'mazalée' a écrit : ↑03 sept.23, 06:33
Pour Domuno, s'il passe :
"Examinons cependant, sans a priori, en chercheurs de vérité, la sourate LIRE, révélée en septembre 2001 au Prophète Michel Houellebecq, esclave d’Allâh.
Verset 1 : La religion la plus con, c’est quand même l’islam.
Verset 2 : Quand on lit le Coran, on est effondré… effondré !
Dissimulé sous ces deux versets, se cache l’un des plus incroyables miracles mathématiques du nombre DIX-NEUF. C’est ce phénomène, défiant l’intelligence des plus savants, troublant les plus grands statisticiens, acculant au doute les scientifiques de toutes disciplines, c’est ce phénomène, et non la justice française, justice humaine, justice faillible, qui fut la cause véritable de la relaxe du Prophète Michel Houellebecq.
1. Les points de suspension opèrent une nette division dans la sourate LIRE. Avant ce temps d’arrêt, nous comptons DIX-NEUF mots !
2. Le DIX-NEUVIEME mot, « effondré » est mystérieusement répété après les points de suspension, comme pour en souligner le sens caché.
3. Bien que la sourate compte vingt mots (DIX-NEUF avant les points de suspension et un après), le statisticien remarque que le DIX-NEUVIEME mot est le dernier mot !
4. On compte dans la sourate exactement 76 lettres : 76 = 4 x DIX-NEUF !
5. Le premier verset, qui correspond à l’affirmation divine « La religion la plus con, c’est quand même l’islam » comprend exactement 38 lettres : 38 = 2 x DIX-NEUF !
6. Le deuxième verset, où Allâh justifie l’affirmation par l’imparable argument « Quand on lit le Coran, on est effondré… effondré » comporte également 38 lettres : 38 = 2 x DIX-NEUF !
7. Pour renforcer la symétrie, la DIX-NEUVIEME lettre du premier verset est également la DIX-NEUVIEME lettre du second verset !
8. Il s’agit de la lettre N, consonne la plus fréquente de la sourate, elle revient NEUF fois, 9 est le deuxième chiffre du nombre DIX-NEUF ! N est d’ailleurs également l’initiale de NEUF !
9. Le premier verset se subdivise lui-même en deux parties, séparées par une virgule. Avant la virgule, Allâh révèle le titre de gloire « La religion la plus con », on y compte DIX-NEUF lettres !
10. Après la virgule vient le nom de l’heureux vainqueur « c’est quand même l’islam », là-encore nous dénombrons DIX-NEUF lettres !
11. Toujours dans le premier verset, les mots de rang impair (la la con est même islam) totalisent DIX-NEUF lettres !
12. De même, les mots de rang pair du premier verset (religion plus c quand l) totalisent DIX-NEUF lettres !
13. Regardons désormais quelle place occupent les lettres dont le rang multiplie DIX-NEUF dans les mots de la sourate auxquels elles appartiennent. La DIX-NEUVIEME lettre est la lettre FINALE du mot « con », la 38e lettre (38=2 x DIX-NEUF) est la lettre FINALE du mot « islam », la 57e (57=3 x DIX-NEUF) est la lettre FINALE du mot « on », la 76e lettre (76=4 x DIX-NEUF) est la lettre FINALE du mot « effondré » !
14. Si l’on reprend la suite des quatre mots qui portent les lettres dont le rang est multiple de DIX-NEUF, on obtient « con islam on effondré », ce qui est le plus court résumé possible de la sourate, en deux phrases nominales, typiquement sémitiques : « Con (est) islam. On (est) effondré. » !
15. Si l’on distingue les voyelles accentuées, il faut, pour écrire la sourate, utiliser les lettres a c d e é ê f g i l m n o p q r s t u, en tout DIX-NEUF lettres !
16. Le mot CON, qui comprend la DIX-NEUVIEME lettre de la sourate se compose de la voyelle O et des consonnes C et N. O apparaît 7 fois dans les deux versets, C 3 fois et N 9 fois. Or 7+3+9=DIX-NEUF !
17. Le DIX-NEUVIEME mot de la sourate, mot répété pour en souligner l’importance, et qui est également le dernier de cette courte révélation se compose des voyelles E et O et des consonnes F, N, D et R. On compte 10 E, 7 O, 4 F, 9 N, 4 D et 4 R. Or 10+7+4+9+4+4=38 (38=2 x DIX-NEUF) !
18. La consonne la plus fréquente, N, revient 9 fois, quant à la voyelle la plus fréquente, E, elle apparaît 10 fois. 10+9=DIX-NEUF !
19. Enfin, rendant malgré leur perfidie un éclatant témoignage au miracle du nombre DIX-NEUF, les associations constituées partie civile estimèrent la sourate à 190 000 € de dommages et intérêts : 190 000=DIX-NEUF x 10 000 !
Il est évident qu’on ne peut attribuer à Michel Houellebecq, simple transmetteur humain, une telle accumulation de phénomènes mathématiques impliquant le nombre DIX-NEUF. Nous en avons dénombré DIX-NEUF, et les recherches scientifiques sur la Sourate LIRE ne font que commencer. Rappelons simplement que Michel Houellebecq était complètement bourré ce jour-là… Pouvait-il seulement compter jusqu’à DIX-NEUF ? Le déploiement puissant du miracle du nombre DIX-NEUF dans une sourate aussi courte que profonde ne peut être que la signature savante et irréfutable de la révélation divine ; et soyons en sûr, c’est le miracle du nombre DIX-NEUF qui explique le miracle de la relaxe. De Mahomet à Michel Houellebecq, Allâh protège tous ses Prophètes : « DIX-NEUF sont chargés d’y veiller ».