uzzi21 a écrit : ↑20 mai23, 07:41
Je crois qu'on serait tous d'accord pour dire que la nature et l'univers plaident pour l'existence d'une intelligence supérieure, et que c'est l'intuition qui vient à tout humain se posant la question. Personne ne peut attribuer tout ça au pur hasard, ce serait de la folie. Mais la folie n'est-elle pas aussi d'avoir personnifié cette intelligence, presque l'avoir humanisé, jusqu'à en faire une entité colérique, comme l'on fait les anciens dans les livres saints ?!
Je pense que la sagesse ne veut pas d'un dieu imagé, mais ne se passe pas de Dieu non plus.
L'entente réside sur le fait d'admettre que oui, l'on doit tout ça à une intelligence suprême, et non cette intelligence ne s'appelle pas YHWH ou Allah ou que sais-je encore, affublée de toutes sortes de caractéristiques humaines.
Mais il y a forcément une intelligence suprême derrière tout ça, à moins d'attribuer la nature et l'univers au hasard, mais cette intelligence n'a rien à voir avec les dieux auxquels on l'a confondu.
Je pense que vous vous entendrez la-dessus.
Prière (ou méditation), aumône, jeûne.
Les 10 commandements.
La Règle d’or.
Voilà ce que le Créateur a donné comme guidance à tous les hommes.
Judaïsme : « Tu ne te vengeras pas, ou tu ne porteras aucun grief contre les enfants de ton peuple, tu aimeras ton prochain comme toi-même : Je suis le Seigneur. » – Torah, Lévitique 19M18. (v. 538 av. J.-C.) ;
« Christianisme : « Toutes les choses donc que vous voulez que les hommes vous fassent, faites-les-leur, vous aussi, de même ; car cʼest là la loi et les prophètes.
» (Matthieu 7M12[1]), et aussi Matthieu 22M39, Luc 6M31, Luc 10M27 - Jésus de Nazareth (environ 5 av. J.- C./32) »
Islam
« Aucun d'entre vous ne croit vraiment tant qu'il n'aime pas pour son frère ce qu'il aime pour lui-même. », Hadîth 13 de al-Nawawi - Muhammad
* Bouddhisme : « Ne blesse pas les autres de manière que tu trouverais toi-même blessante. » – Udana-Varga 5M18 (environ 500 av. J.-C.) ; * Confucianisme : « Ce que tu ne souhaites pas pour toi, ne l'étends pas aux autres. » – Confucius (environ 551 - 479 av. J.-C.) ;
* Hindouisme : « Ceci est la somme du devoir ; ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu'ils te fassent. » – Mahabharata (5M15M17) (environ 500 av. J.-
C.)
*
*
* Philosophie en Grèce antique : « Ne fais pas à ton voisin ce que tu prendrais mal de lui » – Pittacos de Mytilène[4] (640 - 568 av. J.-C.) et « Évite de faire ce que tu blâmerais les autres de faire » – Thalès[5] (624 - 546 av. J.-C.)
* Taoïsme : « Regarde le gain de ton voisin comme ton propre gain, et la perte de ton voisin comme ta propre perte » T'ai Shang Kan Ying P'ien, « Le sage n'a pas d'intérêt propre mais prend les intérêts de son peuple comme les siens. Il est bon avec le bon ; il est également bon avec le méchant, car la vertu est bonne. Il est croyant avec le croyant ; il est aussi croyant avec l'incroyant, car la vertu est croyante. » – Dao de jing (environ Années 600 av. J.- C.), Chapitre 49 ;
* Zoroastrisme : « La nature est bonne seulement quand elle ne fait pas aux autres quoi que ce soit qui n'est pas bon pour soi-même. » – Dadistan-i-Dinik 94M5 (environ Années 700 av. J.- C.).