Perception de Dieu et transcendance
Ecrit le 20 déc.06, 03:08
Iman, il te manque une étape logique. L'homme n'est pas prévu d'être la cause, mais l'effet. Tu induis en erreur les personnes qui veulent progresser dans leur compréhension personnelle. Aussi, il me semble naturel de ne pas aimer une contre-vérité qui n'a d'ailleurs jamais été enseignée par aucun des grands instructeurs mystiques. Comme veux-tu faire croire au gens que ma crainte d'être puisse engendrer le chaos du néant ? D'ailleurs, je ne sais toujours pas ce que tu appelles dieu. Cette discussion tourne en rond et s'avère sans intérêt.
Ecrit le 20 déc.06, 03:44
leffet contient la cause et une conscience de leffet dirait le mieux la cause cest pourquoi lhomme voit, cest comment le prisonnier est libre de ce quil voit son tyran mieux que le tyran qui lenferme, cest comment le citoyen reduit a etre gouverne a le pouvoir en verite puisquil connait le mieux ce quil donne aux gouvernements, le bien que tu fais na aucune verite si ce que tu fais nen temoigne pas, il en temoignera par les fruits que tu as seme du bien en lui, il ne sagit pas de quitter lendroit de decheance mais dagir sur la source du mal et peu importe lendroit, la terre pourrait etre un paradis si tu es capable daimer la conscience des verites qui le fonde
le neant cest aussi labsence de sens conscient de ce quil fait, le chaos est son inconscience,
jespere dautres intervenants jugeront nos conversations
le neant cest aussi labsence de sens conscient de ce quil fait, le chaos est son inconscience,
jespere dautres intervenants jugeront nos conversations
Ecrit le 20 déc.06, 08:42
La meilleure conscience de la cause d'un effet ne consiste pas à nier les effets intermédiaires qui ont entraîné à leur tour qu'ils étaient cause. La loi de causalité montre une succession logique de causes et d'effets, et c'est en remontant cette succession que l'on aboutit au point de départ de cette succession, par une cause sans cause. S'il est vrai que cette cause sans cause est présente en chacun des effets hors de toute succession, il n'en est pas moins vrai que ce qui est nécessaire à un niveau quelconque, c'est d'identifier la succession. Sans quoi, il y aurait absorption complète et donc annihilation. Cela c'est le point de vue sataniste. Ce serait alors complètement l'obscurité et la suppression de la lampe. Cette suppression n'est pas l'objectif de la religion.
Comme je l'ai déjà dit, Satan qui est le contraire de l'Ego, est donc à la fois l'ensemble des autres égos et aussi l'universel. L'universel n'est pas seulement la somme des formes individuelles, car il incorpore également l'intégralité des germes qui sont issus du concept global. Tous les êtres individuels ont été instantanément posés dans l'être conscient universel et donc il n'y a pas de chaos persistant dans le domaine du possible. Selon leur nature, certains êtres posés en germe ont déjà atteint leur maturation après production, d'autres sont en cours, d'autres enfin ne sont pas encore germinés. C'est là la différence qu'il convient de faire entre la cause intemporelle dans son mode d'action qui démarre un temps dit éternité par une action intégrale, par rapport à l'agent qui opère la germination et la production individuelle dans un temps cyclique triple et par une action individuelle cyclique.
Les formes individuelles achevées et matures qui rejoignent une incorporation universelle n'ont pas besoin d'être retentées puisque cette maturation est achevée. Par contre, si la maturation a échoué, lorsque le cycle temporel de maturation a atteint sa fin, alors une nouvelle production est tentée, et débute sur la base d'un résultat logique qui établit les nouvelles nécessités de la conscience individuelle.
