La WT n'a pas annoncé que des vérités ce qui revient au même. La vérité venant de Dieu ne change pas. Ca parait pourtant évident ! La question est donc toujours la même : où Dieu autorise t-il à enseigner une "autre vérité" que la sienne en la faisant passer pour sienne ?Irmeyah a écrit :... la WT n'a jamais annoncé de "contre-vérité", mais ce qu'elle s'est efforcée d'annoncer, c'est ce que les apôtres annonçaient : la venue de Jésus Roi et de son Royaume.
La WT n'a pas annoncé que la venue du Royaume. Elle a annoncé beaucoup d'autres choses qui ne se sont pas produites : l'enlèvement en 1914, la venue d'Abraham et Moïse en 1925, la fin pour 1975 et avant que la génération de 1914 ne passe. Autant d'annonces complètement fausses. Et soi-disant avec le soutien de Dieu...
Bien sur ! Le problème c'est que la WT confond les desseins de Dieu avec ses propres interprétations. Ainsi, il n'était vraisemblement pas dans les desseins de Dieu d'enlever quiconque en 1914, de faire revenir Abraham et Moïse en 1925, de mettre fin à ce système de choses en 1975 ou avant que la génération de 1914 ne passe. Conclusion : les soi-disant desseins de Dieu annoncés par la WT ne sont que des mensonges.Irmeyah a écrit :A l'inverse, la WT a humblement corrigé ses interprétations mais a toujours maintenu son activité d'annonce du Royaume, et de proclamation des desseins de Dieu, ainsi que de perpétuation de la pratique des principes bibliques.
Voilà pourquoi on traite les TJ de secte. Cette propension exagérés à se croire les seuls et uniques à pourvoir pratiquer les principes bibliques et à être dans le droit chemin. C'est orgeuilleux, illusoire, insensé. Ca rappelle les juifs qui pensaient être les seuls auxquels les portes du Royaume étaient ouvertes. Dieu a montré qu'il accueille tout le monde. Ce n'est donc pas parce qu'on n'est pas TJ qu'on ne peut pratiquer les principes bibliques et être sauvé.Irmeyah a écrit :je dois cependant reconnaitre que sans être TJ, il est impossible, étant tout seul dans ce monde, de pratiquer ces principes, à moins d'être orgueilleux à un point tel qu'on le croie illusoirement.