Là d'accordIl semble que, qui que nous soyons, il nous est impossible d'échapper à la souffrance et il n'est pas besoin de comparer nos souffrances pour savoir qui, de tous, a le plus souffert.
Ne t'inquiète pas : pour avoir été un pratiquant assidu pendant de nombreuses années, ces questions, je me les suis posées.Mais pendant la souffrance avez-vous essayé de contempler l'infini de l'espace et demander si Dieu existe pourquoi ne fait-il rien pour moi ? Et voici cette présence dans le ciel, ce sentiment de plénitude éternelle. Avez-vous essayé de regarder le ciel dans l'espoir de ressentir une présence ?
Avez-vous essayé de prier, avec vos propres mots, de demander si Dieu existe, si votre vie va se prolonger, si votre souffrance va cesser ?
Mais je me suis aperçu que "parler à Dieu", c'était bien mignon, mais qu'autours de moi, il y avait du monde, et qu'à eux aussi je pouvais parler.
Et l'échange avec les autres, il n'y a rien de comparable !
Et puis c'est du concret : il n'y a rien de remis à "quand je serais là haut".
L'espoir c'est important, mais c'est loin d'être suffisant.
Cette "présence" dont tu parles peut correspondre à de l'autosuggestion, tout simplement.
Tout ton discours est bien beau mais est purement subjectif et ne repose que sur ta propre pensée. Tu nous présente TA vision de Dieu et TA relation avec lui.
Mais les Hommes, c'est plus de 6 milliards d'individus et autant de perception de Dieu, pour ceux qui y croit. Car Dieu, c'est avant tout une histoire personnel avec Dieu.
Je suis peut-être trop terre à terre, mais la raison m'amène à douter de l'existence d'une entité divine car cette croyance ne repose justement que sur la croyance.
Et une croyance ne repose que sur la perception de l'individu qui croit et sur ses sentiments personnels.