Hello,
agecanonix a écrit : ↑01 mars23, 12:03
.
Donc les bactéries les plus anciennes dont on aurait identifié les fossiles auraient 230 millions d'années ?
Voici le titre d'un article :
Des microfossiles récemment découverts au Canada, dans des couches de quartz, ont mis au jour une bactérie datant de quatre milliards d'années.
https://www.bfmtv.com/animaux/la-plus-v ... %20pensait.
K... ou Leb, donnez un cours sur les bactéries à Estra parce que là, il se ridiculise.
Il me semble bien plutôt que tu es celui qui en auirait le plus besoin
L'ignorance d'une sujet n'est en rien une tare ridicule ... ce qui est ridicule c'est de croire que l'on sait et que l'on vante ses aneries comme une realité
Et je n'ai pas le souvenirs que ce soit un trait caractéristique d'Estra
agecanonix a écrit : ↑01 mars23, 12:03
Voici le texte de ce lien:
- La vie sur Terre pourrait être apparue encore plus précocement qu'on ne le pensait. Des chercheurs ont découvert des micro-organismes fossiles qui auraient entre 3,77 et 4,29 milliards d'années, soit seulement quelques centaines de millions d'années de moins que notre planète. Les scientifiques ont mis en évidence ces microfossiles dans des couches de quartz du site géologique de la ceinture de Nuvvuagittuq, au nord-est du Québec (Canada). Leurs travaux sont publiés mercredi dans Nature.
"Grâce à des images laser des échantillons prélevés, nous avons pu identifier des microfossiles, qui sont les plus vieux connus au monde", a déclaré Matthew Dodd, de University College London (UCL), dans une vidéo postée sur le site de la revue.
En diamètre ils font la moitié de celui d'un cheveu humain. En longueur, ils mesurent jusqu'à un demi-millimètre, précise-t-il.
Où la question d'une vie extraterrestre est relancée
"Le plus excitant dans ces découvertes", c'est que la vie ait réussi à démarrer sur Terre de façon précoce - "ce qui soulève d'intéressantes questions" sur ce qui s'est passé sur Mars et ailleurs dans l'Univers, considère Matthew Dodd. "Si la vie est arrivée si vite sur Terre", "a-t-elle pu faire de même sur d'autres planètes?", s'interroge-t-il.
La Terre s'est formée il y a 4,567 milliards d'années. Ces microfossiles ont été repérés dans la Ceinture de Nuvvuagittuq, un affleurement situé le long des côtes du Québec, qui est réputée abriter la plus vieille roche connue (4,29 mds d'années). "Elle a été datée selon une méthode robuste mais cela reste toutefois controversé", précise Dominic Papineau, de l'UCL, principal auteur de l'étude.
Une vie formée à proximité des "cheminées hydrothermales"
"Pour rester prudents", les scientifiques ont donné aux micro-organismes "un âge minimum de 3,77 milliards d'années", ajoute-t-il. C'est déjà 300 millions d'années plus ancien que les plus vieux microfossiles connus jusqu'à présent, qui ont été trouvés en Australie et sont âgés de 3,460 mds d'années, souligne Dominic Papineau. Les microfossiles se sont formés au fond de la mer, à proximité de "cheminées hydrothermales", qui réchauffent les eaux et sont le fruit de l'activité volcanique, soulignent les chercheurs.
Dominic Papineau s'est rendu au Québec pour choisir les échantillons de jaspe rouge qui ont ensuite été analysés. Il fallait démontrer que les structures étaient bien d'origine biologique. De minuscules filaments et des tubes formés par des sortes de "bactéries" qui vivaient sur du fer ont été retrouvés encapsulées dans des couches de quartz, souligne UCL dans un communiqué.
Mais que dit l'article de Nature en question ?
https://www.nature.com/articles/nature21377 ( je dispose du pdf pour ceux intéressé )
Although it is not known when or where life on Earth began, some of the earliest habitable environments
may have been submarine-hydrothermal vents. Here we describe putative fossilized microorganisms that
are at least 3,770 million and possibly 4,280 million years old in ferruginous sedimentary rocks, interpreted
as seafloor-hydrothermal vent-related precipitates, from the Nuvvuagittuq belt in Quebec, Canada.
putative : putatif , supposé , hypothétique ...
Par ailleurs les auteurs utilise principalement le "conditionnel" et les mots valise
- may have been
- possibly
et n'oublions pas le dernier "interpreted" ...
continuons avec l'article donc
premiere partie
There are no confirmed microfossils older than 3,500 million years
(Myr) on Earth, probably because of the highly metamorphosed
nature of the oldest sedimentary rocks 1 . Therefore, studies have
focused almost exclusively on chemical traces and primarily on the
isotopic composition of carbonaceous material, which has led to con-
troversies regarding the origin of isotopically light reduced carbon 2 .
