PAPILLOMAVIRUS : ☠️ le cauchemar des faux-vaccins recommence 🧟
PAPILLOMAVIRUS : ☠️ le cauchemar des faux-vaccins recommence 🧟
Ecrit le 01 mars23, 08:00Bonjour.
Hier, mardi 28 février 2023, le président Emmanuel Macron a annoncé une campagne massive de vaccination des jeunes filles et des jeunes garçons dès la classe de 5ème contre le papillomavirus.
Le produit s'appelle le Gardasil, développé par le laboratoire Merck.
Ce poison est connu depuis des années et a déjà provoqué de nombreux dégâts, notamment en Inde. Des jeunes filles en sont mortes, des milliers d'autres ont été gravement handicapées.
Ce fil de discussion vise à lancer l'alerte contre cette nouvelle campagne massive de fausse vaccination, en fournissant les informations qui ne vont pas manquer de nous parvenir jour après jour.
Tout message hors-sujet et tentatives de trollage seront systématiquement signalées à la modération.
Merci pour votre compréhension.
Hier, mardi 28 février 2023, le président Emmanuel Macron a annoncé une campagne massive de vaccination des jeunes filles et des jeunes garçons dès la classe de 5ème contre le papillomavirus.
Le produit s'appelle le Gardasil, développé par le laboratoire Merck.
Ce poison est connu depuis des années et a déjà provoqué de nombreux dégâts, notamment en Inde. Des jeunes filles en sont mortes, des milliers d'autres ont été gravement handicapées.
Ce fil de discussion vise à lancer l'alerte contre cette nouvelle campagne massive de fausse vaccination, en fournissant les informations qui ne vont pas manquer de nous parvenir jour après jour.
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Merci pour votre compréhension.
Source :
https://www.stopmandatoryvaccination.co ... aily-hell/
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Re: PAPILLOMAVIRUS : ☠️ le cauchemar des faux-vaccins recommence 🧟
Ecrit le 01 mars23, 08:40Déjà que les nombreux adjuvants introduits posaient et posent encore de sérieux problèmes, il faudrait maintenant accepter la tendance à la généralisation des injections à ARN messager, sans la prudence qui est de mise.
Il faudra dorénavant se méfier de tout nouveau vaccin et réactualisations de vaccins plus anciens.
Il faudra dorénavant se méfier de tout nouveau vaccin et réactualisations de vaccins plus anciens.
La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit sont lot d'expériences vécues.
Sagesse !
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Re: PAPILLOMAVIRUS : ☠️ le cauchemar des faux-vaccins recommence 🧟
Ecrit le 01 mars23, 08:43Tout à fait.J'm'interroge a écrit : ↑01 mars23, 08:40 Déjà que les nombreux adjuvants introduits posaient et posent encore de sérieux problèmes, il faudrait maintenant accepter la tendance à la généralisation des injections à ARN messager, sans la prudence qui est de mise.
Il faudra dorénavant se méfier de tout nouveau vaccin et réactualisations de vaccins plus anciens.
Ne t'inquiète pas, on va surveiller ça à la loupe, ou plus précisément au microscope électronique.
Ajouté 10 minutes 42 secondes après :
Voici la propagande qu'on livre aux moutons français :
Je vous donnerai quelques infos au sujet de cette Madame Brigitte Milhau...
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Re: PAPILLOMAVIRUS : ☠️ le cauchemar des faux-vaccins recommence 🧟
Ecrit le 01 mars23, 09:16https://www.inspq.qc.ca/publications/3242
Calendrier de vaccination contre les virus du papillome humain pour les personnes âgées de 18 ans et plus au Québec
Des études montrent que la vaccination à une, deux ou trois doses contre les virus du papillome humain (VPH) de type 16 et 18 offre une protection similaire, ce qui remet en question la nécessité de maintenir la recommandation actuelle de trois doses de vaccin pour les personnes de 18 ans et plus.
Les calendriers à une ou deux doses de vaccin contre les VPH ont été évalués et recommandés pour les jeunes âgés de 9 à 15 ans. La vaccination contre les VPH peut toutefois débuter après cet âge et comprendre les trois doses généralement recommandées.
