si justement tout les indivus dans leur dévellopement recommence le processus de dévellopement de l'espéce humaines, c'est même la base nécéssaire pour perpetuer le dévellopement de l'évolution de la raçe humaine.
Moi je te parle des étapes qui différence les différents régnes.
Toi tu rajoute les mutations important dans ce processus d'évolution,
mais l'espéce les à déjà fait elle ne va pas les reproduires, son ADN n'est pas coder en conséquence à ce stade de l'évolution tout ce qui intéresse le génomes c'est ses mutations présentes qui conditionnerons le futur de la raçe pas les mutations passée.
... hum. Je suis désolé, mais à mon avis tu devrais réactualiser tes connaissances en biologie.
D'après ce que je lis, tu sembles confondre l'évolution des espèces et l'embryogenèse. Or ça n'a rien à voir.
Le patrimoine génétique de la cellule-oeuf et celui de l'individu adulte sont exactement le même. L'évolution morphologique de l'embryon peut parfois donner l'impression que celui-ci revit l'évolution de l'espèce (perte de certains organes "superflus", par exemple, il me semble que l'embryon a une sorte d'appendice caudal à un moment donné...) mais ce n'est qu'une impression ! Il appartient à l'espèce humaine dès le début, cela ne fait aucun doute.
En effet, ce qui est important, c'est que l'embryon ne peut pas évoluer en autre chose qu'en ce en quoi il va évoluer. Il est déterminé dès le début à évoluer en individu de l'espèce humaine. Un embryon humain de 3 mois ne peut pas donner un gorille adulte !
Je ne comprends pas tes "mutations présentes" du génome. Le génome d'un individu ne mute pas à proprement parler. Certaines de ses cellules évoluent, oui. Certaines dégénèrent, d'autres se différencient. Elles se dédoublent, vivent, meurent. Au cours de ces processus, des mutations peuvent se produire. Mais ce n'est pas le génome de l'individu tout entier qui évolue !
Le foetus n'est pas un mammiféres c'est un programmes biologique programmé pour passée différents stade d'évolution qui passe de la cellule, par les reptiles, puis les mammiféres et enfin l'humains.
Je remets pas en cause le fait que l'humain et un mammiféres c'est juste pour que l'on puisse bien se comprendre...
Oui, mais là du coup je ne comprends pas du tout. Le "stade d'évolution" ne passe pas par la cellule, les reptiles, les mammifères et enfin l'humain. Je me répète, mais il y a une cellule humaine, un embryon humain, un foetus humain ! Que certains traits morphologiques soient analogiques à ceux d'autres espèces ne veut pas dire qu'un embryon soit en "stade reptilien" ! La cellule unique au stade n = 1 est une cellule d'Homo sapiens, Hominidé, Primate, Mammifère, Vertébré, Animal... idem pour l'embryon, le foetus, l'enfant, l'individu adulte...
Tuer quelqu'un c'est le privé de sa conscience de sa mémoire et de ses rêves, le foetus avant un certain stade n'as rien de tout celà.
Ah bon ? Chez moi tuer c'est mettre fin à une vie, point barre. Bizarre.
Alors pour toi, le critère de l'humanité c'est la mémoire et les rêves ? Qu'est-ce qui te permet de dire ça ? Une personne atteinte de maladie d'Alzheimer est "plus humaine" qu'une personne dont la mémoire est intacte ? Rêver... Qu'est ce que ça veut dire, rêver ? De nombreux animaux rêvent, il ne sont pourtant pas humains. La capacité à "rêver", les modalités du "rêve" sont infiniment variables en fonction des individus. Si cela veut dire "activité neurologique", la neurulation se produit très tôt dans le développement embryonnaire...
Je crois qu'il va falloir que tu trouves un autre critère...
Autrement, je peux faire mon religieux fanatique puissant et dirent que c'est la pensée qui est l'éléments centrale et que l'enfant né à partir du moment ou leur parents décide d'avoir un enfants, mais dans ce cas je jouerais au même jeux que toi avec embryons = humain.
Et dans ce cas-là tu serais stupide, parce que déterminer la nature d'une entité (en l'occurence l'embryon) à partir de quelque chose d'extérieur (la volonté des parents)... ça ne tient pas la route.
Je ne dis pas "embryon = humain". Je dis simplement : nous ne sommes pas capables d'établir à quel moment l'entité en question (cellule, embryon, foetus...) devient une personne humaine à proprement parler. Il n'y a pas de critère sur lequel nous puissions nous mettre d'accord. Je crois que nous n'en trouverons jamais. Définir l'humanité sur la base de critères morphologiques, dans l'histoire, je ne rappellerai pas qui s'y est déjà livré... je crois que ce sont des choses qu'il vaut mieux ne pas recommencer.
L'expression "être humain potentiel" utilisée par le Comité national consultatif d'éthique français est aberrante. On est être humain ou on ne l'est pas, un point c'est tout.
Donc, traitons cette entité comme une personne humaine à partir du moment où elle existe. L'avortement met fin à la vie d'un individu appartenant à l'espèce humaine dont on est incapable de dire s'il s'agit ou non d'une personne humaine. Donc limitons au maximum le nombre des avortements : imaginons la situation suivante ; tu es devant deux boutons, et l'on te dit "le bouton sur lequel vous allez appuyer télécommande l'injection d'un produit mortel chez un rat ou chez une personne humaine : appuyez". Tu acceptes d'appuyer, toi ? En ce qui me concerne, même s'il n'y a qu'une chance sur 100, même s'il y a 999 rats et un seul être humain, je refuse.
Après, bien sûr, il y des situations douloureuses devant lesquels il faut raison garder : je ne me sens pas le droit de condamner à de la prison une femme abandonnée par son conjoint qui a avorté d'un enfant trisomique... Je me dis qu'il aurait été préférable que la société lui propose autre chose (adoption, aide financière, soutien psychologique...) mais je ne la condamnerai pas.