Les RG sur la piste des écoles musulmanes clandestines
Les RG sur la piste des écoles musulmanes clandestines
Ecrit le 02 sept.06, 08:50Les autorités s'inquiètent de l'opacité entourant ces structures, qui prônent souvent un islam fondamentaliste et recrutent dès le primaire.
L'ENVOLÉE des écoles musulmanes n'a pas eu lieu. Une dizaine d'établissements confessionels ont vu le jour ces dernières années et scolarisent quelque 600 élèves, surtout en primaire. La loi interdisant les signes religieux ostensibles à l'école n'aura finalement donné que davantage de visibilité à des projets en cours, comme celui de Décines, dans la banlieue lyonnaise (lire ci-dessus). Avant lui, le lycée privé Averroès avait ouvert ses portes à Lille en 2003.
En revanche, les structures clandestines se multiplient, ainsi que les cours de soutien aux enfants, au contenu parfois opaque. Certaines familles musulmanes extraient leurs enfants du système scolaire public «conduisant ainsi à une forme de communautarisme», peut-on lire dans une note des Renseignements généraux de fin 2005.
Les salafistes, qui prônent un islam fondamentaliste, calqué sur la vie du Prophète, cherchent à protéger «leurs enfants dès le plus jeune âge et les maintenir en dehors des perversions de la société mécréante» écrivent les RG qui surveillent avec difficulté les crèches et écoles sauvages montées par ces familles, souvent à domicile ou dans les locaux des mosquées.
Une mouvance fondamentaliste turque place ainsi ses enfants dans des «internats coraniques», dont l'un a été repéré près de Strasbourg. «Presque 50 000 enfants suivent des cours d'arabe ou de religion dans des structures dont nous ne savons pratiquement rien», explique-t-on au ministère de l'Intérieur.
Des moyens financiers limités
À l'inverse, les écoles musulmanes officielles semblent se plier au jeu de la transparence car toutes espèrent un jour travailler avec l'Éducation nationale pour assurer leur pérennité financière. «L'apparition de ces écoles privées musulmanes s'inscrit dans un mouvement de fond», estiment les Renseignements généraux. L'expérience de nos voisins européens est à ce titre instructive. Ainsi, après l'essor des premiers temps, le nombre d'élèves plafonne. Au Royaume-Uni comme au Pays-Bas, l'éducation à référence islamique, pourtant largement subventionnée, ne réunit que 5% des élèves musulmans, essentiellement dans le primaire.
En France, «l'avenir verra certainement la création de nouveaux établissements scolaires musulmans», estiment les auteurs de la note, mais la «demande n'est peut-être pas aussi importante que certaines instances le prétendent». D'autant que les moyens financiers risquent de manquer. «À terme, les pouvoirs publics vont être confrontés à deux difficultés : celle du contrôle des contenus de l'enseignement dispensé et celle de la réponse à donner aux établissements qui demanderont à passer un contrat avec l'État.»
http://www.lefigaro.fr
L'ENVOLÉE des écoles musulmanes n'a pas eu lieu. Une dizaine d'établissements confessionels ont vu le jour ces dernières années et scolarisent quelque 600 élèves, surtout en primaire. La loi interdisant les signes religieux ostensibles à l'école n'aura finalement donné que davantage de visibilité à des projets en cours, comme celui de Décines, dans la banlieue lyonnaise (lire ci-dessus). Avant lui, le lycée privé Averroès avait ouvert ses portes à Lille en 2003.
En revanche, les structures clandestines se multiplient, ainsi que les cours de soutien aux enfants, au contenu parfois opaque. Certaines familles musulmanes extraient leurs enfants du système scolaire public «conduisant ainsi à une forme de communautarisme», peut-on lire dans une note des Renseignements généraux de fin 2005.
Les salafistes, qui prônent un islam fondamentaliste, calqué sur la vie du Prophète, cherchent à protéger «leurs enfants dès le plus jeune âge et les maintenir en dehors des perversions de la société mécréante» écrivent les RG qui surveillent avec difficulté les crèches et écoles sauvages montées par ces familles, souvent à domicile ou dans les locaux des mosquées.
Une mouvance fondamentaliste turque place ainsi ses enfants dans des «internats coraniques», dont l'un a été repéré près de Strasbourg. «Presque 50 000 enfants suivent des cours d'arabe ou de religion dans des structures dont nous ne savons pratiquement rien», explique-t-on au ministère de l'Intérieur.