La protection contre le VPH 18 conférée par le vaccin quadrivalent reste très élevée contre les infections persistantes et les lésions précancéreuses jusqu’à 14 ans après la vaccination, malgré des niveaux d’anticorps bas ou même non détectables.
À la suite de résultats d’études cliniques et observationnelles, des programmes à deux et même à une seule dose ont été recommandés par certains comités d’experts, notamment pour les personnes âgées de 18 ans et plus.
Très peu d’études ont évalué des calendriers de vaccination utilisant moins de trois doses chez les personnes ayant une immunodépression ou chez celles vivant avec le VIH. Ces personnes sont également reconnues pour leur moins bonne réponse aux vaccins.
Dans ce contexte, le CIQ recommande :
L’utilisation d’un calendrier à deux doses de vaccins nonavalent contre les VPH espacées de six mois ou plus (minimum de cinq mois) pour les personnes immunocompétentes âgées de 18 ans et plus, y compris les hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes (HARSAH).
Le maintien des calendriers à deux doses allongées pour les personnes âgées de moins de 18 ans et de trois doses pour celles immunodéprimées ou vivant avec le VIH.
Le CIQ réitère que pour obtenir les gains maximaux, la vaccination contre les VPH devrait idéalement être administrée avant le début de relations sexuelles, soit durant la préadolescence ou la jeune adolescence
Calendrier de vaccination contre les virus du papillome humain pour les personnes âgées de 18 ans et plus au Québec
Des études montrent que la vaccination à une, deux ou trois doses contre les virus du papillome humain (VPH) de type 16 et 18 offre une protection similaire, ce qui remet en question la nécessité de maintenir la recommandation actuelle de trois doses de vaccin pour les personnes de 18 ans et plus.
Les calendriers à une ou deux doses de vaccin contre les VPH ont été évalués et recommandés pour les jeunes âgés de 9 à 15 ans. La vaccination contre les VPH peut toutefois débuter après cet âge et comprendre les trois doses généralement recommandées.
La protection contre le VPH 18 conférée par le vaccin quadrivalent reste très élevée contre les infections persistantes et les lésions précancéreuses jusqu’à 14 ans après la vaccination, malgré des niveaux d’anticorps bas ou même non détectables.
À la suite de résultats d’études cliniques et observationnelles, des programmes à deux et même à une seule dose ont été recommandés par certains comités d’experts, notamment pour les personnes âgées de 18 ans et plus.
Très peu d’études ont évalué des calendriers de vaccination utilisant moins de trois doses chez les personnes ayant une immunodépression ou chez celles vivant avec le VIH. Ces personnes sont également reconnues pour leur moins bonne réponse aux vaccins.
Dans ce contexte, le CIQ recommande :
L’utilisation d’un calendrier à deux doses de vaccins nonavalent contre les VPH espacées de six mois ou plus (minimum de cinq mois) pour les personnes immunocompétentes âgées de 18 ans et plus, y compris les hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes (HARSAH).
Le maintien des calendriers à deux doses allongées pour les personnes âgées de moins de 18 ans et de trois doses pour celles immunodéprimées ou vivant avec le VIH.
Le CIQ réitère que pour obtenir les gains maximaux, la vaccination contre les VPH devrait idéalement être administrée avant le début de relations sexuelles, soit durant la préadolescence ou la jeune adolescence
Unir l'humanité. Un seul Dieu. Les grandes religions de Dieu. Femmes, hommes sont égaux. Tous les préjugés sont destructeurs et doivent être abandonnés. Chercher la vérité par nous-mêmes. La science et la religion en harmonie. Nos problèmes économiques sont liés à des problèmes spirituels. La famille et son unité sont très importantes.
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Re: PAPILLOMAVIRUS : ☠️ le cauchemar des faux-vaccins recommence 🧟
Ecrit le 01 mars23, 09:25https://www.quebec.ca/sante/problemes-d ... humain-vph
Description
La famille des virus du papillome humain (VPH) compte plusieurs types de virus, dont plus de 40 sont transmissibles sexuellement. Parmi ceux-ci, il y a :
les VPH à faible risque de cancer, dont certains causent des condylomes;
les VPH à risque élevé, qui peuvent causer le cancer.
