La conscience n'est pas un vécu en particulier, c'est l'ensemble des vécus propres à soi, et aucun d'entre eux n'est permanent.
>>>>>> Il n'existe aucun vécu permanent.
J'm'interroge a écrit : ↑29 avr.24, 22:15La pensée en tant que représentations mentales, oui, c'est de l'ordre de l'expérience, mais non ce qui relève de cognitions.
>>>>>> La pensée en tant que représentations mentales, oui, c'est de l'ordre de l'expérience, mais non ce qui relève de cognitions.
C'est toi qui ne reconnais pas ce fait.
J'm'interroge a écrit : ↑29 avr.24, 22:15"Vivre" entre guillemet et dans ce sens, n'exprime pas une expérience ou un vécu. On peut "vivre" aussi avec certaines croyances comme celles qui sont les tiennes, mais ces croyances n'en constitueront pas pour autant des expériences ou des vécus.
C'est une croyance oui. Pas un vécu. Et c'est une croyance qui est fondée en partie sur des vécus.gzabirji a écrit : ↑30 avr.24, 01:26 Je vois ce que tu veux dire, mais ce n'est pas mon propos. Je vais prendre un exemple qui parlera à tout le monde, mais qui te sera particulièrement familier.
Imagine une jeune femme qui est persuadée que le catholicisme traditionnaliste constitue la seule et unique véritable religion. Elle croit que son catéchisme dit la vérité aussi sûrement que si c'était la parole de Dieu.
On a donc bien affaire ici à une "croyance", tu seras forcément d'accord.
J'affirme ici deux choses :
1- Le simple fait de "croire", pour cette jeune femme, est en soi-même une véritable expérience humaine.
2- Cette expérience consistant à "croire" s'accompagne de manifestations dans la vie de tous les jours. Cette jeune femme ne manquera jamais une messe (sauf cas de force majeure). Elle dira son chapelet à heures fixes, et envisagera même d'aller rejoindre un couvent.
Ainsi, l'expérience de "croire" va entraîner en cascade tout un tas d'autres expériences qui vont imprégner la vie de cette jeune femme.
Comme sans doute certaines de tes croyances, mais ça reste des croyances, et en tant que telles elles peuvent être erronées et certaines d'entre elles le sont, comme quand tu dis par exemple que la conscience serait un vécu permanent, c'est une croyance, rien d'autre.
- (1) Donc non, le simple fait de "croire", pour cette jeune femme, n'est pas une expérience. C'est une position intellectuelle qui est la sienne, rien d'autre.
- (2) Cette personne ira à la messe, cela s'accompagnera de vécus, elle dira son chappellet, cela sera accompagné de vécus, elle envisagra de rejoindre un couvent et de même elle aura ainsi certains vécus si elle le fait. Oui. Mais, tout ceci ne sera en rien des croyances. Ce sera liés à ses croyances certes, mais cela ne constituera en rien des croyances.
J'm'interroge a écrit : ↑29 avr.24, 22:15Contrairement à ce que tu prétends : tu n'as aucune expérience qui serait "permanente". Ça n'existe tout simplement pas.
Non, ça n'existe pas. Ce n'est là qu'une de tes croyances. Tu n'en fais pas l'expérience.
Quelque soit le référentiel :gzabirji a écrit : ↑30 avr.24, 01:26 Je précise :
- si on se place dans un référentiel humain, il va de soi que le terme "permanent" n'est pas synonyme "d'éternel". On parle d'une permanence relative. En tout état de cause, et jusqu'à preuve du contraire, toute expérience humaine cesse à la mort du corps biologique. Par conséquent, le terme "permanent" n'a pas ici un sens absolu.
>>>>>> Il n'existe aucun vécu permanent.
Tu crois des choses...
>>>>>> Il n'existe aucun vécu permanent.gzabirji a écrit : ↑30 avr.24, 01:26
- si on se place dans un référentiel plus large, tel que l'univers physique, le terme "permanent" reste tout aussi relatif. En effet, tout objet physique (matériel) aura lui aussi aussi une fin. Même les diamants ne sont pas éternels, au risque de contredire l'adage populaire.
Ils ne font pas une telle expérience quoi qu'ils en disent.
Quelque soit le référentiel :
>>>>>> Il n'existe aucun vécu permanent.
Tu crois des choses...
La conscience n'est pas un vécu en particulier, c'est l'ensemble des vécus propres à soi, et aucun d'entre eux n'est permanent.
Ce n'est pas une expérience, ce n'est qu'une affirmation exprimant une croyance, dans le cadre de ton système de croyances... Rien d'autre.
>>>>>> Un mot, qui de plus ne réfère à rien de vécu, n'est certainement pas une description.
J'm'interroge a écrit : ↑29 avr.24, 22:15Tu n'as aucun élément qui prouverait que ce que tu présentes comme une expérience (alors que ce n'en est même pas une), n'aurait pas une fin.
Si tu me dis que tu as mal au ventre je pourrais éventuellement le considérer comme réel. Mais une expérience permanente est un contresens, une abstraction, une ineptie, une impossibilité.gzabirji a écrit : ↑30 avr.24, 01:26 Tu as totalement raison sur ce point : je n'ai aucun élément qui puisse prouver quoi que ce soit à quelqu'un. C'est exactement comme si j'affirmais : "J'ai mal au ventre". Je n'aurais aucun moyen de le prouver. Le mal au ventre n'en demeure pas moins une expérience, tu l'as toi-même admis.
