Qui suis-je ?

Sujet d'actualité Au Québec l'accommodement raisonnable, un sujet d'actualité.
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Inti

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Re: Qui suis-je ?

Ecrit le 26 sept.23, 03:04

Message par Inti »

Par second regard on voit bien que le transgenre et théorie du genre ne brisent aucun carcan ou stéréotypes mais ne fait qu'un transfert abandonnant le "code masculin normatif" pour le "code normatif féminin" ou inversement pour une transition de femme à homme.

Le transgenre ne brise aucun carcan moral, social, culturel ou génétique. Il ne fait qu'établir une correspondance entre l'individu et le code social ( féminin/masculin) auquel il ou elle souhaite s'identifier. On naît homme et on ne devient pas femme pour porter veston et cravate au quotidien et se laisser pousser la barbe pour plus de virilité. On veut faire sien le code féminin ( ou masculin) avec tous les stéréotypes et comportements permis et genrés qui viennent avec. Un changement de sexe ne brise aucun tabou. On rejoint plutôt le code genré établie. Pas besoin d'un changement de sexe pour jouer au baseball ou à la poupée. La crise d'identité sexuelle c'est l'individu qui subit une pression pour adopter un comportement imposé, stéréotypé, très genré incompatible avec son ressenti. On change la nature mais les codes sociaux du féminin et masculin demeurent.


LGB… concerne l'orientation sexuelle. Le T concerne l'identité sexuelle. Se sont rajoutés une panoplie de catégorie pour chaque couleur du sentiment. Comment prétendre à une normativité quand on s'enferme soi-même dans un enclos qui consacre non pas la différence ou la diversité mais la marginalisation? Une marginalisation forcée jadis par l'anathème social mais aujourd'hui sacralisée par les concernés (ées) eux-mêmes.
.

Je ne vois pas en quoi changer de sexe pour adhérer à l'autre code social ( non masculin) règle la question des "diktats de genre". Si un individu veut s'identifier à un genre et un code c'est une option pas nécessairement un droit. Parce que là, la théorie du genre ne brise aucun code. On échange les codes. Une utopie ou dystopie?

Les incongruités de la théorie du genre; si le statut genré homme ou femme n'a aucune importance, aucun fondement et que tout est dans l'esprit libre et non conditionné pourquoi ressentir le besoin de changer de sexe ?…si ce n'est pour pouvoir vivre le code social au féminin ou masculin?
Suffit de se dire de genre neutre.

Ce que dit la théorie du genre; je n'ai pas de problème d'identité c'est la société qui a un problème avec mon identité et vous vous laissez limiter par la nature genrée. On parle ici bien sûr de l'évolution spirituelle de l'espèce humaine. Ça concerne un peu tout le monde...

Si le statut genré biologique d'homme ou femme n'a aucun fondement dans l'édification de l'identité pourquoi vouloir devenir femme né homme ou homme née femme? Il semble que le genre a une importance pour définir son identité. Les croyances trouvent toujours une limite dans leurs explications et justifications

Pourquoi un garçon préférant jouer à la poupée devrait s'interroger sur son identité sexuelle plutôt que sur ses "champs d'intérêt"? Le problème avec les tenants et tannants de la théorie de genre, c'est qu'ils croient être affranchis des diktats du genre et stéréotypes, allumés sur la question des rôles et comportements alors que c'est le festival des clichés et préjugés qui tournoient dans leur esprit dans la pleine confusion des genres.

Avec la théorie du genre et transgenre c'est la problématique des crises d'identité sexuelle qui est venue s'agglutiner à la question des orientations sexuelles. Maintenant c'est tout le véhicule qui est remis en question. Une brèche s'est ouverte.

Bref les stéréotypes sexuels et diktats genrés ce sont des hommes et des femmes qui les brisent. Dans le cas de la théorie du genre ce sont les stéréotypes et diktats genrés qui brisent le genre biologique. La théorie du genre : plus facile de changer la nature de l'individu que de changer les carcans sociaux psycho rigides.

