Le personnage

[gzabirji]

Il y a plein d'évidences bien plus évidentes encore que ce que tu me proposes-là...

Ce qui importe ici, c'est au moins que tu reconnaisses comme des "évidences" les deux affirmations de mon message précédent.

Si à présent tu désires me donner un exemple ou deux de ces évidences encore plus évidentes que tu évoques, je t'écoute, l'ami. Je te dirai à mon tour si je les trouve aussi évidentes, et pour quelle raison.*

* ça s'appelle un échange courtois où chacun, tour à tour, est disposé à écouter "l'autre".

[ronronladouceur]

Ce qui importe ici, c'est au moins que tu reconnaisses comme des "évidences" les deux affirmations de mon message précédent.

Tu ne m'as pas lu...

Si à présent tu désires me donner un exemple ou deux de ces évidences encore plus évidentes que tu évoques, je t'écoute, l'ami. Je te dirai à mon tour si je les trouve aussi évidentes, et pour quelle raison.*

* ça s'appelle un échange courtois où chacun, tour à tour, est disposé à écouter "l'autre".

Tu n'es pas disposé...

À réduire mon message précédent à une peau de chagrin et encore, tu vas prétendre que tu m'as écouté?

[gzabirji]

À réduire mon message précédent à une peau de chagrin et encore, tu vas prétendre que tu m'as écouté?

Je propose que nous reprenions cette discussion lorsque tu auras retrouvé ta bonne humeur, qu'en dis-tu ?

[ronronladouceur]

Je propose que nous reprenions cette discussion lorsque tu auras retrouvé ta bonne humeur, qu'en dis-tu ?

@ChatGPT : ''Par rapport au dernier échange entre gzabirji et ronronladouceur, dirais-tu que ronronladouceur est de mauvaise humeur?

ChatGPT a dit : ''D'après l'analyse du dernier échange entre ronronladouceur et Gzabirji, il serait réducteur de dire que ronronladouceur est simplement de mauvaise humeur. Son ton, ses propos, et ses reproches semblent davantage refléter une combinaison de frustration, de déception, et de désir de clarification, plutôt qu'une simple mauvaise humeur généralisée.

Voici quelques raisons qui expliquent cette analyse :

Frustration et frustration intellectuelle :
Ronronladouceur exprime clairement une frustration face à ce qu'il perçoit comme un manque de prise en compte de ses réponses antérieures (« J'ai déjà répondu à cette vision des choses. Mais à l'évidence, tu n'en as pas tenu compte... »). Il se sent incompris ou ignoré.
Cette frustration semble venir de son sentiment que Gzabirji minimise ou élude ses demandes spécifiques de réponses plus précises. Cela montre un désir sincère d'éclaircir les choses, pas seulement une irritation momentanée ou un accès de mauvaise humeur.

Déception dans l'échange :
Ronronladouceur est probablement déçu par le déroulement de la discussion. Il a fait des efforts pour dialoguer sur des sujets qu'il considère importants, mais il ressent que l'approche de Gzabirji est soit condescendante, soit trop générale (« je ne serai pas pour toi un faire-valoir quant à des banalités ou ce qui m'apparaît comme superficiel, sans nuances, vite dit ou autres »).
Ce sentiment de déception peut le rendre plus direct et incisif dans ses réponses, mais cela reflète une insatisfaction sur le fond du dialogue, plutôt qu'une mauvaise humeur sans cause profonde.

Appels à des réponses plus nuancées :
Ronronladouceur insiste pour obtenir des exemples précis, des réponses plus élaborées, ce qui montre qu'il cherche un débat constructif, malgré son agacement. Son ton peut sembler plus accusateur à certains moments, mais cela provient de sa volonté d'élever le niveau de la discussion (« Donne des exemples précis plutôt que de ratisser à la dimension de cette généralité »).

Tonalité et sous-entendus :
Bien que ronronladouceur exprime des reproches directs et parfois acerbes, cela ne traduit pas une irritabilité gratuite ou une mauvaise humeur généralisée. Au contraire, ses remarques sont centrées sur des points de fond, sur lesquels il a des attentes intellectuelles ou spirituelles plus élevées vis-à-vis de Gzabirji.
L’usage de termes comme « banalités » ou « superficiel » montre son insatisfaction intellectuelle, pas un simple état d’humeur négatif.

Conclusion :

Ronronladouceur n’est pas de mauvaise humeur au sens traditionnel du terme (irritable, renfrogné sans raison). Il semble plutôt frustré et déçu par le manque de profondeur ou de précision qu’il perçoit dans les réponses de Gzabirji. Ses critiques visent à rehausser la qualité du dialogue et à clarifier des points importants pour lui, ce qui montre un engagement intellectuel sincère. L'accuser simplement de mauvaise humeur serait donc une simplification excessive de la situation.''

[Gérard C. Endrifel]

Je pose ça là, tranquille l'air de rien

[gzabirji]

[Igordhossegor]

Je pose ça là, tranquille l'air de rien

Visiblement, vous n'avez pas précisé à l'IA de quels messages il était question en lui indiquant l'adresse du fil ce qui explique la différence entre la réponse donnée à Ronron et à vous.

