Le personnage
Re: Le personnage
Ecrit le 31 mai24, 03:31"La peur est votre ego, le monstre que vous charriez dans vos pensées et vos sensations corporelles, l'usurpateur qui vous tient à l'écart du royaume bienheureux qui est le vôtre. Laissez-la se montrer en totalité. N'ayez pas peur d'elle, même si ses traits sont terrifiants. Puisez dans votre soif d'absolu et de liberté le courage de la regarder. Quand vous commencez à la sentir, pensez: "Viens, peur, montre-toi! Prends bien tes aises, car je suis hors de ton atteinte!"
https://youtube.com/@gzabirji
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Re: Le personnage
Ecrit le 31 mai24, 05:27Possible que je le vive par procuration projeté sur le chemin via ses photos envoyées.ronronladouceur a écrit : ↑31 mai24, 03:11
Je dirais même que tu vis toi-même le même vécu... En d'autres mots, toi aussi es traversé par Dieu. Une compréhension sans mot, en fait au-delà des mots, à mon sens la plus probante... La saisie est immédiate...
J'imagine cependant que ce doit être plus intense de le vivre en direct
Mais en aucun cas je n'interfère dans son vécu pour me l'approprier ou le faire coller à un mien vécu puisque déjà je ne fais que citer ses paroles. Sur le reste je ne dis rien.
Oui, au moins ce qui ressort de ces simples mots prononcés par lui. Pour tout le reste je pense que ça lui appartient.
En ce sens, tu ferais toi-même en abrégé le pèlerinage qu'a fait ton frère jusqu'à ce vécu... Vous êtes donc deux à vivre une expérience semblable...
C'est possible.Ça m'a rappelé le type de EMI nommée "expérience de mort partagée" (EMP) où quelqu'un qui est proche d'une personne en train de vivre une EMI rapporte des expériences similaires ou des sentiments de sortie du corps, de perception de la lumière, etc.'' [IA]
Son voyage a duré plusieurs semaines et il est rentré à regret. Il dit que ça a été une révélation pour lui. Il le refera certainement jusqu'en Espagne marchant des 30 km par jour en union/communion avec le monde et la vie. Expérimentant pour moi dans son vécu de faire un avec tout le reste...Puis-je dire non seulement ''traversé'' par dieu, mais rempli (visité par?) de sa Présence? À moins que l'épisode fût très bref?
Chaque jour suffit.
Re: Le personnage
Ecrit le 31 mai24, 05:54"L'efficacité de cette méthode provient du fait que la peur est une chose perçue, donc limitée. Le plus long serpent du monde finit bien quelque part. Une fois qu'il est entièrement sorti des hautes herbes, qu'il est vu en totalité, vous êtes hors de danger, car il ne peut plus vous attaquer par surprise. De même, quand vous voyez en face de vous la totalité de votre peur, quand il ne reste rien d'elle qui vous soit caché, il n'est rien de vous qui puisse s'identifier à elle. Elle est un objet "décollé" de vous. Le cordon ombilical d'ignorance par lequel vous nourrissiez l'ego ne fonctionne plus. Ce moi fantôme, n'étant plus alimenté, ne peut plus se maintenir; il se meurt alors dans l'explosion de votre liberté éternelle."
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Re: Le personnage
Ecrit le 31 mai24, 09:06.
@ 'mazalée,
(Réplique de Guillaume de Baskuerville à Adso de Melk, dans le Nom de la Rose de Jean-Jacques Annaud.)
Reflechis-tu parfois à ce que j'explique ?
Un usage inintelligent de ChatGPT ne t'y aidera pas.
Après lui avoir donner deux définitions tirées de mes explications plus haut, une directive pour la mise en forme, ainsi que ce texte, voilà ce que ChatGPT me sort :
ChatGPT :
Faire un avec tout ce qui nous entoure : Une Compréhension Conceptuelle ou une Expérience Vécue ?
Faire un avec tout ce qui nous entoure constitue une compréhension profonde de l'interconnexion et de l'unité supposée inhérente à l'existence. Cette compréhension peut être dérivée de vécus lors de pratiques contemplatives. Ces moments peuvent inclure des expériences de calme profond ou des états méditatifs. Cependant, il est crucial de noter que cette compréhension est une abstraction interprétative et non un vécu en soi.
Les expériences mystiques et les pratiques contemplatives peuvent nous amener à comprendre qu'il existe une forme d'unité, mais elles ne constituent pas l'expérience directe de l'unité elle-même si tant est qu'il en existe une. L'unité, telle que décrite dans ces contextes, et cela malgré les témoignages qui peuvent parfois prétendre le contraire, est une abstraction, laquelle ne peut être assimilée à un vécu direct ni à un ressenti à proprement parler. Elle reste une idée générale basée sur des vécus individuels et particuliers et non un vécu en lui-même. Cette conception est soumise à l'interprétation personnelle et les cadres culturels jouent un rôle significatif dans son élaboration.
Les témoignages et les pratiques montrent que cette compréhension de l'unité peut être transformative et offrir une perspective de non-séparation et d'interconnexion profonde. Par exemple, des récits de méditants rapportent des changements durables dans leur perception de soi et du monde, marqués par une plus grande empathie et un sens accru de la communauté. Cependant, il est essentiel de reconnaître la distinction entre ce qui est vécu et les conclusions abstraites et générales que l'on en tire. Une expérience de calme méditatif ou de clarté mentale sont un vécu, tandis que la conclusion que "tout est un" en est une interprétation conceptuelle.
Certaines pratiques, telles que la méditation, le yoga, et d'autres formes de contemplation, peuvent non seulement approfondir la compréhension de cette interconnexion réelle, multiple et variée, mais aussi l'amplifier, la développer, la modifier et créer de nouvelles connexions entre soi et les autres, soi et son environnement, etc. Ces pratiques peuvent conduire à des états de conscience non ordinaires où les individus éprouvent des degrés élevés de paix, de clarté mentale et de bien-être émotionnel et physique. Elles peuvent également aider à développer une connaissance accrue de l'interdépendance des phénomènes.
Cependant, cet approfondissement de l'interconnexion ou les nouveaux vécus qui en résultent ne constituent pas en eux-mêmes des vécus d'interconnexion. Ils enrichissent notre compréhension conceptuelle en nous permettant de vivre des expériences qui illustrent cette idée, sans que ces expériences soient l'interconnexion elle-même. Par exemple, une personne peut éprouver une profonde paix et témoigner d'une attention accrue, ce qui peut l'amener à parler d'un sentiment de connexion après une séance de méditation, mais cela reste une expérience individuelle de paix et de clarté mentale, pas l'expérience directe de l'unité ou de l'interconnexion de toutes choses.
J'ai ensuite remis ce texte en premier prompt et voilà le texte que ChatGPT m'a produit :
La question de savoir si notre compréhension de l'interconnexion avec tout ce qui nous entoure provient d'une compréhension conceptuelle ou d'une expérience vécue est intéressante et complexe.
D'une part, il est vrai que notre compréhension de l'unité et de l'interconnexion peut découler d'une réflexion conceptuelle profonde. Par exemple, en étudiant les principes philosophiques de l'interdépendance ou en explorant les enseignements spirituels sur l'unité de la vie, nous pouvons développer une compréhension intellectuelle de ces concepts. Cette approche conceptuelle peut être enrichie par des lectures, des discussions et des enseignements qui nous aident à élaborer une vision cohérente de l'interconnexion de toutes choses.
D'autre part, notre compréhension de l'interconnexion peut également découler d'expériences vécues directes. Par exemple, des moments de présence profonde dans la nature, des interactions empathiques avec d'autres êtres humains, ou des pratiques contemplatives telles que la méditation peuvent nous conduire à cette compréhension de l'interconnexion de toute vie. Ces expériences vécues peuvent être particulièrement puissantes et amener à mieux nous représenter notre connexion avec l'ensemble du cosmos.
En réalité, ces deux approches ne sont pas mutuellement exclusives, mais plutôt complémentaires. Nos expériences vécues peuvent inspirer et informer notre compréhension conceptuelle, tandis que notre réflexion conceptuelle peut approfondir et élargir notre expérience vécue. Par exemple, une personne qui médite régulièrement peut trouver que ses insights méditatifs alimentent sa compréhension philosophique de l'interconnexion, tandis qu'une personne étudiant la philosophie bouddhiste peut trouver que cette compréhension conceptuelle enrichit ses pratiques méditatives.
