Paroles de Dieu.

Forum Chrétien / Musulman / Judaisme Bible -Thora face au Coran. Lire la charte du forum religion.

Règles du forum
Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Verrouillé

Avez vous lu les livres sacrés?

Bible et thora?
10
11%
Coran?
25
26%
Bible et Coran?
50
53%
Aucun?
10
11%
 
Nombre total de votes : 95

Simplement moi

[ Aucun rang ]
[ Aucun rang ]
Messages : 17964
Enregistré le : 21 avr.04, 01:21
Réponses : 0
Localisation : Sur Terre ! parisienne...

Ecrit le 05 mai06, 13:09

Message par Simplement moi »

Slim09 a écrit :Mohamed serait plus juste et c'est son nom, les autres noms ne sont que des problème de prononciation des différents pays musulmans de l'afrique à l'asie.
Alors pas de problème, en Andalousie toute personne dira Mojamé en parlant de tout Mohamed.

Comme un maghrébin souvent dira Pigeot au lieu de Peugeot. Juste une prononciation.

Si je voulais pousser le bouchon plus loin je dirais Mahoma, nom qui lui a été donné pendant des siècles et encore aujourd'hui en Ibérie.

humble avis

[ Aucun rang ]
[ Aucun rang ]
Messages : 825
Enregistré le : 15 janv.06, 08:48
Réponses : 0
Localisation : Maroc

Ecrit le 06 mai06, 11:03

Message par humble avis »

simplement:
1°) Tu sais pertinamment que les juifs (la grande majorité...car les chrétiens d'origine sont JUIFS) n'ont reconnu ni Jésus en tant que Messie ni presque en tant que prophète.

2°) Tu ignores sans doute que le Talmud NE FAIT PAS PARTIE que je sache de la Bible.

3°) Le Talmud ce sont des commentaires... des explications... des interprétations de rabbins et des explications et commentaires de ces mêmes explications. Ni plus ni moins.

Ils n'ont éventuellement de valeur que pour les rabbins. Pas pour les chrétiens.

Ils ne valent pas plus que les hadiths musulmans ou les élucubrations mysogines de certains "pères" de l'Eglise chrétienne.

humble avis

[ Aucun rang ]
[ Aucun rang ]
Messages : 825
Enregistré le : 15 janv.06, 08:48
Réponses : 0
Localisation : Maroc

Ecrit le 07 mai06, 02:15

Message par humble avis »

Je t'ai demandé une simple prière...
Modifié en dernier par humble avis le 04 avr.07, 15:54, modifié 1 fois.

humble avis

[ Aucun rang ]
[ Aucun rang ]
Messages : 825
Enregistré le : 15 janv.06, 08:48
Réponses : 0
Localisation : Maroc

Ecrit le 07 mai06, 02:31

Message par humble avis »

Les textes sacrés du judaïsme sont les plus anciens après ceux de l'hindouisme.
Modifié en dernier par humble avis le 04 avr.07, 15:54, modifié 1 fois.

Simplement moi

[ Aucun rang ]
[ Aucun rang ]
Messages : 17964
Enregistré le : 21 avr.04, 01:21
Réponses : 0
Localisation : Sur Terre ! parisienne...

Ecrit le 07 mai06, 09:40

Message par Simplement moi »

humble avis a écrit : Notez que je savais à l’avance qu’aucun raisonnement ne serait pris en considération.
Que je sache a ce moment de la discussion, aucun raisonnement donnant des preuves de véracité PLUS GRANDE des textes musulmans n'a été mise sur la table.
humble avis a écrit : Notez aussi que vous n’avez même pas voulu définir une base de discussion.
Quelle base veux tu ?

On n'a besoin d'aucune base, juste d'une preuve.
Une preuve bien entendu INDISCUTABLE.
humble avis a écrit : Ceci laisse comprendre que volontairement vous vous efforcez à ne rien accepter des musulmans. Attitude que je trouve déplorable.
C'est faux.

J'ai toujours dit dans bien de mes interventions ici ou ailleurs que des textes musulmans étaient pleins de sagesse.

Cela ne veut pas dire qu'ils ne se retrouvent pas dans les autres textes antérieurs, ni que cela leur concède une origine d'avantage divine qu'aux autres.
humble avis a écrit : Remarquez que je vous ai donné, à vous non croyant, des arguments matériels que tout esprit matérialiste comprendrait aisément. Pourtant vous vous êtes entêté à les rejeter. Attitude reflétant la mauvaise foi et confirmant (ne rien accepter des musulmans).
Pourrais tu me rafraîchir la mémoire... quand a ces arguments "matériels" ? Si je les ai rejetté c'est sans doute que j'avais des arguments a avancer, ou que les tiens n'étaient pas aussi "indiscutables" que tu veux le dire.
humble avis a écrit : Je me demande comment un non croyant comme vous rejette des arguments matériels quand il est question de l’Islam et arrive à accepter des arguments de fiction quand il est question du christianisme (dieu en trois par exemple) ! ! !
Mais pourquoi tu délires ? Dieu en trois ? Fiction ? Non, c'est écrit dans les textes bibliques, je ne fais que les lire...

les croire... si je ne suis pas croyant... je ne vois pas comment je ferais.