Schists from the approximately 3,700-Myr-old Isua supracrustal belt
in southwest Greenland contain up to 8.8 wt% graphitic carbon that
is depleted in 13 C, and this depletion has been attributed to biological
activity 3,4 . However, because non-biological decarbonation reactions
and Fischer-Tropsch-type synthesis 5 can produce reduced carbon
with similar isotopic compositions, non-biological interpretations are
possible 2 . Apatite with graphite coatings, within iron formations
from the approximately 3,830-Myr-old Akilia supracrustal belt in
southwest Greenland, has been interpreted as the metamorphosed
product of biogenic matter 6 , supported by the presence of biologi-
cally important heteroatoms within the graphite 7 . However, it has
been s uggested that some graphite in the Akilia iron formations was
deposited by metamorphic fluids 8,9 . This latter interpretation is echoed
in the Nuvvuagittuq supracrustal belt (NSB) by the presence of poorly
crystalline, f luid-deposited graphite that coats apatite 10 , demonstrating
that some apatite–graphite occurrences are produced abiotically during
fluid remobilization and high-grade metamorphism.
The NSB in northeastern Canada represents a fragment of the Earth’s
primitive mafic oceanic crust. The NSB is composed predominantly
of basaltic metavolcanic rocks (Extended Data Fig. 1), which locally
preserve pillow lava structures 11 consistent with a submarine setting,
and of chemical sedimentary units including iron formations and
minor jasper (quartz-rich rocks with haematite and magnetite) and
carbonate-bearing iron formations. The iron formation units occur
between sequences of tholeiitic and calc-alkaline metabasalts, suggest-
ing deposition at the same stage of volcanic evolution and seafloor-
hydrothermal activity. The minimum age for the belt is constrained
by cross-cutting trondhjemitic intrusive rocks that yield U-Pb zircon
ages of 3,774–3,751 Myr (refs. 12, 13). Furthermore, 146 Sm- 142 Nd
systematics suggest an age of 4,280 Myr for the metabasaltic unit of
the NSB 14,15 . The exact age of the NSB is debated (see Supplementary
Information); nonetheless, the NSB includes one of the oldest—if
not the oldest—iron formations known on Earth. The iron forma-
tion has seawater-like chemical signatures 16,17 and heavy Fe isotopic
compositions 17,18 , consistent with formation by the precipitation of iron
derived from hydrothermal fluids associated with volcanism 19 . Bulk-
rock rare earth element data for the NSB jasper and carbonate iron
formations—especially the presence of positive Eu anomalies—suggest
a link to seafloor-hydrothermal activity (Extended Data Fig. 2). The
presence of well-preserved, 20–3,000-μm chalcopyrite crystals within
the NSB jasper and carbonate iron formations (Extended Data Fig. 3a)
demonstrate the lack of post-depositional oxidation.
Most NSB rocks were subjected to upper amphibolite-facies met-
amorphism around 2,700 Myr ago 14,20 . Here we describe parts of the
NSB that were less affected by deformation (Supplementary Table 4)
and focus on sites where the metamorphic grade appears not to have
exceeded lower amphibolite facies 17 . This setting is evidenced by local
outcrops in the southwestern margins of the belt that preserve primary
chert, diagenetic calcite rhombohedra with poikilitic textures, and min-
erals of low metamorphic grade such as euhedral stilpnomelane and
minnesotaite in chert that lack pseudomorphic retrograde textures.
donc ... pour l'instant ... clairement pas de "bactéries fossilisée" mais des traces que l'on attribue à des activité bactérienne
et en plus ( en gras et souligné ) ... il n'y a aucune certitude à ce stade ...
Passons donc à la suite de l'article
Haematite tubes and filaments
Modern hydrothermal Si-Fe vent deposits host communities of micro-
organisms, some of which are Fe-oxidizing bacteria that form distinctive
tubes and filaments 21–26 . Epifluorescence imaging of modern vent sam-
ples has shown that cylindrical casts composed of iron oxyhydroxide
are formed by bacterial cells and are undeniably biogenic 25 . Hence,
morphologically similar tubes and filaments in ancient jaspers may be
taken as biosignatures 25,27–30 that can survive elevated temperatures
and pressures 31 , even though such jaspers generally lack carbonaceous
material 22,28,32,33 . The presence of abundant microcrystalline quartz in
jaspers may provide strong protection of primary features, such that
deformation and metamorphism do not obliterate all depositional and
diagenetic textures preserved by haematite 29 .
Haematite filaments in the NSB jasper are between 2 and 14 μm in
diameter and up to 500 μm in length (Fig. 1; Extended Data Fig. 4).
