Inquisition

Sujet d'actualité Au Québec l'accommodement raisonnable, un sujet d'actualité.
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florence.yvonne

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Ecrit le 08 mars06, 21:36

Message par florence.yvonne »

ahasverus a écrit :Dis donc ma cocotte, tu sais ce que c'est qu'un pastiche? Une parodie? un plagiat?
Tu sais ce que ca veut dire "avec une idee digne de"?
Je connais l'histoire des Cathares pas ausi bien que toi mais je ne suis pas totallement ignorant.
J'ai vu Montsegur en noir et Blanc sur l'ORTF.
A ton avis comment ai je trouve le nom d'Arnaud Amalric?
"avoir une idée digne de" n'est pour moi en aucune façon un avertissement comme quoi ont va parodier une citation.

en plus ici en Languedoc, on dit plutôt Arnaud d'Armaury

http://www.cathares.org/acteurs.html

http://jclbernard.9online.fr/nostra/avant5.htm

PS : attention, tu touches là une corde extrêmement sensible, c'est à mon patrimoine culturel que tu t'attaques.

ahasverus

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Ecrit le 08 mars06, 22:25

Message par ahasverus »

Ouch, je ferais attention, c'est promis.

Mickael_Keul

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Ecrit le 09 mars06, 00:51

Message par Mickael_Keul »

l'inquisition existe toujours , elle a juste changé de nom, c'est la charia




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gaetan8888

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Ecrit le 25 janv.07, 07:06

Message par gaetan8888 »

Hello

Voici un texte intéressant trouver sur le site vitamivero.free.fr

Gaétan
INQUISITION

INQUISITION Terme signifiant recherche. Nom donné à un tribunal spécial institué officiellement par l’Église en 1231 et qui persista jusqu’au XIX e siècle pour rechercher et punir avec le concours de l’état les hérétiques tels les Cathares et les Albigeois qui sapaient à la fois la religion et l’ordre social les armes à la main. Elle constitue donc une réalité historique incontournable qu’il faut cependant distinguer de ce qu’en dit l’historiographie de l’Inquisition. Le peuple chrétien, attaqué, maltraité, se défendit et imposa aux souverains des expéditions (croisade contre les Albigeois) et des répressions sanglantes, parfois sommaire, parfois aveugles.

L’institution de l’Inquisition substitua aux exécutions sommaires et massives, le procédé de jugements réguliers et individuels. Sa direction fut confiée aux Dominicains, parfois aussi à des Franciscains. Le rôle des inquisiteurs était à la manière d’experts ou de jurés, de constater s’il y avait crime d’hérésie (ou d’apostasie) ou de sorcellerie et magie, matières auxquelles par la suite s’étendit leur compétence, puis d’exhorter le coupable au repentir, d’essayer de se convertir, auxquels cas il n’avait à subir que des pénitences ordinaires de l’Église, dite salutaires (amendes, pèlerinages, réclusion).

S’il persistait opiniâtrement dans son erreur, le tribunal ecclésiastique sans vouloir le condamner lui-même le livrait ce qui revenait bien un peu au même au bras séculier, à l’état qui lui, appliquait la peine du bûcher. C’est l’état qui a énergiquement approuvé et soutenu par l’opinion populaire laquelle voyait alors dans l’hérétique ou la sorcellerie, un malfaiteur public, un ennemi de l’ordre social. Celui-ci basé avant tout sur le respect de Dieu et de l’Église procédait lui seul et non l’Église aux arrestations, à la sentence légale, aux exécutions. Ce tribunal suivait la procédure de tous les tribunaux séculiers de cette époque, y compris la prison préventive et la torture, de pratique universelle (sauf dans les tribunaux d’Église ordinaire)

La torture ne fut employée que rarement et seulement quand des preuves graves témoignaient déjà contre l’accusé et sans porter atteinte à sa vie, ni le mutiler sans ces cruautés raffinées que les publicistes fantaisistes lui ont prêtées. De nombreux témoins ayant été assassiné par les complices des hérétiques on décida de tenir secret par mesure exceptionnelles et temporaires, les noms des témoins et de ne point confondre l’accusé avec eux.