Un homme enceint. Le fond et la forme. Ça prendra toujours un utérus ( le fond) pour enfanter malgré l'apparence ( la forme).

Transcendance, transhumanisme, transgenre... méfiez vous! C'est là qu'on délaisse la science pour la croyance.
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Inti

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Re: Qui suis-je ?

Ecrit le 28 sept.23, 03:15

Message par Inti »

La théorie du genre est une pseudo science, Pseudo science humaine, pseudo science tout court. Peu importe le nombre d'universitaires multi-diplômés ( ées) qui s'en réclament. C'est une théorie faite sur mesure pour le phénomène transgenre où on adapte l'individu aux rôles et comportements genrés "convoités et désirés". Une âme née ou esprit né dans le mauvais corps c'est une explication métaphysique pas scientifique.

En ce sens cette théorie du genre ne remet en question aucun stéréotype, aucun diktat culturel, aucun double standard. Elle ne fait qu'adapter le genre au code social désiré. Une option.

Ce que fait la psychologie c'est aider une personne à s'adapter à une situation…séparation, deuil, maladie, dépression, crise d'identité et c'est là la limite de son " ministère". Adapter la nature à la société et sa mouvance, les vicissitudes de la vie. Adaptation et mésadaptation.

Là où la théorie du genre s'impose comme croyance c'est de vouloir effacer la notion de sexe biologique et identité sexuelle homme ou femme pour que le phénomène transgenre ne soit qualifié de phénomène à part ( marginalisation , transphobie) La fluidité des gènes…des genres. L'inclusion dans ses absolus.

Mais la contradiction demeure. La majorité doit renoncer aux appellations homme, femme, monsieur, madame pour reconnaître que le sexe assigné à la naissance est arbitraire pour tous et toutes alors que le transgenre met toutes ses énergies à se redéfinir sexuellement, à se genrer différemment vers un sexe bien défini.

Insistons. On brise un stéréotype, un carcan affectif, un préjugé moral en tant qu'homme ou femme. La théorie du genre propose plutôt d'adapter le genre ou sexe à un code social genré avec tous ses acquis, mœurs, us et coutumes. Si tu veux faire de la planche à pagaie en bikini string, mieux vaut te transformer en fille parce qu'au masculin ce serait douteux aux yeux de la majorité, voire indécent, exhibitionniste. Que voulez vous? Il y a des codes vestimentaires genrés auxquels même des femmes modernes et libérées tiennent comme l'auto hypersexualisation.

La théorie de genre est un conformisme stéréotypique sur ce qui relève du fief masculin et fief féminin. "Le sensible est féminin et la dureté masculine". Ouais! C'est binaire ça! La seule fluidité des genres relève de la crise d'identité sexuelle résolue, non résolue ou mal résolue.

La théorie du genre est un prosélytisme idéologique groupusculaire, pas vraiment une révolution culturelle des mœurs, us et coutumes. Un comité des sages sur la question se devra d'être exclusivement woke selon le modus operandi des théoriciens du genre. Non crédible dans le cas contraire.

Reassignation de sexe! C'est une réalité qu'un individu peut vivre selon les moyens du possible ( thérapie hormonale, chirurgie, accompagnement psychologique…) sans susciter de "transphobie". Une option! Une possibilité! Un droit?

Le hic! C'est quand la théorie du genre ( pour ne pas dire du transgenre) se met en tête d'établir un programme éducatif pour déceler, détecter "l'enfant transgenre qui s'ignore".et faciliter son émancipation. On dirait une religion qui cherche à recruter en bas âge. TJ ou TG ? :winking-face:

C'est aux hommes et femmes d'éradiquer les diktats culturels et stéréotypes sexuels. C'est la nature humaine (homme, femme) qui fait évoluer sa culture. Le transgenre c'est le carcan culturel et ses clichés sociaux qui s'imposent à une nature en quête d'identité.


