Pour eux ça l'est alors pourquoi ça le serait pas ? La logique générale, c'est bien, mais elle ne peut être appliquer par tous. Je comprends l'envie d'uniformiser la logique de tout le monde, ce serait plus simple si tout le monde fonctionnait pareil mais ce n'est pas le cas et ce ne sera jamais le cas, Dieu merci parce que si tout le monde pense pareil alors personne ne pense (Dan Millman). Etudier la logique et passer à côté de l'énorme diversité qui s'y trouve pour ne se focaliser que sur une seule forme et l'ériger en vérité absolue, je trouve ça moche. C'est du gâchis. Et dans les échanges c'est catastrophique.
Le personnage
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Re: Le personnage
Ecrit le 26 nov.24, 00:20La première chose que fera un esclave après avoir quitté son maître, c'est s'en trouver un autre encore pire que le précédent. Et il n'y a pas pire maître que soi-même. - "Principe d’élévation - Réalité ou Illusionnisme pervers ?" G. C. Endrifel
Re: Le personnage
Ecrit le 26 nov.24, 01:03Le propre de la logique générale, c'est justement d'être universellement applicable.Gérard C. Endrifel a écrit : ↑26 nov.24, 00:20 Pour eux ça l'est alors pourquoi ça le serait pas ? La logique générale, c'est bien, mais elle ne peut être appliquer par tous. Je comprends l'envie d'uniformiser la logique de tout le monde, ce serait plus simple si tout le monde fonctionnait pareil mais ce n'est pas le cas et ce ne sera jamais le cas, Dieu merci parce que si tout le monde pense pareil alors personne ne pense (Dan Millman). Etudier la logique et passer à côté de l'énorme diversité qui s'y trouve pour ne se focaliser que sur une seule forme et l'ériger en vérité absolue, je trouve ça moche. C'est du gâchis. Et dans les échanges c'est catastrophique.
Si quelque chose de présumé logique peut être contesté, alors c'est un sophisme.
C'est là où se situe la différence entre la logique générale et la logique personnelle.
Alors, vous avez raison, parfois, il n'y a pas la place pour la logique générale, on manque de faits de preuves pour être parfaitement affirmatifs sur le sujet, alors oui, la logique de l'un peut s'entendre aussi bien que la logique de l'autre.
"Les religions sont comme les vers luisants: pour briller, elles ont besoin d'obscurité.
Un certain degré d'ignorance générale est la condition de toutes les religions, le seul élément dans lequel elles peuvent vivre."" Arthur Schopenhauer
Un certain degré d'ignorance générale est la condition de toutes les religions, le seul élément dans lequel elles peuvent vivre."" Arthur Schopenhauer
Re: Le personnage
Ecrit le 26 nov.24, 01:18Excellent.Gérard C. Endrifel a écrit : ↑25 nov.24, 23:53 Oh mais je n'en doute pas, je connais assez bien le personnage. Cependant, je ne sais pas si vous avez remarqué, mais en ce qui me concerne c'est fini l'époque où je passais des jours à défendre mon bifteck dans des débats stériles.
Dans le domaine de l'éveil spirituel, nous témoignons que chez l'être humain rien n'est vrai ou faux, mais qu'il s'agit simplement d'une différence de points de vue.
Ce principe est très bien illustré par la fameuse analogie des aveugles et de l'éléphant.
Ou encore par ce petit dessin :
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Re: Le personnage
Ecrit le 26 nov.24, 03:30C'est pas évident depuis un moment...
On voit qui est ton patient ici, et tu lui reconnaîtrais un sac de noeuds illogiques? C'est justement à certains de ces noeuds (entre autres) que l'on s'adresse ici. Vois-le et aide le patient à y voir clair...Vous croyez que je ne sais pas raisonner ? Un psy ne sait donc pas raisonner ? Non parce que son travail consiste à se mettre à la place de son patient, de rentrer dans sa tête et de trouver une logique dans un sac de noeuds illogique pour pouvoir tout défaire et remettre les choses à plat.
Toi aussi, t'as ton type de raisonnement, et comme on l'a vu, t'es pas à l'abri de la fausse analogie.
Heureusement pour nous (!), tu fais partie de ces 8,2 milliards...Vous croyez tout savoir de la logique pourtant vous n'en voyez pas dans un énoncé tout simple parce que limité par vos connaissances sur le sujet. Vous n'avez pas le monopole de la logique, faut vous le mettre dans le crâne. Votre forme de logique n'en est qu'une parmi 8,2 milliards, va falloir vous y faire.
