Bonne année.
Il semble, à te lire, que l'un n'empêche pas l'autre. Mais je peux parfaitement comprendre que tu ne t'en rendes pas compte, et c'est ok, ne t'inquiète pas. Chacun ne fait que ce qu'il lui est donné de faire.
C'est là ta propre perception de mon personnage, et dans l'absolu elle n'est pas plus fausse ni vraie que celle de n'importe qui, y compris moi-même.Je hais toutes formes de mensonge, et ton personnage se présente comme un ange de lumière alors qu'il n'est qu'un noir mensonge.
Merci, c'est très gentil.Mais toi, je t'aime bien !
Permets-moi cependant de te faire gentiment remarquer que le "je" qui s'exprime ici lorsque tu écris "je t'aime bien" n'est autre que ton personnage. En effet, si c'était ce que Tu Es réellement qui s'exprimait ici, alors tu n'aurais pas rajouté "bien" à la fin de la phrase. Par exemple pour Ma part, Je T'aime (tout court). Et ça n'a rien à voir avec l'amour tout humain qu'éprouve le personnage, avec ses gradations "un peu, beaucoup, passionnément"...
Parviens-tu à saisir la différence, cher Wilfried ?
Je n'adhère pas vraiment à l'expression "ton être" dans la mesure où cela induit une dualité. En effet, Être, ce n'est pas quelque chose qu'on possède, mais c'est ce que Nous Sommes. Et oui, ce que nous sommes est parfaitement pur. Le personnage n'est qu'une infime partie de ce que Nous Sommes. Il peut effectivement sembler qu'il soit plus ou moins pur en fonction des gens, mais c'est un jugement qui incombe entièrement au personnage lui-même ; Dieu s'en abstient.De l'amalgame, voilà ce que tu fais, et tu prétends que ton être est pur... Beurk !
Bien à toi.
Dieu est à la manœuvre, toujours, et de façon irrémédiable. Là où tu fais erreur, c'est de croire que "Dieu" est à l'image de l'être humain, alors que c'est l'homme qui est une image (manifestation) de Dieu, comme tout ce qui existe. 