Insistons. L'éros féminin, l'éros masculin. Comment les cultiver? Une femme qui refuse de se laisser imposer le port du voile dira "non je tiens à marcher cheveux aux vents". La solution du théoricien du genre : opère ta transition vers le masculin et tu n'auras plus à le porter. La théorie du genre est un conformisme genré pas une révolution culturelle ou "spirituelle". "Tu veux demeurer "sensible " et ne pas devenir " macho"? Deviens une fille...". :slightly-smiling-face: :upside-down-face:
.

Le théorie du genre est une fausse solution. Voire une régression idéologique . La culture fait l'homme : elle peut le défaire aussi. Si on peut convaincre un enfant qu'il porte une tache originelle éffaçable par le baptème, la communion, la confirmation, la confession régulière, il est aussi facile de convaincre un enfant qu'il est né dans le mauvais corps parce qu'il trouve plus beau, inspirant ou plus fort le code social, vestimentaire ou affectif du " sexe opposé".

On développe le soi bien avant la conscience d'autrui. Et il ne faut pas se le cacher. Quand on parle du droit de "l'enfant transgenre " à un safe space pour son "développement" c'est en majorité ou en pourcentage dans le cas d'un passage de "petit garçon à petite fille". L'inverse est moins fréquent. Question d'environnement et pression affective. Le néo féminisme? Le wokisme? Jolie coktail! Avoir l'esprit très ouvert c'est aussi, parfois manquer de discernement.

En définitive laissons les enfants à leur préoccupation première; grandir et se connaître davantage .La dernière chose dont un enfant "transgenre" a besoin c'est d'être mis sur la sellette ou sous les spots lights par des militants excessifs dans leurs revendications. Ça engendre des bagarres de rue.

La théorie du genre est un agenda d'adultes en mal de reconnaissance sociale
. Blessures d'enfance! C'est un enjeu social non négligeable mais pas l'Enjeu Social de toute une société qui peine à mettre de l'ordre dans son désordre politique, économique, caritatif, familial, idéologique…

:slightly-smiling-face:
.

Pollux

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Re: Qui suis-je ?

Ecrit le 29 sept.23, 02:49

Message par Pollux »

{petit commentaire pour Inti}

'mazalée'

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Re: Qui suis-je ?

Ecrit le 29 sept.23, 02:55

Message par 'mazalée' »

Estrabosor a écrit : 21 sept.23, 21:45 ...de la pluie...
Chanceux va ! :expressionless-face:
Chaque jour suffit.

Inti

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Re: Qui suis-je ?

Ecrit le 29 sept.23, 03:14

Message par Inti »

merci à vous deux

On ne parlera plus de dysphorie de genre mais de théorie du genre. On élimine l'aspect problématique de l'identité sexuelle ( biologique) pour une "naturalisation du phénomène". Mais pour normaliser le phénomène, c'est toute l'identification des genres basée sur le biologique depuis des millénaires qui doit être revue et corrigée.

Évidemment c'est idiot de faire une équivalence entre le sexe biologique et les codes sociaux que chaque culture attribue au sexe féminin et masculin. Être macho ou pute n'a rien à voir avec le gène masculin ou féminin. Ça c'est le rapport nature et culture et surtout le conflit nature/ culture. La culture du sentiment.

Alors c'est évident. Théorie du genre c'est plus normatif que dysphorie de genre…à condition que cette nouvelle règle d'identification des genres fasse consensus. Et c'est là que le bât blesse.