Des moyens financiers limités
À l'inverse, les écoles musulmanes officielles semblent se plier au jeu de la transparence car toutes espèrent un jour travailler avec l'Éducation nationale pour assurer leur pérennité financière. «L'apparition de ces écoles privées musulmanes s'inscrit dans un mouvement de fond», estiment les Renseignements généraux. L'expérience de nos voisins européens est à ce titre instructive. Ainsi, après l'essor des premiers temps, le nombre d'élèves plafonne. Au Royaume-Uni comme au Pays-Bas, l'éducation à référence islamique, pourtant largement subventionnée, ne réunit que 5% des élèves musulmans, essentiellement dans le primaire.
En France, «l'avenir verra certainement la création de nouveaux établissements scolaires musulmans», estiment les auteurs de la note, mais la «demande n'est peut-être pas aussi importante que certaines instances le prétendent». D'autant que les moyens financiers risquent de manquer. «À terme, les pouvoirs publics vont être confrontés à deux difficultés : celle du contrôle des contenus de l'enseignement dispensé et celle de la réponse à donner aux établissements qui demanderont à passer un contrat avec l'État.»
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Ecrit le 03 sept.06, 03:30
ces ecoles sont pour les enfants du jihad ils apprenent la haine pour les occidentaux ,hier sur arte une emission a cet effet, ils ont parler des exemples des attentats d angleterre le pourquoi , que ces jeunes avaient fait cela et aussi les problemes des banlieux en france comment des jeunes banlieusard se sont retrouves en irak un livre et sortit les enfants du jihad
Le collège-lycée musulman de Décines ne sera pas autorisé à
Ecrit le 03 sept.06, 03:41Le recteur de Lyon, Alain Morvan, devrait officialiser, mercredi 30 août, son refus d'autoriser le collège-lycée musulman de Décines à ouvrir ses portes pour la rentrée du 4 septembre. Le chef du rectorat estime en effet que les conditions de sécurité dans cet établissement de la banlieue lyonnaise, qui serait - avec une capacité de 150 élèves - le plus important de France après celui de Lille, ne sont pas réunies. "Je n'y enverrais pas mes enfants, en l'état actuel du dossier", répète-t-il.
L'établissement, en brique et en verre, bien rénové, qui a été implanté dans les anciens locaux administratifs d'une usine de fabrication de moteurs électriques, accumule, selon le rectorat, les risques : les sols et la nappe phréatique seraient pollués au benzène, à l'étain, au fer et au tetrachloro-éthylène, les locaux situés à proximité d'une canalisation de gaz à haute pression, mal protégée par une clôture défaillante.
Le projet d'établissement musulman, porté par l'association Al-Kindi, qui regroupe plusieurs structures musulmanes de la région, dont l'Union des organisations islamiques de France (UOIF), avait déjà essuyé un refus du rectorat. Dans un premier temps, l'association avait en effet déposé une demande d'autorisation d'ouverture d'un établissement d'une capacité de 500 à 700 élèves, installé dans les locaux d'une mosquée de Décines. Mais le recteur, estimant insuffisants le ratio mètres carrés/nombre d'élèves et le nombre de toilettes et de lavabos, avait opposé son refus, pour raison d'hygiène. Cette décision avait été validée, le 26 juin, par le conseil académique de l'éducation nationale.
ARGUMENTS "FALLACIEUX"
L'association avait alors déposé un recours, que le conseil supérieur de l'éducation doit examiner mercredi 30 août. Sans attendre la sentence, l'association avait lancé un second projet, situé trois numéros plus loin, sur le terrain d'un ancien site industriel où était installée l'entreprise Asea Brown Boveri. Pour se doter des capacités d'accueil nécessaires et être classé en établissement recevant des publics de catégorie 3 (effectif de 500 élèves), elle avait déposé à la mairie de Décines un permis de construire, une procédure nécessitant notamment une analyse des sols.
Mais la Drire (direction régionale de l'industrie de la recherche et de l'environnement) a émis, le 19 juillet, un avis défavorable. L'association avait alors revu ses ambitions à la baisse, se contentant de demander une autorisation pour un établissement de catégorie 5 (effectif de 200 élèves), ce qui ne demande qu'une simple analyse de l'air. Un bureau de contrôle saisi par Al-Kindi avait conclu à la bonne qualité de l'air.