L’inquisition a prévenu et empêché d’effroyables guerres de religion et le retour à la barbarie qui eût été la conséquence des hérésies antisociales (destruction de la famille, suicides recommandés, etc. ) Les peines qu’elle prononçait (prison, etc.) étaient souvent commuées ou adoucies ou même effacées. Elle ne punissait pas pour punir. Elle s’occupait de corriger, d’amender, de convertir et ramener à la foi. La pénalité devait aider à ce retour. Elle a donné lieu a des abus qu’il faut reconnaître et condamner ; les uns isolés (erreurs judiciaires, mais aucune juridiction n’en est exempte, vengeance personnelle exercée à la faveur du secret de l’information judiciaire) les autres généralisés dus à ce que l’autorité civile s’asservit rapidement l’Inquisition (par exemple le procès de Jeanne d’Arc) et en fit un instrument de règne : même elle devint à Venise dès le XIVe siècle et en Espagne au XVe siècle, une institution d’État, un instrument de tyrannie mais de ceci, l’Église ne saurait être responsable et les papes ont élevé leurs protestations au sujet des excès qui s’ensuivirent.

Quant à la pratique de punir, le délit d’opinion, de pensée, elle choque notre mentalité actuelle mais non au Moyen Âge ou l’on s’attaquait courageusement et logiquement au criminel de pensée plus coupable que celui qui agit à son instigation sous l’influence de ses doctrines subversives. Quant au nombre, il est loin d’être aussi considérable qu’on le dit parfois. Cependant, nous savons que dans le cas de Toulouse et Pamiers que 5 sur 64 et 42 sur 930, 1 sur 23 condamnations furent suivies de l’exécution. Eu égard aux nécessités de la défense sociale et la dureté des moeurs d’alors, des supplices s’imposèrent sans doute au début. Mais le châtiment suprême encoure par la suite pour toute l’hérésie, même appliqué peu souvent nous paraissons excessif et peu conforme à l’Évangile (parabole du bon grain et de l’ivraie) (L.E. Marcel, 1949)

Un tournant s’est produit aux XVIII-XIXe siècle, quand cette institution a été utilisée comme symbole de l’autoritarisme et de l’intolérance de l’Église catholique. Ainsi est-elle devenue une sorte d’instrument de dénégation de ce qu’est l’Église et de ce qu’elle a voulu faire à une époque donnée. De là est née la Légende noire dont l’interprétation cinématographique du livre d’Umberto Eco Le Nom de la rose, publié en 1980 offre un exemple. Bien d’autres légendes ont précédé (Figaro) L’une des causes principales de l’émergence et de l’extension du phénomène de la chasse aux sorcières, ce sont, disent H. Institoris et J. Sprenger, dans Le Marteau des sorcières [Malleus Maleficarum] les multiples misères collectives. Les deux signataires du Malleus ne cachent pas leur peur devant de tels périls. Dès la première phrase de l’Apologie, ils expriment leur volonté d’éliminer les sorcières hérétiques responsables des « calamités d’un siècle qui s’écroule » Ils avouent leur peur que l’univers entier ne périsse sous le joug des sorcières. Il ne faut surtout pas selon eux, exorciser cette peur en la proclamant illusoire. La menace est bien présente. Pour Amand Danet, on ne peut accuser les inquisiteurs de ruse ou de mauvaise foi. Le traité laisse dans son ensemble transparaître une peur réelle de la menace hérétique et de la fin du monde.