Mais c'est clair, si on veut "initier" les enfants d'âge préscolaire à la "diversité sexuelle" (sic: diversité des sentiments et attirances) théorie du genre passe mieux que dysphorie de genre. Encore une fois ne pas confondre orientations sexuelles ( hétéro, homo, bisexuel) et identité sexuelle ( homme, femme et les cas d'hermaphrodisme). Le sens naturel ( biologique) et sens spirituel ( subjectif)

Par exemple on pourrait tout aussi bien cesser de parler de schizophrénie et designer ce "trouble " par "dualité psychique de la personnalité". Et j'ai dit dualité pas dualisme. La dualité est une complémentarité comme le jour et la nuit, homme , femme. C'est naturel. Dualisme ça renvoie à une opposition, divergence. Tant qu'à y être, une dépression n'est plus une dépression : c'est une expérience en apnée pour expérimenter sa profondeur.
:upside-down-face:

Personne ne s'essuie les pieds sur le phénomène transgenre ou l'individu transgenre. Mais quand on a la prétention d'imposer une nouvelle définition des genres, non plus à partir du biologique, mais du ressenti spirituel d'un groupuscule, on ne frappe pas à la porte pour entrer, on la défonce.

Comme disait un vieux sage sceptique " les idées sont dans la tête de la bestiole, pas dans la nature elle-même". Je veux bien. Mais là on délaisse l'aspect biologique de l'individu pour sa métaphysique. L'esprit qui transcende la nature. C'est plus mystique que scientifique..

Chacun a droit à ses croyances. Mais les croyances qui cherchent à s'imposer à l'ensemble finissent par avoir mauvaise réputation. Déjà difficile de se rallier sur ce qui fait consensus comme "connaissances établies et perfectibles". Imaginez qu'on doive enseigner tout ce qui relève de la croyance. Une connaissance ça se partage, une croyance ça se discute, on y adhère ou pas, mais ça ne s'impose plus, du moins dans une société libérale.

Avec la théorie du genre le sexe biologique cesse d'être la source d'identité naturelle. Homme, femme font trop hétéro normatif.
Faut inverser la vapeur et imposer l'acronyme inclusif LGBTQ2S comme nouveau modèle d'identification culturelle, plus inclusif. L'idéal de la théorie du genre serait que la "normativité hétéro" rejoigne et vienne élargir l'enclos euh! la communauté H…LGBTQ2S. Hétéro, lesbienne, gay….


Exit le déterminisme biologique homme, femme. Seulement des étiquettes culturelles et des états d'esprit sur deux pattes." C'est quoi ton étiquette sexuelle? Moi c'est Queer et toi? Non binaire! Iel est bi spirituel (lle). C'est bien! Dire qu'avant on se définissait par notre sexe biologique, monsieur, madame. Oui c'était nos temps moyens âgeux". :winking-face:

Des étiquettes culturelles HLGBTQ2S "plus riches" que le déterminisme sexuel homme et femme qui sont très "réducteur" de l'être et "sources des stéréotypes sexuels". Le genre n'est plus sexué, c'est un sens spirituel
. Assurément, cela oblige à des acrobaties intellectuelles telles que homme enceint, personne avec un utérus, toilettes mixtes non genrées, athlètes féminines avec prostates…

La théorie du genre est une idéologie à déboulonner. D'autant plus qu'elle vampirise tout le mouvement LGBT… comme véhicule blindé! La manœuvre principale consiste à troquer un terme jugé péjoratif ( dysphorie )pour un concept se voulant plus inclusif et normatif: théorie du genre ( ça fait plus sociologique ) Ah oui! Le sentiment d'être est aussi important et réel que le déterminisme biologique. Mais ce sentiment d'être et ses expressions passent par une biologie sexuée. Une femme aime une femme, pas besoin de changer de sexe pour vivre ce sentiment. Qui ne voit pas que la "reassignation de sexe" est un cas particulier quant au sentiment d'être? Un particularisme.

Si la dysphorie de genre trouve sa solution dans la " reassignation de sexe" avec la complicité ou collaboration de la science médicale pour un meilleur bien être de la personne, pourquoi pas? Un meilleur accompagnement sera toujours bienvenu.