Some of the filaments exhibit loose coils (Extended Data Fig. 4a),
some are branched (Fig. 1c), and some form twisting plates of haema-
tite around a core that radiate from terminal knobs (Extended Data
Fig. 4e, f). They occur within quartz layers of the jaspers, in millimetre-
sized domains together with haematite rosettes (Fig. 1c), and comprise
micrometre-sized grains of haematite that are in turn enveloped by nano-
scale haematite (Fig. 1d). Cross-polar images show that the filaments do
not occur along grain boundaries (Fig. 1d). Some filaments are associated
with micrometre-sized carbonate grains, which locally occur together
with graphite (Extended Data Fig. 5). The NSB filaments (Fig. 1a–d)
have morphologies and compositions similar to those of filaments that
occur commonly in Phanerozoic jaspers of seafloor-hydrothermal origin,
such as those from Løkken, Norway (see Supplementary Information;
approximately 480 Myr; Fig. 1b) and the Franciscan Complex, California,
USA (approximately 185 Myr) 33 . The NSB filaments are also similar to
microbial filaments found in modern, low-temperature hydrothermal
vents 23,26 , some of which display twisted and branched morphologies
known to be formed by iron-oxidizing bacteria 21,26,30 .
Within the NSB jasper, cylindrical tubes with walls composed of dense
nanoscale haematite grains are preserved within coarse (50–500 μm)
quartz, which encapsulates the entire structure and fills the centres
(Fig. 2). Depth reconstructions demonstrate the consistent shape of the
tubes and filaments along their lengths and the cylindrical morphology
of the tubes in three dimensions (Fig. 2b, Extended Data Fig. 4). The
tubes are straight, have diameters of 16–30 μm (Extended Data Fig. 4),
and vary in length from 80 to 400 μm. Most tubes are filled with quartz
only, but some encapsulate a filament composed of micrometre-sized,
platy grains of haematite that extend radially outward from the core of
the filament (Fig. 2c), similar to those in younger jaspers (Fig. 2g). The
NSB tubes form aligned clusters within patches of locally coarser quartz
(Fig. 2a, e), similar to tubes in the Løkken jaspers (Fig. 2h), and occur
in lamination-deflecting, concretionary structures (Extended Data
Fig. 3b, c) and within quartz layers between millimetre-thick haematite–
magnetite layers (Extended Data Fig. 3f). About one in ten tubes in the
NSB terminate with a haematite knob (80–120 μm in diameter); about
half of those have a second tube attached (Figs 1a, 2f).
The tubes exhibit features attributed in other seafloor-hydrothermal
jaspers to fossil remains of iron-oxidizing bacteria 28 : 1, tubes contain
internal haematite filaments, similar to those of modern microbial
remains 23,26 ; 2, some tubes are attached to terminal haematite knobs,
like microbial tubes documented throughout the geological record 28,32
and in modern hydrothermal precipitates 21,24 ; 3, uniform tube diam-
eters are in the same 16–30-μm range as those of tube microfossils
in the Mt. Windsor and Uralian jaspers 29,34 ; 4, tubes are aligned in a
similar direction (as in some ancient jaspers 34 ), which is characteristic
of some modern iron-oxidizing bacteria 24,28,30,35 ; and 5, tubes and
filaments co-occur with apatite, carbonate, and carbonaceous material,
as in microfossils within the Løkken (Extended Data Fig. 5) and other
Phanerozoic jaspers 36 .
To assess the biogenicity of the NSB putative microfossils we con-
sider as a null hypothesis plausible abiogenic mechanisms that could
create haematite tubes and filaments through metamorphic stretching
or diagenetic processes (see Supplementary Information), such as fluid
flow, precipitation reactions, and self-assembly. However, no known
mechanism can wholly facilitate the growth of multiple tubes from a
single haematite knob at varying angles (Fig. 1a, Extended Data Fig. 4)
during metamorphic or diagenetic reactions, together with the
formation of internal coiled, branched, and twisted filaments (Extended
Data Fig. 4) with haematite envelopes (Fig. 1d), in addition to their
close spatial association with carbonate and graphitic carbon (Extended
Data Fig. 5). Collectively, our observations cannot be explained by a
single or combined abiogenic pathway, and therefore we reject the null
hypothesis.
Uniformitarianism, epitomised by younger examples of microbially
produced haematite tubes in hydrothermal vent precipitates throughout
the geological record (Supplementary Table 5), leads us to conclude
that haematite tubes and filaments within the NSB jaspers are the
mineralized remains of bacterial sheaths and extracellular filaments.
Filaments were probably coated by iron oxyhydroxide or silica after
being discarded by the microbes, and subsequently coated with silica
and recoated by iron oxyhydroxide in successive venting cycles 23,35 ,
producing filament structures that are thicker than the initial structure.
Residual carbonaceous material from the microbes is now preserved
in association with carbonate in contact with the filaments. Whereas
tubes and filaments in younger jaspers are typically attributed to iron
oxidizers, other bacteria such as cyanobacteria can produce aligned 37 ,
hollow cylindrical casts of iron oxide 38 . However, the attachment of
filaments to terminal knobs is characteristic of some iron oxidizers
in hydrothermal systems 21 , but not of cyanobacteria. These knobs are
morphologically similar to bacterial cells of the anoxygenic photofer-
rotroph Hyphomicrobium, which produces stalks during reproduction.
Alternatively, the knobs may be better compared to bacterial holdfasts
created by chemolithotroph Leptothrix-type bacteria. A twisted mor-
phology in some filaments also closely resembles the iron-rich stalks
formed by the extant ζ-proteobacterium Mariprofundus.