Il n'y a donc pas de confusion possible en métaphysique entre ces deux niveaux d'existence et de même, on distingue parfaitement ce qui est hors du temps (le concept global), ce qui est posé dans l'éternité (monde céleste avec l'intégralité des germes) et ce qui est dans le triple temps (notre monde actuel avec apparition progressive et évolutive des êtres et des formes). Le néant auquel tu peux accéder n'est que celui qui est en rapport avec ton être, et comme ton être n'est pas l'être UN issu de l'infini, ce zéro n'est pas le même que le zéro initial causal. C'est pourquoi, si l'infini véritable est métaphysiquement un zéro, zéro n'est pas métaphysiquement et nécessairement l'infini. L'Infini contient toujours zéro quel que soit le niveau, mais un zéro ne contient pas l'Infini et l'être individuel ne peut jamais produire l'absolu. De même, le zéro véritable lié à l'absolu est causal de tout le reste, et cette succession logique ne peut pas opérer à l'envers. C'est en ce sens que tous les monothéismes ont tort de ne voir Dieu que sous un seul rapport causal. Elohim contient en lui le germe de la multiplicité, mais il agit comme un seul et son action est hors du temps, alors qu'IHWH est déjà multiple à l'infini et sa révélation ne se produit que dans la considération de la multitude. Entre les deux existe l'être conscient universel qui seul est l'image d'Elohim, sans espèce, alors que individuellement, chaque être est seulement l'image d'IHWH selon son espèce.
L'humain est la synthèse de tous les règnes et son être associe nécessairement tous les règnes antérieurs. L'être humain individuel est un résultat combinatoire de tous ces règnes et de leur synthèse mentale. Cela en fait un contenu dont l'inconscient est très défini, même si, à chaque instant, la logique opère selon les possibilités de choix. Dans la religion, l'homme individuel doit non pas lutter contre le mal, car en faisant cela, il lui donne naissance en conscience et lutter contre quelque chose, c'est d'abord en prendre conscience. Pour s'en débarrasser, il ne doit plus le considérer, et la meilleure façon de ne pas considérer le mal, c'est aussi de ne pas considérer le bien. En niant l'un et l'autre, la logique répond par un cas de figure appelé paradoxe de la logique, où deux valeurs vrai et faux produisent un résultat inattendu : ni vrai ni faux. C'est ce cas paradoxal que recherche le religieux en éteignant en lui la dualité logique. C'est pourquoi, Jésus ne répond pas à la question "qu'est-ce que la vérité ?" Il n'aurait pas répondu non plus à la question "qu'est-ce que le mal ?" Sa position est ni bien ni mal. Ce résultat religieux remis en exergue par les mathématiciens de la fin du 19° siècle (paradoxe du barbier de Cantor) était parfaitement connu de ceux qui ont mené une vie mystique et un rôle d'instructeur dans le passé. Dans notre état, il n'y a ni vrai, ni faux. La vérité dont tu te réclames n'est donc pas la vérité. Tu ne peux être profond qu'en t'illusionnant toi-même. L'accès à l'universel est d'être au milieu, moyennement profond et moyennement superficiel. Seul le malin te pousse à croire à l'un ou à l'autre de façon séparative. Le monothéisme est la religion de Babel, celle de la chute. Il conduit au dualisme, alors que le salut est seulement non-dualiste.
PS : Paradoxe du barbier de Cantor. Dans un village, un barbier rase tous ceux qui ne se rasent pas eux-mêmes. Est-ce que le barbier se rase lui-même ? S'il se rase lui-même, alors il ne se fait pas raser par le barbier. S'ils se fait raser par le barbier, alors il ne se rase pas lui-même. Le problème n'a pas de solution logique. Alors la valeur est ni l'un, ni l'autre.
Comme je l'ai déjà dit, Satan qui est le contraire de l'Ego, est donc à la fois l'ensemble des autres égos et aussi l'universel. L'universel n'est pas seulement la somme des formes individuelles, car il incorpore également l'intégralité des germes qui sont issus du concept global. Tous les êtres individuels ont été instantanément posés dans l'être conscient universel et donc il n'y a pas de chaos persistant dans le domaine du possible. Selon leur nature, certains êtres posés en germe ont déjà atteint leur maturation après production, d'autres sont en cours, d'autres enfin ne sont pas encore germinés. C'est là la différence qu'il convient de faire entre la cause intemporelle dans son mode d'action qui démarre un temps dit éternité par une action intégrale, par rapport à l'agent qui opère la germination et la production individuelle dans un temps cyclique triple et par une action individuelle cyclique.
