Trouvaille intéressante...lecture intéressante et surtout pas trop longue..
Simplement pour avoir un nouveau regard...
Et ce n'est pas moi qui le dit, ni l'écrit..
référence:
http://www.bahai-biblio.org/centre-doc/ ... u6.htm#6.2
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Points de vue du Judaisme sur la foi baha'ie (interview de M. Emile Mouati)
La première réponse qui nous soit parvenue a été celle de M. Emile Mouati, Président du Consistoire Israélite de Paris. Voici, sa réponse, datée du 22 décembre 1988:
"Le Judaïsme n'a jamais proclamé qu'en dehors de lui, il n'y avait point de salut. Il admet et respecte le pluralisme et les spécificités des nations de la terre en matière religieuse, tout en professant l'unité du genre humain, issu d'un même homme, et l'égalité fondamentale des hommes, indépendamment de leurs nationalités, de leurs cultures ou de la couleur de leur peau.
Cependant, le judaïsme condamne toutes les formes d'idolâtrie. Pour lui, la légitimité d'une religion est liée à sa compatibilité avec l'Alliance de Noé et à l'observance des lois noahides qui sont universelles. Celles-ci comportent la croyance en un Dieu unique, la prohibition des pratiques idolâtres, l'interdiction du meurtre, du vol, de l'inceste et de la cruauté, l'obligation d'établir un état de droit garanti par des tribunaux.
En conséquence, il est évident que le judaïsme ne peut qu'avoir un jugement positif et même une réelle sympathie envers la doctrine bahá'ie. De plus, de son point de vue, il n'y a guère de place pour une controverse idéologique, théologique ou historique entre les deux foi, chacune se situant dans son terrain propre et dans sa sphère d'influence. Nous considérons avec faveur et avec une solidarité toute naturelle les principaux enseignements du Baháisme. Que nous retrouvons d'ailleurs dans notre tradition: l'unité de Dieu, la recherche de la vérité, l'unité de l'humanité, l'universalité de l'éthique et de la justice, l'idéal de paix entre les peuples, la relation directe avec la Divinité sans l'intermédiaire de prêtres. Nous pensons également que la religion n'est pas simplement une affaire individuelle ou privée, ou d'un ordre strictement spirituel, mais qu'elle a aussi une importance capitale dans le contenu et l'évolution des sociétés et des civilisations. Les points où il pourrait y avoir quelque divergence sont relativement secondaires, et d'ailleurs ne font pas l'objet de positions absolues dans le judaïsme. Ils concernent le caractère évolutif et progressif de la Révélation, d'une part - l'espoir de l'unification de l'humanité dans une religion unique d'autre part. Ces problèmes sont renvoyés à l'ère messianique par le judaïsme.
Deux éléments très importants nous rapprochent encore des bahá'is. Il est tout d'abord significatif et de haute portée que tous les lieux saints et surtout le centre mondial de cette confession soient situés en Israël, c'est à dire sur une terre dont la vocation éternelle est d'être, sinon le berceau, surtout la métropole des grandes religions monothéistes. Ni le christianisme ni l'islam, qui ont choisi Rome et la Mecque comme capitales, n'ont encore fait ce pas décisif, conformément à la prophétie d'Isaïe (56,7) "Ma Maison sera une Maison de prières pour tous les peuples". Les bahá'is sont donc tout à fait bienvenus en Israël, où ils se comportent d'ailleurs de manière exemplaire...
Enfin, les bahá'is ont été persécutés et incompris comme les juifs. Ils ont souffert et souffrent encore pour leur foi, notamment en Iran. Cette communauté de destin crée également des liens.
Les voies qui mènent à Dieu sont multiples, selon "les familles de la Terre". Le Baháisme en est une, parmi les plus respectables".
6.3. Points de vue du christianisme sur la foi baha'ie (interview de M. Jean Duchesne)
Quelques jours après la réception de cette lettre, nous obtenions un rendez-vous de M. Jean Duchesne, rédacteur en chef de la revue catholique internationale Communio, auquel nous avait adressés la Maison Diocésaine de l'évêché de Paris.
"Comment connaissez-vous la foi bahá'ie?