Ici ... nous avons une comparaisons entre les "activités bactériennes" moderne formation de précipité Si-Fe , structure filamenteuse , grain et "murs"
interressant également la partie soulignée en gras
To assess the biogenicity of the NSB putative microfossils we con-
sider as a null hypothesis plausible abiogenic mechanisms that could
create haematite tubes and filaments through metamorphic stretching
or diagenetic processes
que l'on peut traduire par
Pour évaluer la biogénicité des microfossiles putatifs de la NSB, nous con-
nous considérons comme une hypothèse nulle des mécanismes abiogènes plausibles qui pourraient
créer des tubes et des filaments d'hématite par le biais de l'étirement métamorphique
ou de processus diagénétiques
Ce qui se comprend aisément , ici , puisqu'il ne connaissent pas de réaction abiogénique pour cela alors , ils estiment que cela ne peut avoir lieu
Ce qui se tient également ... mais expose alors à un démenti si une réaction non biologique permet de rendre compte de cette structure.
Perso j'aurais été plus prudent
troisieme partie de l'article
Carbonate rosettes, apatite and carbonaceous material
If biological processes were involved in the genesis of iron formations,
the characteristic absence of carbonaceous material in iron formations
could be due to organisms such as photoferrotrophs that separate ferric
iron from the cells and allow most carbonaceous material to escape
sedimentation 39 . Any carbonaceous material that enters the sediments may
be diagenetically oxidized in conjunction with the reduction of ferric
iron 40 . This reaction may be understood from the following equation:
CH 3 COOH + 8Fe(OH) 3 + 2H 2 O
→ 8Fe 2 + + 2HCO 3 − + 22OH − + 8H +
A consequence of this reaction is the oxidation of carbonaceous
material to carbonate and the reduction of insoluble ferric iron
into soluble ferrous iron, followed by precipitation of iron-bearing
carbonate, ferrous silicates, and magnetite. The formation of c arbonate
from oxidized carbonaceous material is well illustrated in the
approximately 2,470-Myr-old Brockman Iron Formation of Western
Australia (Extended Data Fig. 6h, i), in which carbonate rhombohedra
occur in layers of disseminated carbonaceous material mixed with
carbonate rosettes.
Of particular note is the presence of carbonate rosettes, 50–200 μm
in diameter, that typically contain microscopic inclusions of carbo-
naceous material. Such rosettes are found in the NSB iron formations
(Fig. 3, Extended Data Fig. 6) as well as in younger jaspers and iron
formations (Supplementary Table 6). In the Løkken jasper, for example,
carbonate rosettes with inclusions of carbonaceous material overgrow
haematite filaments (Extended Data Fig. 6k) attributed to mineralized
bacteria 27 . In this interpretation, carbonaceous material was sourced
from the bacteria. Carbonate rosettes have also been grown in diage-
netic experiments using ferrihydrite and carbonaceous material 40 .
Both NSB and ancient jaspers, and modern hydrothermal vent pre-
cipitates, commonly preserve haematite rosettes 27,32,41 (Supplementary
Table 7, Extended Data Fig. 7), albeit of debated origin 42 . Ferrihydrite
rosettes that form today in the Lau Basin are intimately associated with
microbial filaments, but may be a result of abiogenic precipitation 41 .
In the Løkken jaspers, haematite rosettes are attributed to Fe-Si gel
maturation on the seafloor 27 . Such textural relationships may require
micro-chemical Eh–pH gradients that reduce ferric iron, followed by
mobilization and oxidation of Fe 2+ and its re-precipitation as haematite.
Given the close proximity of haematite rosettes to microbial filaments
in modern vent precipitates 41 , it is plausible that microbial carbona-
ceous material served as a reductant and ferrihydrite as an oxidant.
Sub-spheroidal rosettes of iron calcite (Supplementary Table 8) in car-
bonate-rich iron formations from the NSB (Fig. 3, Extended Data Fig. 6a, b)
have quartz cores and dimensions of approximately 50–200 μm 19 .
Some carbonate rosettes locally contain apatite inclusions and are cut by
apatite laths hundreds of micrometres in length (Fig. 3g), and by a cicular
stilpnomelane that cuts both rosettes and apatite (Fig. 3, Extended
Data Fig. 6g), demonstrating that the apatite and rosettes are pre-
metamorphic. The apatite contains myriad inclusions of aqueous
fluid, haematite, magnetite, and carbonaceous material (Fig. 3f–h).