La plupart des hommes et des femmes qui ont une vie sexuelle active auront une infection à VPH à un moment ou à un autre de leur vie. Une personne peut être infectée par plus d’un type de VPH au cours de sa vie. Elle peut aussi être infectée plus d’une fois par le même type de VPH.
Symptômes
Très souvent, les personnes infectées n’ont pas de symptômes. Une personne peut donc être infectée sans le savoir.
Condylomes (symptômes d’infections par les VPH à faible risque de cancer)
Les condylomes sont des verrues qui se manifestent sous forme de petites bosses sur la peau ou les muqueuses :
des organes génitaux (pénis, scrotum, vulve, vagin, anus);
parfois, de la gorge.
Les condylomes apparaissent entre 3 semaines et plusieurs mois ou même des années après l’infection. Sans traitement, ils disparaissent généralement en quelques années, mais ils peuvent réapparaître après plusieurs mois ou plusieurs années. Les condylomes ne posent pas de risques pour la santé. Ils ne sont ni cancéreux ni précancéreux.
Symptômes des infections par les VPH à risque élevé de cancer
Une infection par les VPH à risque élevé de cancer n’entraîne généralement pas de symptômes. Dans la majorité des cas, le système immunitaire élimine ces infections au bout de plusieurs mois. Chez la plupart des femmes, la présence du virus est impossible à détecter après 2 ans. Chez une minorité de femmes infectées, l’infection peut cependant persister plus de 2 ans et entraîner des lésions au col de l’utérus. Ces lésions peuvent causer des saignements vaginaux anormaux, par exemple au moment des relations sexuelles.
Chaque année, au Québec, environ 300 femmes reçoivent un diagnostic de cancer du col de l’utérus.
Quand consulter
Si vous avez des saignements vaginaux anormaux ou si vous croyez avoir des condylomes, vous pouvez appeler Info-Santé 811 ou consulter un médecin. Celui-ci pourra faire les tests nécessaires pour poser un diagnostic.
Traitements
Dans la plupart des cas, le système immunitaire élimine l’infection à VPH en quelques mois. Toutefois, rien ne peut traiter efficacement les virus responsables des infections à VPH eux-mêmes. Par contre, certaines manifestations des 2 types d’infections par les VPH peuvent être traitées.
Traitement des condylomes (signe d’infection par les VPH à faible risque de cancer)
Certains traitements à appliquer sur les condylomes peuvent les faire disparaître. Toutefois, ces traitements n’éliminent pas toujours le virus. Celui-ci peut donc parfois persister après la disparition des condylomes.
Si vous avez des condylomes, votre médecin évaluera si un traitement est nécessaire. Il pourra au besoin vous recommander un traitement approprié.
Traitement des infections par les VPH à risque élevé de cancer
Si vous avez une infection à VPH à risque élevé de cancer, votre médecin vous recommandera le meilleur traitement selon votre situation. Le traitement vise à neutraliser le virus pour éviter le développement de cellules cancéreuses. Il ne garantit toutefois pas son élimination. Si votre médecin découvre un cancer, il vous dirigera vers un spécialiste.
Aviser ses partenaires
Les personnes qui ont des condylomes devraient en aviser leurs partenaires sexuels actuels. Ceux-ci pourront consulter un professionnel de la santé, qui déterminera entre autres s’il est pertinent qu’ils soient vaccinés contre les infections par les VPH.
Complications
Dans certains cas, les infections à VPH peuvent entraîner des complications. Celles-ci varient selon les types de VPH.
Complications des condylomes (signe d’infection par les VPH à faible risque de cancer)
Une infection par un VPH à faible risque de cancer n’entraîne pas de lésions précancéreuses au col de l’utérus. Ce type d’infections n’augmente pas non plus le risque de cancer du col de l’utérus. Par contre, l’infection peut provoquer, chez certaines personnes, les complications suivantes :
présence de très gros condylomes;
apparition de bosses à l’intérieur du larynx ou des voies respiratoires, ou sur les cordes vocales. Cette complication est rare et peut toucher les jeunes enfants, les adolescents et les jeunes adultes.