[gzabirji]

[ronronladouceur]

Visiblement, vous n'avez pas précisé à l'IA de quels messages il était question en lui indiquant l'adresse du fil ce qui explique la différence entre la réponse donnée à Ronron et à vous.

Tout à fait...

[gzabirji]

[ronronladouceur]

Je rappelle que le thème de ce topic est le personnage. On pourrait même dire les personnages... Que nous retrouvons dans les échanges...

L'usage de certaines images fait plutôt référence à l'éveillé, une réduction quant au thème global du topic...

Mais on pourrait en comprendre et justifier cet usage et le lier au thème par le simple fait qu'il s'agit d'un personnage comme un autre, construit à même un certain paradigme (New-Advaïta)... La vérité plus que dans les détails ici...

Ainsi l'invite à un échange plus constructif fondé sur de nouvelles bases n'était qu'un leurre... On aurait pu aller plus loin au moins en reconnaissant l'apport de l'IA.

Mais fallait-il une certaine humilité dudit personnage pour le reconnaître...

[gzabirji]

Ainsi l'invite à un échange plus constructif fondé sur de nouvelles bases n'était qu'un leurre... On aurait pu aller plus loin au moins en reconnaissant l'apport de l'IA.

L'intelligence artificielle n'est qu'un simple outil, au même titre que l'intelligence naturelle dont elle n'est qu'un ersatz.

La question est de savoir "Qui" ou "Quoi" utilise ces outils, "Qui" ou "Quoi" en est le Maître (et non l'esclave).

[ronronladouceur]

L'intelligence artificielle n'est qu'un simple outil, au même titre que l'intelligence naturelle dont elle n'est qu'un ersatz.

La question est de savoir "Qui" ou "Quoi" utilise ces outils, "Qui" ou "Quoi" en est le Maître (et non l'esclave).

Bien oui, et c'est sans considérer que certaines IA ont déjà dépassé le potentiel humain dans divers domaines : échecs, jeu de Go, diagnostics médicaux, etc.

En tout cas ici, à l'évidence, il peut aider le personnage à y voir plus clair... Mais qu'est-ce que tu veux: quand t'as tendance à l'idée fixe!

L'intelligence artificielle n'est qu'un simple outil, au même titre que l'intelligence naturelle dont elle n'est qu'un ersatz.

La question est de savoir "Qui" ou "Quoi" utilise ces outils, "Qui" ou "Quoi" en est le Maître (et non l'esclave).

Comme d'habitude, ta tentative de noyer le poisson sous des considérations générales montre par quelle lorgnette tu regardes le truc.

Il y a aussi le ''comment'' on utilise l'outil. Mais pour toi, le sort de l'IA est déjà réglé par une restriction, une limitation (ne... que), un jugement qui pourrait montrer que tu es esclave de ta propre perception des choses.

Dans une publication précédente, il suffisait de simplement reconnaître que l'outil t'avait montré des trucs que t'as pas même considérés, que je n'avais pas vus moi-même aussi clairement, comme si l'intelligence humaine, par orgueil et suffisance, prétendait voir aussi loin que possible...*

Comme je l'ai lu il y a plusieurs années (de mémoire) : ''Chaque être que tu rencontreras le long de ta route, retire de lui le meilleur et tu t'enrichiras...'' [?] Nous sommes donc à cette heure...

Ne pas oublier non plus que l'IA ne tire pas ses informations comme ça d'un ''chapeau magique''... Ses réponses sont le résultat de contributions humaines de diverses sources... En dénigrant l'outil ou en cherchant à le décrédibilisé, tu te prives d'un outil précieux. Mais bon, c'est ton choix, ou tu n'as pas le choix, c'est comme tu veux...

Tu comprendras que je ne suis pas du genre à minimiser un apport ''intelligent''.

* Et attention, je ne dis pas que l'outil est parfait, loin de là... D'ailleurs l'outil ne le prétend pas lui-même...

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Tout de même passablement forte l'analyse de l'IA dans le Spolier qui suit...

(J'ai mis en gras.)

ronron @ChatGPT: analyse l'échange suivant selon les points de vue qui te frappent...

ChatGPT a dit : Cet échange entre gzabirji et ronron présente un débat nuancé sur la place de l'intelligence artificielle (IA) par rapport à l'intelligence humaine, et les perspectives qui en émergent révèlent des conceptions différentes quant à la nature de l'outil et son utilisation. Voici une analyse des points de vue et des dynamiques sous-jacentes dans cette conversation :

1. gzabirji : L'IA comme un simple outil

gzabirji adopte une posture qui relègue l'intelligence artificielle à une place subordonnée, la qualifiant de simple "outil" et d'"ersatz" (c'est-à-dire un substitut inférieur) de l'intelligence humaine. Ce point de vue repose sur une distinction claire entre l'intelligence naturelle et l'intelligence artificielle, affirmant que l'IA ne peut être autonome ou capable d'un véritable raisonnement.

