c'est ps compliqué ,ma douce, les sunnites, c'est ceux qui mettent des bombes en irakn les chiites, c'est ceux qu'on ramasse a la petite cuiller
En d'autre mots, c'est une grosse bagarre qui a eu lieu apres la mort du prophète séparant les "croyants" en 2 camps
Pour les chiites, Ali, le gendre du prophète, est le détenteur de la Lumière divine alors que Mohamed est seulement détenteur de la Prophétie. Les imams qui lui succèdent ont tous en eux cet héritage de la Lumière divine qui leur permet d’interpréter le sens caché, ésotérique du coran. Pour les chiites, seuls les initiés peuvent accéder à la vraie lecture du coran. C’est la plus importante branche minoritaire de l’islam, dont environ 10% des musulmans du monde entier se réclament. Le chiisme est divisé aussi en plusieurs branches, mais ce sont les duodécimains qui sont de loin, les plus nombreux (environ 90% des chiites). Ils sont surtout présents en Iran, au sud de l’Iraq et au Liban.
Les chiites se différencient entre eux par le nombre des descendants d'Ali et de Fatima (gendre et fille du prophète) et par le rôle qu'ils leurs accordent.
Les duodécimains reconnaissent 12 imams le 13e ayant disparu au IXe siècle. Les septimains en reconnaissent 7 et les zaydites 5.
Les ismaéliens sont aussi appelés septimains. Pour eux, c’est Ismaël, qui est l'authentique VIIe imam, et non son fils cadet Abol Hassan Moussa al-Qasim considéré comme le vrai par les duodécimains. La branche ismaélienne s'est rapidement scindée en deux ordres, les mustafiens et les misaris, tous deux imprégnés de mysticisme et d'ésotérisme. Il ne sont pas présents en Turquie. Le chef actuel des ismaéliens est l’Agha Khan, reconnu comme 49e imam.
L'Islam de Sunni a été défini pendant la période tôt d'Abbasid (commençant dans ANNONCE 750), et il a inclus les palpeurs de quatre écoles légales (le Malikis, le Hanafis, le Shafi'is, et le Hanbalis ). Contrairement au Shias, le Sunnis a cru que la conduite était aux mains de la communauté musulmane dans son ensemble. Le consensus des communautés historiques, pas les décisions des autorités politiques, menées à l'établissement des quatre écoles légales. Dans la théorie un musulman pourrait choisir n'importe quelle école de pensée islamique lui ou elle a souhaité suivre et pourrait changer ce choix à la volonté. Le respect et la popularité que les disciples religieux ont appréciée leur ont fait les courtiers efficaces de la puissance sociale et les ont lancés contre les autorités politiques.
Après les quatre premiers caliphs, les autorités religieuses et politiques dans l'Islam jamais ont été de nouveau unies au-dessous d'un établissement. Leur coexistence habituelle a été soulignée par une reconnaissance mutuelle de leurs sphères séparées d'influence et de leurs fonctions et responsabilités respectives. Souvent, cependant, les deux puissances se sont heurtées, et invariablement n'importe quelle opposition sociale à l'ordre politique d'élite a eu les undertones religieux.
Ahmad S. Dallal
bizarrement, les chiites autorisent la représentation du prophète (la gare de Téhéran est couverte de fresques a la gloire de Hussein (le calife, pas l'autre et d'Ali) - on a cependant vu des manifs (notamment de femmes) contre le fait qu'on représente le prophète