---
69... On va demander à Gérard de nous analyser ça... Y a comme un leitmotiv...
Un simple 8 aurait été dans une autre logique...
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Re: Le personnage
Ecrit le 26 nov.24, 04:01De votre point de vue.
Y a rien à expliquer, ça illustre ce que je disais hier c'est tout. Tout est une question de point de vue. Pour le personnage de gauche, la conclusion du personnage de droite est illogique et vice versa. Alors que si l'un des deux se mettait à la place de l'autre alors il y verrait toute la logique qui lui échappe depuis sa position initiale.ronronladouceur a écrit : ↑26 nov.24, 03:3169... On va demander à Gérard de nous analyser ça... Y a comme un leitmotiv...
Je n'ai pas la prétention de connaître la logique de gzarbiji. J'ai pas envie de me prendre la tête avec ça. Je dis juste qu'il y a une logique qui devient accessible lorsqu'on arrête de vouloir se confronter à lui et qu'on décide de se mettre à sa place. De son point de vue tout est logique. Il voit un 6, vous voyez tous un 9 et vous voudriez que lui aussi voit un 9. Il s'y refuse et il a raison. Des gens qui ne prennent pas la peine de se mettre à la place des autres ne méritent pas qu'on se mettent à la leur.
La première chose que fera un esclave après avoir quitté son maître, c'est s'en trouver un autre encore pire que le précédent. Et il n'y a pas pire maître que soi-même. - "Principe d’élévation - Réalité ou Illusionnisme pervers ?" G. C. Endrifel
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Re: Le personnage
Ecrit le 26 nov.24, 04:06Re: Le personnage
Ecrit le 26 nov.24, 04:14D'autant plus que j'ai été à leur place durant quasiment toute ma vie (jusqu'à l'éveil).Gérard C. Endrifel a écrit : ↑26 nov.24, 04:01 Y a rien à expliquer, ça illustre ce que je disais hier c'est tout. Tout est une question de point de vue. Pour le personnage de gauche, la conclusion du personnage de droite est illogique et vice versa. Alors que si l'un des deux se mettait à la place de l'autre alors il y verrait toute la logique qui lui échappe depuis sa position initiale.
Je n'ai pas la prétention de connaître la logique de gzarbiji. J'ai pas envie de me prendre la tête avec ça. Je dis juste qu'il y a une logique qui devient accessible lorsqu'on arrête de vouloir se confronter à lui et qu'on décide de se mettre à sa place. De son point de vue tout est logique. Il voit un 6, vous voyez tous un 9 et vous voudriez que lui aussi voit un 9. Il s'y refuse et il a raison. Des gens qui ne prennent pas la peine de se mettre à la place des autres ne méritent pas qu'on se mettent à la leur.
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Re: Le personnage
Ecrit le 26 nov.24, 04:39Voilà qui règle la question. Merci.Tout est une question de point de vue.
Mauvaise analogie, car les logiques dont nous parlons ne se situent pas sur le même plan ou niveau ... Je crois bien que gzab pourrait s'en expliquer, mais ça enlèverait aux toasts d'adrénaline...Y a rien à expliquer, ça illustre ce que je disais hier c'est tout. Tout est une question de point de vue. Pour le personnage de gauche, la conclusion du personnage de droite est illogique et vice versa. Alors que si l'un des deux se mettait à la place de l'autre alors il y verrait toute la logique qui lui échappe depuis sa position initiale.
Bah voyons, se donner cette peine pour quoi au juste? Tu comprends le mot 'masochiste'?Je n'ai pas la prétention de connaître la logique de gzarbiji. J'ai pas envie de me prendre la tête avec ça. Je dis juste qu'il y a une logique qui devient accessible lorsqu'on arrête de vouloir se confronter à lui et qu'on décide de se mettre à sa place.
Lui-même dira que ce n'est pas possible d'intellectualiser son truc, mais qu'il est plutôt question d'expérience ou de réalisation...
''Laisser le fruit mûrir jusqu'à ce qu'il tombe de lui-même'', contredit parfois comme dans sa dernière image ou auparavant...
Je ne suis même pas certain qu'il le voit ainsi lui-même... Un os à gruger plutôt qu'autre chose...De son point de vue tout est logique. Il voit un 6, vous voyez tous un 9 et vous voudriez que lui aussi voit un 9. Il s'y refuse et il a raison.