En fin de compte, que notre compréhension de l'interconnexion avec tout ce qui nous entoure provienne d'une compréhension conceptuelle ou d'expériences vécues, ce qui importe le plus est que nous cultivions une sensibilité profonde à cette réalité fondamentale. Cette sensibilité peut nous inspirer à vivre de manière plus compatissante, à prendre soin de notre environnement naturel, et à cultiver des relations plus harmonieuses avec les autres êtres vivants. Que ce soit à travers la réflexion conceptuelle, l'expérience vécue, ou une combinaison des deux, notre engagement envers cette compréhension de l'interconnexion peut enrichir nos vies et contribuer à un monde plus équilibré et bienveillant.
Voici enfin un texte retravaillé qui intègre aussi l'idée qu'un vécu se définit comme un ensemble de perceptions, de ressentis émotionnels et/ou de représentations imaginales involontaires ou non, parmi lesquelles les représentations mentales, et qu'un vécu est toujours une réalité singulière :
Nos vécus, définis comme des ensembles de perceptions, de ressentis émotionnels et de représentations imaginales, jouent un rôle central dans notre compréhension de l'interconnexion avec tout ce qui nous entoure. Chaque vécu est une réalité singulière, façonnée par nos expériences individuelles et notre manière unique d'appréhender le monde.
Lorsque nous parlons de faire un avec tout ce qui nous entoure, nous parlons non pas d'une expérience d'unité dite de fusion ou d'interconnexion, mais nous pouvons être amenés à le penser. Simplement à le penser, non à le vivre comme un vécu en tant que tel, et cela même si cette pensée découle de vécus profonds et significatifs et en est accompagnée.
Par exemple, un moment de contemplation profonde dans la nature peut nous immerger dans une expérience où nous avons de puissants aperçus* imaginaux de notre lien avec l'environnement naturel qui nous entoure. Dans ce genre d'expériences, nos représentations individuelles s'estompent. De là, la pensée d'une unité et d'une interconnexion profondes.
Cependant, il est important de reconnaître que même si nos vécus peuvent nous conduire à penser et à nous représenter par des illustrations cette interconnexion, ils demeurent des réalités subjectives et singulières. Chaque individu peut interpréter et vivre ces expériences de manière différente en fonction de ses propres filtres perceptuels et émotionnels.
Ainsi, nos vécus peuvent être à la fois la source et le résultat de notre compréhension de cette interconnexion. Par exemple, une personne qui a régulièrement des aperçus* d'interconnexion avec la nature, peut être amenée à approfondir sa réflexion conceptuelle sur les liens qui unissent tous les êtres vivants. De même, une personne qui étudie la philosophie de l'interdépendance peut être inspirée à rechercher des expériences vécues qui illustrent ces concepts abstraits.
En résumé, nos vécus individuels, en tant que réalités singulières et subjectives, jouent un rôle crucial dans notre compréhension de l'interconnexion et de l'unité avec tout ce qui nous entoure. Ils peuvent être à la fois la source et le résultat de notre compréhension de cette interconnexion, nous guidant vers une connaissance plus profonde de notre place dans le monde et de nos liens avec les autres êtres vivants.
* Note : le terme était insight, il s'agit de représentations mentales particulièrement intenses et chargées.
ChatGPT :
L'affirmation selon laquelle "Faire un avec tout ce qui nous entoure est un vécu tout court" semble simplifier la complexité de l'expérience humaine et ignorer la part interprétative qui lui est intrinsèquement liée.
L'idée d'une expérience directe de l'unité qui est parfois mise en avant et présentée comme un vécu, néglige les nuances apportées ainsi que la difficulté de distinguer les expériences réelles, des interprétations générales et abstraites. Elle résulte d'ailleurs souvent d'une tendance à confondre les deux.
Cette idée semble minimiser l'importance des interprétations et des compréhensions desquelles elle résulte. Comme discuté précédemment, l'idée d'une expérience de l'unité est forcément influencée par des croyances personnelles et des cadres culturels, ce qui rend la distinction entre vécu et interprétation essentielle pour une compréhension plus nuancée, et intégrative.
De plus, l'affirmation de l'expérience directe de l'unité peut négliger les défis inhérents à la communication de telles expériences subjectives. Comme mentionné précédemment également, décrire des expériences subjectives est intrinsèquement difficile et peut être influencé par des biais cognitifs et des interprétations personnelles.
En résumé, bien que l'idée d'une expérience directe de l'unité soit souvent prégnante dans certains milieux et croyances, une critique nuancée exige de reconnaître les limites des vécus humains, leur singularité, ainsi que le fait que les expériences vécues et les compréhensions qui en découlent, plus ou moins exactes et fondées, sont des choses distinctes bien que liées.
_____________
C'est une compréhension, non un vécu, accompagnée de représentations mentales particulièrement intenses et chargées émotionnellement, qui sont quant à elles des vécus.
Quant aux transformations personnelles et spirituelles, celles qui sont effectives, je ne l'ai remets pas du tout en question.
La paix, la sérénité, sont des vécus profonds.
Je ne dis pas que ça n'existe pas, mais que ce n'est pas non plus un vécu en tant que tel. C'est quelque chose que l'on infère à tort ou à raison selon les cas.
Les vécus transcendent toujours les mots... Enfin, le verbe transcender est peut-être mal choisi...
.
@ 'mazalée,
Mais quel navet blafard fais-tu... (Humour, je ne le pense pas vraiment.)'mazalée' a écrit : ↑30 mai24, 20:14 Question à tchatgt
Faire un avec tout ce qui nous entoure est ce ou n'est ce pas un vécu ?
Réponse :
Faire un avec tout ce qui nous entoure est effectivement un vécu, une expérience directe et personnelle. C'est un état de conscience qui transcende les concepts intellectuels et les distinctions ordinaires entre le soi et l'autre. Voici quelques aspects pour mieux comprendre ce vécu :
..
(Réplique de Guillaume de Baskuerville à Adso de Melk, dans le Nom de la Rose de Jean-Jacques Annaud.)
Reflechis-tu parfois à ce que j'explique ?
Un usage inintelligent de ChatGPT ne t'y aidera pas.
Après lui avoir donner deux définitions tirées de mes explications plus haut, une directive pour la mise en forme, ainsi que ce texte, voilà ce que ChatGPT me sort :
ChatGPT :
Faire un avec tout ce qui nous entoure : Une Compréhension Conceptuelle ou une Expérience Vécue ?
Faire un avec tout ce qui nous entoure constitue une compréhension profonde de l'interconnexion et de l'unité supposée inhérente à l'existence. Cette compréhension peut être dérivée de vécus lors de pratiques contemplatives. Ces moments peuvent inclure des expériences de calme profond ou des états méditatifs. Cependant, il est crucial de noter que cette compréhension est une abstraction interprétative et non un vécu en soi.
Les expériences mystiques et les pratiques contemplatives peuvent nous amener à comprendre qu'il existe une forme d'unité, mais elles ne constituent pas l'expérience directe de l'unité elle-même si tant est qu'il en existe une. L'unité, telle que décrite dans ces contextes, et cela malgré les témoignages qui peuvent parfois prétendre le contraire, est une abstraction, laquelle ne peut être assimilée à un vécu direct ni à un ressenti à proprement parler. Elle reste une idée générale basée sur des vécus individuels et particuliers et non un vécu en lui-même. Cette conception est soumise à l'interprétation personnelle et les cadres culturels jouent un rôle significatif dans son élaboration.
Les témoignages et les pratiques montrent que cette compréhension de l'unité peut être transformative et offrir une perspective de non-séparation et d'interconnexion profonde. Par exemple, des récits de méditants rapportent des changements durables dans leur perception de soi et du monde, marqués par une plus grande empathie et un sens accru de la communauté. Cependant, il est essentiel de reconnaître la distinction entre ce qui est vécu et les conclusions abstraites et générales que l'on en tire. Une expérience de calme méditatif ou de clarté mentale sont un vécu, tandis que la conclusion que "tout est un" en est une interprétation conceptuelle.
Certaines pratiques, telles que la méditation, le yoga, et d'autres formes de contemplation, peuvent non seulement approfondir la compréhension de cette interconnexion réelle, multiple et variée, mais aussi l'amplifier, la développer, la modifier et créer de nouvelles connexions entre soi et les autres, soi et son environnement, etc. Ces pratiques peuvent conduire à des états de conscience non ordinaires où les individus éprouvent des degrés élevés de paix, de clarté mentale et de bien-être émotionnel et physique. Elles peuvent également aider à développer une connaissance accrue de l'interdépendance des phénomènes.
Cependant, cet approfondissement de l'interconnexion ou les nouveaux vécus qui en résultent ne constituent pas en eux-mêmes des vécus d'interconnexion. Ils enrichissent notre compréhension conceptuelle en nous permettant de vivre des expériences qui illustrent cette idée, sans que ces expériences soient l'interconnexion elle-même. Par exemple, une personne peut éprouver une profonde paix et témoigner d'une attention accrue, ce qui peut l'amener à parler d'un sentiment de connexion après une séance de méditation, mais cela reste une expérience individuelle de paix et de clarté mentale, pas l'expérience directe de l'unité ou de l'interconnexion de toutes choses.