Mais le recteur, qui ne peut fonder sa décision que sur des considérations de bonnes moeurs, d'hygiène ou de sécurité, avait alors décidé d'envoyer deux inspecteurs sur place. Si ces derniers n'ont formulé aucune réserve sur le bâtiment, ils ont émis, selon Alain Morvan, les "plus expresses réserves sur l'environnement". "Le principe de précaution doit s'appliquer, par honnêteté vis-à-vis des enfants. Je ne veux pas faire de politique, je respecte profondément l'islam et la civilisation musulmane. Je ne vise, par ma décision, que la sécurité des élèves", plaide le recteur.
Les promoteurs de l'école musulmane, qui jugent "fallacieux" les arguments du rectorat, pourront contester la décision de ce dernier devant le conseil supérieur d'éducation. "Le principe de précaution que l'on invoque doit se baser sur des données objectives. Or, celles-ci sont toutes en faveur de l'ouverture de l'école", estime pour sa part Hakim Chergui, vice-président d'Al-Kindi.
L'établissement, en brique et en verre, bien rénové, qui a été implanté dans les anciens locaux administratifs d'une usine de fabrication de moteurs électriques, accumule, selon le rectorat, les risques : les sols et la nappe phréatique seraient pollués au benzène, à l'étain, au fer et au tetrachloro-éthylène, les locaux situés à proximité d'une canalisation de gaz à haute pression, mal protégée par une clôture défaillante.
Le projet d'établissement musulman, porté par l'association Al-Kindi, qui regroupe plusieurs structures musulmanes de la région, dont l'Union des organisations islamiques de France (UOIF), avait déjà essuyé un refus du rectorat. Dans un premier temps, l'association avait en effet déposé une demande d'autorisation d'ouverture d'un établissement d'une capacité de 500 à 700 élèves, installé dans les locaux d'une mosquée de Décines. Mais le recteur, estimant insuffisants le ratio mètres carrés/nombre d'élèves et le nombre de toilettes et de lavabos, avait opposé son refus, pour raison d'hygiène. Cette décision avait été validée, le 26 juin, par le conseil académique de l'éducation nationale.
ARGUMENTS "FALLACIEUX"
L'association avait alors déposé un recours, que le conseil supérieur de l'éducation doit examiner mercredi 30 août. Sans attendre la sentence, l'association avait lancé un second projet, situé trois numéros plus loin, sur le terrain d'un ancien site industriel où était installée l'entreprise Asea Brown Boveri. Pour se doter des capacités d'accueil nécessaires et être classé en établissement recevant des publics de catégorie 3 (effectif de 500 élèves), elle avait déposé à la mairie de Décines un permis de construire, une procédure nécessitant notamment une analyse des sols.
Mais la Drire (direction régionale de l'industrie de la recherche et de l'environnement) a émis, le 19 juillet, un avis défavorable. L'association avait alors revu ses ambitions à la baisse, se contentant de demander une autorisation pour un établissement de catégorie 5 (effectif de 200 élèves), ce qui ne demande qu'une simple analyse de l'air. Un bureau de contrôle saisi par Al-Kindi avait conclu à la bonne qualité de l'air.
Mais le recteur, qui ne peut fonder sa décision que sur des considérations de bonnes moeurs, d'hygiène ou de sécurité, avait alors décidé d'envoyer deux inspecteurs sur place. Si ces derniers n'ont formulé aucune réserve sur le bâtiment, ils ont émis, selon Alain Morvan, les "plus expresses réserves sur l'environnement". "Le principe de précaution doit s'appliquer, par honnêteté vis-à-vis des enfants. Je ne veux pas faire de politique, je respecte profondément l'islam et la civilisation musulmane. Je ne vise, par ma décision, que la sécurité des élèves", plaide le recteur.
Les promoteurs de l'école musulmane, qui jugent "fallacieux" les arguments du rectorat, pourront contester la décision de ce dernier devant le conseil supérieur d'éducation. "Le principe de précaution que l'on invoque doit se baser sur des données objectives. Or, celles-ci sont toutes en faveur de l'ouverture de l'école", estime pour sa part Hakim Chergui, vice-président d'Al-Kindi.