Ce que tu laisses entendre ici, c'est que gzab ne mérite pas plus qu'on se mette à sa place (impossible de toute façon)! Ainsi tout le monde est à sa place et demeure sur ses positions...Des gens qui ne prennent pas la peine de se mettre à la place des autres ne méritent pas qu'on se mettent à la leur.
Qu'est-ce que tu veux de plus pour qu'un forum roule?
Tu y es encore dans une certaine mesure... C'est là que le bât blesse quoi que tu en penses...
Tu devrais comprendre plutôt que de te péter les bretelles... Mais comme le dirait ton ami, t'as encore des champs à coloniser...
Comme quoi analogiquement, le fruit tombé n'est pas nécessairement mûr...
Et tu t'étonnes!?
Re: Le personnage
Ecrit le 26 nov.24, 05:05En effet.ronronladouceur a écrit : ↑26 nov.24, 04:39 Lui-même dira que ce n'est pas possible d'intellectualiser son truc, mais qu'il est plutôt question d'expérience ou de réalisation...
Et Gérard a raison d'envisager qu'il y ait une grande logique dans mes propos, malgré les multiples contradictions apparentes qu'ils contiennent.
Je m'en suis d'ailleurs déjà expliqué plusieurs fois, et mes explications sont tout à fait accessibles au mental humain, pour peu qu'on fasse preuve d'un minimum de bonne volonté pour les comprendre.
C'est souvent là que le bât blesse.
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Re: Le personnage
Ecrit le 26 nov.24, 05:22Le problème que tu ne sembles pas vouloir considérer, c'est justement qu'à ta grande logique* se même une petite logique faite possiblement de contradictions. Lorsque ces deux logiques sont confondues et donc non démarquées, on se retrouve dans la confusion...
Et on dirait que ça t'amuse et que c'est pour toi une occasion de te moquer, voire de juger, de mépriser, etc. Et donc comme si on n'était pas justifié de te souligner des trucs!
En somme, tu t'attires ce qui te ressemble...
Simple question psychologique, n'est-ce pas Gérard?
* Avant de lire ce message-ci, j'avais sorti de ma bibliothèque pour le feuilleter un livre dont le titre est Ma grande logique, Tome ll...
Re: Le personnage
Ecrit le 26 nov.24, 05:27Je confirme.
C'est très amusant d'observer comment des rageux sont hostiles à des propos qu'ils ne se donnent même pas l'occasion d'essayer de comprendre.
Ajouté 4 minutes 48 secondes après :
À ce propos, j'ai mis en ligne aujourd'hui et de façon publique ma célèbre chanson "Vas-y crache !".
Je suis curieux de voir les commentaires de mes abonnés.
Je fais le pari qu'ils ont le niveau spirituel leur permettant de "voir" au-delà des apparences.
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Re: Le personnage
Ecrit le 26 nov.24, 06:30Si vous pouviez me laisser en dehors de votre gué-guerre stérile...
La première chose que fera un esclave après avoir quitté son maître, c'est s'en trouver un autre encore pire que le précédent. Et il n'y a pas pire maître que soi-même. - "Principe d’élévation - Réalité ou Illusionnisme pervers ?" G. C. Endrifel
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Re: Le personnage
Ecrit le 26 nov.24, 07:11Y a rien comme de penser qu'imaginer une chose suffit à en établir la vérité...
Je tiens le pari.Je suis curieux de voir les commentaires de mes abonnés.
Je fais le pari qu'ils ont le niveau spirituel leur permettant de "voir" au-delà des apparences.
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Re: Le personnage
Ecrit le 26 nov.24, 07:57.
À l'attention des personnes intelligentes et logiques :
Toute logique repose sur le principe de non-contradiction. Je regrette, mais ce n'est pas moi qui l'ai décidé : c'est ainsi. Une logique personnelle qui amène à affirmer une chose et son contraire n'est pas, à proprement parler, une logique. Cela pourrait être un raisonnement, mais il ne peut pas être qualifié de logique et est forcément erroné, voire biaisé. Quelqu'un qui prétend avoir sa propre logique peut le faire, mais s'il est incapable de tenir un propos cohérent, il attribue à sa pensée une consistance qu'elle n'a pas. C'est seulement une manière de se convaincre que ce qu'il pense vaut bien ce qu'un autre pense. Mais dans les faits, certains discours sont bien plus cohérents que d'autres.