Ceci dit, les textes parlent d'un seul Dieu, pas d'un Dieu en trois... mais trois émanations du même Dieu, unique.
humble avis a écrit : En réalité,
Que les dires des musulmans se rattachent à la bible ou au Coran, la véracité que vous y touchez vous choque.
Me choque ? Non. Rien ne me choque... sauf si les uns et les autres veulent me faire prendre des vessies pour des lanternes.

Les textes sont là, il suffit de les lire.
humble avis a écrit : Dans le Coran la Sainte Marie est honorée à sa juste valeur.
Et pour toute personne ayant lu la bible, il verra que cette juste valeur n’y existe pas, malgré le fast que vous tracez autour d’elle.
Marie est citée dans le Coran, de la même façon qu'elle l'est dans la Bible. L'histoire est pratiquement similaire, seuls quelques détails changent (dattes, etc).

Les autres citations que le Coran comporte de Marie... c'est en parlant de Jésus "fils de Marie".

Ce qui pour moi ne fait pas citer Marie... mais Jésus, son Fils.

Et cela est dit ainsi... pour éviter de complaire a la Foi chrétienne qui en fait selon ses dires rapportés dans les textes bibliques, fils de Dieu.

Ensuite... que tu le veuilles ou pas, la Foi et le respect a Marie est évident dans le monde chrétien. Bien plus qu'en Islam.

humble avis a écrit : Ceci me pousse à vous poser une question,
Est ce que la bible en matière de personnalités, en occurrence féminines, en a cité les précédentes ! ?
C'est quoi "les précédentes" ? Désolé je ne comprends pas la question: si c'est les femmes et progéniture de ton prophète... difficile de les nommer: le texte est écrit bien avant.
humble avis a écrit : Non seulement la bible a évoqué les messagers précédents Jésus, mais pour la majorité, elle n’a point rapporté leurs vraies valeurs, sinon elle les a souillées, y compris celles de Jésus ! !
Seulement dans le Coran vous retrouvez les vraies grandes valeurs des prophètes et messagers, y compris celles de Jésus.
Voilà .... les "vraies valeurs" Elles sont les tiennes ? Les musulmanes ?

On revient au début: sur quelles bases doit on penser que les "vraies valeurs" des uns ou des autres sont mieux traitées dans le Coran.. que dans la Bible ? En vertu de quoi ?
Toute la théorie musulmane est celle-là, mais rien n'est prouvé qui lui donne une véracité indiscutable.

Jésus et sa 'bonne nouvelle' est pratiquement inexistant dans le Coran: comment veux tu qu'il y soit considéré a sa "vraie valeur" ?
humble avis a écrit : Merci de la confirmation.
Cette même attitude a été reprise par la suite à l’égard du prophète de l’Islam Mohammed(psAl). Plus flagrante encore, puisque les chrétiens se sont associés aux juifs face à Mohammed (psAl).
C'est une vérité historique, alors pourquoi la nier. Les chrétiens ne se sont associés a personne face à ton prophète... c'est encore de la victimisation et du mythe.

Les juifs... et les chrétiens... de par le fait de la non reconnaissance justement de Jésus par les premiers, n'ont jamais été que je sache les meilleurs copains du monde.

En dehors des quatre tribus juives existant en arabie quand ton prophète a commencé sa "prédication" c'est surtout aux chrétiens qu'il a fait la guerre du Yémen chrétien a la Perse et Egypte des Byzantins aux Wisigoths d'Ibérie.
humble avis a écrit : Je vais partager avec vous une remarque qui vient de me chatouiller l’esprit.
L’ancien testament, n’est il pas propre à moise aux juifs ! ? Que fait il dans une bible se disant chrétienne ! ?
Ceci, peut elle être traduite que ‘’Jésus’’ a puisé dans l’ancien testament pour sortir un nouveau testament ! ?
Ou est ce simplement du mou de la part des chrétiens à l’égard des juifs ! ?
Remarquez que je divague encore !
Non tu ne divagues pas.

Les chrétiens prennent l'AT comme base de la prophétie de Jésus, et Jésus était juif. Normal alors que la bible chrétienne reprenne l'AT... Jésus y est prophétisé. On parle de civilisation judéo-chrétienne justement pour cela.

L'Islam de fait est judéo-chrétien aussi, ses bases étant puisées dans l'histoire des Juifs... et des Chrétiens.