J'ai ensuite remis ce texte en premier prompt et voilà le texte que ChatGPT m'a produit :
La question de savoir si notre compréhension de l'interconnexion avec tout ce qui nous entoure provient d'une compréhension conceptuelle ou d'une expérience vécue est intéressante et complexe.
D'une part, il est vrai que notre compréhension de l'unité et de l'interconnexion peut découler d'une réflexion conceptuelle profonde. Par exemple, en étudiant les principes philosophiques de l'interdépendance ou en explorant les enseignements spirituels sur l'unité de la vie, nous pouvons développer une compréhension intellectuelle de ces concepts. Cette approche conceptuelle peut être enrichie par des lectures, des discussions et des enseignements qui nous aident à élaborer une vision cohérente de l'interconnexion de toutes choses.
D'autre part, notre compréhension de l'interconnexion peut également découler d'expériences vécues directes. Par exemple, des moments de présence profonde dans la nature, des interactions empathiques avec d'autres êtres humains, ou des pratiques contemplatives telles que la méditation peuvent nous conduire à cette compréhension de l'interconnexion de toute vie. Ces expériences vécues peuvent être particulièrement puissantes et amener à mieux nous représenter notre connexion avec l'ensemble du cosmos.
En réalité, ces deux approches ne sont pas mutuellement exclusives, mais plutôt complémentaires. Nos expériences vécues peuvent inspirer et informer notre compréhension conceptuelle, tandis que notre réflexion conceptuelle peut approfondir et élargir notre expérience vécue. Par exemple, une personne qui médite régulièrement peut trouver que ses insights méditatifs alimentent sa compréhension philosophique de l'interconnexion, tandis qu'une personne étudiant la philosophie bouddhiste peut trouver que cette compréhension conceptuelle enrichit ses pratiques méditatives.
En fin de compte, que notre compréhension de l'interconnexion avec tout ce qui nous entoure provienne d'une compréhension conceptuelle ou d'expériences vécues, ce qui importe le plus est que nous cultivions une sensibilité profonde à cette réalité fondamentale. Cette sensibilité peut nous inspirer à vivre de manière plus compatissante, à prendre soin de notre environnement naturel, et à cultiver des relations plus harmonieuses avec les autres êtres vivants. Que ce soit à travers la réflexion conceptuelle, l'expérience vécue, ou une combinaison des deux, notre engagement envers cette compréhension de l'interconnexion peut enrichir nos vies et contribuer à un monde plus équilibré et bienveillant.
Voici enfin un texte retravaillé qui intègre aussi l'idée qu'un vécu se définit comme un ensemble de perceptions, de ressentis émotionnels et/ou de représentations imaginales involontaires ou non, parmi lesquelles les représentations mentales, et qu'un vécu est toujours une réalité singulière :
Nos vécus, définis comme des ensembles de perceptions, de ressentis émotionnels et de représentations imaginales, jouent un rôle central dans notre compréhension de l'interconnexion avec tout ce qui nous entoure. Chaque vécu est une réalité singulière, façonnée par nos expériences individuelles et notre manière unique d'appréhender le monde.
Lorsque nous parlons de faire un avec tout ce qui nous entoure, nous parlons non pas d'une expérience d'unité dite de fusion ou d'interconnexion, mais nous pouvons être amenés à le penser. Simplement à le penser, non à le vivre comme un vécu en tant que tel, et cela même si cette pensée découle de vécus profonds et significatifs et en est accompagnée.
Par exemple, un moment de contemplation profonde dans la nature peut nous immerger dans une expérience où nous avons de puissants aperçus* imaginaux de notre lien avec l'environnement naturel qui nous entoure. Dans ce genre d'expériences, nos représentations individuelles s'estompent. De là, la pensée d'une unité et d'une interconnexion profondes.
Cependant, il est important de reconnaître que même si nos vécus peuvent nous conduire à penser et à nous représenter par des illustrations cette interconnexion, ils demeurent des réalités subjectives et singulières. Chaque individu peut interpréter et vivre ces expériences de manière différente en fonction de ses propres filtres perceptuels et émotionnels.
Ainsi, nos vécus peuvent être à la fois la source et le résultat de notre compréhension de cette interconnexion. Par exemple, une personne qui a régulièrement des aperçus* d'interconnexion avec la nature, peut être amenée à approfondir sa réflexion conceptuelle sur les liens qui unissent tous les êtres vivants. De même, une personne qui étudie la philosophie de l'interdépendance peut être inspirée à rechercher des expériences vécues qui illustrent ces concepts abstraits.
En résumé, nos vécus individuels, en tant que réalités singulières et subjectives, jouent un rôle crucial dans notre compréhension de l'interconnexion et de l'unité avec tout ce qui nous entoure. Ils peuvent être à la fois la source et le résultat de notre compréhension de cette interconnexion, nous guidant vers une connaissance plus profonde de notre place dans le monde et de nos liens avec les autres êtres vivants.
* Note : le terme était insight, il s'agit de représentations mentales particulièrement intenses et chargées.
J'ai également entré cette réponse, voici la réponse :'mazalée' a écrit : ↑30 mai24, 20:14 Question bis
Faire un avec tout ce qui nous entoure est ce une comprehension tirée d'un vécu ou est ce un vécu tout court ?
Réponse
Faire un avec tout ce qui nous entoure est un vécu tout court. Ce n'est pas simplement une compréhension ou une interprétation tirée d'un vécu antérieur, mais une expérience immédiate et directe de l'unité avec tout ce qui existe.
ChatGPT :
L'affirmation selon laquelle "Faire un avec tout ce qui nous entoure est un vécu tout court" semble simplifier la complexité de l'expérience humaine et ignorer la part interprétative qui lui est intrinsèquement liée.
L'idée d'une expérience directe de l'unité qui est parfois mise en avant et présentée comme un vécu, néglige les nuances apportées ainsi que la difficulté de distinguer les expériences réelles, des interprétations générales et abstraites. Elle résulte d'ailleurs souvent d'une tendance à confondre les deux.
Cette idée semble minimiser l'importance des interprétations et des compréhensions desquelles elle résulte. Comme discuté précédemment, l'idée d'une expérience de l'unité est forcément influencée par des croyances personnelles et des cadres culturels, ce qui rend la distinction entre vécu et interprétation essentielle pour une compréhension plus nuancée, et intégrative.
De plus, l'affirmation de l'expérience directe de l'unité peut négliger les défis inhérents à la communication de telles expériences subjectives. Comme mentionné précédemment également, décrire des expériences subjectives est intrinsèquement difficile et peut être influencé par des biais cognitifs et des interprétations personnelles.
En résumé, bien que l'idée d'une expérience directe de l'unité soit souvent prégnante dans certains milieux et croyances, une critique nuancée exige de reconnaître les limites des vécus humains, leur singularité, ainsi que le fait que les expériences vécues et les compréhensions qui en découlent, plus ou moins exactes et fondées, sont des choses distinctes bien que liées.
_____________
J'm'interroge a écrit :En réalité, tu as surtout penché vers la facilité de croire que tu avais compris ce qu'il voulait dire par là, sans doute après avoir supposé qu'il aurait vécu un truc similaire à ce que tu penses connaître pour l'avoir toi-même vécu. Mais est-ce le cas ?
Oui, ok. C'est une manière de dire que tu en comprends ce que tu en comprends selon tes vécus.'mazalée' a écrit : ↑30 mai24, 22:12 Question à Tchat GPT :
Si mon frère me dit :"sur le chemin de Compostelle, on se sent traversé par Dieu" et que je le comprends. Qu'est ce que cela veut dire ?
Reponse :
Lorsque votre frère dit "sur le chemin de Compostelle, on se sent traversé par Dieu" et que vous le comprenez, cela signifie que vous saisissez intuitivement la profondeur de son expérience spirituelle et émotionnelle. Voici quelques aspects de ce que cela peut signifier :
Cela suggère une expérience dans laquelle l'individu se "sent" profondément connecté à quelque chose de plus grand que lui-même.'mazalée' a écrit : ↑30 mai24, 22:12 ### 1. **Expérience Spirituelle Profonde**
- **Présence Divine** : Se sentir "traversé par Dieu" suggère une expérience de la présence divine, où l'individu se sent profondément connecté à quelque chose de plus grand que lui-même. C'est un sentiment d'être touché ou transformé par une force spirituelle.
C'est une compréhension, non un vécu, accompagnée de représentations mentales particulièrement intenses et chargées émotionnellement, qui sont quant à elles des vécus.