Plus justement, il faut accorder aux Inquisiteurs du Malleus le bénéfice de l’honnêteté et de la bonne foi. Ces hommes avaient réellement peur et vivaient réellement le drame de la fin du monde. Le monde dans lequel et pour lequel ils avaient vécu était en danger. Le message qu’ils lançaient, c’est de bonne foi qu’ils le voulaient comme un message de salut, crédible à leurs yeux. (A. Danet, 1990)

Concernant les faits et les statistiques de l’Inquisition véhiculés au 18e et au 20e siècle et leur véracité, il est très important de considérer l’apport de *Juan Antonio Llorente, auteur d’une Histoire critique de l’inquisition (1817). En effet, des divers ouvrages qu’il composa pendant son séjour à Paris, aucun ne mérite d’être remarqué ; mais l’esprit de parti hostile à la religion est parvenu à donner une certaine vogue à son Histoire critique de l’Inquisition (trad. en fr, 4 vol.1817) Ce n’est qu’un pamphlet dicté par la rancune, et où la vérité est continuellement dénaturée. Cet ouvrage fut interdit par la police de Louis XVIII. Llorente, prêtre apostat à la réputation d’avoir dénaturer les faits de l’Inquisition espagnole. Après avoir écrit sa prétendue Histoire, il a brûlé les archives pour rendre impossible tout contrôle. Ses calculs sont tellement surfaits que les protestants eux-mêmes qui s’en servaient contre l’Église catholique n’y croient pas. Prescott dans son Histoire de Philippe II écrit : « On doit se méfier des indications de Llorente. Petchel dit que les comptes de Llorente sont un « frivole calcul de probabilité. Gams ne prend pas non plus Llorente au sérieux. Exemple : Llorente dit que Torquemada brûla 2,000 hérétiques à Séville seulement dans la seule année 1481. Or, *Torquemada n’est devenu inquisiteur qu’en 1483. Gams a contrôlé les chiffres de Llorente, or au lieu de 31,912 personnes brûlées, il compte 4,000 condamnés à mort pour 330 ans d’existence de l’Inquisition, soit une moyenne de 12 personnes par an pour tout le royaume (Henri Hello)

Voir aussi à Llorente, [l’une des sources qui ont dénaturé les faits]. ; Victimes innocentes de l’Inquisition ; Instruction de la Chambre apostolique (1657)


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Bibliographie Le Figaro, 3 novembre 1998, "Interview du dominicain Guy Bedouelle par Joseph Vandrisse" ; Patrick Snyder, Représentations de la femme et chasse aux sorcières XIIIe - XVe siècles. Lecture des enjeux théologiques et pastoraux. Montréal, Fides, 2000, p 34-35 ; Amant Danet, L’inquisiteur et ses sorcières. Grenoble, Jérôme Million, 1990, 98p. [Snyder, 2000] ; L.-E. Marcel. Dictionnaire de culture religieuse et catéchistique, Nouvelle édition (1949) revue très augmentée. Besançon : Éditions Service, 1949, p. 426-427 ; Henri Hello. La vérité sur l’Inquisition.

Commentaires de Bizouard et Gougenot des Mousseaux

BIZ 1. - les Manichéens et les Gnostiques s’étant associés secrètement, perpétuèrent dans l’ombre le principe de révolte et de sédition qui força d’établir l’inquisition ; requise aussi par les souverains et le catholicisme, car l’invasion manichéenne s’efforçait d’anéantir le catholicisme et aussi de renverser les rois, d’établir le règne de la liberté et de constituer une République universelle : 522.

BIZ 2. - le but de l’institution était de sauvegarder la religion et l’ordre établi contre les attaques des impies et des méchants et voilà le vrai secret de la haine de plusieurs contre l’Inquisition : 226 ; - en Espagne, on était loin de toujours condamner à mort. Il suffisait de montrer du repentir pour n’être pas puni de la peine capitale. Aussi les 30 sorciers qu’elle fit brûler en 1507 étaient tous des criminels impénitents : 233