On ne le considère pas comme tel... car il nie une grande partie du NT, et ne donne pas justement a Jésus la valeur qui lui est propre... mettant en avant Mahomet.
humble avis a écrit : Mais quelle information ! !
Même ma grand-mère, bien avant votre naissance, savait cette information.
Je n'en doute pas: le Talmud n'étant pas partie intégrante de la Bible, sur laquelle se basent les chrétiens ceci fait que Marie citée ou pas n'a aucune valeur pour un chrétien, .
humble avis a écrit : Ce que vous ignorez, sans aucun doute, est que pour les juifs, le telmud est considéré une seconde révélation orale à Moise. Dans le message suivant je sortirai quelques définitions pour information.
Non. Pas de révélation. Commentaires sur et à propos de la révélation... interprétation de celle ci et commentaires sur ces interprétations.

http://ghansel.free.fr/talmud.html
humble avis a écrit : Je vous fais remarquer que si nous calquons ces mêmes critères sur la bible, le résultat ne sera pas différent. La bible n’est elle pas composée de commentaires, d’interprétations… de différents auteurs ! ?
Merci d’avoir, involontairement, fait la différence entre le Hadith et le Coran.
Encore une fois non. La bible est composée de la Torah... dont les commentaires est le TALMUD.

Et d'autres livres complètent la Bible qui ne sont pas repris dans le Talmud.

Certains livres, c'est exact, sont des commentaires sur d'autres... ce qui fait que la Bible comprend si l'on veut un "talmud" par exemple les écrits de Paul. (a mon avis... d'autres diront autre chose)

Mais non, je n'ai pas cité le Coran, car la comparaison avec le Talmud...ce sont les Hadiths, pas le Coran.

Donc pas involontaire... mais volontaire. :D
humble avis a écrit : La vérité est que tous les juifs, hormis le telmud, n’ont jamais cru et ne croient toujours pas en Marie en tant que ‘’mère du fils de dieu’’ ou ‘’mère de dieu’’ ou ‘’déesse dans les cieux’’.
Nous les musulmans partageons cette avis, sur ce point, avec les juifs.
C'est bien pour cela que la religion mahométane est issue du judaïsme et n'est point judéo-chrétienne et que la Vierge Marie... n'a pas la valeur qui lui est donnée par les chrétiens, malgré tous tes efforts dialectiques.
humble avis a écrit : Alors écoutez avec oreille droite, laquelle j’espère n’est pas bouchée aussi.
Si la Sainte Marie est considérée chez vous comme vous le snobez pour un non croyant, jamais vous n’aurez permis de tels propos à son égard.

Je comprendrai qu’un non croyant se taise face à ces saletés, lui il ne croit en rien.
Frémir... ne veut pas dire qu'elle n'entende pas mon oreille.. mais comme le dit si bien un proverbe arabe: "les chiens aboient.. la caravane passe"

humble avis a écrit : Mais je ne peux comprendre que les croyants aient une aussi lâche attitude ! N’est elle pas leur mère, la mère de leur fils de dieu, la mère de leur dieu ! ?
Tu veux qu'ils fassent quoi ? Ils font comme moi... dire qu'a paroles non sensées... et basées sur rien... pas la peine d'en faire tout un plat.

Ce ne sont pas les dires de quelques rabbins.. qui vont changer grand chose a leur Foi de chrétiens.

Jésus, sur la croix, a bien dit "pardonne-leur.. il ne savent pas ce qu'ils font" se référant aux juifs et aux romains....et pour le reste réfère toi a Matthieu 5.
humble avis a écrit : Pour information aucune des femmes du Prophète (psAl) n’est mentionnée, par le nom, dans le Coran. Elles occupent, certes à leur juste valeur, une place dans notre religion.
Je sais cela parfaitement. C'est pour cela que seule Marie, mère de Jésus, est considérée par les chrétiens comme "mère des croyants" et pas une autre. Ni Sarah, ni Rebecca, ni Elizabeth, ni Rachel, Marie, la seule.

Ce qui n'est pas normal c'est lui donner, comme dans la tradition islamique la même valeur qu'aux femmes et fille du prophète de l'Islam, c'est précisément n'étant pas nommées dans le Coran une différence qui devrait te sauter aux yeux.
humble avis a écrit : Je vais partager avec vous encore une idée qui vient de me traverser l’esprit:
1/ Vous avez écrit Evangile de Barnabé, avec des majuscules (E) et (B) ! !
2/ Vous parlez d’Evangile aussi ! !
3/ L’Evangile de Barnabé n’est pas introduit dans la bible alors que des textes apocryphes (non authentiques) y ont trouvé place ! !
Tu sais les mayuscules.. c'est pour faire "joli" :wink: des fois j'écris avec... d'autres sans. Cela dépend de mes doigts... et de la rapidité avec laquelle j'écris.