La clarté spirituelle est un vécu.'mazalée' a écrit : ↑30 mai24, 22:12 ### 2. **Transformation Intérieure**
- **Éveil Spirituel** : Le chemin de Compostelle, étant un pèlerinage, est souvent un moment de transformation personnelle et spirituelle. Votre frère peut avoir vécu des moments d'éveil ou de clarté spirituelle qui l'ont transformé de l'intérieur.
Quant aux transformations personnelles et spirituelles, celles qui sont effectives, je ne l'ai remets pas du tout en question.
Je ne remets pas non plus en question la possibilité de connexions profondes, ni de vécus non ordinaires qui peuvent les accompagner. Mais la connexion en elle-même, aussi profonde qu'elle soit, n'est pas un vécu. C'est quelque chose que l'on infère à partir de ces vécus.
Ils permettent tout cela, de trouver la paix, la sérénité, de se ressourcer, de se reconnecter de se décentrer de soi, etc.. Oui. Tout à fait.'mazalée' a écrit : ↑30 mai24, 22:12 ### 4. **Paix et Sérénité**
- **Paix Intérieure** : Les pèlerinages peuvent offrir une pause dans le tumulte de la vie quotidienne, permettant aux pèlerins de trouver la paix et la sérénité. Se sentir "traversé par Dieu" pourrait indiquer un état de tranquillité profonde et de paix intérieure.
La paix, la sérénité, sont des vécus profonds.
"Se sentir guidé" est une interprétation.'mazalée' a écrit : ↑30 mai24, 22:12 ### 5. **Révélation et Guidance**
- **Clarté Spirituelle** : Sur le chemin de Compostelle, les pèlerins peuvent vivre des moments de révélation, où ils se sentent guidés par une force supérieure. Cela peut se traduire par des insights profonds, des décisions claires, ou un sentiment de direction dans leur vie.
Je ne dis pas que ça n'existe pas, mais que ce n'est pas non plus un vécu en tant que tel. C'est quelque chose que l'on infère à tort ou à raison selon les cas.
L'empathie est une aptitude et une ouverture. Elle est accompagnée de vécus aussi.'mazalée' a écrit : ↑30 mai24, 22:12 ### 6. **Compréhension Empathique**
- **Empathie et Partage** : Si vous comprenez ce qu'il veut dire, cela montre que vous avez une empathie et une capacité à partager son expérience, même si vous ne l'avez pas vécue vous-même. Vous pouvez saisir la signification profonde de ce qu'il décrit et ressentir une connexion avec son vécu spirituel.
Oui, c'est ça tu l'as reconnue, et c'est une compréhension aussi, c'est vrai. Mais ce que j'ai dit dans l'autre post reste vrai.'mazalée' a écrit : ↑30 mai24, 22:12 ### Conclusion
Comprendre que "sur le chemin de Compostelle, on se sent traversé par Dieu" signifie que vous reconnaissez et saisissez la profondeur de l'expérience spirituelle de votre frère. Cette phrase décrit une rencontre directe et transformative avec le divin, caractérisée par une connexion profonde, une paix intérieure, et une possible révélation spirituelle. C'est une expérience qui transcende les mots et est ressentie directement, offrant un aperçu de la présence divine dans la vie quotidienne.
Les vécus transcendent toujours les mots... Enfin, le verbe transcender est peut-être mal choisi...
.
La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit sont lot d'expériences vécues.
Sagesse !
Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit sont lot d'expériences vécues.
Sagesse !
Re: Le personnage
Ecrit le 31 mai24, 21:32De façon à facilité la lecture, voici un résumé des textes présentés par J'm'interroge :
"Faire un avec tout ce qui nous entoure" implique une compréhension de l'interconnexion et suppose généralement une unité inhérente à l'existence. Cette compréhension est souvent dérivée de vécus non ordinaires liés à des états méditatifs induits lors de pratiques spirituelles, mais pas exclusivement. La compréhension qu'exprime cette phrase est une abstraction interprétative, non un vécu direct. Les expériences mystiques et méditatives, vécus individuels et singuliers, laissent penser à une forme d'unité, seulement en ce que nous sommes influencés par des systèmes de croyances supposant une unité fondamentale. La distinction entre vécu et interprétation est essentielle : une expérience de calme méditatif, de clarté mentale ou d'attention accrue sont des vécus, tandis que conclure que "tout est un" est une interprétation conceptuelle. Les pratiques comme la méditation et le yoga peuvent approfondir cette compréhension, en conduisant à des états de perceptions et de visualisations, enrichissant notre perception de l'interdépendance des phénomènes. Notre compréhension relative est le fruit d'inférences cognitives, bien qu'elle se nourrisse d'expériences vécues directes. Une compréhension n'est donc jamais directe, se traduisant en concepts et théories portant sur des expériences vécues, les deux se complétant, seules les expériences vécues étant directes. Chaque vécu est subjectif et unique, façonné par nos expériences personnelles, mais aussi en retour par ce que nous en comprenons et la manière dont nous le comprenons. Parler de "faire un avec tout ce qui nous entoure" est une pensée résultant de vécus profonds certes, mais ce n'est pas un vécu en soi. En somme, la reconnaissance des limites et du caractère singulier des expériences humaines est cruciale pour distinguer les vécus des interprétations conceptuelles qu'ils inspirent, lesquelles sont toujours des formules et considérations générales.
(J'ai rajouté le "... , mais pas exclusivement" mis en italique.)
"Faire un avec tout ce qui nous entoure" implique une compréhension de l'interconnexion et suppose généralement une unité inhérente à l'existence. Cette compréhension est souvent dérivée de vécus non ordinaires liés à des états méditatifs induits lors de pratiques spirituelles, mais pas exclusivement. La compréhension qu'exprime cette phrase est une abstraction interprétative, non un vécu direct. Les expériences mystiques et méditatives, vécus individuels et singuliers, laissent penser à une forme d'unité, seulement en ce que nous sommes influencés par des systèmes de croyances supposant une unité fondamentale. La distinction entre vécu et interprétation est essentielle : une expérience de calme méditatif, de clarté mentale ou d'attention accrue sont des vécus, tandis que conclure que "tout est un" est une interprétation conceptuelle. Les pratiques comme la méditation et le yoga peuvent approfondir cette compréhension, en conduisant à des états de perceptions et de visualisations, enrichissant notre perception de l'interdépendance des phénomènes. Notre compréhension relative est le fruit d'inférences cognitives, bien qu'elle se nourrisse d'expériences vécues directes. Une compréhension n'est donc jamais directe, se traduisant en concepts et théories portant sur des expériences vécues, les deux se complétant, seules les expériences vécues étant directes. Chaque vécu est subjectif et unique, façonné par nos expériences personnelles, mais aussi en retour par ce que nous en comprenons et la manière dont nous le comprenons. Parler de "faire un avec tout ce qui nous entoure" est une pensée résultant de vécus profonds certes, mais ce n'est pas un vécu en soi. En somme, la reconnaissance des limites et du caractère singulier des expériences humaines est cruciale pour distinguer les vécus des interprétations conceptuelles qu'ils inspirent, lesquelles sont toujours des formules et considérations générales.
(J'ai rajouté le "... , mais pas exclusivement" mis en italique.)
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Re: Le personnage
Ecrit le 31 mai24, 21:55Tu as bien fait.
ChatGPT :
Votre texte présente une réflexion approfondie sur la distinction entre le vécu direct et l'interprétation conceptuelle des expériences spirituelles et méditatives. Voici quelques commentaires et clarifications :
Points Clés :
1. Interconnexion et Unité Inhérente :
Vous évoquez l'idée que "faire un avec tout ce qui nous entoure" suggère une compréhension de l'interconnexion et une unité fondamentale de l'existence, souvent dérivée d'états méditatifs ou spirituels.
2. Distinction Vécu/Interprétation :
Une distinction importante est faite entre le vécu direct (calme méditatif, clarté mentale, attention accrue) et l'interprétation conceptuelle ("tout est un"). Cette distinction est cruciale pour comprendre la nature des expériences spirituelles.
3. Influence des Systèmes de Croyances :
Les expériences mystiques et méditatives sont influencées par les systèmes de croyances préexistants, qui supposent souvent une unité fondamentale.
4. Complémentarité des Vécus et des Compréhensions :
Les vécus directs et les interprétations conceptuelles se complètent mutuellement, chacun influençant et enrichissant l'autre.
Conclusion :
Votre texte souligne bien l'importance de distinguer entre les expériences directes et leurs interprétations conceptuelles, tout en reconnaissant leur complémentarité. Il montre une profonde compréhension de la nature des expériences spirituelles et de la manière dont elles sont conceptualisées. En simplifiant certaines parties et en ajoutant des exemples concrets, le texte pourrait gagner en clarté et en impact.
.