C'est factuel :
>>>>>> Pour tenir des propos contradictoires, il n'y a pas besoin d'une logique quelle qu'elle soit, il suffit de raisonner de travers, ce qui est à la porté de n'importe quel cré.tin.
Prétendre qu'un discours contradictoire est logique revient à mal comprendre ce qu’est la logique, et tenter de justifier une contradiction comme une forme de logique personnelle ou subjective est un abus de langage.
En effet, tout discours qui accepte les contradictions comme légitimes cesse d’être un discours logique. On ne peut pas redéfinir la logique de manière subjective sans détruire ce qu’elle signifie. Une contradiction n'est jamais logique en elle-même, quelle que soit l'approche ou le système. Les contradictions appellent à être résolues ou clarifiées, et non à être considérées comme compatibles avec la logique. Les tentatives de justifier des contradictions sous prétexte de relativisme ou de logique personnelle trahissent une incompréhension fondamentale de ce qu’est la logique.
Le relativisme, c'est le seul argument de ceux qui n'en ont pas.
---
ChatGPT :
Pour tenir des propos contradictoires, il n'est pas nécessaire de faire appel à la logique. En réalité, cela ne demande aucun effort particulier : il suffit de raisonner de travers, une compétence à la portée du premier venu. La contradiction, loin d’être une preuve de réflexion ou de complexité, est le signe d’un défaut de raisonnement. Elle ne découle pas d’une logique, quelle qu’elle soit, mais d’un écart vis-à-vis des principes fondamentaux qui structurent la pensée rationnelle.
Un discours contradictoire reflète l'absence de rigueur intellectuelle. Il peut être le résultat de plusieurs facteurs :
- La négligence intellectuelle, lorsque l'on ne prend pas le temps de vérifier la cohérence de ses propos.
- La confusion conceptuelle, lorsque des idées ou des mots sont employés sans en comprendre les distinctions ou les implications.
- La mauvaise foi, enfin, lorsque des contradictions sont utilisées délibérément, souvent dans le but de manipuler ou de désorienter un auditoire.
Dans tous les cas, un raisonnement contradictoire ou une contradiction ne font pas preuve de logique, mais signalent plutôt son absence. Être logique, en revanche, nécessite de la discipline : il faut structurer ses idées, relier ses affirmations par des principes cohérents, et veiller à ce que chaque élément s'inscrive dans une harmonie rationnelle. Cette exigence place la pensée logique à un niveau supérieur. En comparaison, un propos contradictoire ne demande aucun effort et peut être produit sans même s’en rendre compte.
La logique n’est pas un simple ornement de la pensée, mais son fondement rationnel. Elle repose précisément sur le principe de non-contradiction, qui stipule qu'une chose ne peut être à la fois vraie et fausse sous un même rapport. Sans cela, il devient impossible de distinguer un raisonnement cohérent d’un autre qui ne l'est pas. Les contradictions, lorsqu'elles apparaissent dans un raisonnement, doivent être identifiées et résolues. Elles ne peuvent jamais être acceptées comme des états valides ou "logiques".
Un individu qui rejette la logique sous prétexte de subjectivité ou de relativisme se place hors du champ de la rationalité. Il prétend, souvent à tort, que sa "logique personnelle" suffit à légitimer ses propos, même lorsqu'ils sont manifestement incohérents. Mais c’est là un abus de langage : la logique ne se plie pas aux opinions ou aux préférences individuelles. Elle est universelle, car elle constitue la condition nécessaire à toute rationalité, permettant ainsi un discours commun compréhensible par tous.
La contradiction est une facilité. Votre remarque — "il suffit de raisonner de travers, ce qui est à la portée de n'importe quel cré.tin" — pointe une vérité fondamentale : produire des contradictions est d’une grande simplicité. Il n’y a aucun effort à fournir pour juxtaposer des idées incompatibles ou pour affirmer une chose et son contraire. C’est un exercice que l’on peut réaliser sans réflexion, presque par accident.
À l’inverse, construire un raisonnement cohérent demande du soin et de la rigueur. Cela implique d’examiner ses idées, de les articuler logiquement et de s’assurer qu’elles ne se contredisent pas. Ce travail distingue les propos réfléchis des affirmations hasardeuses. En ce sens, la logique est une discipline exigeante qui élève la pensée au-dessus des raccourcis faciles.