Je dis l'évangile de Barnabé car il est nommé ainsi ni plus ni moins.

Et apocryphes ne veut pas dire "non authentique" :D
Du grec apocruphos qui signifie "secret", "caché".
Des écrits apocryphes sont des textes religieux d'origine juive ou chrétienne, qui n'ont pas été retenus dans le canon des Écritures. Ils n'ont pas été sans influence sur les premières communautés chrétiennes ; nombre de légendes sont restées vivantes dans l'imagerie populaire.
BIBLIA n°3
humble avis a écrit : Le Coran en tête, lui donne sa juste valeur. Laquelle valeur vous ne la retrouverez nulle part ailleurs, dans les textes ‘’sacrés’’.
Désolé... il lui donne une valeur... la "juste valeur" nous renvoie encore une fois a des croyances musulmanes ou chrétiennes... subsidiairement juives, mais encore une fois si la "véracité" des textes n'est que conjecture pour les uns et les autres... la "juste valeur" dépend du reste.
humble avis a écrit : Admettons alors que les actes des chrétiens vis à vis de la Sainte Marie sont plus profonds que les textes bibliques.
Discutons par la suite de ces actes ‘’d’idolâtrie’’ flagrante !
Ne me fais pas rire... Tu critiques une idôlatrie -qui n'en est pas d'ailleurs: toute vénération a pour but d'arriver a Jésus...ou à Dieu- a la MERE DE JESUS qui est la base, Jésus Christ, du christianisme.... Marie... citée et dans la Bible et dans... le Coran.

Je parlerai moi d'idolatrie.. quand on rajoute les femmes d'un prophète et sa fille a la liste des "mères de croyants": c'est de l'auto valoration et culte de la personnalité... ni plus ni moins.
humble avis a écrit : Vous avez donnez votre avis sur les attitudes, vis à vis de la Sainte Marie, des musulmans, des juifs et des chrétiens.

J’aimerai lire votre avis sur les attitudes, à l’égard de la Sainte Marie, des athées et des non croyants.
A moins que vous n’ayez pas d’avis propres à ce sujet !
Je ne vais pas te donner d'avis... car quelle attitude veux tu qu'un non croyant ou un athée... qui ne croit pas en Dieu puisse avoir vis à vis... de la mère de ce Dieu ? La même qu'il a vis à vis de Dieu.

S'il est correct, il respecte ce que croient les autres, mais pour lui elle ne représente rien, pas plus que l'idée d'un Dieu.

Simplement moi

[ Aucun rang ]
[ Aucun rang ]
Messages : 17964
Enregistré le : 21 avr.04, 01:21
Réponses : 0
Localisation : Sur Terre ! parisienne...

Ecrit le 07 mai06, 09:51

Message par Simplement moi »

Je ne sais pas d'ou tu tires tes informations judaïques ci dessus.

Si le talmud t'interesse... autant aller à la "source" ou une "source" juive.

http://www.modia.org/lev-gompers/cours1.html

Bon courage :D

Mais voici aussi ceci que je lis... avant de fermer la page juive, et qui confirme ce que je te disais, que le Talmud est un complément...:
L'accès aux richesses de la Torah par la connaissance des méthodes de l'étude permet de développer cette dynamique d'ensemble. L’étudiant de la Torah construit le monde.

Dans ce contexte de l'enseignement de nos maîtres, nous comprenons mieux toutes ces phrases des Sages du talmud :


afilou kol haôlam koulo éino chavé afilou lédavar é'had mine hattora
même l'ensemble de tout l'univers n'égale pas un seul mot de la Torah.
Péa Yérouchalmi 1
ilmalé Torah lo nitqayémou chamayim va arets
sans la Torah ne pourraient subsister les cieux et la terre. Pessa'him 69
kol hahôsséq batTorah lichma... méssaméa'h éte hammaqom méssaméa'h éte habbériote
chacun de ceux qui étudient la Torah réjouit Celui qui est le lieu du monde et réjouit les créatures. Pirqéï Avote VI, 1
kévane ché loméd éte hatTorahharéi mévi tova laôlam
c'est dans la mesure où il étudie la Torah qu'il apporte le bien au monde.
Tana devéi Éliyahou Raba 18
http://www.modia.org/lev-gompers/method ... etude.html

-azuphel-

[ Aucun rang ]
[ Aucun rang ]
Messages : 2720
Enregistré le : 01 déc.05, 13:33
Réponses : 0
Localisation : Algérie

Ecrit le 07 mai06, 10:16

Message par -azuphel- »

Simplement moi a écrit : Non. Pas de révélation. Commentaires sur et à propos de la révélation... interprétation de celle ci et commentaires sur ces interprétations.