La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit sont lot d'expériences vécues.
Sagesse !
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Re: Le personnage
Ecrit le 31 mai24, 22:12"Il n'est nul besoin de dresser l'ego ou de l'éliminer. Quand vous essayez de le dresser ou de l'éliminer, qui est l'auteur de cette tentative?
Comment cela serait-il possible? Cette tentative au contraire le perpétue. L'ego n'est un obstacle que dans la mesure où nous lui prêtons attention. Au lieu d'aborder cette recherche par le côté négatif, l'ego et son élimination, commencez par le côté positif. La re-connaissance dont vous parliez laisse en vous un souvenir de plénitude. Ce souvenir se réfère à une expérience non-mentale. Il ne vient pas de la mémoire qui ne peut enregistrer que des éléments objectifs."
https://youtube.com/@gzabirji
Comment cela serait-il possible? Cette tentative au contraire le perpétue. L'ego n'est un obstacle que dans la mesure où nous lui prêtons attention. Au lieu d'aborder cette recherche par le côté négatif, l'ego et son élimination, commencez par le côté positif. La re-connaissance dont vous parliez laisse en vous un souvenir de plénitude. Ce souvenir se réfère à une expérience non-mentale. Il ne vient pas de la mémoire qui ne peut enregistrer que des éléments objectifs."
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Re: Le personnage
Ecrit le 31 mai24, 23:29.
Les relations entre les choses sont variées, tout n'est pas connecté au reste de la même manière. Mais cela ne signifie pas qu'il existerait des choses totalement séparées ou indépendantes. Au contraire, chaque chose est définie par ses liens avec les autres, n'est qu'un tissu d'interdépendances, de relations entre possibles, sans qu'il y ait une substance propre à quoique ce soit. Un possible, c'est simplement un quelque chose que rien n'empêche et qui est mutuellement compatible avec d'autres, s'harmonisant avec tout le reste. Bien que nous soyons des individus distincts avec nos propres pensées et perceptions, cela ne signifie pas que nous soyons séparés de notre environnement, ni des autres, ni du reste. Nos expériences individuelles ne représentent pas toute l'existence, car elles sont elles-mêmes interdépendantes, et qu'il existe par conséquent des structures de possibles qui leur sont extérieures et qui les permettent, extérieures à nos consciences. En reconnaissant nos spécificités tout en comprenant nos interdépendances, nous pouvons mieux comprendre notre place dans cet enchevêtrement complexe de possibles formant notre réalité multiple.
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Les relations entre les choses sont variées, tout n'est pas connecté au reste de la même manière. Mais cela ne signifie pas qu'il existerait des choses totalement séparées ou indépendantes. Au contraire, chaque chose est définie par ses liens avec les autres, n'est qu'un tissu d'interdépendances, de relations entre possibles, sans qu'il y ait une substance propre à quoique ce soit. Un possible, c'est simplement un quelque chose que rien n'empêche et qui est mutuellement compatible avec d'autres, s'harmonisant avec tout le reste. Bien que nous soyons des individus distincts avec nos propres pensées et perceptions, cela ne signifie pas que nous soyons séparés de notre environnement, ni des autres, ni du reste. Nos expériences individuelles ne représentent pas toute l'existence, car elles sont elles-mêmes interdépendantes, et qu'il existe par conséquent des structures de possibles qui leur sont extérieures et qui les permettent, extérieures à nos consciences. En reconnaissant nos spécificités tout en comprenant nos interdépendances, nous pouvons mieux comprendre notre place dans cet enchevêtrement complexe de possibles formant notre réalité multiple.
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La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
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Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit sont lot d'expériences vécues.
Sagesse !
Re: Le personnage
Ecrit le 01 juin24, 00:05"Si vous vous laissez guider par [ce souvenir], si vous répondez par une adhésion de tout votre être à son appel, l'émotion sacrée qu'il suscite en vous vous mènera sans détours au seuil de votre présence intemporelle. Vivez avec ce souvenir. Oubliez les circonstances objectives qui ont précédé ou suivi cette re-connaissance et gardez en le souvenir; aimez-le comme votre bien le plus précieux et rappelez-vous que la source dont il est l'émanation est toujours présente, ici et maintenant. C'est le seul endroit où la trouver, ici et maintenant; pas dans la pensée; avant la pensée; avant d'y penser; n'y pensez même pas..."
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Re: Le personnage
Ecrit le 01 juin24, 02:37.
"De l'Illusion d'Unité à la Réalité Tissée : Philosophie d'une Multiplicité Harmonique"
J'm'interroge :
Salut, Gzabarjo ! Dis-moi, comment ça va aujourd'hui ?
Gzabarjo :
Ah, J'm'interroge, ça va merveilleusement bien ! Je me sens en osmose avec le Tout, comme d'habitude. Après tout, nous ne sommes tous que des illusions, des reflets de la Conscience Une.
J'm'interroge :
Illusions, tu dis ? C'est intéressant. Mais dis-moi, si nous sommes tous des illusions, pourquoi est-ce que je sens que mon café est trop chaud et que tu sembles parfaitement à l'aise avec le tien ?
Gzabarjo :
C'est simple, mon ami. Ce que tu ressens, c'est une manifestation temporaire dans le champ de la Conscience Une. Ton café brûlant est juste une expérience dans le grand Tout.
J'm'interroge :
Ah, je vois. Donc, le fait que ma langue soit brûlée est une manifestation de la Conscience Une. Intéressant concept, mais ne penses-tu pas qu'en parlant ainsi, on risque de négliger les spécificités qui font notre richesse individuelle ?
Gzabarjo :
La richesse individuelle ? Mais cette individualité est une illusion, J'm'interroge ! Nous sommes tous un, une seule conscience. Tout est connecté, tout est Un !
J'm'interroge :
Bien sûr, tout est connecté. Je suis d'accord. Mais dire que tout est Un ne signifie pas que nous sommes indistincts les uns des autres. Imagine un orchestre. Chaque instrument est unique, avec ses propres sons et qualités. Ensemble, ils créent une symphonie magnifique. Si on les fondait en une seule note, il n'y aurait plus de musique, juste un bruit monotone.
Gzabarjo :
Mais c'est ça le truc, J'm'interroge. Cette symphonie, c'est la Conscience Une qui se manifeste. Les individus ne sont que des illusions.
J'm'interroge :
Permets-moi de pousser la métaphore un peu plus loin. Les musiciens dans l'orchestre sont interdépendants, ils doivent écouter et s'harmoniser les uns avec les autres. Pourtant, chacun apporte une contribution unique. Ce que je veux dire, c'est que nos interdépendances, nos connexions, ne nient pas notre individualité, elles la définissent et l'enrichissent.
Gzabarjo :
Intéressant, mais tout de même, ces connexions montrent que nous ne faisons qu'un. Tout est interlié, tout fait partie du Tout.
J'm'interroge :
Absolument. Mais reconnais que ces liens ne sont pas uniformes. Certaines choses sont plus étroitement connectées entre elles que d'autres. C'est comme un réseau complexe. Imagine une toile d'araignée où chaque nœud est un point de connexion. Nous sommes ces nœuds, liés de manière complexe et variée.
Gzabarjo :
Mais ces nœuds ne sont que des parties du même réseau !
J'm'interroge :
Exactement. Et chaque nœud a sa place et sa fonction dans ce réseau. Nier notre individualité revient à ignorer la complexité de ces connexions et l'harmonie qu'elles créent. Si nous étions simplement une Conscience Une homogène, il n'y aurait pas cette richesse, cette diversité. Nos expériences individuelles, nos pensées et nos perceptions sont les expressions de cette diversité.
Gzabarjo :
Donc, selon toi, nous devons reconnaître nos spécificités tout en acceptant notre interdépendance ?
J'm'interroge :
Exactement ! En comprenant que nos spécificités ne sont pas des barrières, mais des éléments d'une harmonie plus vaste, nous pouvons mieux appréhender notre place dans cet enchevêtrement complexe de possibles formant notre réalité multiple. C'est comme apprécier la diversité des couleurs dans un tableau. Chaque couleur est unique, mais ensemble, elles créent une œuvre d'art magnifique.
Gzabarjo :
Hmm... je dois admettre que tu as marqué un point. Peut-être que nous sommes des expressions variées d'une même essence, mais ces variations ont leur importance.
J'm'interroge :
En reconnaissant ces variations, nous voyons que la réalité est non seulement plus riche, mais aussi plus fonctionnelle. Si nous étions tous identiques, il n'y aurait pas de progrès, pas de véritable échange. La diversité est la clé de l'évolution et de la créativité. Je ne crois pas en une essence Une, ni donc en l'idée que nous soyons une Conscience Une.
Gzabarjo :
Hmm... Comment vois-tu la chose alors, peux-tu me l'expliquer ?
