insultes racistes dans les stades de l'entité sioniste

[zelote]

L’Hapoel Bnei Sakhnin
preche dans le desert

C'est une belle histoire à la morale décourageante. En mai 2004, les Rouges devenaient la première formation arabe à remporter la coupe nationale.sous l'reil des caméras d' Al-Djazeera et de CNN .Une victoire grâce à laquelle elle put représenter dignement le pays cette saison en Coupe de l'UEFA malgré une élimination prématurée face aux Anglais de Newcastle. Qu'importe. L'essentiel est ailleurs. Le club, plus petit budget de Division 1, se caractérise par sa dimension cosmopolite. Israéliens juifs et bien sûr arabes mais aussi étrangers de toutes origines (africaine, russe, etc.) s'y côtoient avec l’ambition de promouvoir une fraternité affirmée.
Un état d'esprit qui n'est visiblement pas du goût de tous. Le onze entraîné par Eyal Lachman est régulièrement l'objet d'insultes racistes de la part des supporters adverses, quand ceux-ci ne scandent pas un de leurs slogans favoris :
« Mort aux Arabes! ». Pire, lorsque le transfert de Lior Asulin au Bétar Jérusalem était en passe d'être conclu, l'été dernier, certains fans ont exigé qu'il se soumette à « une cérémonie de purification »Il était à leurs yeux coupable d'avoir arboré les couleurs d'une équipe à majorité non-juive.


Actualité juive N° 883 du 24-03-05

[moujadel]

L’Hapoel Bnei Sakhnin
preche dans le desert

C'est une belle histoire à la morale décourageante. En mai 2004, les Rouges devenaient la première formation arabe à remporter la coupe nationale.sous l'reil des caméras d' Al-Djazeera et de CNN .Une victoire grâce à laquelle elle put représenter dignement le pays cette saison en Coupe de l'UEFA malgré une élimination prématurée face aux Anglais de Newcastle. Qu'importe. L'essentiel est ailleurs. Le club, plus petit budget de Division 1, se caractérise par sa dimension cosmopolite. Israéliens juifs et bien sûr arabes mais aussi étrangers de toutes origines (africaine, russe, etc.) s'y côtoient avec l’ambition de promouvoir une fraternité affirmée.
Un état d'esprit qui n'est visiblement pas du goût de tous. Le onze entraîné par Eyal Lachman est régulièrement l'objet d'insultes racistes de la part des supporters adverses, quand ceux-ci ne scandent pas un de leurs slogans favoris :
« Mort aux Arabes! ». Pire, lorsque le transfert de Lior Asulin au Bétar Jérusalem était en passe d'être conclu, l'été dernier, certains fans ont exigé qu'il se soumette à « une cérémonie de purification »Il était à leurs yeux coupable d'avoir arboré les couleurs d'une équipe à majorité non-juive.


Actualité juive N° 883 du 24-03-05

Indicateur de racisme et d'incitation

Rapport des observateurs du Nouveau Fonds d'Israël, 24 e round

Suite aux infractions qu'elle a accumulées à l'occasion des précédents rounds, l'équipe du Bétar Jérusalem reste en tête de l'Indicateur de racisme et de violence

Source: www.nif.org.il

16/3/005

Faits méritant condamnation :

-Les supporteurs de l'équipe Hapoil ont accueilli l'entraîneur de l'équipe Nir Lavin et les joueurs par des slogans hostiles à la fin du match contre les Beni Yéhuda Tel-Aviv, ce qui les a contraints à quitter le terrain sous escorte policière.

-Les supporters du Maccaby Tel-Aviv ont scandé : « Touma le martyr » plusieurs fois durant le match contre le Bétar Jérusalem.

Faits méritant des louanges :

Les supporters d'Hapoil Beersheva, qui ont fait taire un petit groupe de supporters qui scandaient des slogans racistes contre Salman Omar – le joueur arabe du club M. S. Ashdod.