Moreover, the rosettes occur with micrometre-sized particles of
graphitic carbon, randomly disseminated throughout the rings and
surrounding chert (Fig. 3c). Raman spectra of the graphitic carbon
show sharp and prominent G-bands ranging from 1,565 to 1,584 cm −1
and minor D-bands from 1,331 to 1,349 cm −1 (Fig. 3j, Extended Data
Fig. 6e). Whereas apatite-hosted carbonaceous material displays
Raman G-peak positions consistent with those of graphitic carbon,
the broad D-band suggests the presence of disordered sp3-bonded car-
bon (Fig. 3j) or a contribution from nanoscale haematite, which has
a broad peak at 1,320 cm −1 , partly explaining the broad and intense
Raman D-peak. Iron oxides can be seen associated with carbona-
ceous material in transmitted light and by micro-Raman spectroscopy
(Extended Data Fig. 8a). Raman spectra of graphitic carbon within
the carbonate rosettes (Fig. 3j) yield a range of calculated crystalli-
zation temperatures 43 between 396 °C and 564 °C (Supplementary
Tables 9, 10), which is partly consistent with mineral geothermom-
eters obtained from the Ujaraaluk amphibolite 17 , distinct from
those of poorly crystalline, fluid-deposited graphite in silicate iron
formations from other parts of the NSB 10 (Extended Data Fig. 8,
Supplementary Table 11). Additionally, Raman spectra of graphitic
carbon found in layered jaspers of the NSB (Extended Data
Fig. 8b–e) show that graphite from two different samples shares
common crystallization temperatures of approximately 500 °C. The
formation of syngenetic carbon preserved as graphite can be explained
by the p roduction of carbonaceous material via abiogenic synthesis 5 ,
carbonate decarbonation 2 , or from an original microbial biomass.
Isotopically light carbonate (− 15 to −5‰) in iron formations has
been attributed to the oxidation of isotopically light carbonaceous
material derived from microbial activity 44 , but precludes neither
the oxidation of isotopically light abiogenic carbonaceous material
nor a contribution from marine carbonate. The δ 13 C carb and δ 13 C org
values for jaspers from the NSB are −8.3 to −6.7‰ and − 25.7 to
− 19.7‰, respectively 10 , consistent with a biogenic origin, although
not unambiguously. However, in the case of the NSB, the phosphorus
(an element vital in biology) in laths of apatite intergrown with the
graphite-bearing carbonate rosettes suggests a biological source for
the carbon in graphite. In modern ocean sediments, accumulations of
carbonaceous material on the seafloor may concentrate phosphorus
through biological metabolisms 45 . Furthermore, the presence of apatite
in some NSB carbonate rosettes is analogous to occurrences of apatite
rosettes between stromatolitic phosphorite columns in a flourishing
late Palaeoproterozoic microbial ecosystem 46 . Whereas structures sim-
ilar to carbonate rosettes may form in open spaces and cavities 47 , the
well-banded, siliceous carbonate gels that formed precursors to these
carbonate iron formations could not have had a porous texture, and so
the formation of carbonate rosettes by open-space filling can be ruled
out. This conclusion is reinforced by the presence of morphologically
similar, diagenetic graphite-bearing carbonate rosettes in the Løkken
jasper 27 (Extended Data Fig. 6j–m). Combined with evidence of fila-
mentous microfossils and their direct association with carbonate and
graphitic carbon, and with numerous other observations supporting
biological activity in the NSB, the carbonate rosettes are best explained
as having formed by the oxidation of biomass. Such reactions may have
proceeded as chemically oscillating reactions akin to the Belousov–
Zhabotinsky reaction 48 , in line with inferences from similar structures
in younger iron formations (Extended Data Fig. 6h–m) and diagenetic
experiments 40 .
A nouveau les auteurs expliquent non pas des "bactéries fossilisées" mais des traces d'activité bactérienne
et qui plus est admet pour certain d'entre eux une voie abiogenique autrement dit cela peut être une activité bactérienne
comme cela peut être une activité purement chimique ...
Terminons l'article avec la derniere section
Granules
Magnetite-rimmed granules are common in late Palaeoproterozoic
iron formations and typically occur between stromatolite columns
(Extended Data Fig. 3i) and host microfossils. The oldest known gran-
ular iron formation from the Mozaan Group in South Africa is about
2,900 Myr old and contains magnetite-rimmed granules, isotopically
light carbonate, and zero-to-positive δ 56 Fe values, suggesting involve-
ment of iron-oxidizing microbes 49 .
Comparable 100–500-μm spheroidal to sub-spheroidal granules occur
in the NSB jaspers that crop out together with the carbonate iron for-
mations and banded jaspers hosting the microfossils (Extended Data
Fig. 3b, f). These granules occur in a matrix of chert (Fig. 4C) and have rims
composed of coarse magnetite with interiors of coarser-grained quartz
compared to the matrix. Micro-Raman images reveal that the granules
contain micrometre-sized minnesotaite, magnetite, calcite, haematite,
apatite, and carbonaceous material (Fig. 4d). The inclusions of carbona-
ceous material within the granules are 1–4 μm in size and display a pre-
dominant Raman peak at about 1,560–1,580 cm −1 and a broad, poorly
resolved D-peak (Fig. 4e). Granules of a similar size (200–400 μm) in
jaspers from the late Palaeoproterozoic Biwabik Iron Formation (Fig. 4a)
and the Løkken jasper (Extended Data Fig. 9i) also contain quartz
coarser than in the surrounding matrix, and a comparable mineralogy
dominated by magnetite-rimmed granules accompanied by haematite,
carbonate, carbonaceous material, and ferrous silicates. Carbonaceous
material within granules from all of these jaspers is typically associated
with, and coats, micrometre-sized diagenetic carbonate (Extended Data
Fig. 9). This close spatial association and the occurrence of carbonaceous
material concentrated in diagenetic granules suggest that such carbona-
ceous material is a primary phase. Less commonly, Løkken granules con-
tain haematite filaments with terminal knobs (Extended Data Fig. 9l).