La position du relativisme absolu, qui voudrait que tous les points de vue se valent, se heurte ici à une limite évidente. Un discours contradictoire ne peut être mis sur le même plan qu’un raisonnement cohérent. Le relativisme, lorsqu’il est utilisé comme excuse pour tolérer l’incohérence, devient un refuge pour échapper à toute exigence rationnelle. Pourtant, toutes les idées ne se valent pas, car toutes ne respectent pas les mêmes critères de cohérence, de rigueur et d'objectivité.
En conclusion, la contradiction n'est jamais logique. Elle est le signe d’une pensée négligente ou erronée, qui s’éloigne des principes fondamentaux de la rationalité. Résoudre une contradiction peut être un exercice logique, mais accepter une contradiction comme valide ou cohérente revient à renoncer à la logique elle-même. Être logique est une entreprise exigeante, qui demande de la clarté et de la constance dans ses idées. À l’opposé, tenir des propos contradictoires n’exige rien d’autre qu’un raisonnement de travers, un exercice facile, certes, mais dénué de toute valeur intellectuelle.
________________
Ajouté 5 minutes 40 secondes après :
Tu as du mal..
Une contradiction logique consiste à affirmer une chose et son contraire Gérard..
Ce n'est pas le cas dans ton exemple. Il n'y a rien d'illogique à ce que l'un reconnaisse un 6 et l'autre un 9. Cela s'explique très facilement et sans avoir à ce contredire.
.
À l'attention des personnes intelligentes et logiques :
Toute logique repose sur le principe de non-contradiction. Je regrette, mais ce n'est pas moi qui l'ai décidé : c'est ainsi. Une logique personnelle qui amène à affirmer une chose et son contraire n'est pas, à proprement parler, une logique. Cela pourrait être un raisonnement, mais il ne peut pas être qualifié de logique et est forcément erroné, voire biaisé. Quelqu'un qui prétend avoir sa propre logique peut le faire, mais s'il est incapable de tenir un propos cohérent, il attribue à sa pensée une consistance qu'elle n'a pas. C'est seulement une manière de se convaincre que ce qu'il pense vaut bien ce qu'un autre pense. Mais dans les faits, certains discours sont bien plus cohérents que d'autres.
C'est factuel :
>>>>>> Pour tenir des propos contradictoires, il n'y a pas besoin d'une logique quelle qu'elle soit, il suffit de raisonner de travers, ce qui est à la porté de n'importe quel cré.tin.
Prétendre qu'un discours contradictoire est logique revient à mal comprendre ce qu’est la logique, et tenter de justifier une contradiction comme une forme de logique personnelle ou subjective est un abus de langage.
En effet, tout discours qui accepte les contradictions comme légitimes cesse d’être un discours logique. On ne peut pas redéfinir la logique de manière subjective sans détruire ce qu’elle signifie. Une contradiction n'est jamais logique en elle-même, quelle que soit l'approche ou le système. Les contradictions appellent à être résolues ou clarifiées, et non à être considérées comme compatibles avec la logique. Les tentatives de justifier des contradictions sous prétexte de relativisme ou de logique personnelle trahissent une incompréhension fondamentale de ce qu’est la logique.
Le relativisme, c'est le seul argument de ceux qui n'en ont pas.
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Pour tenir des propos contradictoires, il n'est pas nécessaire de faire appel à la logique. En réalité, cela ne demande aucun effort particulier : il suffit de raisonner de travers, une compétence à la portée du premier venu. La contradiction, loin d’être une preuve de réflexion ou de complexité, est le signe d’un défaut de raisonnement. Elle ne découle pas d’une logique, quelle qu’elle soit, mais d’un écart vis-à-vis des principes fondamentaux qui structurent la pensée rationnelle.
Un discours contradictoire reflète l'absence de rigueur intellectuelle. Il peut être le résultat de plusieurs facteurs :
- La négligence intellectuelle, lorsque l'on ne prend pas le temps de vérifier la cohérence de ses propos.
- La confusion conceptuelle, lorsque des idées ou des mots sont employés sans en comprendre les distinctions ou les implications.
- La mauvaise foi, enfin, lorsque des contradictions sont utilisées délibérément, souvent dans le but de manipuler ou de désorienter un auditoire.