C'est comme quand tu disais expérimenter le Tout.
Ce n'était évidemment pas une expérience. Ce n'était qu'un propos insensé, lequel exprimait une croyance qui était tienne, dans le cadre de ton système de croyances... Rien d'autre.
J'm'interroge a écrit : ↑29 avr.24, 22:15Par contre voyons ce que toi tu me réponds et si tu ne m'accuserais pas en réalité de tes propres défauts :
La gravité c'est une théorie permettant d'expliquer des observations ou expériences diverses que l'on fait.
Donc non ! On n'expérimente pas la gravité, on expérimente des vécus qui s'expliquent plus ou moins bien par cette théorie...
>>>>> Encore une fois tu confonds tout...
Et non ! Ni toi ni personne n'expérimentez h 24 des choses qui se rapporteraient à cette théorie. Exemple : quand je fais mes papiers, ou dans d'autres situations je n'expérimente rien de la sorte.
De plus, si je prenais un ticket pour la station orbitale, je n'expérimenterais rien qui laisse penser à la gravité... J'expérimenterais au contraire tout un ensemble de choses qui me laisseraient plutôt penser qu'il n'y en a pas... Je me dirais : "Tiens ! Gzabirji dit vraiment de la merde..."... et je rigolerais un bon coup.
Tu racontes donc n'importe quoi et tu confonds bien ce que j'ai dit que tu confonds.
Mais ce n'était pas du tout le point...
Le point et même les points c'était que contrairement à ce que tu prétendais :
- 1) la gravité n'est pas une expérience,
- 2) tu ne fais même pas l'expérience permanente de ce que celle-ci, cette "force" théorique est censée expliquer.
et
- 3) tu prends pour des vécus ou des expériences réelles, des choses qui relèvent en réalité de théories foireuses, de conclusions bancales ou de croyances erronées.
Tu es de très mauvaise foi...
Si ce mettre au niveau de tout un chacun c'est proférer de semblables inepties que celles que tu profères, alors ce sera sans moi en effet.
D'ailleurs tu ne manques pas de toupet quand tu suggères que je me placerais sur un piédestal, alors que que de ton coté tu cherches à t'imposer en gourou, soit quelqu'un d'exceptionnel qui vivrait des choses impossibles à vivre, que les autres seraient inconscients de vivre...
C'est juste n'importe quoi.
J'm'interroge a écrit : ↑29 avr.24, 22:15Non justement, une croyance ça ne se décrit pas. Exemple : "Le père Noël existe." C'est une croyance, et ce n'est en rien une description. C'est comme ça pour toutes les croyances
Si si, ça c'en est une. Mais ce ne sont pas des croyances si ?gzabirji a écrit : ↑30 avr.24, 01:26 Euh... Tu te foutrais pas un peu du monde ?
La croyance au Père Noël, c'est pas seulement de dire "Le Père Noël existe". On peut parler de là où il vit, comment il se déplace, comment il livre les cadeaux, et même comment il est habillé, sa barbe blanche, etc. Et même sa grosse voix lorsqu'il fait "Oh ! Oh ! Oh !" (cette même grosse voix que tu viens d'entendre dans ta tête en lisant "oh oh oh"). C'est pas une description, ça ? Mon cul, oui !
En fait tu ne comprends rien à rien..
Le Pére Noël qui peut se décrire est un être imaginaire dont on peut se faire une représentation mentale. En tant que tel ce n'est pas une croyance, cela regroupe des choses qui peuvent se vivre, exemple : une rencontre avec le Père Noël au super-marché.
Ensuite, ce n'est pas parce que ce qui n'est pas descriptible même très vaguement et maladroitement ne peut pas être un vécu, que tout ce qui serait descriptible ne serait pas imaginaire.
Encore une fois tu as un sérieux problème avec la logique...
>>>>>> Et je remarque qu'en plus du reste, tu confonds aussi ce qui relève de la croyance avec ce qui relève de l'imagination...
Parce que tu n'en serais pas un ?
J'm'interroge a écrit : ↑29 avr.24, 22:15Et je note que malgré mes demandes répétées, tu ne produis toujours pas de description de ce fameux éveil...
Bein ça ne marche pas, pour les raisons dites : cela ne peut pas être un vécu.
Pour les 2 premiers c'est Ok, mais est-ce spécifique au dit "Eveil" ???
Pour les 2 derniers il s'agit plus d'une attitude voire d'une appréciation, que de vécus ou d'expériences.
Le problème est le même avec la "Bonté"...gzabirji a écrit : ↑30 avr.24, 01:26 Voilà. Tu en as déjà un pour chaque doigt de la première main.
Tu pourras noter que je n'ai pas employé le terme "Amour", car il est beaucoup trop vague dans la langue française. Ou alors, il faut que je l'associe systématiquement à l'adjectif "inconditionnel". Mouais... c'est pas mal, comme ça : "Amour inconditionnel". C'est le point No6 de ma "description" de l'indescriptible.
Quant à l' "Accueil" c'est très vague aussi. En quoi ce serait des vécus ou des expériences à proprement parler ?
En résumé :
>>>>>>>> Tu crois que tu fais l'expérience de choses qu'en réalité tu crois simplement comprendre.
.