Complications des infections par les VPH à risque élevé de cancer
Chez la femme, ces infections peuvent entraîner des lésions au col de l’utérus, qui peuvent se transformer en cancer du col de l’utérus. Des lésions peuvent également apparaître dans le vagin ou sur la vulve et entraîner des cancers à ces endroits.
Chez l’homme, ces infections peuvent entraîner des lésions sur le pénis, qui peuvent se transformer en cancer.
Chez la femme et chez l’homme, des lésions peuvent toucher l’anus et la gorge et provoquer des cancers de ces régions.
Les VPH augmentent le risque d’infection par le VIH.
Transmission
Une personne qui a une infection à VPH peut transmettre le virus même si elle n’a pas de symptômes.
La transmission par voie sexuelle peut se produire lors de :
relations orales (contact de la bouche avec le pénis, la vulve, le vagin ou l’anus);
relations vaginales (pénétration du pénis dans le vagin);
relations anales (pénétration du pénis dans l’anus);
contact entre les organes génitaux des partenaires;
partage de jouets sexuels.
La transmission sexuelle peut avoir lieu même sans pénétration, orgasme ou éjaculation.
Plus rarement, une mère infectée peut transmettre l’infection à son bébé au moment de l’accouchement.
Protection et prévention
Vaccination
Le meilleur moyen de se protéger contre les infections par les VPH et leurs complications est la vaccination. Au Québec, deux vaccins contre les VPH sont offerts gratuitement dans le cadre du Programme québécois d’immunisation. Les personnes qui ne sont pas admissibles au Programme peuvent également se faire vacciner. Elles devront toutefois payer les vaccins.
Pour en savoir plus sur le programme et sur les vaccins offerts, consultez la page Vaccins contre les infections par les virus du papillome humain (VPH).
Protection sexuelle
Le condom diminue le risque d’infection par les VPH lorsqu’il est utilisé :
lors de tout contact entre les organes génitaux;
pendant toute la durée de la relation sexuelle orale, vaginale ou anale;
à chaque relation sexuelle.
L’utilisation d’un carré de latex pour couvrir la vulve ou l’anus pendant les relations orales diminue le risque de transmission des VPH. Il permet d’éviter le contact direct avec la bouche. Pour fabriquer un carré de latex, déroulez un condom, coupez-en l’extrémité et découpez-le dans le sens de la longueur.
Toutefois, l’utilisation d’un condom ou d’un carré de latex n’empêche pas la transmission des VPH par contact avec les zones infectées non couvertes, comme :
la vulve;
le scrotum.
Les personnes qui partagent des jouets sexuels peuvent diminuer le risque de transmission des VPH en les recouvrant avec un condom. Elles doivent changer de condom entre chaque partenaire.
Dépistage
Si vous avez des condylomes, consultez un médecin ou une infirmière.
Le dépistage du cancer du col de l’utérus (test de Pap) est recommandé à toute femme âgée de 21 à 65 ans si :
elle est active sexuellement;
elle a été sexuellement active dans le passé.
À consulter aussi
Cancer du col de l'utérus
Dépistage du cancer du col de l'utérus
Vaccins contre les infections par les virus du papillome humain (VPH)
Dépistage des infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS)
Infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) et grossesse
Infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS)
Ajouté 15 minutes 29 secondes après :
ce fil de discussions est il voué à la désinformation?
Description
La famille des virus du papillome humain (VPH) compte plusieurs types de virus, dont plus de 40 sont transmissibles sexuellement. Parmi ceux-ci, il y a :
les VPH à faible risque de cancer, dont certains causent des condylomes;
les VPH à risque élevé, qui peuvent causer le cancer.
La plupart des hommes et des femmes qui ont une vie sexuelle active auront une infection à VPH à un moment ou à un autre de leur vie. Une personne peut être infectée par plus d’un type de VPH au cours de sa vie. Elle peut aussi être infectée plus d’une fois par le même type de VPH.