We propose that the mineralogical constituents of iron-oxide gran-
ules of these jaspers reflect oxidation–reduction reactions. This model
implicates carbonaceous material and ferric iron as original reactants,
whereas ferric–ferrous silicates, apatite, magnetite, and carbonate are
considered reaction products. Given the similar morphology, min-
eralogy, and composition, and the common occurrence of rosettes,
granules, and filamentous microfossils in the Biwabik, Løkken, and
NSB jaspers, these diagenetic reactions would have proceeded in a sim-
ilar manner. This conclusion and the well-documented occurrence of
microfossils within some granules 50 (Extended Data Fig. 9l) point to an
origin involving microorganisms on the Nuvvuagittuq seafloor.
Preservation in the NSB of carbonaceous material and minerals in
diagenetic rosettes and granules that formed from the oxidation of
biomass, together with the presence of tubes similar in mineralogy and
morphology to those in younger jaspers interpreted as microfossils,
reveal that life established a habitat near submarine-hydrothermal vents
before 3,770 Myr ago and possibly as early as 4,280 Myr ago. On the
basis of chemical and morphological lines of evidence, the tubes and
filaments are best explained as remains of iron-metabolizing filamen-
tous bacteria, and therefore represent the oldest life forms recognized
on Earth. Given this new evidence from the NSB, ancient submarine-
hydrothermal vent systems should be viewed as potential sites for the
origins of life on Earth, and thus primary targets in the search for extra-
terrestrial life.
Cette partie la non plus ne parle pas de "bactéries fossilisé" ... il explique même au dernier paragraphe
the tubes and filaments are best explained as remains of iron-metabolizing filamen-
tous bacteria, and therefore represent the oldest life forms recognized
on Earth.
Les tubes et filament sont mieux expliquer comme reste de métabolisation du fer par des bactérie filamenteuse, et donc
représente la plus vieille forme de vie connue sur Terre.
mais notons que tout au long de l'article, les auteurs reconnaissent également par ailleurs que la voie abiogénique existe.
mais de "bactéries fossilisées" , il n'est point question ...
agecanonix a écrit : ↑01 mars23, 12:03
Ainsi, des bactéries peuvent se fossiliser et les plus anciennes, selon un article de "Nature" auraient plus de 4 milliards d'années.
Il eu été plus cohérent pour un super scientifique comme toi diplomé ... de te référer à l'article de Nature lui même
agecanonix a écrit : ↑01 mars23, 12:03
A. Meinesz a de plus en plus raison.
Tiens donc , à propos mais que dis le Prof Meinesz sur le sujet
au chapitre 5 ...
Les premières bactéries apparues sur Terre ont dû se former dans un endroit particulièrement favorable. Si elles sont venues d’ailleurs, dans une météorite, elles ont dû atterrir dans un site très localisé. Pour ensuite conquérir tous les espaces alors favorables, il a fallu beaucoup de temps. Et pourquoi pas deux météorites, ou plusieurs, toutes porteuses de vies tombées en divers endroits !
Quel que soit le bon scénario, les premières bactéries apparues sur Terre se sont multipliées puis dispersées, atteignant il y a 3,5 milliards d’années diverses régions de la planète, comme l’attestent leurs vestiges fossilisés déjà très dispersés à cette époque26.
étonnant un Scientifique ... dit qu'il ne sait pas ... si elles sont venues d'ailleurs ( son hypothèse ) ou sont nées sur Terre ...
et il confirme ... "vestiges fossilisés" ... pas bactérie ... mais bien leur activité ...
Sauf si maintenant , toi qui criait que l'on prenait Meinesz pour un imbécile , incapable ... tu te met à le considérer comme tel
Puisque maintenant tu dis et affirme le contraire de son propos .. visiblement sachant mieux que lui même
toujours ce manque de profondeur et cette incohérence dans les propos
agecanonix a écrit : ↑01 mars23, 12:03
En effet, l'Hadéen est le premier éon de l'histoire de la Terre. Il commence avec la formation de la Terre il y a environ 4,6 milliards d'années (Ga) pour se terminer autour de −4 Ga, et dure donc approximativement 600 millions d'années (Ma).
Cet éon correspond à la formation et à la stabilisation de la Terre primitive (en)2,3.
- L'Hadéen n'est pas découpé en ères comme les autres éons, mais peut se résumer en deux phases majeures :
de −4,568 à −4,4 Ga : présence d'un océan magmatique et différenciation du noyau métallique.