Le Talmud, d'un mot hébreu qui signifie étude, est la forme écrite de la Loi orale reçue selon la tradition par Moïse en même temps que la Loi écrite du Pentateuque, puis enseignée verbalement de maître à disciple en une chaîne ininterrompue

http://fr.wikipedia.org/wiki/Talmud

Simplement moi

[ Aucun rang ]
[ Aucun rang ]
Messages : 17964
Enregistré le : 21 avr.04, 01:21
Réponses : 0
Localisation : Sur Terre ! parisienne...

Ecrit le 07 mai06, 13:40

Message par Simplement moi »

Wikipedia... ne vaut pas le Littré

TALMUD
(tal-mud ; on fait sonner le d) s. m.

Ancien recueil des lois, des coutumes, des traditions et des opinions des Juifs compilées par leurs docteurs (on met un T majuscule). Le Talmud de Jérusalem. Le Talmud de Babylone, qui est le plus estimé.
Ils ont un livre qu'ils nomment Talmud, c'est-à-dire doctrine, qu'ils ne respectent pas moins que l'Écriture elle-même ; c'est un ramas des traités et des sentences de leurs anciens maîtres, BOSSUET, Hist. II, 8.
Le Talmud contient un million de fables, toutes plus impertinentes les unes que les autres, HUET, Orig. des romans, p. 37, dans POUGENS.
Il y a des chrétiens qui, à l'imitation des juifs, regardent le Talmud comme une mine abondante d'où l'on peut tirer des trésors infinis, DIDER. Opin. des anc. phil. (Juifs).
> Talmud
(nom masculin)
Recueil contenant les enseignements des grands rabbins.
http://dictionnaire.tv5.org/dictionnair ... lmud&che=1
Le Talmud

Le Talmud est composé de deux éléments: la Michna et la Guemara.

La Michna rapporte les enseignements de maîtres appelés Tanaïm. Le Talmud est l'ensemble des discussions soulevées par la Michna chez les maîtres postérieurs, les Amoraïm. Le Talmud est donc un commentaire et une analyse de la Michna. Il y a deux Talmud: le Talmud de Jérusalem et le Talmud de Babylone.

Les traités de la Michna et du Talmud sont répartis en six ensembles (sedarîm, sing. séder).
http://www.sensagent.com/dictionnaires/fr-fr/Talmud/