- Je l'ai personnellement découverte lorsque j'avais 20 ans, lors d'un voyage en Terre sainte. Arrivant à Haïfa par bateau, j'ai tout à coup eu l'éblouissement de ce dôme doré, le mausolée du Báb, sur les pentes du Mont Carmel, qui n'était ni une mosquée, ni une église. Donc, je me suis renseigné. Plus tard, j'ai rencontré des bahá'is, mais au Moyen-Orient et aux Etats Unis plus qu'en France.
- Question personnelle: beaucoup de jeunes gens, croyants monothéistes, d'origine chrétienne ou musulmane, nous ont raconté comment, découvrant la révélation progressive, ils avaient d'un seul coup trouvé une réponse aux questions qu'ils se posaient sur la diversité des grandes religions. Tel ne fut pas votre cas?
- Je n'étais pas a priori poussé par un besoin religieux. Ce qui compte pour moi, c' est le Christ.
- Nous utilisons tour à tour le mot foi et le mot religion. Y-a-t-il une différence entre les deux? le baháisme, est-ce une foi ou une religion?
Toute religion suppose une foi avec un certain nombre de croyances, avec un contenu. La religion ne se résume pas à des pratiques. Dans le cas du baháisme, il est clair qu'il y a un contenu important, impressionnant. C'est une religion qui a une portée, qui mérite le respect et la sympathie, née comme ça de rien, de deux prophètes du XIXe siècle.
- La considérez-vous comme une des grandes religions révélées ?
- Non, tant pour des raisons statistiques et quantitatives que pour des raisons qualitatives. En dépit de sa croissance, je ne crois pas que les chiffres puissent en faire une des grandes religions, au niveau du poids, si j'ose dire. D'autre part, d'après les définitions même de cette religion et son intention d'universalité, son rayonnement ne peut être que limité. J'observe qu'elle semble peu représentée en France.
- En un peu plus d'un siècle, le nombre des bahá'is a atteint pratiquement les cinq millions. Est-ce qu'au premier siècle après Jésus-Christ, les chrétiens n'étaient pas encore moins nombreux que les bahá'is?
- Il faudrait avoir d'autres chiffres. Mais lorsque je parle du niveau quantitatif, je ne parle pas seulement du nombre de ses adeptes mais du poids, de l'influence sur les consciences, dans l'opinion. Dans le cas des bahá'is, qui se veulent volontairement discrets, le poids est réel mais l'influence est mineure: ce n'est pas un facteur décisif.
- Que voyez-vous comme points de convergence et de divergence entre le christianisme et le baháisme? Est-ce que, par exemple, la conception bahá'ie de prophètes envoyés de Dieu comme le Christ, Mahomet ou Bahá'u'lláh n'est pas fondamentalement différente de la conception chrétienne où le Christ est Dieu?
- Pour moi la différence n'est pas là. Ce n'est pas le bon angle d'attaque. On peut faire la même remarque sur la relation entre le christianisme et le judaïsme ou l'islam. La religion bahá'ie est une religion optimiste qui dit quelque chose qui n'est pas niable pour un chrétien, à savoir qu'il existe un plan, un dessein de Dieu pour le monde, et que l'instauration de la paix, de l'unification, ne sera amenée que par un don de Dieu. Il suffit pour les bahá'is que les hommes soient disposés à recevoir ce don. Les chrétiens, et c'est là où intervient le Christ, ont une vision peut-être plus tragique. Il ne s'agit pas de s'ouvrir à un don de Dieu: le salut passe par la croix. Jésus est mort sur la croix, ce qui justifie le caractère exemplaire du Christ qui était non seulement le fils de Dieu mais qui est mort sur la croix et qui a montré aux hommes cette manière de mourir en renonçant à la tentation de haïr et les hommes et Dieu. Dieu seul pouvait faire cela et c'est l'oeuvre du Christ. Cela montre la manière paradoxale dont le mal peut être vaincu non pas en l'écrasant, en l'éliminant, en se convertissant, mais en l'affrontant, en le subissant, parce que l'important est dans l'épreuve. Affronter la mort sans lui céder. Résister sans se laisser conditionner par le caractère tragique de l'existence humaine. Résister en affrontant et non en attendant de Dieu qu'il agisse de manière magique et mystérieuse.