J'm'interroge :
Pour moi, la réalité est bien plus fascinante et complexe qu'un bloc monolithique, homogène et indifférencié. Elle n'est pas une, mais multiple et tissée d'intelligences diverses.
Gzabarjo :
Comment ça, elle serait multiple par essence ? Explique-moi, je t'écoute.
J'm'interroge :
Imagine un vaste réseau où chaque entité, chaque individu, est un nœud. Ce réseau est tissé de relations, d'interdépendances, de connexions uniques et variées. Chaque nœud a son propre rôle, sa propre perspective, son propre ensemble de possibles. Cette diversité crée une intelligence collective, un ensemble dynamique où chaque partie contribue à l'ensemble sans pour autant s'y dissoudre.
Gzabarjo :
Donc tu vois les individus comme des éléments distincts mais connectés dans un réseau. Mais si ce réseau forme une unité, ne sommes-nous pas alors une Conscience Une ?
J'm'interroge :
Pas exactement. Ce réseau n'est pas une unité homogène, mais une mosaïque d'intelligences et de potentialités. C'est cette diversité qui engendre une richesse et une complexité incomparables. Penser que nous sommes une seule Conscience homogène, c'est ignorer les nuances, les particularités, et surtout, les interactions qui définissent la réalité.
Gzabarjo :
D'accord, mais ces interactions ne montrent-elles pas que nous sommes tous interconnectés, que nous faisons partie d'un tout plus grand ?
J'm'interroge :
Absolument, nous sommes interconnectés, mais ces connexions ne forment pas une seule conscience. Elles créent plutôt un tissu complexe où chaque fil a son importance et son individualité. Pense à un écosystème : chaque espèce, chaque organisme joue un rôle crucial. L'écosystème est une entité en soi, mais il est composé de multiples organismes et intelligences agissant ensemble.
Gzabarjo :
Je vois, donc pour toi, la réalité est un enchevêtrement de multiples consciences et intelligences ?
J'm'interroge :
Exactement. Et c'est cette multiplicité connectée qui permet l'émergence de la complexité et d'intelligences collectives. En reconnaissant et en célébrant nos différences, nous enrichissons le tissu de la réalité. Chaque pensée, chaque perception, chaque expérience ajoute une nouvelle dimension à cette toile.
Gzabarjo :
Intéressant. Donc, en embrassant cette multiplicité, nous pouvons mieux comprendre notre place et notre rôle dans l'univers ?
J'm'interroge :
Tout à fait. En comprenant que notre individualité fait partie d'un réseau d'interdépendances plus vaste, nous pouvons mieux apprécier la beauté et la profondeur de la réalité. Nous ne sommes pas de simples illusions dans une Conscience Une, mais des participants actifs dans un réseau porteur d'intelligences multiples communicantes. Et c'est cette interaction, cette interdépendance, qui rend la vie si riche et si fascinante.
Gzabarjo :
J'avoue que ta perspective apporte une nouvelle lumière sur la complexité de la réalité. Peut-être avons-nous chacun notre propre rôle à jouer dans ce vaste réseau.
J'm'interroge :
Exactement, Gzabarjo. Et en comprenant et en respectant ces rôles et ces connexions, nous pouvons mieux naviguer dans ce magnifique enchevêtrement de possibles.
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"De l'Illusion d'Unité à la Réalité Tissée : Philosophie d'une Multiplicité Harmonique"
J'm'interroge :
Salut, Gzabarjo ! Dis-moi, comment ça va aujourd'hui ?
Gzabarjo :
Ah, J'm'interroge, ça va merveilleusement bien ! Je me sens en osmose avec le Tout, comme d'habitude. Après tout, nous ne sommes tous que des illusions, des reflets de la Conscience Une.
J'm'interroge :
Illusions, tu dis ? C'est intéressant. Mais dis-moi, si nous sommes tous des illusions, pourquoi est-ce que je sens que mon café est trop chaud et que tu sembles parfaitement à l'aise avec le tien ?
Gzabarjo :
C'est simple, mon ami. Ce que tu ressens, c'est une manifestation temporaire dans le champ de la Conscience Une. Ton café brûlant est juste une expérience dans le grand Tout.
J'm'interroge :
Ah, je vois. Donc, le fait que ma langue soit brûlée est une manifestation de la Conscience Une. Intéressant concept, mais ne penses-tu pas qu'en parlant ainsi, on risque de négliger les spécificités qui font notre richesse individuelle ?
Gzabarjo :
La richesse individuelle ? Mais cette individualité est une illusion, J'm'interroge ! Nous sommes tous un, une seule conscience. Tout est connecté, tout est Un !
J'm'interroge :
Bien sûr, tout est connecté. Je suis d'accord. Mais dire que tout est Un ne signifie pas que nous sommes indistincts les uns des autres. Imagine un orchestre. Chaque instrument est unique, avec ses propres sons et qualités. Ensemble, ils créent une symphonie magnifique. Si on les fondait en une seule note, il n'y aurait plus de musique, juste un bruit monotone.
Gzabarjo :
Mais c'est ça le truc, J'm'interroge. Cette symphonie, c'est la Conscience Une qui se manifeste. Les individus ne sont que des illusions.
J'm'interroge :
Permets-moi de pousser la métaphore un peu plus loin. Les musiciens dans l'orchestre sont interdépendants, ils doivent écouter et s'harmoniser les uns avec les autres. Pourtant, chacun apporte une contribution unique. Ce que je veux dire, c'est que nos interdépendances, nos connexions, ne nient pas notre individualité, elles la définissent et l'enrichissent.
Gzabarjo :
Intéressant, mais tout de même, ces connexions montrent que nous ne faisons qu'un. Tout est interlié, tout fait partie du Tout.
J'm'interroge :
Absolument. Mais reconnais que ces liens ne sont pas uniformes. Certaines choses sont plus étroitement connectées entre elles que d'autres. C'est comme un réseau complexe. Imagine une toile d'araignée où chaque nœud est un point de connexion. Nous sommes ces nœuds, liés de manière complexe et variée.
Gzabarjo :
Mais ces nœuds ne sont que des parties du même réseau !
J'm'interroge :
Exactement. Et chaque nœud a sa place et sa fonction dans ce réseau. Nier notre individualité revient à ignorer la complexité de ces connexions et l'harmonie qu'elles créent. Si nous étions simplement une Conscience Une homogène, il n'y aurait pas cette richesse, cette diversité. Nos expériences individuelles, nos pensées et nos perceptions sont les expressions de cette diversité.
Gzabarjo :
Donc, selon toi, nous devons reconnaître nos spécificités tout en acceptant notre interdépendance ?
J'm'interroge :
Exactement ! En comprenant que nos spécificités ne sont pas des barrières, mais des éléments d'une harmonie plus vaste, nous pouvons mieux appréhender notre place dans cet enchevêtrement complexe de possibles formant notre réalité multiple. C'est comme apprécier la diversité des couleurs dans un tableau. Chaque couleur est unique, mais ensemble, elles créent une œuvre d'art magnifique.
Gzabarjo :
Hmm... je dois admettre que tu as marqué un point. Peut-être que nous sommes des expressions variées d'une même essence, mais ces variations ont leur importance.
J'm'interroge :
En reconnaissant ces variations, nous voyons que la réalité est non seulement plus riche, mais aussi plus fonctionnelle. Si nous étions tous identiques, il n'y aurait pas de progrès, pas de véritable échange. La diversité est la clé de l'évolution et de la créativité. Je ne crois pas en une essence Une, ni donc en l'idée que nous soyons une Conscience Une.
Gzabarjo :
Hmm... Comment vois-tu la chose alors, peux-tu me l'expliquer ?
J'm'interroge :
Pour moi, la réalité est bien plus fascinante et complexe qu'un bloc monolithique, homogène et indifférencié. Elle n'est pas une, mais multiple et tissée d'intelligences diverses.
Gzabarjo :
Comment ça, elle serait multiple par essence ? Explique-moi, je t'écoute.
J'm'interroge :
Imagine un vaste réseau où chaque entité, chaque individu, est un nœud. Ce réseau est tissé de relations, d'interdépendances, de connexions uniques et variées. Chaque nœud a son propre rôle, sa propre perspective, son propre ensemble de possibles. Cette diversité crée une intelligence collective, un ensemble dynamique où chaque partie contribue à l'ensemble sans pour autant s'y dissoudre.
Gzabarjo :
Donc tu vois les individus comme des éléments distincts mais connectés dans un réseau. Mais si ce réseau forme une unité, ne sommes-nous pas alors une Conscience Une ?