Wikipedia... ne vaut pas un bon dico:D
TALMUD, subst. masc.
RELIG. JUIVE. Loi orale (ou Tora orale); ensemble des recueils qui en renferment la substance, en particulier le code constitué de la Michna et de son commentaire (palestinien ou babylonien) la Guemara. Fixation, rédaction du Talmud; les enseignements, les subtilités du Talmud. La Torah orale (...) est transmise dans les œuvres suivantes: la Mékhilta, le Sifra, le Sifréy, la Michna, la Tossefta, le Talmud de Jérusalem, le Talmud de Babylone (...) on utilise d'ordinaire (...) le terme de Talmud pour désigner l'ensemble de la Torah orale (D. MALKI, Le Talmud et ses Maîtres, 1972, p. 16). Le Talmud est, en même temps qu'une tradition, l'incessante relecture et la constante réactualisation de l'insondable Tora de Moïse par des docteurs qualifiés. « Tout ce qu'un disciple fervent est destiné à apporter de neuf, lit-on (...) dans le Talmud, a été déjà dit à Moïse sur le mont Sinaï... » (Encyclop. univ. t. 15 1973, p. 718). V. pharisaïque A ex. de Bible 1912.
[P. oppos. à la Michna] Synon. de guemara. L'exégèse haggadique [de (h)ag(g)ada*] a atteint son plus fort développement dans la grande époque de la Michna et du Talmud, entre le IIe et le VIe siècle, après J.-C. (H. SCHILLI, Regards sur le midrach, 1977, p. 9).[Dep. sa 1re parution impr.] Ensemble formé par la Michna et la Guemara, accompagné de commentaires dont celui de Rachi et celui des Tossafot [additions], œuvre collective de Maîtres élèves ou descendants de Rachi (XIIe et XIIIe s.) qui font corps avec lui (d'apr. M. A. OUAKNIN ds Aggadoth du Talmud de Babylone, 1983 [1982], introd., p. 26 et sqq.). Quant au Talmud babylonien, il présente un morceau de la gemara au milieu de chaque page, qu'entourent, sur deux colonnes latérales, le commentaire de (...) Rachi (1040-1105) et des notes de glossateurs ultérieurs (A. COHEN, Le Talmud, 1970, p. 34).REM. Talmud-Tora, subst. masc. Cours d'instruction religieuse. [L'Institut d'hébreu] pourrait compléter pour les jeunes Juifs de l'Université l'enseignement reçu dans leur enfance au Talmud-Tora (J. STRAUSS ds La R. juive de Lorraine, juin 1987, no 357, p. 7).
Prononc. et Orth.: [talmyd]. Att. ds Ac. dep. 1762. Étymol. et Hist. 1254 Talemus (LOUIS IX, Ordonance pour la reformation des mœurs ds Ordonn. des Rois de France, t. 1,32, p. 75: que leur Talemus et leurs autres livres esquiex sunt trouvez blasphemes soient ars); 1315 Talemeus (LOUIS X, Ordonance pour le rappel des Juifs, ibid., p. 596: les livres de leur loy [...] leur seront rendus, exceptés les Talameus); 1321 Thalm[ud] (Extrait du Secundus Jornalis de la Chambre, éd. Ch. V. Langlois ds Notices et extr. des mss de la B. N., t. 40, 1916, p. 263: aucunes accordances ou auctor[ités] du Thalm[ud]; fin XVe s. Talmuth (SYMON DE PHARES, Rec. des plus célèbres astrologues, éd. E. Wickersheimer, p. 46); 1512 Thalmud (J. LEMAIRE DE BELGES, De la différence des schismes ds Œuvres, éd. J. Stecher, t. 3, p. 265); 1585 Talmud (J. SCALIGER, Lettres fr. inéd., éd. Ph. Tamizey de Larroque, p. 204 [9 oct., à Cl. Du Puy]). Empr. à l'hébr. mishnaïque « enseignement; étude; Talmud », dér. de « apprendre, étudier ». Fréq. abs. littér.: 38.
DÉR. 1. Talmudique, adj. a) Qui est relatif, qui est propre au Talmud. Enseignement, étude, science talmudique; dialectique, discours, locution, texte talmudique; sources talmudiques; judaïsme, morale, tradition talmudique; principe, réglementation talmudique; école talmudique. L'époque talmudique n'est pas close à l'achèvement du Talmud : (...) la Haggada continue à produire des recueils très importants qui se rattachent étroitement à la littérature talmudique (E. FLEG, Anthologie juive, 1951, p. 643). En compos. De l'aveu même des Israélites, la littérature talmudicorabbinique ne sera plus étudiée de personne dans un siècle (RENAN, Avenir sc., 1890, p. 218). Données de la tradition biblico-talmudique (Philos., Relig., 1957, p. 48-11). b) Rare. [En parlant d'une pers.] ) Synon. de talmudiste (infra dér. 2 a en appos.). Parvenu au plein de sa vie et son œuvre (...) [Rabbi Israël] n'en tenait pas moins à demeurer un disciple, et jamais il ne cita une sentence d'un des Maîtres talmudiques ou d'un Maître ultérieur sans trembler de crainte en prononçant son nom (M. BUBER, Les Récits hassidiques, trad. par A. Guerne, 1978 [1963], p. 33). ) Synon. de talmudiste (infra dér. 2 b en appos.). V. juif ex. 4. [talmydik]. Att. ds Ac. dep. 1835. 1res attest. 1546 talmudicque (RABELAIS, Tiers Livre, éd. M. A. Screech, chap. 38, p. 263), 1556 talmutique (A. THÉVET, Cosmographie de Levant, p. 171), attest. isolées, à nouv. 1721 talmudique (Trév.); de Talmud, suff. -ique*. 2. Talmudiste, subst. masc. a) Celui dont l'opinion est consignée dans le Talmud; maître du Talmud. En appos. [Des] divergences d'opinions, parfois fort substantielles (...) existaient entre les Sages talmudistes (D. MALKI, Le Talmud et ses Maîtres, 1972, p. 35). b) Cour. Celui qui se consacre à l'étude du Talmud. [Rachi] n'eut pas de fils mais trois filles qui épousèrent des talmudistes renommés, ses élèves (Rachi, Paris, Serv. techn. pour l'éduc., 1974, p. 17). En appos. Les leçons de la yéchiba m'ont beaucoup plus servi que les tragédies de Racine que vous nous commentiez à l'Université. Au fond, je suis toujours resté un étudiant talmudiste, coupeur de fil en quatre, ingénieux à découvrir le fort et le faible d'un argument (THARAUD, An prochain, 1924, p. 286). c) [P. oppos. aux caraïtes, aux hassidim] Tenant du judaïsme traditionnel. Non loin d'elle, était un groupe d'hommes et de femmes (...). Je ne sais s'ils étaient talmudistes ou caraïtes, mais, en revanche, je puis affirmer qu'ils prétendaient appartenir, d'après la tradition de famille, à la tribu d'Aaron (BOREL, Champavert, 1833, p. 134). Malgré la réaction énergique qu'il suscita de la part des talmudistes, le mouvement [hassidique] n'aboutit jamais à la formation d'une secte dissidente (Philos., Relig., 1957, p. 48-12). V. piétiste I ex. de Weill. [talmydist]. Att. ds Ac. dep. 1694. 1res attest. a) 1532 thalmudiste « auteur, compilateur du Talmud » (RABELAIS, Pantagruel, éd. V.-L. Saulnier, chap. 8, p. 46: les Thalmudistes et Cabalistes), 1546 talmudiste (ID., Tiers Livre, éd. M. A. Screech, chap. 44, p. 300). b) 1611 thalmudiste « érudit spécialiste du Talmud » (COTGR.); de Talmud, suff. -iste*.
BBG. QUEM. DDL t. 3 (s.v. talmudique), 26. ZOLLI (P.). St. fr. 1970, t. 14, no 3, p. 597 (s.v. talmudique).