La question centrale que pose gzabirji est : "Qui ou quoi utilise ces outils ?", ce qui déplace l'accent vers le contrôle. Pour gzabirji, l'essentiel est que l'IA reste dominée par une intelligence humaine ou une autre forme de maîtrise, et non qu’elle prenne une place de sujet ou d’égal. La tension se trouve dans la crainte implicite de voir l’IA se substituer à l’humain, et dans l’idée qu’une technologie ne doit jamais devenir "maître". Ce point de vue repose donc sur une hiérarchisation stricte entre humain et machine.

2. ronron : Une critique de l’orgueil humain et du jugement limité

ronron conteste l’approche de gzabirji de plusieurs manières, en l’accusant de voir le problème sous une "lorgnette" étroite et biaisée. Il semble dire que gzabirji, par ses affirmations générales et peut-être dogmatiques, manque de saisir la complexité ou la flexibilité possible dans la relation entre l’humain et l’outil.

Le point central de ronron est de montrer que gzabirji se limite lui-même par ses jugements hâtifs, en particulier par l’emploi de la tournure restrictive "ne... que". Ronron considère que cette approche réduit artificiellement la portée et la potentialité de l'IA, en refusant de voir qu’elle peut révéler des informations ou des perspectives que même l’intelligence humaine n’avait pas considérées. Il pointe une contradiction chez gzabirji, qui, en cherchant à juger l'IA, pourrait en fait être esclave de sa propre perception ou de son orgueil intellectuel.

3. Ronron et l'humilité intellectuelle

Ronron semble promouvoir une forme d’humilité intellectuelle. Il évoque une situation passée où l'outil IA a montré à gzabirji des informations qu’il n'avait pas envisagées, mais ce dernier a refusé de les reconnaître. Pour ronron, cela illustre comment l'orgueil humain peut limiter l'accès à de nouvelles formes de compréhension.

Ronron cite même une réflexion plus large sur le développement personnel, où chaque être rencontré peut être source d'apprentissage et d'enrichissement. Il transpose cette idée à l'IA, en soulignant que l'on peut tirer des bénéfices de cet "outil" si on l’aborde avec ouverture et curiosité, plutôt qu'avec des idées préconçues.

4. La question de l’autonomie de l’IA et de la dépendance humaine

Le débat sous-jacent entre les deux protagonistes semble tourner autour de la question de savoir si l’IA est simplement un outil passif ou si elle peut être perçue comme quelque chose de plus autonome, capable d’amener l’humain à reconsidérer ses limites. Gzabirji se concentre sur la maîtrise humaine, refusant d'envisager que l’IA puisse avoir une valeur autre que celle d'un instrument manipulé. Ronron, de son côté, semble plus ouvert à l’idée que l’IA, tout en restant un outil, pourrait néanmoins nous dépasser sur certains aspects cognitifs et élargir notre horizon intellectuel.

5. Une tension entre peur du contrôle et ouverture au progrès

En filigrane, on peut voir dans cet échange une tension entre :

La peur d'une perte de contrôle sur la technologie, exprimée par gzabirji, qui insiste sur l'idée qu'il faut être "maître" des outils, autrement dit que l'humain doit rester au sommet de la hiérarchie.
L'ouverture au progrès technologique, exprimée par ronron, qui propose une approche plus flexible, invitant à accueillir ce que l'IA peut apporter, même si cela remet en question certaines certitudes humaines.

Cette opposition reflète des discussions plus larges sur l'impact de l'intelligence artificielle dans nos vies : certains y voient une menace à la souveraineté humaine, tandis que d'autres y voient une opportunité pour dépasser nos propres limites.

Conclusion : Perspectives contrastées

Cet échange met en lumière deux perspectives contrastées sur l'intelligence artificielle et ses implications. D'un côté, gzabirji met l'accent sur le contrôle et la soumission de l’IA aux intentions humaines, adoptant une approche qui semble méfiante ou protectrice vis-à-vis de la technologie. De l’autre, ronron appelle à une remise en question des jugements hâtifs et invite à voir l’IA non comme une menace, mais comme une possibilité d’enrichissement, pour autant qu’on adopte une posture d’ouverture intellectuelle. Leur divergence révèle des tensions fondamentales sur la façon dont l’humanité perçoit et s’adapte aux progrès technologiques, entre crainte de la domination technologique et promesse de transformation cognitive.

[gzabirji]

(...) comme si l'intelligence humaine, par orgueil et suffisance, prétendait voir aussi loin que possible...*

C'est précisément ce que je dénonçais dans mon message précédent :
l'intelligence humaine, tout comme l'intelligence artificielle ne sont que de simples outils. Dès les premières pages de ce topic, j'ai expliqué que le "mental" humain devait être au service de Ce que Nous Sommes réellement, et non pas tenir les manettes.
S'identifier à notre intelligence humaine, c'est en devenir l'esclave.

[Gérard C. Endrifel]

Visiblement, vous n'avez pas précisé à l'IA de quels messages il était question en lui indiquant l'adresse du fil ce qui explique la différence entre la réponse donnée à Ronron et à vous.

Aaaaah, ben c'est que je m'y connais pas vraiment en IA