Symptômes
Très souvent, les personnes infectées n’ont pas de symptômes. Une personne peut donc être infectée sans le savoir.
Condylomes (symptômes d’infections par les VPH à faible risque de cancer)
Les condylomes sont des verrues qui se manifestent sous forme de petites bosses sur la peau ou les muqueuses :
des organes génitaux (pénis, scrotum, vulve, vagin, anus);
parfois, de la gorge.
Les condylomes apparaissent entre 3 semaines et plusieurs mois ou même des années après l’infection. Sans traitement, ils disparaissent généralement en quelques années, mais ils peuvent réapparaître après plusieurs mois ou plusieurs années. Les condylomes ne posent pas de risques pour la santé. Ils ne sont ni cancéreux ni précancéreux.
Symptômes des infections par les VPH à risque élevé de cancer
Une infection par les VPH à risque élevé de cancer n’entraîne généralement pas de symptômes. Dans la majorité des cas, le système immunitaire élimine ces infections au bout de plusieurs mois. Chez la plupart des femmes, la présence du virus est impossible à détecter après 2 ans. Chez une minorité de femmes infectées, l’infection peut cependant persister plus de 2 ans et entraîner des lésions au col de l’utérus. Ces lésions peuvent causer des saignements vaginaux anormaux, par exemple au moment des relations sexuelles.
Chaque année, au Québec, environ 300 femmes reçoivent un diagnostic de cancer du col de l’utérus.
Quand consulter
Si vous avez des saignements vaginaux anormaux ou si vous croyez avoir des condylomes, vous pouvez appeler Info-Santé 811 ou consulter un médecin. Celui-ci pourra faire les tests nécessaires pour poser un diagnostic.
Traitements
Dans la plupart des cas, le système immunitaire élimine l’infection à VPH en quelques mois. Toutefois, rien ne peut traiter efficacement les virus responsables des infections à VPH eux-mêmes. Par contre, certaines manifestations des 2 types d’infections par les VPH peuvent être traitées.
Traitement des condylomes (signe d’infection par les VPH à faible risque de cancer)
Certains traitements à appliquer sur les condylomes peuvent les faire disparaître. Toutefois, ces traitements n’éliminent pas toujours le virus. Celui-ci peut donc parfois persister après la disparition des condylomes.
Si vous avez des condylomes, votre médecin évaluera si un traitement est nécessaire. Il pourra au besoin vous recommander un traitement approprié.
Traitement des infections par les VPH à risque élevé de cancer
Si vous avez une infection à VPH à risque élevé de cancer, votre médecin vous recommandera le meilleur traitement selon votre situation. Le traitement vise à neutraliser le virus pour éviter le développement de cellules cancéreuses. Il ne garantit toutefois pas son élimination. Si votre médecin découvre un cancer, il vous dirigera vers un spécialiste.
Aviser ses partenaires
Les personnes qui ont des condylomes devraient en aviser leurs partenaires sexuels actuels. Ceux-ci pourront consulter un professionnel de la santé, qui déterminera entre autres s’il est pertinent qu’ils soient vaccinés contre les infections par les VPH.
Complications
Dans certains cas, les infections à VPH peuvent entraîner des complications. Celles-ci varient selon les types de VPH.
Complications des condylomes (signe d’infection par les VPH à faible risque de cancer)
Une infection par un VPH à faible risque de cancer n’entraîne pas de lésions précancéreuses au col de l’utérus. Ce type d’infections n’augmente pas non plus le risque de cancer du col de l’utérus. Par contre, l’infection peut provoquer, chez certaines personnes, les complications suivantes :
présence de très gros condylomes;
apparition de bosses à l’intérieur du larynx ou des voies respiratoires, ou sur les cordes vocales. Cette complication est rare et peut toucher les jeunes enfants, les adolescents et les jeunes adultes.
Complications des infections par les VPH à risque élevé de cancer
Chez la femme, ces infections peuvent entraîner des lésions au col de l’utérus, qui peuvent se transformer en cancer du col de l’utérus. Des lésions peuvent également apparaître dans le vagin ou sur la vulve et entraîner des cancers à ces endroits.