Le temps dira si la science du 21ème siècle a erré ou si elle a su corriger une autre erreur de la nature. Chose certaine, la théorie du genre ne fera pas disparaître comme par magie la dysphorie de genre et les problématiques inhérentes. Et encore moins l'idée d'accréditer la thèse en dénichant en bas âge de plus en plus de "cas patents" pour prouver qu'on découvre un aspect caché de l'évolution humaine, évolution de l'espèce. Car toute théorie a pour prétention d'expliquer et justifier un "fait ". Darwinisme non binaire? Quand on a la tête en forme de marteau, on voit des clous partout.

Ce n'est que ça la théorie du genre. Une tentative de putsch sémantique pour sortir le phénomène transgenre des " troubles de l'identité (sexuelle)" et en faire un fait d'évolution plus spirituel que naturel ( biologique). Et la conscience collective doit s'aligner sur cette nouvelle vérité spirituelle. Amen! S'identifier homme ou femme serait un blocage spirituel pour toute la société
.

Les modes et cultures passent, la nature reste.
:hi:
.

Inti

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Re: Qui suis-je ?

Ecrit le 01 oct.23, 00:23

Message par Inti »

Un comité des sages pour discuter de la théorie du genre. Pourquoi? Ça dépend des revendications des théoriciens...

Est ce qu'on parle d'éducation sexuelle en milieu scolaire? D'enseigner un peu de biologie sexuelle, de contraception, protection, parler des orientations sexuelles, du phénomène transgenre…

Ou

D'enseigner la théorie du genre comme nouveau concept d'identité culturelle déclassant l'identité biologique, sexuelle, masculin et féminin? Ça! ça demande un consensus pour enseigner aux enfants que le genre n'est plus masculin et féminin mais non binaire et un pur état d'esprit qui permet de s'identifier aux codes, rôles et stéréotypes souhaités en vigueur dans la société ( le genre produit de la société!!!)

Car la théorie du genre ne brise aucun carcan culturel genré. Elle nie le genre biologique pour permettre à "toustes" d'endosser le stéréotype convoité. On ne peut donc pas être une femme sexuée et être pompière. Faut être d'esprit non binaire pour adopter ce métier.

Le genre n'est plus biologique. C'est un état d'esprit. C'est ce qui permet à un prisonnier masculin de prétendre être d'esprit féminin pour purger sa peine avec les personnes avec un utérus. Qui ne voit pas à quelles absurdités existentielles mène cette théorie du genre? En fait c'est une théorie qui élargit à l'ensemble le trouble de l'identité sexuelle d'un groupuscule. Le genre n'est plus biologique mais un état d'esprit: c'est la dysphorie collective!!! :hi:

La théorie du genre oblige à endosser la croyance voulant que le phénomène transgenre soit un sens spirituel qui transcende le diktat biologique et non un trouble de l'identité sexuelle. Et pour endosser cette croyance c'est toute la société qui doit accepter de renoncer aux déterminismes biologiques pour la définition du genre. Le genre est maintenant un état d'esprit... LGBTQIA2S+. Pourquoi se laisser limiter par la matière, les déterminismes biologiques? Encore une fois si une femme aime une autre femme c'est en fonction de sa condition de femme et non de son esprit non binaire.

Faudra y penser à deux fois avant de penser enseigner aux enfants que leur corps est une illusion et que leur vraie identité est dans ce qu'il croit être. Dangereux comme toutes les sectes. À quand des cours de scientologie et raëlisme?

S'approprier un acte traditionnellement réservé au genre féminin ( ou inversement) sans renier sa masculinité ou identité sexuelle, ça c'est la nature qui brise un carcan culturel, un préjugé social ou moral, un stéréotype sexuel.

La théorie du genre trafique plutôt l'identité sexuelle pour l'adapter à l'activité genré.

La théorie du genre est un système de croyances pas une théorie éprouvée et avérée. On y croit ou pas... une profession de foi!

L'inclusion est un sentiment honorable mais inutile de coloniser l'esprit des enfants pour imposer à coup sûr son petit absolu idéologique.
.

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