Estrabosor a écrit : ↑29 avr.23, 21:32
Bonjour à tous,
Tout le problème est dans le "ont envie" qui sous entend que c'est un caprice comme on décide de changer de coupe de cheveux....
C'est d'ailleurs le même problème avec l'homosexualité, la personne ne choisit pas d'être attiré par des personnes du même sexe pas plus qu'un hétérosexuel choisi d'être attiré par les personnes de l'autre sexe.
Comme l'a fort bien dit La Frisée, il s'agit là d'anormalités comme le fait d'être daltonien, trisomique, autiste etc.
Alors moi j'ai envie de simplement dire que pour juger de ce que vit un transgenre, un homo etc. eh bien il faut l'être soi même sinon il s'agit juste de rejet de la différence, un manque total d'empathie.
Maintenant, si on en revient à la Bible, est-ce que la Bible a un mot pour les daltoniens, les autistes, les trisomiques ou même, tiens, les myopes, les astigmates surtout qu'avant les lunettes, c'était un sacré handicap.... eh bien non, rien, pas un mot car le Dieu de la Bible ne s'intéresse qu'aux personnes dans la norme.
Donc, gardez les règles de votre Dieu pour des gens dans la norme comme vous et laissez ceux qui sont différents tranquilles !
Oui puisque l'envie nait à partir du mimétisme souvent, et ce mimétisme lui est né à partir du premier homme qui a voulu connaitre comment se déroulent des rapports sexuels avec des hommes, par curiosité, ce qui a poussé d'autres hommes à lui ressembler, et comme les interdits jouent dans le mental pour donner du piquant à une société faite de bien pensants qui font obstruction à toute marginalité, se réunir a été pour ces hommes comme des jeux interdits où le plaisir a été décuplé.
De fil en aiguille, puisque ces hommes ont fait percevoir cette activité comment étant ludique, ils ont incité d'autres et d'autres et tout a pris le tournant d'une mode, et ils sentent sur eux un regard différent, en boites de nuit par exemple, lorsque nous y allions nous jeunes adultes, on se disait entre copines "regarde là cette fille là c'est une gouine" et elle, cette jeune fille qui aimait que l'on catégorise, elle adorait que l'on parle d'elle, elle se sentait vivre à travers son homosexualité, elle en jouait, voire elle draguait des hétérosexuelles pour installer la gêne, tout ceci est un petit jeu du regard, du touché, et ça se passe la nuit, à l'abri du regard des parents....
Je suis sûre que vous avez connu ce genre de situation, si vous avez été en boites.
Et puis l'âme en prend un coup, car pour donner du corps à la réputation, les filles allaient jusqu'au bout, et les garçons aussi, ils jouaient avec ce comportement car ils se distinguaient du lot avec leur manière d'être, ils étaient maniérés, comme l'on dit, et toujours à titre de curiosité, ils allaient jusqu'au bout, souvent par désespoir amoureux avec une fille, ils voulaient être remarqués et allaient avec les garçons, et tout c'est passé il y a bien longtemps, à l'aube de l'humanité on pourrait dire, car les gens à l'aube de l'humanité pensaient exactement comme nous aujourd'hui.
Et puis ils se détestaient aussi, un manque d'estime d'eux, à cause d'avoir été avec des garçons, ils se sentaient bizarres, pas très propres d'avoir fait ça et pour se punir, au lieu de s'arrêter, ils continuaient de plus belle, ils allaient redoubler de relations homosexuelles, un peu comme le comique Palmade qui explique sa descente aux enfers avec ses relations intimes homosexuelles, et la drogue, un cocktail pour s'auto détruire sciemment et inconsciemment aussi, comme se punir d'avoir commencé en continuant et redoublant d'actes qui salissent davantage, masochistes en somme, car aimer se faire du mal c'est être face à soi comme pour donner une leçon à celui qui a commencé en le plongeant toujours davantage dans la fange pour le punir d'avoir commencé...
Très freudien donc ce comportement autodestructeur.
Et l'âme en subit les conséquences car comme la réincarnation existe, l'homme meurt et celui qui nait est identique, et tout jeune il aspire à être une femme alors qu'il est en devenir un homme, c'est comme une histoire qui connait une interruption et qui continue, donc les transgenres ne sont que des gens qui continuent l'histoire de leurs corporations anciennes qui elles ont commencé à cause d'un problème Freudien.