Chez l’homme, ces infections peuvent entraîner des lésions sur le pénis, qui peuvent se transformer en cancer.
Chez la femme et chez l’homme, des lésions peuvent toucher l’anus et la gorge et provoquer des cancers de ces régions.
Les VPH augmentent le risque d’infection par le VIH.
Transmission
Une personne qui a une infection à VPH peut transmettre le virus même si elle n’a pas de symptômes.
La transmission par voie sexuelle peut se produire lors de :
relations orales (contact de la bouche avec le pénis, la vulve, le vagin ou l’anus);
relations vaginales (pénétration du pénis dans le vagin);
relations anales (pénétration du pénis dans l’anus);
contact entre les organes génitaux des partenaires;
partage de jouets sexuels.
La transmission sexuelle peut avoir lieu même sans pénétration, orgasme ou éjaculation.
Plus rarement, une mère infectée peut transmettre l’infection à son bébé au moment de l’accouchement.
Protection et prévention
Vaccination
Le meilleur moyen de se protéger contre les infections par les VPH et leurs complications est la vaccination. Au Québec, deux vaccins contre les VPH sont offerts gratuitement dans le cadre du Programme québécois d’immunisation. Les personnes qui ne sont pas admissibles au Programme peuvent également se faire vacciner. Elles devront toutefois payer les vaccins.
Pour en savoir plus sur le programme et sur les vaccins offerts, consultez la page Vaccins contre les infections par les virus du papillome humain (VPH).
Protection sexuelle
Le condom diminue le risque d’infection par les VPH lorsqu’il est utilisé :
lors de tout contact entre les organes génitaux;
pendant toute la durée de la relation sexuelle orale, vaginale ou anale;
à chaque relation sexuelle.
L’utilisation d’un carré de latex pour couvrir la vulve ou l’anus pendant les relations orales diminue le risque de transmission des VPH. Il permet d’éviter le contact direct avec la bouche. Pour fabriquer un carré de latex, déroulez un condom, coupez-en l’extrémité et découpez-le dans le sens de la longueur.
Toutefois, l’utilisation d’un condom ou d’un carré de latex n’empêche pas la transmission des VPH par contact avec les zones infectées non couvertes, comme :
la vulve;
le scrotum.
Les personnes qui partagent des jouets sexuels peuvent diminuer le risque de transmission des VPH en les recouvrant avec un condom. Elles doivent changer de condom entre chaque partenaire.
Dépistage
Si vous avez des condylomes, consultez un médecin ou une infirmière.
Le dépistage du cancer du col de l’utérus (test de Pap) est recommandé à toute femme âgée de 21 à 65 ans si :
elle est active sexuellement;
elle a été sexuellement active dans le passé.
À consulter aussi
Cancer du col de l'utérus
Dépistage du cancer du col de l'utérus
Vaccins contre les infections par les virus du papillome humain (VPH)
Dépistage des infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS)
Infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) et grossesse
Infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS)
Ajouté 15 minutes 29 secondes après :
ce fil de discussions est il voué à la désinformation?
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Re: PAPILLOMAVIRUS : ☠️ le cauchemar des faux-vaccins recommence 🧟
Ecrit le 01 mars23, 18:55Source : https://www.leparisien.fr/amp/archives/ ... 419033.php
(2013)
Ajouté 2 heures 10 minutes 55 secondes après :
Comme promis hier, je vous reparle de Mme Brigitte Milhau, la VRP des poisons pharmaceutiques.
La vidéo suivante date d'il y a plus de deux ans, mais comme vous le savez, dans la Résistance tout est archivé, d'un côté comme de l'autre, la devise étant : "ni oubli, ni pardon".
Après avoir fait la promotion tout sourire d'un poison anti-covid, puis une pause publicitaire, cette dame pense que le micro est encore coupé avant la reprise d'antenne, sauf que non...