Dans tous les cas, un raisonnement contradictoire ou une contradiction ne font pas preuve de logique, mais signalent plutôt son absence. Être logique, en revanche, nécessite de la discipline : il faut structurer ses idées, relier ses affirmations par des principes cohérents, et veiller à ce que chaque élément s'inscrive dans une harmonie rationnelle. Cette exigence place la pensée logique à un niveau supérieur. En comparaison, un propos contradictoire ne demande aucun effort et peut être produit sans même s’en rendre compte.
La logique n’est pas un simple ornement de la pensée, mais son fondement rationnel. Elle repose précisément sur le principe de non-contradiction, qui stipule qu'une chose ne peut être à la fois vraie et fausse sous un même rapport. Sans cela, il devient impossible de distinguer un raisonnement cohérent d’un autre qui ne l'est pas. Les contradictions, lorsqu'elles apparaissent dans un raisonnement, doivent être identifiées et résolues. Elles ne peuvent jamais être acceptées comme des états valides ou "logiques".
Un individu qui rejette la logique sous prétexte de subjectivité ou de relativisme se place hors du champ de la rationalité. Il prétend, souvent à tort, que sa "logique personnelle" suffit à légitimer ses propos, même lorsqu'ils sont manifestement incohérents. Mais c’est là un abus de langage : la logique ne se plie pas aux opinions ou aux préférences individuelles. Elle est universelle, car elle constitue la condition nécessaire à toute rationalité, permettant ainsi un discours commun compréhensible par tous.
La contradiction est une facilité. Votre remarque — "il suffit de raisonner de travers, ce qui est à la portée de n'importe quel cré.tin" — pointe une vérité fondamentale : produire des contradictions est d’une grande simplicité. Il n’y a aucun effort à fournir pour juxtaposer des idées incompatibles ou pour affirmer une chose et son contraire. C’est un exercice que l’on peut réaliser sans réflexion, presque par accident.
À l’inverse, construire un raisonnement cohérent demande du soin et de la rigueur. Cela implique d’examiner ses idées, de les articuler logiquement et de s’assurer qu’elles ne se contredisent pas. Ce travail distingue les propos réfléchis des affirmations hasardeuses. En ce sens, la logique est une discipline exigeante qui élève la pensée au-dessus des raccourcis faciles.
La position du relativisme absolu, qui voudrait que tous les points de vue se valent, se heurte ici à une limite évidente. Un discours contradictoire ne peut être mis sur le même plan qu’un raisonnement cohérent. Le relativisme, lorsqu’il est utilisé comme excuse pour tolérer l’incohérence, devient un refuge pour échapper à toute exigence rationnelle. Pourtant, toutes les idées ne se valent pas, car toutes ne respectent pas les mêmes critères de cohérence, de rigueur et d'objectivité.
En conclusion, la contradiction n'est jamais logique. Elle est le signe d’une pensée négligente ou erronée, qui s’éloigne des principes fondamentaux de la rationalité. Résoudre une contradiction peut être un exercice logique, mais accepter une contradiction comme valide ou cohérente revient à renoncer à la logique elle-même. Être logique est une entreprise exigeante, qui demande de la clarté et de la constance dans ses idées. À l’opposé, tenir des propos contradictoires n’exige rien d’autre qu’un raisonnement de travers, un exercice facile, certes, mais dénué de toute valeur intellectuelle.
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Ajouté 5 minutes 40 secondes après :
Mais, voyons ! Il n'y a pas de contradiction entre la déclaration de celui qui voit un 6 et celle de l'autre qui voit un 9.Gérard C. Endrifel a écrit : ↑26 nov.24, 04:01 Y a rien à expliquer, ça illustre ce que je disais hier c'est tout. Tout est une question de point de vue. Pour le personnage de gauche, la conclusion du personnage de droite est illogique et vice versa. Alors que si l'un des deux se mettait à la place de l'autre alors il y verrait toute la logique qui lui échappe depuis sa position initiale.
Tu as du mal..
Une contradiction logique consiste à affirmer une chose et son contraire Gérard..
Ce n'est pas le cas dans ton exemple. Il n'y a rien d'illogique à ce que l'un reconnaisse un 6 et l'autre un 9. Cela s'explique très facilement et sans avoir à ce contredire.
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Modifié en dernier par J'm'interroge le 26 nov.24, 11:05, modifié 1 fois.
La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit sont lot d'expériences vécues.
Sagesse !
Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
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