui habiterait à 150 km de là.
Saint Glinglin a écrit : ↑19 févr.23, 04:56 Le disciple est un personnage symbolique.
Il a entre autres caractéristiques d'être immortel :
21.22 Jésus lui dit: Si je veux qu'il demeure jusqu'à ce que je vienne, que t'importe? Toi, suis-moi.
Non, mais ce n'est pas non plus ce qui est écrit au sujet de ce disciple.
Non, de mon point de vue Jésus n'était pas homosexuel.Crois-tu que Jésus aimait un autre homme ? Qu'il était homosexuel ?
Rien ne laisse entendre que Marie fût croyante à ce moment-là. Ce ne sont donc que des conjectures.1/Jean avait une mère, c'est vrai, c'était l'épouse de Zébédée, c'est vrai mais étaient-ils disciples du Christ ?
Ça l'histoire ne nous le dit pas mais on sait que les disciples devaient tout mettre en commun pour s'assurer un équilibre budgétaire et tenir les liens fraternels serrés.
Donc, à mon avis, la mère charnelle de Jean n'était pas une disciple de Jésus et donc Jean en était séparé.
Jean et Jacques vivaient parmi la petite communauté des apôtres (12 personnes) et se soutenaient mutuellement.
Le fait d' obtenir une nouvelle mère (croyante cette fois-ci) fut une bonne nouvelle pour lui.
Oui, le passage que je t'ai déjà cité, auquel je peux ajouter celui des Actes chapitre 1, versets 12 à 14. Le logement où était Marie se trouvait bel et bien à Jérusalem. Et son propriétaire était le fameux disciple, selon toute vraisemblance. (principe du rasoir d'ockham)2/Les disciples étaient soit dans Jérusalem soit à Emmaüs comme indiqué dans Luc 24:13 et 33.
Je ne vois pas du tout ce qui te permet de penser que le disciple habitait Jérusalem. As-tu des passages qui le laissent penser ?
prisca a écrit :
Tu peux dire que tu vis le Paradis en sachant que des gens vivent dans des sous sols car privés de logements, au milieu des rats ?
Alors tu n'as pas de coeur, tu es égocentrique.
Quel rapport ?a écrit :Crois-tu que dieu puisse souffrir ? Le personnage peut souffrir, c'est vrai, mais pas l'être véritable.
Je me nourris, je ne fais pas que boire.a écrit :Tu peux y accéder, toi aussi, mon amie. Il faut seulement en avoir le désir profond, ce que la bible appelle la "soif".
Je ne souffre absolument pas, au contraire, au monde il n'y a pas plus heureuse femme que moi, l'Eternel me donne son amour chaque seconde.a écrit :Mais tu peux aussi choisir de te complaire dans ta propre souffrance, comme le fait notre amie commune Lafr....
C'est un choix qui t'appartient entièrement.
Comment ce disciple peut-il se prendre lui-même à témoin s'il est réel ?gzabirji a écrit : ↑19 févr.23, 22:09 Oui, le passage que je t'ai déjà cité, auquel je peux ajouter celui des Actes chapitre 1, versets 12 à 14. Le logement où était Marie se trouvait bel et bien à Jérusalem. Et son propriétaire était le fameux disciple, selon toute vraisemblance. (principe du rasoir d'ockham)
Jésus ne l'a-t-il pas fait ?Saint Glinglin a écrit : ↑19 févr.23, 23:08 Comment ce disciple peut-il se prendre lui-même à témoin s'il est réel ?
Dieu est témoin de tout ce qui se passe dans le monde, rien ne lui échappe, n'est-ce pas ? En souffre-t-il pour autant ? Est-il malheureux ? Est-il triste ?
Alors pourquoi me reproches-tu d'être heureux moi aussi ?Je ne souffre absolument pas, au contraire, au monde il n'y a pas plus heureuse femme que moi, l'Eternel me donne son amour chaque seconde.
Tu te prends pour un dieu ?
Heureuse de faire partie des saints et malheureuse de voir la tristesse chez les démunis.
La question est plutôt : puisque Jésus l'a fait, pourquoi le "disciple" s'en serait-il abstenu ?
Je suis une facette du diamant, et Tu l'es aussi. La seule différence, c'est que tu n'en as pas conscience.
Je ne suis pas insensible à la souffrance d'autrui, tout comme je ne suis pas insensible non plus à la souffrance de mon propre personnage. La différence, c'est qu'en étant conscient de mon être véritable, j'observe tout ça avec une certaine distance. Je ne suis donc plus esclave des émotions éprouvées par mon personnage.Tu n'es qu'une créature basique qui doit agir dans la charité comme Jésus le dit, et si tu es insensible à la souffrance d'autrui, tu es pire que ce que je pensais.
Tu n'es donc pas la plus heureuse des femmes comme tu le prétends, car toute femme éveillée aurait répondu la même chose que moi, même si les mots auraient été quelque peu différents.Heureuse de faire partie des saints et malheureuse de voir la tristesse chez les démunis.
Hb 6.13 Lorsque Dieu fit la promesse à Abraham, ne pouvant jurer par un plus grand que lui, il jura par lui-même, et dit:
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