Résultats :

Suite au bilan des 24 premiers rounds, le Bétar Jérusalem reste en tête de l'indicateur de racisme et de violence, avec un score négatif de 16 points (20 points durant le précédent round). Vient tout de suite après le Maccaby Tel-Aviv avec 14 points. Quant à Hapoil Haïfa, elle a enregistré une augmentation de 9 à 12 points.

L'équipe qui a manifesté neutralité et esprit sportif à la fin des 24 premiers rounds et le M. S. Ashdod.

Tournoi national :

Round calme caractérisé par nombre d'actes de violence verbale contre les entraîneurs, les joueurs et les arbitres.



Faits méritant condamnation :

-Les supporters de Tsefririm Holon, qui ont fait entendre à plusieurs reprises des expressions de dédain à l'égard de Livnia, joueur de l'équipe Hakawwah Ramat Gan, durant le match entre les deux équipes.

-Les supporters du Maccaby Netanya qui ont manifesté du dédain à l'égard de Fabriccio Carvalio, joueur d'Hapoil Kfar Saba, durant la première mi-temps. Notons aussi qu'un petit groupe de supporters ont lancé des pierres contre l'autobus des joueurs d'Hapoil Kfar Saba, brisant des vitres, sans blesser personne.


http://www.aad-online.org/2005/Francais ... aad3/1.htm

[moujadel]

L’Hapoel Bnei Sakhnin
preche dans le desert

C'est une belle histoire à la morale décourageante. En mai 2004, les Rouges devenaient la première formation arabe à remporter la coupe nationale.sous l'reil des caméras d' Al-Djazeera et de CNN .Une victoire grâce à laquelle elle put représenter dignement le pays cette saison en Coupe de l'UEFA malgré une élimination prématurée face aux Anglais de Newcastle. Qu'importe. L'essentiel est ailleurs. Le club, plus petit budget de Division 1, se caractérise par sa dimension cosmopolite. Israéliens juifs et bien sûr arabes mais aussi étrangers de toutes origines (africaine, russe, etc.) s'y côtoient avec l’ambition de promouvoir une fraternité affirmée.
Un état d'esprit qui n'est visiblement pas du goût de tous. Le onze entraîné par Eyal Lachman est régulièrement l'objet d'insultes racistes de la part des supporters adverses, quand ceux-ci ne scandent pas un de leurs slogans favoris :
« Mort aux Arabes! ». Pire, lorsque le transfert de Lior Asulin au Bétar Jérusalem était en passe d'être conclu, l'été dernier, certains fans ont exigé qu'il se soumette à « une cérémonie de purification »Il était à leurs yeux coupable d'avoir arboré les couleurs d'une équipe à majorité non-juive.


Actualité juive N° 883 du 24-03-05

FOOTBALL : LE FRANCAIS LUIS FERNANDEZ, NOUVEAU DIRECTEUR DU BETAR

Publié le 17-11-2005



L’ancien international de football et entraîneur du Paris-Saint-Germain (PSG) Luis Fernandez est devenu mercredi le nouveau directeur général du club israélien Betar de Jérusalem, émanation sportive de l’organisation de jeunesse d’extrême-droite du même nom.

Le Betar, dans sa version footballistique, se caractérise notamment par le racisme anti-arabe de ses supporteurs, qui provoquent régulièrement des incidents violents lors de matches avec des équipes israéliennes à dominante arabe, comme le club de Sakhnin par exemple.

Luis Fernandez ne semble pas gêné non plus d’avoir pour patron et propriétaire du club le sulfureux Arkady Gaidamak, un aventurier en possession de quatre passeports israélien, russe, français et angolais, devenu milliardaire lors du dépeçage des actifs de l’ex-Union soviétique.

Gaidamak fait l’objet, depuis la fin 2000, d’un mandat d’arrêt international de la part de juges parisiens, dans le cadre d’une enquête sur un vaste trafic d’armes. Conseillé par l’avocat sharonien Gilles-William Goldnadel, Gaidamak s’abstient donc depuis cette date de mettre les pieds sur le territoire hexagonal.

http://www.europalestine.com/article.ph ... ticle=1893