francis

[ Aucun rang ]
[ Aucun rang ]
Messages : 6029
Enregistré le : 22 nov.03, 04:30
Réponses : 0

Ecrit le 07 mai06, 14:51

Message par francis »

Étude Biblique sur cela
:wink:

Talmud ( de l’hébr. lamad, enseigner, signif. enseignement, doctrine). Vaste compilation des traditions juives relatives à l’A.T. et à toutes les branches de la vie civile, morale, philosophique, juridique, médicale, autant que relig. du judaïsme. Remonte en fait au IVe s. ap. J.-C. Voici ce qu’il importe le plus de connaître de l’histoire du Talmud: - Sous prétexte de préserver la Loi, base relig. et juridique de la communauté juive, les rabbins l’entourèrent, après l’exil, d’une exégèse subtile appelée Midrash (Interprétation). L’interprétation parfois fort originale et libre de la Loi mosaïque, donna des prescriptions nouvelles, des règles de conduite qu’il fallait suivre sur le culte et le droit (les Halâkoth). L’interprétation des parties historiques du Pentateuque donna des récits et des légendes (l’Haggada). Toutefois, par égard pour la Loi mosaïque, ces midrashim ne devaient être transmis de génération en génération qu’oralement, quoique leur autorité finît par égaler pratiquement celle de la Loi. - Parmi les auteurs réputés de ces traditions midrashiques on peut citer Hillel, Schammei et Gamaliel, le maître de Saul de Tarse. #Ac 22.3 Leurs successeurs (tannaïm) créèrent les Ecoles talmudiques de Palestine dont Yabné fut la plus célèbre. - C’est au début du IIIe s. ap. J.-C. seulement que Yehoudâ Ha-nâsi, un Rabbi, fixa par écrit les nombreuses traditions que certains docteurs juifs tels que Akiba et R. Meier avaient notées pour leur propre compte en des recueils clandestins. Cet ouvrage fut appelé Mishna (Enseignement). Il était écrit en langue araméenne, avec des mots grecs et latins hébraïsés. Bientôt la Mishna fit autorité dans les écoles rabbiniques. V. Mishna. - Plus tard, alors que florissaient, à côté des Ecoles palestiniennes, les célèbres écoles rabbiniques de Babylonie, les docteurs de ces diverses académies (amoraïm) résolurent d’écrire des commentaires de la Mishna. Ces commentaires furent appelés Gemaras (étude définitive). Rédigées en araméen, ces Gemaras (pron. Guémaras), celle de Palestine et celle de Babylone, sont restées inachevées. - Le Talmud est composé de la Mishna et des Gemaras. En réalité, il y a 2 Talmuds: un Talmud palestinien, appelé Talmud de Jérusalem qui fut achevé au Ve s., et un Talmud babylonien, appelé Talmud Babli. Ce dernier, qui fait autorité aujourd’hui parmi les Juifs, fut achevé définitivement vers l’an 500 de notre ère. - Le Talmud de Jérusalem a été imprimé pour la 1re fois à Venise, en 1523 (cf. une trad. franç. par Moïse Schwab, 1re éd. 1871-1890, en 12 vol., Paris). Le Talmud babylonien fut imprimé également à Venise pour la 1 re fois, par Daniel Bomberg, entre 1520 et 1523 (cf. trad. allemande de Lazarus Goldschmidt, Berlin et Leipzig, 1899-1921, en 8 vol.; rééd. en 1930-1936 en 12 vol. sous le titre: Der Babylonische Talmud). H. L. Strack a publié en 1912 (Leyde, 1 vol.) le seul ms. complet du Talmud babylonien daté de 1343, qui se trouve à la bibliothèque de Munich. - Si les Talmuds n’intéressent pas directement les chrétiens par le fait qu’ils ne sont qu’une immense compilation de règles et de doctrines judaïques, dont un très grand nombre sont étrangères à l’A.T., ils offrent un très gros intérêt d’ordre historique pour tous ceux qui connaissent et aiment la Bible. Par eux, nous sont connues bien des coutumes séculaires juives que nous ignorerions autrement; leurs commentaires, qui portent sur tous les domaines de la science au cours des 5 premiers siècles de notre ère, sont d’un incomparable prix pour les études d’archéologie aussi bien que pour celles de l’histoire du peuple juif. Il est extrêmement regrettable que l’antisémitisme du Moyen Age ait censuré, altéré, ou supprimé un grand nombre de passages se rapportant à Jésus. Mais malgré ces lacunes, l’historien chrétien et l’exégète reconnaissent au Talmud une importance certaine pour l’interprétation, non seulement de l’A.T., mais aussi du N.T. La Mishna renferme des traditions remontant au Ier s. av. J.-C., et bien des passages éclairent pour nous le temps de Jésus et les coutumes de ses contemporains (cf. p. ex. les prescriptions pascales et la cène du Seigneur). Beaucoup d’autres passages aussi, par leur opposition à l’enseignement du Christ et leur strict légalisme, nous font comprendre clairement les apostrophes de Jésus aux pharisiens de son époque, et la distance qui sépare le judaïsme orthodoxe de tous les siècles de l’Evangile de Jésus-Christ. - Ajoutons que, si les Juifs préfèrent le Talmud babylonien qu’ils appellent le Talmud tout court, les chrétiens préfèrent au contraire le Talmud de Jérusalem, non qu’il soit d’un hébr. moins défectueux, mais parce qu’il contient moins de légendes ou d’absurdités que le premier.