BIZ 3. - le Cautio criminalis du père *Spée (1631) porta aux inquisiteurs une atteinte décisive, l’excellent jésuite disait qu’il ne prétendait nier ni les sorciers ni le sabbat mais le grand nombre des condamnés excitant son attention, il s’informa, examina, assista les condamnés au supplice et il fut convaincu des abus qu’il avait d’abord soupçonnés. Ceux qui procèdent contre les sorciers dit-il sont la plupart des gens d’honneur mais il y a des ignorants, de juges cruels, il ne faut pas épargner les vrais sorciers mais bien examiner ceux qui ne sont que suspects. Les marques sont des indices vains, les accusations des complices sont dangereuses, le démon a pu faire voir l’accusé au sabbat quoiqu’il n’y fût point. Pour accuser, on reçoit le témoignage de gens infâmes ; même du diable par la bouche des possédés. Il vaut mieux laisser le crime impuni que de punir des innocents. On soupçonne même les gens qui se montrent trop pieux, de sorte que plusieurs s’abstiennent d’aller trop souvent à la messe. Chaque jour voit surgir de nouvelles difficultés..., et la chose devient plus obscure. *Binsfeld, *Del Rio satisfaisaient les esprits raisonnables ; maintenant le doute d’élève partout, sur le sabbat, sur les aveux ; le démon jette dans les plus grandes illusions et tous les jours de nouveaux écrits rendent la matière plus ténébreuse. *Spée est convaincu qu’on a brûlé quelquefois des innocents ; le père Tanner l’atteste et beaucoup d’autres avec lui. Lui-même a assisté au supplice plusieurs innocents dont les juges furent depuis brûlés à leur tour comme sorciers. Il est possible que ces derniers étant nombreux fassent avec le diable leur possible pour que les leurs deviennent eux-mêmes inquisiteurs, Dieu l’ayant déjà permis. Outre l’ignorance, le zèle indiscret, etc., il y a encore l’avarice et l’ambition. Les vrais sorciers enfin, ;pour n’être pas soupçonnés, crient contre les inquisiteurs qu’ils accusent de lenteur, puis plus tard, on découvre qu’ils sont sorciers, de sorte que les inquisiteurs sont dans la plus grande perplexité. Quelle obscurité ! quel doute ! : 143-145 ; - selon le père Spée, le démon prenait au sabbat la ressemblance de plusieurs innocents que les vrais sorciers prétendaient y avoir vus. On répondra qu’un juge prudent n’était pas aussi disposé qu’on pourrait le croire, à moins qu’il n’y eût d’autres indices à accueillir une dénonciation émanée d’une telle source. Nous ignorons ce qui se passait alors dans les tribunaux d’Allemagne mais en France cette présomption eût été insuffisante pour ordonner la torture : 148 ; - On a dit que l’Église s’était montrée tout aussi cruelle et non moins crédule que la magistrature des jurisconsultes. Des jurisconsultes enfin prétendirent que la juridiction concernant les sorciers n’avait jamais dû appartenir à l’Église. « C’est un crime privilégié, disaient-ils, dont la condamnation appartient aux juges laïques » Donc dit Bizouard, les cruautés, si elles existent, les concerneraient seuls ; ceci suffit déjà pour en disculper l’Église : 457 ; - le jurisconsulte *Paul Grilland dit que les sorciers apostats étaient de deux sortes ; les uns adoraient le diable et lui obéissaient, d’autres renonçaient à Jésus-Christ et se baptisaient au nom du diable. Le Malleus malificrum en dit autant. Si ces apostats ne veulent se repentir, ils doivent être livrés au bras séculier, s’ils se repentent on ne leur impose qu’une pénitence dit *Wier (De l’imposture des démons, I, VI, c.xix) C’est en effet la seule peine que l’Église infligeait ; les tortures, la peine de mort regardaient le bras séculier. Il faut distinguer dit Bizouard, dans l’inquisition deux gouvernements, celui de l’Église et celui du souverain ; à l’un la clémence, à l’autre les supplices. Mais le second n’agit dit-on que d’après les ordres du premier. - Erreur ; l’inquisition était purement politique et émanait du roi, qui désignait l’inquisiteur général, lequel nommait les inquisiteurs particuliers qui étaient ecclésiastiques et laïques : 458 ; - le roi était maître absolu de nommer, de renvoyer ou de suspendre les inquisiteurs. L’inquisition ne condamna à mort que lorsqu’elle devint royale ; elle n’a jamais été établie que du consentement ou sur la demande des souverains qui profitaient seuls des confiscations. Il ne s’agissait pas dans les hérésies d’une doctrine contraire seulement à la foi mais à la tranquillité publique et à la morale. Les souverains enfin avaient d’autant plus d’intérêt à réprimer l’hérésie que ses fauteurs, comme on l’a a dit, étaient ennemis de la royauté. Quand le pape Innocent VIII nomma des inquisiteurs pour instruire un procès contre les sorciers d’Allemagne, il fut prévenu des maux que ceux-ci causaient, autant par l’autorité séculière que par l’autorité ecclésiastique. C’est non seulement une erreur, dit Joseph de Maistre, mais c’est un crime, seulement d’imaginer que des prêtres punissent de la peine de mort. Les templiers le savaient bien, eux qui demandaient d’être jugés par l’Église : 459