Genèse probable de la Lune, probablement par impact géant d'un planétoïde (dénommé Théia) avec la Terre, il y aurait environ 4,450 Ga.
de −4,4 à −4,00 Ga : formation d'une protocroûte continentale.
Grand bombardement tardif, qui serait responsable d'un accroissement significatif de la présence d'eau sur la Terre (ainsi que de la présence de la plupart des cratères résiduels de la Lune).
Ainsi, si la fourchette haute de la datation des bactéries du Québec s'avère réelle, c'est en -4,29 Ga que ces bactéries existaient déjà alors que jusqu'il y a 4,4 Ga, la terre était un océan magmatique .
Ainsi "Si" ... ne connais tu pas l'adage "avec des si on mettrait paris en bouteille" ...
Tu pars d'une hypothèse tu echafaude ta théorie ... jusque là pourquoi pas , ... mais le probleme intervient lorsque tu en fais une réalité démontrée ...
Cela dit , la teneur actuelle de tes propos fait penser à un retournement de veste progressif
agecanonix a écrit : ↑01 mars23, 12:03
Cela nous laisse à peine 110 millions d'années pour que la vie apparaisse sur la terre, se développe et évolue pour former les premières bactéries.
Et ? rappellons ... au passage que ton raisonnement commence par un "Si" ... et au lieu d'avoir un conditionnel "nous laisserait" tu effectues déjà un glissement vers une conclusion qui ne peut être établie comme certaine avec un "nous laisse"
agecanonix a écrit : ↑01 mars23, 12:03
Je rappelle au passage, comme le signalait A. Meinesz dans sa vidéo qu'on n'a aucune preuve à ce jour d'une évolution des premières formes de vie vers les bactéries, que ce soit dans les registres fossiles ou en laboratoire.
Pas plus que du contraire ... la question est ouverte ainsi que les conclusions ...
agecanonix a écrit : ↑01 mars23, 12:03
D'ailleurs, aujourd'hui, la plus petite forme de vie connue, qu'elle soit vivante ou fossilisée, est une bactérie. Il ne reste absolument rien de la vie qui serait apparue avant les bactéries et avant d'évoluer pour en devenir une.
et pourquoi pas une bactérie disparue ...
voici ce que dit Alexandre Meinesz toujours dans le chapitre 5 de son livre qui sert de support à sa conférence ... et non à son "cours" comme tu le prétendais il y a peu
Dans l’eau, ces minuscules cellules peuvent flotter et être transportées par les courants. Elles peuvent aussi s’insinuer dans les interstices les plus intimes de la croûte terrestre humide et chaude. Dans l’air, elles peuvent être portées très loin par les vents. Bien plus tard, la faune qu’elles ont parasitée ou à laquelle elles se sont associées, s’est aussi révélée un bon moyen de transport.
Les bactéries ont ainsi colonisé des volumes et espaces bien plus étendus que ceux occupés aujourd’hui par la faune et la flore.
Elles se sont diversifiées pour s’adapter aux multiples conditions de vie rencontrées dans leurs voyages. Leur taille minuscule a favorisé leur dissémination et par conséquent leur extraordinaire diversité. C’est cette mobilité qui a permis l’isolement de souches particulières, puis la sélection naturelle des plus résistants et des plus prolifiques dans des environnements divers. Leur capacité d’adaptation à des conditions de vie très variées a été rendue possible par un potentiel extraordinaire de modification de leurs cellules acquis par évolution. Aujourd’hui les bactéries changent toujours. Les principes de l’évolution s’appliquent aussi aux bactéries.
L’évolution est une notion dynamique. Il faut du temps pour qu’une modification s’établisse et se perpétue. Ces organismes ont traversé des millions de millénaires en évoluant dans un monde resté microscopique.
Pour évoluer, il faut se reproduire. Or le plus souvent, les bactéries se reproduisent très simplement : elles se coupent en deux. La matière vivante, y compris les gènes, est équitablement dupliquée et partagée. Il n’y a pas de reproduction sexuée, pas de fusion d’une bactérie mâle avec une bactérie femelle, donc pas de croisements, pas d’hybridation… c’est un désavantage évolutif. Mais le handicap de leur mode de reproduction très simple est compensé par la vitesse de leur doublement. En une heure, plusieurs divisions donnent plusieurs générations de bactéries. Or, à chaque division, de minuscules erreurs peuvent apparaître. Ces erreurs de recopiage sont appelées mutations et touchent l’information génétique ; souvent létales, elles peuvent se révéler bénéfiques si elles confèrent une nouvelle capacité à son porteur et sont sélectionnées. Ainsi, plus le nombre de divisions est grand, plus le nombre d’erreurs est élevé, plus la probabilité d’une innovation fortuite est importante. Le stress lié aux changements de milieux peut aussi favoriser l’apparition de ce type d’erreurs génétiques. Sachant que certaines bactéries se divisent en moins d’une demi-heure et que ce phénomène est survenu sur Terre il y a plus de 3,5 milliards d’années, le nombre de changements génétiques potentiellement innovants ainsi induits est gigantesque. Ce système d’innovation évolutive, fondé sur une simple duplication et des erreurs de recopiage (mutations), ensuite sélectionnées ou non, est amplifié par une « bourse d’échanges » de gènes : les bactéries peuvent en effet se transmettre des gènes sans véritable sexualité, le plus souvent par l’intermédiaire de virus27.