humble avis

[ Aucun rang ]
[ Aucun rang ]
Messages : 825
Enregistré le : 15 janv.06, 08:48
Réponses : 0
Localisation : Maroc

Ecrit le 08 mai06, 02:15

Message par humble avis »

Je compléte.
Modifié en dernier par humble avis le 04 avr.07, 15:55, modifié 1 fois.

Simplement moi

[ Aucun rang ]
[ Aucun rang ]
Messages : 17964
Enregistré le : 21 avr.04, 01:21
Réponses : 0
Localisation : Sur Terre ! parisienne...

Ecrit le 08 mai06, 04:22

Message par Simplement moi »

humble avis a écrit : Je compléte la question:
Est ce que la bible en matière de personnalités, en occurrence féminines, en a cité les précédentes à Marie, par les mêmes éloges?
Que je sache, la Bible est assez mysogine... comme le Coran d'ailleurs. C'est un monde d'hommes... livres écrits par des hommes... qui parlent a des hommes.

Mais quand c'est incontournable d'autres femmes en effet ont été citéés mais aucune a le même niveau que Marie.

Slim09

[ Musulman ]
[ Musulman ]
Messages : 600
Enregistré le : 29 avr.06, 03:35
Réponses : 0

Ecrit le 08 mai06, 04:27

Message par Slim09 »

Le Coran [17:88]
Dis : «Même si les hommes et les djinns s'unissaient pour produire quelque chose de semblable à ce Coran, ils ne sauraient produire rien de semblable, même s'ils se soutenaient les un les autres».

patlek

[ Incroyant ] [ Athée ]
[ Incroyant ] [ Athée ]
Messages : 8078
Enregistré le : 01 août05, 02:56
Réponses : 0

Ecrit le 08 mai06, 06:01

Message par patlek »

Lis Chateaubriant, çà enfonce le coran, et il y a des tas de livres qui surpassent le coran, absolument aucun doute là dessus.

Slim09

[ Musulman ]
[ Musulman ]
Messages : 600
Enregistré le : 29 avr.06, 03:35
Réponses : 0

Ecrit le 08 mai06, 07:07

Message par Slim09 »

Le Coran [17:88]
Dis : «Même si les hommes et les djinns s'unissaient pour produire quelque chose de semblable à ce Coran, ils ne sauraient produire rien de semblable, même s'ils se soutenaient les un les autres».

francis

[ Aucun rang ]
[ Aucun rang ]
Messages : 6029
Enregistré le : 22 nov.03, 04:30
Réponses : 0

Ecrit le 08 mai06, 07:12

Message par francis »

Slim09 a écrit :Le Coran [17:88]
Dis : «Même si les hommes et les djinns s'unissaient pour produire quelque chose de semblable à ce Coran, ils ne sauraient produire rien de semblable, même s'ils se soutenaient les un les autres».
semblable à ce Coran ?

La bible est supérieure car il donne plus de détail alors que le coran il manque des morceaux .

comme dans mon sujet le coran est t-il parfait ou semblable ?non

car il est incomplet et manque des détails :lol:

Verrouillé
  • Sujets similaires
    Réponses
    Vues
    Dernier message

Retourner vers « Dialogue islamo-chrétien »

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum : Google et 8 invités