Entre les deux religions, je vois un point commun: la transcendance de Dieu. En revanche, je considère la conception cyclique de la religion bahá'ie comme une régression du point de vue philosophique, par rapport à la vision chrétienne de l'histoire qui est une vision non pas cyclique mais concentrique.
- L'Eglise de France considère-t-elle le baháisme comme une secte?
- Il n'y a eu, à ma connaissance, de prises de position ni du concile, ni de l'Eglise de France.
- Et des contacts?
- Ni contacts particuliers, ni attention spéciale accordée aux bahá'is par l'Eglise de France, autant que je sache.
- Que pensez-vous des positions de cette religion par rapport à la science. En particulier quand elle explique que les descriptions de la Bible, par exemple la genèse, les prophéties, doivent être prises comme des métaphores?
- Le discours fondamentaliste n'est plus tenu que par quelques sectes protestantes aux Etats-Unis. Le problème du littéralisme ne s'est pas posé dans l'Eglise catholique pour la bonne raison qu'elle n'encourageait pas la lecture de la Bible. S'il y eut conflit entre science et foi, c'est par mauvaise interprétation de l'une et de l'autre. L'espèce de foi des scientifiques rendait Dieu superflu- Claude Bernard disait "nous n'avons pas besoin de cette hypothèse". Et les croyants se sentaient menacés. Aujourd'hui, si le catholicisme est menacé, c'est par le syncrétisme. Le positivisme est terminé. Tout un courant de science retourne vers la gnose, où la religion bahá'ie se sent très à l'aise, avec le génie qu'elle a de dire "vous voyez, vous croyez à la même chose que nous", le ferment même d'un prosélytisme qui n'en a pas l'air. Ce que disent les bahá'is ne veut plus dire la même chose qu'il y a un siècle. Aujourd'hui, il y a un retour du gnosticisme même chez les catholiques, qui s'appelle le concordisme.
- Vous n'imaginez pas que la religion bahá'ie puisse mordre sur l'effectif chrétien?
- Si, peut-être. Si les gens s'intéressent au problème religieux. Si on part du fait que l'homme est un animal religieux et va chercher la religion qui procure le maximum de confiance. Alors la religion bahá'ie a sa place. Elle procure un confort dans un moment de besoin religieux. C'est une religion apaisante, rassurante. Un cycle. Sans la croix, le problème ennuyeux de la croix, de la rédemption. On présuppose un besoin religieux, après on cherche le moyen de le satisfaire, c'est la même chose, en matière de religion, que le P.S.U en matière politique. La Foi bahá'ie est le P.S.U des religions. Pardon. Ne voyez-dans ces derniers propos qu'une boutade!
- Dans la conception très oecuménique qui se fait jour, les bahá'is ne sont-ils pas des gens avec lesquels les chrétiens peuvent avoir un cheminement parallèle?
- Sans doute. S'il y a cheminement parallèle avec les juifs, les musulmans, je ne vois pas pourquoi les bahá'is en seraient exclus".
6.4. Points de vue de l'Islam sur la foi baha'ie (interview de M. Jamil Diab)
Nous espérions obtenir, après une demande formulée auprès de l'Institut de Paris, la réponse des musulmans. Nos lettres réitérées sont demeurées sans réponse, nos coups de téléphone pour obtenir un rendez-vous n'ont pas eu de suite. Il nous aurait fallu terminer sur ce constat de silence si ne nous avait été communiqué le compte-rendu d'un entretien réalisé par Hossein Gulick, un bahá'i vivant aux Etats-Unis, avec un éminent érudit palestinien, le Docteur Jamil Diab, mufti d'une mosquée sur le sol américain.
Né à Béthanie, une petite ville proche de Jérusalem, le Dr Jamil Diab est le fils d'un homme qui avait fait ses études à l'Université Al-Azhar du Caire et était membre du Haut Conseil Suprême Islamique de Jérusalem. Lui-même, en 1946, en Palestine, passa avec succès des examens du plus haut niveau, équivalents à ceux de l'Université Al-Azhar pour l'étude de l'islam et de l'arabe. Dix ans plus tard, il obtenait son doctorat du Collège de Métaphysique de Chicago. "Quand je suis venu aux Etats-Unis, explique-t-il, j'ai étudié les autres religions, particulièrement le christianisme et le judaïsme. Je m'efforce d'être juste vis à vis de toutes les religions. Je trouve beaucoup de points communs dont je sens qu'ils enrichissent ma connaissance de l'islam et me rendent proches des autres religions divines".
