nasser a écrit :question???
qui a frapper le serviteur du grand prêtre???
reponse donc........... c' pierre
question si pierre a frapper! n'est ce pas lui qui a demander s'il devait frapper???( avec ses compagnons bioen sûr)
reponse donc......... c' un fait!
conclusion:::
qui est confus maintenant???
l'autre jour tu m'as souler pour me dire que l'esprit qui trompa achab roi d'israel etait le diable, alors qu'il est dit que c' l'esprit en non le diable!
maintenat tu me soules pour ce verset clair et net!!!
moi je te donne des verset clair et net, tandis que toi tu spécules, sur l'esprit en disant que c'le diable!!!
alors qui devrai avoir honte???
Vous êtes fatigant. Je vous conseille de relire ce que Simplement Lui a écrit . Par ailleurs, je me permets de vous donner une petite leçon de français au cas où ce ne serait pas votre langue maternelle....
Que lisons-nous?
Luc 22:49 Ceux qui étaient avec Jésus, voyant ce qui allait arriver, dirent: Seigneur, frapperons-nous de l’épée?
Ce verset que vous citez est complètement à l'opposé de votre thèse qui est la suivante: "Pierre demande à Jésus de frapper un homme en particulier".
Leçon n°1: Le mode interrogatif n'est pas le mode affirmatif. Pierre ne demande pas à Jésus de faire quelque chose (mode affirmatif) mais s'il faut faire quelque chose (mode interrogatif). Saisissez-vous la différence?
Leçon n°2: La première personne du pluriel est différente de la deuxième personne du singulier. Quand Pierre demande "frapperons-nous?", ce n'est donc pas la même chose que "frapperas-tu?" Il ne demande donc pas à Jésus de frapper qui que ce soit. Il lui demande s'ils doivent, lui et les autres disciples, frapper ceux qui viennent l'arrêter. Saisissez-vous la différence?
Leçon n°3: Une interrogation portant sur un objet indéfini n'est pas la même chose qu'une interrogation portant sur un objet défini. "Frapperons-nous?" n'est pas "frapperons-nous cet homme-ci?". Saisissez-vous la différence?
J'espère que cette leçon de français appliquée à la lecture des Evangiles vous sera profitable et que vous nous épargnerez, désormais, vos mensonges interminables.