Re: PAPILLOMAVIRUS : ☠️ le cauchemar des faux-vaccins recommence 🧟
Ecrit le 02 mars23, 00:232009 - Rappel du scandale du Gardasil en Inde
https://odysee.com/@GiletteJaune:8/2009 ... pRcx7T6Hut
Vidéo intéressante qui dure un peu plus de 25 minutes
https://odysee.com/@laileastick:4/2022- ... pRcx7T6Hut
https://odysee.com/@GiletteJaune:8/2009 ... pRcx7T6Hut
Vidéo intéressante qui dure un peu plus de 25 minutes
https://odysee.com/@laileastick:4/2022- ... pRcx7T6Hut
Re: PAPILLOMAVIRUS : ☠️ le cauchemar des faux-vaccins recommence 🧟
Ecrit le 02 mars23, 01:47Je rajoute la vignette, on peut cliquer dessus pour ouvrir la vidéo, qui ne dure que 2 minutes et 16 secondes (je précise pour les complosophistes qui ne se donnent pas la peine de visionner les vidéos).Kenzo a écrit : ↑02 mars23, 00:23 2009 - Rappel du scandale du Gardasil en Inde
https://odysee.com/@GiletteJaune:8/2009 ... pRcx7T6Hut
J'aurais bien mis cette vidéo sur ma deuxième chaîne Youtube, puisque ma première chaîne a déjà été censurée hier soir suite à la vidéo sur la docteresse analysant le Gardasil au microscope. Et bien que cette vidéo proposée par Kenzo sur le scandale du Gardasil en Inde expose des faits totalement officiels et largement documentés, elle est manifestement interdite sur Youtube.
Re: PAPILLOMAVIRUS : ☠️ le cauchemar des faux-vaccins recommence 🧟
Ecrit le 02 mars23, 02:21Pourquoi on injecte les adolescents ?
- indian
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Re: PAPILLOMAVIRUS : ☠️ le cauchemar des faux-vaccins recommence 🧟
Ecrit le 02 mars23, 02:58pour y introduire un vaccin biologiquement.
Unir l'humanité. Un seul Dieu. Les grandes religions de Dieu. Femmes, hommes sont égaux. Tous les préjugés sont destructeurs et doivent être abandonnés. Chercher la vérité par nous-mêmes. La science et la religion en harmonie. Nos problèmes économiques sont liés à des problèmes spirituels. La famille et son unité sont très importantes.
Re: PAPILLOMAVIRUS : ☠️ le cauchemar des faux-vaccins recommence 🧟
Ecrit le 02 mars23, 03:06Si on ne risque presque rien avant 40 ans, pourquoi le faire si jeune ?
- indian
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Re: PAPILLOMAVIRUS : ☠️ le cauchemar des faux-vaccins recommence 🧟
Ecrit le 02 mars23, 03:13que signifie pour vous '' ne risquer presque rien''?
Merci
Unir l'humanité. Un seul Dieu. Les grandes religions de Dieu. Femmes, hommes sont égaux. Tous les préjugés sont destructeurs et doivent être abandonnés. Chercher la vérité par nous-mêmes. La science et la religion en harmonie. Nos problèmes économiques sont liés à des problèmes spirituels. La famille et son unité sont très importantes.
Re: PAPILLOMAVIRUS : ☠️ le cauchemar des faux-vaccins recommence 🧟
Ecrit le 02 mars23, 03:17Regarde dans le dico ! Tu vas pas commencer à poser des questions à la con comme tu fais dans le tchat, je ne mange pas de ce pain là !
- indian
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Re: PAPILLOMAVIRUS : ☠️ le cauchemar des faux-vaccins recommence 🧟
Ecrit le 02 mars23, 03:29ah ok, vous n'en savez donc rien. c'est ca?
https://www.quebec.ca/sante/problemes-d ... humain-vph
https://www.inspq.qc.ca/en/publications ... ome-humain
Unir l'humanité. Un seul Dieu. Les grandes religions de Dieu. Femmes, hommes sont égaux. Tous les préjugés sont destructeurs et doivent être abandonnés. Chercher la vérité par nous-mêmes. La science et la religion en harmonie. Nos problèmes économiques sont liés à des problèmes spirituels. La famille et son unité sont très importantes.
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