Tous ces transferts, échanges ou modifications de gènes finissent par s’exprimer par de petits changements de forme ou de comportement. Les modifications sont alors confrontées à l’environnement dans lequel vit la bactérie. Seuls les changements neutres, viables et avantageux sont perpétués.
Un exemple classique illustre la grande potentialité de transformation des bactéries. Vous avez une angine causée par des bactéries ? Le médecin vous prescrit un médicament destiné à les tuer (un antibiotique). Vous vous sentez mieux au bout de deux jours et arrêtez de prendre le médicament, contrairement à la prescription médicale. C’est une erreur car, parmi les milliards de bactéries ayant proliféré dans votre gorge, certaines ont un caractère plus résistant, lié à une différence infime dans leur matériel génétique. N’étant plus inquiétées par l’antibiotique, ces bactéries plus résistantes vont proliférer et l’antibiotique perdra toute efficacité. C’est ainsi que l’usage excessif et répété des antibiotiques favorise l’émergence de nouvelles souches de bactéries pathogènes, contre lesquelles il faut inventer d’autres médicaments. Ces derniers, trop souvent mal utilisés, induiront à leur tour l’apparition de nouvelles souches résistantes28.
Quoi qu’il en soit, l’immense diversité actuelle des espèces de bactéries et de leurs modes de vies résulte ainsi de la combinaison de deux caractéristiques : la faible taille, de ces micro-organismes, qui a favorisé leur dissémination dans des milieux très variés, et leur division rapide, à l’origine de nombreuses modifications génétiques. Les bactéries sont des voyageuses opportunistes, possédant un mécanisme d’évolution performant qui leur permet de changer, d’innover sans cesse et ainsi de s’adapter très vite à de nouvelles conditions de vie.
L’étonnante diversité des modes de vie des bactéries suscite des interrogations. Une « chimio-bactérie » a-t-elle pu se transformer par évolution en « bactérie végétale » ou en « bactérie champignon » ? Un autre ordre s’est-il imposé ? Ou bien la Terre a-t-elle été inoculée de plusieurs souches déjà différentes ? Plusieurs centaines de chercheurs consacrent aujourd’hui leur vie professionnelle à tenter de percer ces mystères et à forger des hypothèses. Comme les représentants de ces bactéries existent encore, leur génome peut être étudié. On trouve ainsi des points communs à ces trois groupes (c’est déjà évident car toutes les bactéries ont les mêmes composants i
tiens tiens ... une "chimio-bactérie" fait sont apparition dans le discours .
Chimio-bactérie ... autrement dit , un truc hypothétique qui agirait comme une "bactérie primitive" mais qui serait donc toujours "non vivante" et uniquement de nature "chimique" ...
est ce étonnant dans le discours d'un scientifique ? non ... Le professeur Meinesz envisage d'autre possibilité , même si celle ci lui semble hasardeuse ...
il ne se contente pas de "croire qu'il a raison" , il défent sa thèse , mais ne dit pas que sa thèse est la "vérité" ...
Ce qui s'appelle , pour le coup , une démarche scientifique ...
agecanonix a écrit : ↑01 mars23, 12:03
C'est assez curieux car la somme d'évolutions nécessaires pour atteindre la bactérie le plus simple est assez phénoménale et il apparaît curieux que la vie qui serait née dans les conditions aussi cataclysmique (océan magmatique) n'ait pas survécu jusque maintenant alors que les bactéries ont envahi le monde, jusqu'à nos intestins.
Ainsi donc Meinesz est un imbécile ? ou plus surement tu ne connais pas sont travail et son livre
agecanonix a écrit : ↑01 mars23, 12:03
En fait, les conditions pour que la vie apparaisse sur la terre sont tellement uniques et mathématiquement improbables que mêmes les évolutionnistes n'imaginent pas que cela ait pu se produire 2 fois en 4,4 Ga. C'est dire si ce qui s'est passé tient déjà du miracle.
heureusement qu'Agécanonix notre grand scientifique diplomé de service est là pour nous expliquer que les Scientifiques sont des imbéciles incapables
qui n'ont rien compris ...
Et cependant le même Agecanonix qui n'est pas capable de publier ailleurs qu'ici ses fantastiques découvertes ...
agecanonix a écrit : ↑01 mars23, 12:03
Puis je espérer une réponse qui ne soit pas une insulte ? Là aussi, la probabilité ne me pousse pas à l'optimisme...
Pouvons nous espèrer des arguments qui ne soient pas une insulte à l'intelligence ?
Cordialement