Plus spécialement interrogé sur la foi bahá'ie, qu'il connaît bien, il expliquait: "J'ai une relation très solide avec la communauté bahá'ie des Etats-Unis, spécialement en Arizona. Par ailleurs, quelques uns de mes professeurs à Jérusalem étaient bahá'is. A Haïfa et à Saint-Jean-d'Acre, il y avait des communautés bahá'ies avant que je sois né. Après 1948, et la création de l'état d'Israël. beaucoup de gens ont quitté la région. et beaucoup sont restés, des chrétiens, des druzes, des bahá'is, pratiquement tous les bahá'is. Les lieux saint bahá'is existaient avant la création de l'état d'Israël, sous le mandat britannique, et encore avant sous l'empire Ottoman. Lorsque je lis des articles écrits par des musulmans, je suis étonné qu'ils disent que les bahá'is sont des agents d'Israël puisque leurs temples sont construits en Israël. Ils éliminent le fait que les établissements bahá'is avaient été installés sous l'Empire turc et le mandat britannique. Il y a aussi des mosquées et des églises à Haïfa et à Saint-Jean-d'Acre. On ne peut accuser les musulmans et les chrétiens d'être des agents d'Israël. Je suis musulman, pas bahá'i, mais, pour être honnête, quand les musulmans portent de telles accusations, je me sens obligé de leur répondre".
Il assura ensuite qu'il considérait la foi bahá'ie "comme la plus proche de l'Islam puisqu'elle partage avec lui le concept de l'unicité de Dieu". "Depuis que je suis aux Etats-Unis, c'est à dire 1948, je n'ai jamais rencontré un bahá'i qui parle mal de l'islam. Au contraire, ils acceptent le prophète Mahomet et le Coran et louent l'enseignement de l'islam. Ces gens, loin d'être apostats, sont amenés par leur foi à l'acceptation du Prophète et du Coran. Et bien que leurs croyances ne soient pas identiques à celles des musulmans, les musulmans ne sont pas le moins du monde dispensés de courtoisie, sinon plus, pour reconnaître et accepter que les bahá'is sont proches d'eux".
Un peu plus tard, il décernait une volée de bois vert à des articles contre les bahá'is publiés dans plusieurs magazines. "Je les ai lus et j'ai remarqué que certains de ces articles sont écrits approximativement et ne fournissent ni l'essentiel ni la vérification des faits. Je pense que ceux qui écrivent aujourd'hui et se nomment érudits musulmans devraient comprendre ce que ce mot signifie et que s'appuyer sur les aspects négatifs n'est utile à personne".
Il défendit les bahá'is de l'accusation d'apostasie: "Les musulmans qui deviennent chrétiens ou juifs, communistes ou athées peuvent être à juste titre nommés apostats. Mais les bahá'is qui continuent à croire à l'Unicité de Dieu et reconnaissent le prophète Mahomet ne peuvent être appelés apostats ou infidèles sans que l'on change la définition de ces mots".
Il dit encore, à propos des accusations portées contre les bahá'is: "Même si cela est arrivé dans les temps passés, nous ne devrions pas continuer à le reprocher aux générations suivantes. Dans l'histoire de l'homme, chaque nation, à un moment quelconque, a commis des choses mauvaises, puis ses descendants se sont repentis. Il est clairement dit dans le Coran: aucune âme ne portera le fardeau d'une autre(...) Selon les critères des musulmans de cette époque, les premiers bahá'is étaient considérés comme des criminels, des renégats. Jusqu'à présent, les gens de différentes religions s'asseyent rarement pour discuter. S'ils le faisaient, le fossé entre eux serait rétréci et ils pourraient coexister plus aisément. Selon le Coran, si Dieu avait voulu qu'il n'y ait qu'une seule religion, il l'aurait fait. Les musulmans ne peuvent obliger les autres à adhérer à leur foi. C'est une affaire de choix. Un père ne peut forcer ses enfants à devenir musulmans. Ils ne peuvent le devenir que de leur propre volonté, et non sur les ordres de leurs parents."
