LumendeLumine a écrit :
Ce sont toutes d'excellentes réponses à part le bromure
Étonnant de constater ce que ce site pas du tout catholique peut démystifier comme mythes à propos de la pornographie:
L'effet de la pornographie sur la santé
Quelques questions:
- La pornographie est-elle un bien? Est-elle utile, nécessaire?
- La pornographie, en montrant le sexe sans l'amour, est-elle une façon d'éduquer les jeunes à la sexualité, ou au contraire ne leur inculque-t-elle pas une image faussée et absurde dont ils auront plus tard beaucoup de difficultés à dépasser pour connaître le véritable amour?
- Y a-t-il un espoir raisonnable de penser que la pornographie puisse un jour présenter l'être humain (et plus particulièrement la femme) comme une personne et non comme un objet?
- Vivre le sexe de façon égoïste par la masturbation et la pornographie, est-ce se préparer au don de soi qui constitue l'essentiel de l'acte conjugal et de la vie matrimoniale?
Étonnant de constater ce que ce site pas du tout catholique peut démystifier comme mythes à propos de la pornographie:
Pas catholique, seulement Baptiste fondamentaliste d'exteme droite de la Bible belt americaine a l'epoque Reagan.
C'est mieux?
Ce article utilise D. Zillmann, J.Bryant, « Shifting preferences in pornography consumption », Communication Research, University of Alabama, 1984
Un peu de recherche et on trouve ceci
Well over 20 years ago, Dolf Zillmann, a right-wing moralist anti-pornography researcher, began trying to prove that pornography causes rape and other "anti-social" behaviour. With the help at various times of other researchers - most notably Jennings Bryant and J.B. Weaver - he has published numerous articles purporting to support this claim, and at many points managed to mislead other researchers and even feminists into believing that he had empirical evidence that males demonstrated greater "callousness toward women" and became "desensitized" to sexual violence after having been exposed to pornography.
Zillmann's position is a familiar one within the American moral right, who have persistently misrepresented the emergence of women's greater willingness to report and discuss sexual abuse and violence as evidence of a greater actuality of abuse and violence since the emergence of the sexual revolution and of it's even more pernicious little sister, feminism. Although all existing evidence shows that actual rape rates have not increased since 1960, the moral right has successfully used higher rape reporting rates to con the populace into believing that society has become more violent, principally due to more openness about sexuality and the increasing refusal of women to be silenced. We were too cowed to talk about being sexually assaulted before the late 1960s; therefore, it did not happen.
Unfortunately, news about Zillmann's "evidence" against pornography did not come accompanied by his credentials as an opponent of women's liberation. As is the case with most research, it filtered in by word of mouth and truncated newspaper items revealing only that "scientists" had "proven" a relationship between pornography and violence, "callousness toward women", or any number of other sins. The view that pornography was a cause of sexual violence or of sexism in general became popular currency within certain segments of society, including the research community and the women's studies departments of America. Until, that is, people actually started reading the existing research. But that came perhaps too late.
http://solomonsrefuge.com/MeeseLinks.htm
Il faut faire attention quand on utilise des references, elle peuvent se retourner contre soi meme
En 1986, La droite Americaine, profitant du support de Reagan, a essaye d'interdire la pornographie aux USA avec la commission Meese, du nom du ministre de la justice de l'epoque dont les vues moralisatrices sont a la droite de celles de Pat Robertson.
Les resultats de cette commission sont monte au senat Americain qui l'a rejete comme etant sans bases scientifiques objectives.
http://cultronix.eserver.org/califia/meese/
Les conclusions que ton article mentionne datent tous de cette epoque de chasse au sorciere et sont donc aussi valables que leur references.
Je suis etonne qu'un organisme belge soit tombe dans un piege aussi grossier.
Des etudes subsequentes ont prouve depuis le manque de rigeur scientifique de l'etude qui etait orientee depuis le debut en rejetant toute etude qui n'allait pas dans son sens, y compris celle commissionee par le Surgeon general
Elles ont prouve aussi sans aucune contestation possible l'absence marquee de la pornographie sur la psychologie humaine.
Ton grand probleme, Lumen, c'est de refuser de comprendre que des cul de jatte ne se presentent pas aux Olympiques. Tu vis dans un monde utopique et tu condamne tous ceux qui ne correspondent pas a ton moule ideal.
La pornographie est-elle un bien? Est-elle utile, nécessaire?
La reponce a cette question est simple: La pornographie est un bien pour ceux a qui elle est utile et necessaire.
Vivre le sexe de façon égoïste par la masturbation
Une maladie typique chez certains femmes c'est l'absence d'orgasme. Il a touche jusqu'a 80% des femmes dans le monde occidental jusqu'a ce qu'on s'interesse au probleme et qu'on essaye de le resoudre.
L'epoque ou les femmes devaient accomplir le "devoir conjugal"
C'est maintenant un probleme banal qui se guerri tres facilement. La base du traitement ce sont des exercices de masturbation.
Un probleme typique chez l'homme c'est l'ejacualtion precosse. De meme, le remede comporte des exercices de masturbation.
Alors si, comme disent JPII et B XVI, les couples ont le droit de connaitre le plaisir sexuel et que pour certains la seule maniere d'y arriver passe par des pratiques interdites, il y a comme une contradiction.