J'm'interroge :
Pas exactement. Ce réseau n'est pas une unité homogène, mais une mosaïque d'intelligences et de potentialités. C'est cette diversité qui engendre une richesse et une complexité incomparables. Penser que nous sommes une seule Conscience homogène, c'est ignorer les nuances, les particularités, et surtout, les interactions qui définissent la réalité.
Gzabarjo :
D'accord, mais ces interactions ne montrent-elles pas que nous sommes tous interconnectés, que nous faisons partie d'un tout plus grand ?
J'm'interroge :
Absolument, nous sommes interconnectés, mais ces connexions ne forment pas une seule conscience. Elles créent plutôt un tissu complexe où chaque fil a son importance et son individualité. Pense à un écosystème : chaque espèce, chaque organisme joue un rôle crucial. L'écosystème est une entité en soi, mais il est composé de multiples organismes et intelligences agissant ensemble.
Gzabarjo :
Je vois, donc pour toi, la réalité est un enchevêtrement de multiples consciences et intelligences ?
J'm'interroge :
Exactement. Et c'est cette multiplicité connectée qui permet l'émergence de la complexité et d'intelligences collectives. En reconnaissant et en célébrant nos différences, nous enrichissons le tissu de la réalité. Chaque pensée, chaque perception, chaque expérience ajoute une nouvelle dimension à cette toile.
Gzabarjo :
Intéressant. Donc, en embrassant cette multiplicité, nous pouvons mieux comprendre notre place et notre rôle dans l'univers ?
J'm'interroge :
Tout à fait. En comprenant que notre individualité fait partie d'un réseau d'interdépendances plus vaste, nous pouvons mieux apprécier la beauté et la profondeur de la réalité. Nous ne sommes pas de simples illusions dans une Conscience Une, mais des participants actifs dans un réseau porteur d'intelligences multiples communicantes. Et c'est cette interaction, cette interdépendance, qui rend la vie si riche et si fascinante.
Gzabarjo :
J'avoue que ta perspective apporte une nouvelle lumière sur la complexité de la réalité. Peut-être avons-nous chacun notre propre rôle à jouer dans ce vaste réseau.
J'm'interroge :
Exactement, Gzabarjo. Et en comprenant et en respectant ces rôles et ces connexions, nous pouvons mieux naviguer dans ce magnifique enchevêtrement de possibles.
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La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit sont lot d'expériences vécues.
Sagesse !
Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit sont lot d'expériences vécues.
Sagesse !
Re: Le personnage
Ecrit le 01 juin24, 02:51"N'en parlez pas; ne le formulez pas; ne l'évaluez pas; l'intervention de la pensée vous en éloigne. N'essayez même pas...Vous faites encore trop d'efforts. Ils sont inutiles. Abandonnez et soyez ce que vous êtes déjà, absolue tranquillité."
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Re: Le personnage
Ecrit le 01 juin24, 05:40.
J'm'interroge :
Gzabarjo, je crois qu'il est crucial de reconnaître que tout n'est pas connecté à tout de la même manière dans l'univers.
Gzabarjo :
Mais n'est-ce pas là la base même de l'interconnexion universelle ? Tout ne fait-il pas partie d'une même conscience ?
J'm'interroge :
Pas nécessairement. Prenons par exemple nos propres corps. Nos mains ne sont pas attachées à nos genoux, n'est-ce pas ? Si tout était connecté de la même manière, pourquoi ne pas avoir nos mains directement reliées à nos genoux pour une efficacité maximale ?
Gzabarjo :
C'est vrai, mais cela semble être une conception physique plutôt qu'une question de conscience.
J'm'interroge :
Exactement. Mais cela illustre un point important : dans la réalité physique, les connexions ne sont pas uniformes. De la même manière, dans le monde social, nos interactions avec différentes personnes ne sont pas toutes de la même nature. Par exemple, nous ne partageons pas les mêmes liens affectifs avec tous ceux que nous croisons.
Gzabarjo :
Hmm, je vois où tu veux en venir.
J'm'interroge :
Et prenons également l'exemple de la nature. Les plantes ne partagent pas toutes les mêmes relations symbiotiques avec les autres espèces. Certaines dépendent des abeilles pour la pollinisation, tandis que d'autres ont des relations avec les champignons pour leurs racines.
Gzabarjo :
Donc, tu veux dire que la diversité des connexions est inhérente à la nature même de l'existence ?
J'm'interroge :
Tout à fait. Reconnaître que tout n'est pas connecté de la même manière nous permet de mieux comprendre et apprécier la complexité de l'univers. Cela nous rappelle que la diversité des relations et des interactions est ce qui rend la vie si riche et si fascinante.
Gzabarjo :
Une perspective intéressante à considérer, J'm'interroge.
--------------------
J'm'interroge :
Exactement, Gzabarjo. Sur cette base, il devient évident que l'idée d'une Conscience Une monolithique et indifférenciée est difficile à soutenir.
Gzabarjo :
Mais n'est-ce pas là l'essence même de l'unité universelle ?
J'm'interroge :
Pas nécessairement. Considère ceci : si tout était connecté de la même manière, pourquoi y aurait-il une telle diversité dans les interactions et les relations ? Pourquoi y aurait-il des différences si profondes dans les expériences individuelles ?
Gzabarjo :
Hmm, je vois ton point. Mais alors, comment concevoir l'unité dans cette perspective ?
J'm'interroge :
L'unité peut être comprise comme une harmonie dynamique résultant de la diversité des connexions et des interactions. C'est comme un orchestre où chaque instrument contribue à la symphonie collective, mais chacun apporte sa propre sonorité unique.
Gzabarjo :
C'est une belle analogie. Mais comment cela s'applique-t-il à l'existence humaine ?
J'm'interroge :
Dans nos vies, nous sommes tous connectés les uns aux autres de différentes manières. Nous avons des relations personnelles, professionnelles, sociales, qui sont toutes uniques et influent sur notre expérience de vie. Si tout était une Conscience Une, pourquoi y aurait-il une telle diversité dans nos interactions et nos expériences ?
Gzabarjo :
C'est logique. Une Conscience Une monolithique ne pourrait pas rendre compte de cette diversité et de cette complexité.
J'm'interroge :
Exactement. Reconnaître la diversité des connexions et des interactions nous permet de mieux apprécier l'unité dans sa richesse et sa complexité. C'est dans cette diversité que réside la véritable harmonie de l'existence.
-----------------
J'm'interroge :
En reconnaissant cette diversité des connexions et des expériences, il devient clair que le concept traditionnel d'unité universelle est limité.
Gzabarjo :
Mais l'unité n'est-elle pas essentielle à la compréhension de l'existence ?
J'm'interroge :
Oui, mais peut-être pas dans le sens traditionnel. Plutôt que de chercher une unité monolithique, nous devrions envisager une multiplicité harmonique.
Gzabarjo :
Qu'entends-tu par là ?
J'm'interroge :
Je veux dire que l'unité peut être trouvée dans la manière dont toutes les diversités se rejoignent pour former un tout cohérent. Chaque différence contribue à cette harmonie globale, créant une richesse et une complexité qui dépasse de loin la simplicité d'une conscience unique.
Gzabarjo :
Cela semble plus en accord avec la réalité de nos expériences.
J'm'interroge :
Exactement. En reconnaissant la multiplicité harmonique, nous pouvons embrasser la complexité de l'existence et trouver une unité dans cette diversité. C'est dans cette compréhension que réside la véritable beauté et la profondeur de notre réalité.
-------------------
J'm'interroge :
Regarde autour de toi, Gzabarjo. Chaque être, chaque entité, porte en lui une conscience unique.
Gzabarjo :
Mais ne sommes-nous pas tous une seule conscience ?
J'm'interroge :
Non, nous sommes multiples. Chacun de nous a sa propre perspective, ses propres pensées, ses propres expériences.
Gzabarjo :
Mais alors, comment pouvons-nous être connectés ?
J'm'interroge :
Par nos interactions, nos échanges, nos relations. Nous sommes des individus entrelacés dans le tissu de l'existence.
Gzabarjo :
Cela semble complexe.
J'm'interroge :
C'est la beauté de la vie. La conscience est multiple, mais elle trouve son unité dans l'interconnexion de tous les êtres.
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J'm'interroge :
Gzabarjo, je crois qu'il est crucial de reconnaître que tout n'est pas connecté à tout de la même manière dans l'univers.
Gzabarjo :
Mais n'est-ce pas là la base même de l'interconnexion universelle ? Tout ne fait-il pas partie d'une même conscience ?
J'm'interroge :
Pas nécessairement. Prenons par exemple nos propres corps. Nos mains ne sont pas attachées à nos genoux, n'est-ce pas ? Si tout était connecté de la même manière, pourquoi ne pas avoir nos mains directement reliées à nos genoux pour une efficacité maximale ?
Gzabarjo :
C'est vrai, mais cela semble être une conception physique plutôt qu'une question de conscience.