Comme enfin il lui était demandé pourquoi les bahá'is ne répliquent pas aux attaques lancées contre eux dans la presse il précisa: "autant que je sache, les bahá'is ne croient pas à la nécessité d'user leur temps et celui des autres en querelles, accusations et contre-accusations. Ils supportent patiemment les persécutions, mais ne les utilisent pas pour attaquer les autres. Il ne leur est pas permis de répondre à de telles attaques et il leur est conseillé de s'occuper de leur propre vie et de leur travail. Je pense que sur ce point ils sont très sages, et je souhaiterais que les lettrés musulmans fassent la même chose".
Grâce au docteur Jamil Diab, nous avons ainsi pu terminer ce chapitre consacré au regard des autres en constatant que même un mufti palestinien pouvait ne pas avoir un regard noir. Il reste à souhaiter qu'il fasse école.
Regard des autres (sur la foi Bahai)
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Regard des autres (sur la foi Bahai)
Ecrit le 17 juin14, 03:02Unir l'humanité. Un seul Dieu. Les grandes religions de Dieu. Femmes, hommes sont égaux. Tous les préjugés sont destructeurs et doivent être abandonnés. Chercher la vérité par nous-mêmes. La science et la religion en harmonie. Nos problèmes économiques sont liés à des problèmes spirituels. La famille et son unité sont très importantes.
- Oiseau du paradis
Re: Regard des autres (sur la foi Bahai)
Ecrit le 17 juin14, 10:09Il y a beaucoup d'eau qui a coulé sous les ponts depuis 25 ans, David. Je dépose donc un lien qui présente un court reportage télévisé en 2:56 minutes.
http://www.bahai.fr/Reportage-TV-sur-le ... -baha.html
Bonne fin de journée tout l'monde.
http://www.bahai.fr/Reportage-TV-sur-le ... -baha.html
Bonne fin de journée tout l'monde.
- InfoHay1915
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Re: Regard des autres (sur la foi Bahai)
Ecrit le 24 juin23, 11:41C'est moi qui remercie notre Internaute 'Indian' de nous parler de la foi baha'i.
Il y a bien 25 ans, un américain des environs de Chicago m'en avait parlé. Je ne savais pas ce qu'il en était. Il m'avait dit qu'il avait visité en groupe avec l'école primaire, un temple de "baha'i". Je n'ai pas compris, je ne maitrisais pas wikipedia à l'époque. Maintenant je sais de quoi il parlait :
-- https://en.m.wikipedia.org/wiki/Baháʼ%C ... _Illinois)
~ http://www.bahai-biblio.org
~ http://www.bahai-biblio.org/centre-doc/ ... q-mots.htm
Il y a un wikipedia en arménien sur Baha'i :
-- https://hy.m.wikipedia.org/wiki/Բահայի
~ Littérature baha'i wikipedia en arménien
-- https://hy.m.wikipedia.org/wiki/Բահայի_գրականություն
~ Traduction HY >> FR :
-- https://translate.google.com/?sl=hy&tl=fr&op=translate
Il y a même un blog baha'i en version arménienne : https://bahai.am/hy
+ son texte en anglais : https://bahai.am/en
Bonne continuation. InfoHay1915
#483
Ajouté 11 heures 53 minutes 35 secondes après :
.
~ Deputy Chief Of Mission Chip Laitinen Met With The Baha'i Community Of Armenia
-- https://bahai.am/en/post/deputy-chief-o ... of-armenia
Américanisation de la foi baha'i en Arménie ?
-- https://am.usembassy.gov/our-relationship/our-dcm/
Il y a beaucoup de résidents-travailleurs d'origine hindoue en Arménie et il y aura à y voir s'il y a des Baha'is aussi. Est-ce qu'il y a une page sur la foi des Baha'is dans
~ le site de l'Ambassade de l'Inde en Arménie ??
-- https://eoiyerevan.gov.in/index.php
InfoHay1915
#503
C’est un crime que désapprouve l’humanité, l’islam et tous les musulmans ; mais ceux qui ignorent la vérité ne manqueront pas d’en jeter la responsabilité sur le fanatisme religieux. Témoignage oculaire 1915-1916 du génocide des arméniens par le chef bédouin syrien et avocat, Faïez El-Ghocein (Le Caire 1917)
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