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Ecrit le 03 sept.06, 05:12
Je ne crois pas que les banlieusards soient allés dans les ecoles privées musulmanes vu que leur apparition est assez récente alors que cela fait des années que des jeunes vont en Afghanistan. Cela vient des imams venus d'Arabie Saoudite... et qui viennent propager la haine des Occidentaux,.... toutes les valeurs que n'incarnent pas l'Islam. Bref, ce sont des personnes en soif de pouvoir, voulant faire parler d'eux, s'inventant une raison de vivre, une légitimité à leur envie de tuer. Franchement, ca m'ecoeure .OJD a écrit :ces ecoles sont pour les enfants du jihad ils apprenent la haine pour les occidentaux ,hier sur arte une emission a cet effet, ils ont parler des exemples des attentats d angleterre le pourquoi , que ces jeunes avaient fait cela et aussi les problemes des banlieux en france comment des jeunes banlieusard se sont retrouves en irak un livre et sortit les enfants du jihad
- PIERROT
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Ecrit le 03 sept.06, 05:52
bravo pour ta réponsecyria a écrit : Je ne crois pas que les banlieusards soient allés dans les ecoles privées musulmanes vu que leur apparition est assez récente alors que cela fait des années que des jeunes vont en Afghanistan. Cela vient des imams venus d'Arabie Saoudite... et qui viennent propager la haine des Occidentaux,.... toutes les valeurs que n'incarnent pas l'Islam. Bref, ce sont des personnes en soif de pouvoir, voulant faire parler d'eux, s'inventant une raison de vivre, une légitimité à leur envie de tuer. Franchement, ca m'ecoeure .
Les filles musulmanes comme toi , j'adore
Vous avez eu le courage de créer "ni putes ni soumises " ; il fallait le faire
Ecrit le 03 sept.06, 05:59
en parlant des femmes musulmanes Révolte femmes Moyen Orient Images de luttes féministes en Iran, Irak, Afghanistan contre le pouvoir des réactionnaires islamistes.
http://www.dailymotion.com/visited/sear ... orient0001 Femme et islam http://www.dailymotion.com/visited/sear ... e-et-islam http://www.dailymotion.com/visited/sear ... me-au-pieu Islamic Police http://www.youtube.com/watch?v=gTFRTAlavFQ http://www.dailymotion.com/tag/christia ... ion-part-3
http://www.dailymotion.com/visited/sear ... orient0001 Femme et islam http://www.dailymotion.com/visited/sear ... e-et-islam http://www.dailymotion.com/visited/sear ... me-au-pieu Islamic Police http://www.youtube.com/watch?v=gTFRTAlavFQ http://www.dailymotion.com/tag/christia ... ion-part-3
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Ecrit le 03 sept.06, 06:08
Merci. Mais je crois qu'on entend trop peu ces personnes, lorsqu'on allume la télé, c'est le Hezbollah par ci, le Hamas par là, al Quaida... et les musulmans modérés, c'est bien la majorité et eux, personne n'a envie de les entendre.PIERROT a écrit : bravo pour ta réponse
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Ecrit le 04 sept.06, 00:16
C'est vrai , mais tu sais bien que les médias ont pour objectif de faire des "scoops" sanglants de préférence ; les bonnes nouvelles ne sont pas leur tasse de thécyria a écrit : Merci. Mais je crois qu'on entend trop peu ces personnes, lorsqu'on allume la télé, c'est le Hezbollah par ci, le Hamas par là, al Quaida... et les musulmans modérés, c'est bien la majorité et eux, personne n'a envie de les entendre.
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Ecrit le 04 sept.06, 06:04
Le "politiquement correct" fait aussi que on ne peut pas dire ce qu'on veut
il y a un petit temps qu'Antenne 2 avait reçu d'un vent favorable un film émanant des RG ou on voyait des islamistes faire le tour des banlieues en demandant aux jeunes de venir au prêche du vendredi et qu'ils recevraient une récompense - Ensuite on voyait, a la sortie, leur remettre une dose de came - On voyait aussi des caches d'armes dans les caves de banlieues
Seulement c'était apres le massacre du 11/9 et il n'était pas bon de focaliser sur une population a problème
il y a un petit temps qu'Antenne 2 avait reçu d'un vent favorable un film émanant des RG ou on voyait des islamistes faire le tour des banlieues en demandant aux jeunes de venir au prêche du vendredi et qu'ils recevraient une récompense - Ensuite on voyait, a la sortie, leur remettre une dose de came - On voyait aussi des caches d'armes dans les caves de banlieues
Seulement c'était apres le massacre du 11/9 et il n'était pas bon de focaliser sur une population a problème
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