J'm'interroge :
Exactement. Mais cela illustre un point important : dans la réalité physique, les connexions ne sont pas uniformes. De la même manière, dans le monde social, nos interactions avec différentes personnes ne sont pas toutes de la même nature. Par exemple, nous ne partageons pas les mêmes liens affectifs avec tous ceux que nous croisons.
Gzabarjo :
Hmm, je vois où tu veux en venir.
J'm'interroge :
Et prenons également l'exemple de la nature. Les plantes ne partagent pas toutes les mêmes relations symbiotiques avec les autres espèces. Certaines dépendent des abeilles pour la pollinisation, tandis que d'autres ont des relations avec les champignons pour leurs racines.
Gzabarjo :
Donc, tu veux dire que la diversité des connexions est inhérente à la nature même de l'existence ?
J'm'interroge :
Tout à fait. Reconnaître que tout n'est pas connecté de la même manière nous permet de mieux comprendre et apprécier la complexité de l'univers. Cela nous rappelle que la diversité des relations et des interactions est ce qui rend la vie si riche et si fascinante.
Gzabarjo :
Une perspective intéressante à considérer, J'm'interroge.
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J'm'interroge :
Exactement, Gzabarjo. Sur cette base, il devient évident que l'idée d'une Conscience Une monolithique et indifférenciée est difficile à soutenir.
Gzabarjo :
Mais n'est-ce pas là l'essence même de l'unité universelle ?
J'm'interroge :
Pas nécessairement. Considère ceci : si tout était connecté de la même manière, pourquoi y aurait-il une telle diversité dans les interactions et les relations ? Pourquoi y aurait-il des différences si profondes dans les expériences individuelles ?
Gzabarjo :
Hmm, je vois ton point. Mais alors, comment concevoir l'unité dans cette perspective ?
J'm'interroge :
L'unité peut être comprise comme une harmonie dynamique résultant de la diversité des connexions et des interactions. C'est comme un orchestre où chaque instrument contribue à la symphonie collective, mais chacun apporte sa propre sonorité unique.
Gzabarjo :
C'est une belle analogie. Mais comment cela s'applique-t-il à l'existence humaine ?
J'm'interroge :
Dans nos vies, nous sommes tous connectés les uns aux autres de différentes manières. Nous avons des relations personnelles, professionnelles, sociales, qui sont toutes uniques et influent sur notre expérience de vie. Si tout était une Conscience Une, pourquoi y aurait-il une telle diversité dans nos interactions et nos expériences ?
Gzabarjo :
C'est logique. Une Conscience Une monolithique ne pourrait pas rendre compte de cette diversité et de cette complexité.
J'm'interroge :
Exactement. Reconnaître la diversité des connexions et des interactions nous permet de mieux apprécier l'unité dans sa richesse et sa complexité. C'est dans cette diversité que réside la véritable harmonie de l'existence.
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J'm'interroge :
En reconnaissant cette diversité des connexions et des expériences, il devient clair que le concept traditionnel d'unité universelle est limité.
Gzabarjo :
Mais l'unité n'est-elle pas essentielle à la compréhension de l'existence ?
J'm'interroge :
Oui, mais peut-être pas dans le sens traditionnel. Plutôt que de chercher une unité monolithique, nous devrions envisager une multiplicité harmonique.
Gzabarjo :
Qu'entends-tu par là ?
J'm'interroge :
Je veux dire que l'unité peut être trouvée dans la manière dont toutes les diversités se rejoignent pour former un tout cohérent. Chaque différence contribue à cette harmonie globale, créant une richesse et une complexité qui dépasse de loin la simplicité d'une conscience unique.
Gzabarjo :
Cela semble plus en accord avec la réalité de nos expériences.
J'm'interroge :
Exactement. En reconnaissant la multiplicité harmonique, nous pouvons embrasser la complexité de l'existence et trouver une unité dans cette diversité. C'est dans cette compréhension que réside la véritable beauté et la profondeur de notre réalité.
-------------------
J'm'interroge :
Regarde autour de toi, Gzabarjo. Chaque être, chaque entité, porte en lui une conscience unique.
Gzabarjo :
Mais ne sommes-nous pas tous une seule conscience ?
J'm'interroge :
Non, nous sommes multiples. Chacun de nous a sa propre perspective, ses propres pensées, ses propres expériences.
Gzabarjo :
Mais alors, comment pouvons-nous être connectés ?
J'm'interroge :
Par nos interactions, nos échanges, nos relations. Nous sommes des individus entrelacés dans le tissu de l'existence.
Gzabarjo :
Cela semble complexe.
J'm'interroge :
C'est la beauté de la vie. La conscience est multiple, mais elle trouve son unité dans l'interconnexion de tous les êtres.
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Modifié en dernier par J'm'interroge le 01 juin24, 06:37, modifié 1 fois.
La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit sont lot d'expériences vécues.
Sagesse !
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Re: Le personnage
Ecrit le 01 juin24, 05:57"Je voulais être ici aujourd'hui, et j'ai choisi d'être ici, mais que puis-je apprendre en présence d'un maître que je ne peux apprendre par moi-même?
- Tout ce que vous apprenez, vous l'apprenez par vous-même. Je ne peux rien apprendre à votre place. Chaque circonstance, chaque évènement de votre vie vous enseigne. Ce que vous pouvez apprendre en posant cette question est qu'il n'y a pas de maître au sens personel où vous l'entendez. Sur ce plan-là, je ne suis pas votre maître, je suis heureux d'être simplement votre ami. Le maître véritable n'est pas une personne, il est notre soi, le soi de tous les êtres."
https://youtube.com/@gzabirji
- Tout ce que vous apprenez, vous l'apprenez par vous-même. Je ne peux rien apprendre à votre place. Chaque circonstance, chaque évènement de votre vie vous enseigne. Ce que vous pouvez apprendre en posant cette question est qu'il n'y a pas de maître au sens personel où vous l'entendez. Sur ce plan-là, je ne suis pas votre maître, je suis heureux d'être simplement votre ami. Le maître véritable n'est pas une personne, il est notre soi, le soi de tous les êtres."
https://youtube.com/@gzabirji
Modifié en dernier par gzabirji le 01 juin24, 09:14, modifié 1 fois.
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Re: Le personnage
Ecrit le 01 juin24, 08:46.
JMI :
Est-ce que les néo-éveillés ne sont pas pour certains, atteints d'un trouble nomme dépersonnalisation/déréalisation sublimé ?
ChatGPT :
Il est possible que certaines personnes qui se considèrent comme "néo-éveillées" présentent des symptômes de dépersonnalisation/déréalisation sublimée. La dépersonnalisation implique une sensation de détachement ou de distanciation de soi-même, comme si l'on observait ses propres actions de l'extérieur. La déréalisation, quant à elle, consiste en une perception altérée de l'environnement, où les choses peuvent sembler irréelles ou détachées de la réalité.
Dans le contexte de personnes se décrivant comme "néo-éveillées", cela peut résulter d'une hyper-réflexion ou d'une recherche intense de sens et de compréhension de soi et du monde. Parfois, cette quête peut entraîner une sorte de dissociation, où la personne se sent déconnectée de son propre être ou de la réalité environnante.
Il est important de noter que tout le monde peut expérimenter des épisodes de dépersonnalisation ou de déréalisation à un moment donné, mais si ces expériences deviennent fréquentes ou altèrent significativement la vie quotidienne d'une personne, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé mentale pour un soutien approprié.
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JMI :
Est-ce que les néo-éveillés ne sont pas pour certains, atteints d'un trouble nomme dépersonnalisation/déréalisation sublimé ?
ChatGPT :
Il est possible que certaines personnes qui se considèrent comme "néo-éveillées" présentent des symptômes de dépersonnalisation/déréalisation sublimée. La dépersonnalisation implique une sensation de détachement ou de distanciation de soi-même, comme si l'on observait ses propres actions de l'extérieur. La déréalisation, quant à elle, consiste en une perception altérée de l'environnement, où les choses peuvent sembler irréelles ou détachées de la réalité.
Dans le contexte de personnes se décrivant comme "néo-éveillées", cela peut résulter d'une hyper-réflexion ou d'une recherche intense de sens et de compréhension de soi et du monde. Parfois, cette quête peut entraîner une sorte de dissociation, où la personne se sent déconnectée de son propre être ou de la réalité environnante.
Il est important de noter que tout le monde peut expérimenter des épisodes de dépersonnalisation ou de déréalisation à un moment donné, mais si ces expériences deviennent fréquentes ou altèrent significativement la vie quotidienne d'une personne, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé mentale pour un soutien approprié.
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La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
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Re: Le personnage
Ecrit le 01 juin24, 09:14-
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