INQUISITION - Espagne L’Inquisition espagnole et portugaise est a mettre à part, relevant uniquement du pouvoir royal. Selon L. E. Marcel, elle a donné lieu à des excès qu’ont blâmés les papes. Encore peut-on dire qu’en 300 ans d’exorcismes, elle a envoyé beaucoup moins de personnes à la mort que les tribunaux révolutionnaires en France en cinq ans et celui de la Russie en 70 ans (14 millions de victimes)

BIZ 2. - justification et l’apport important des tribunaux laïques : 224 ; - le but de l’inquisition : 224 ; - était-elle cruelle ? Ce tribunal que l’on accuse de tant de cruauté était taxé souvent de trop d’indulgence. De Lancre dit qu’en Espagne, les sorciers qui avouent sont renvoyés, ont ne les condamnes qu’autant qu’ils s’obstinent à nier, contrairement à la pratique en France. Les populations atterrées à causes des fléaux et méfaits de la sorcellerie se plaignaient amèrement quand les inquisiteurs ne remplissaient pas leur devoir. Ce sont les tribunaux laïques qui étaient sévères, l’Inquisition usait de clémence. Ce qu’il y avait d’effrayant et de sévère appartenait au gouvernement dit Joseph de Maistre. L’origine des accusations provient toujours des mêmes sources. [c’est-à-dire *Llorente] : 225.


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Sigles des auteurs érudits catholiques cités

[BIZ 1-6] Joseph Bizouard. Rapports de l’homme avec le démon. Essai historique et philosophique. Paris, Gaume frères et J. Duprey éd. 1863. 6 vol.

[DD] Henri-Roger Gougenot des Mousseaux. Dieu et les dieux ou un voyageur chrétien devant les objets primitifs des cultes anciens. Les traditions et la fable. Monographie des pierres dieux et de leurs transformations. Paris : Lagny Frères, éditeurs, 1854, 587p.

[GOM] Ferdinand Gombault. L’imagination et les états préternaturels. Étude psycho-physiologique et mystique. Blois : C. Migault et Cie, 1899, 643p.

[HP] Henri-Roger Gougenot des Mousseaux. Les hauts phénomènes de la magie. Paris : Henri Plon, 1864, 480p.

[MD] Henri-Roger Gougenot des Mousseaux. La magie au XIXe siècle, ses agents, ses vérités, ses mensonges. Paris : Henri Plon / E. Dentu, 1860, 439p.

[MM] Henri-Roger Gougenot des Mousseaux. Les médiateurs et les moyens de la magie. Paris, Henri Plon, 1863, 447p.

[MP] Henri-Roger Gougenot des Mousseaux. Mœurs et pratiques des démons ou des esprits visiteurs. Nouv. éd. refondue et fort augmentée. Paris, Henri Plon, 1854, 435p.

http://vitamivero.free.fr/spip/article. ... cle%3d1035

,
Ma page web sur les temps a venir:
http://site.voila.fr/apocalypses

florence.yvonne

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Ecrit le 25 janv.07, 09:10

Message par florence.yvonne »

on croit rêver, l'inquisition transformé en gentil tribunal presque inoffensif, comme quoi, le négationnisme se cache partout.

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