Les formes individuelles achevées et matures qui rejoignent une incorporation universelle n'ont pas besoin d'être retentées puisque cette maturation est achevée. Par contre, si la maturation a échoué, lorsque le cycle temporel de maturation a atteint sa fin, alors une nouvelle production est tentée, et débute sur la base d'un résultat logique qui établit les nouvelles nécessités de la conscience individuelle.
Il n'y a donc pas de confusion possible en métaphysique entre ces deux niveaux d'existence et de même, on distingue parfaitement ce qui est hors du temps (le concept global), ce qui est posé dans l'éternité (monde céleste avec l'intégralité des germes) et ce qui est dans le triple temps (notre monde actuel avec apparition progressive et évolutive des êtres et des formes). Le néant auquel tu peux accéder n'est que celui qui est en rapport avec ton être, et comme ton être n'est pas l'être UN issu de l'infini, ce zéro n'est pas le même que le zéro initial causal. C'est pourquoi, si l'infini véritable est métaphysiquement un zéro, zéro n'est pas métaphysiquement et nécessairement l'infini. L'Infini contient toujours zéro quel que soit le niveau, mais un zéro ne contient pas l'Infini et l'être individuel ne peut jamais produire l'absolu. De même, le zéro véritable lié à l'absolu est causal de tout le reste, et cette succession logique ne peut pas opérer à l'envers. C'est en ce sens que tous les monothéismes ont tort de ne voir Dieu que sous un seul rapport causal. Elohim contient en lui le germe de la multiplicité, mais il agit comme un seul et son action est hors du temps, alors qu'IHWH est déjà multiple à l'infini et sa révélation ne se produit que dans la considération de la multitude. Entre les deux existe l'être conscient universel qui seul est l'image d'Elohim, sans espèce, alors que individuellement, chaque être est seulement l'image d'IHWH selon son espèce.
L'humain est la synthèse de tous les règnes et son être associe nécessairement tous les règnes antérieurs. L'être humain individuel est un résultat combinatoire de tous ces règnes et de leur synthèse mentale. Cela en fait un contenu dont l'inconscient est très défini, même si, à chaque instant, la logique opère selon les possibilités de choix. Dans la religion, l'homme individuel doit non pas lutter contre le mal, car en faisant cela, il lui donne naissance en conscience et lutter contre quelque chose, c'est d'abord en prendre conscience. Pour s'en débarrasser, il ne doit plus le considérer, et la meilleure façon de ne pas considérer le mal, c'est aussi de ne pas considérer le bien. En niant l'un et l'autre, la logique répond par un cas de figure appelé paradoxe de la logique, où deux valeurs vrai et faux produisent un résultat inattendu : ni vrai ni faux. C'est ce cas paradoxal que recherche le religieux en éteignant en lui la dualité logique. C'est pourquoi, Jésus ne répond pas à la question "qu'est-ce que la vérité ?" Il n'aurait pas répondu non plus à la question "qu'est-ce que le mal ?" Sa position est ni bien ni mal. Ce résultat religieux remis en exergue par les mathématiciens de la fin du 19° siècle (paradoxe du barbier de Cantor) était parfaitement connu de ceux qui ont mené une vie mystique et un rôle d'instructeur dans le passé. Dans notre état, il n'y a ni vrai, ni faux. La vérité dont tu te réclames n'est donc pas la vérité. Tu ne peux être profond qu'en t'illusionnant toi-même. L'accès à l'universel est d'être au milieu, moyennement profond et moyennement superficiel. Seul le malin te pousse à croire à l'un ou à l'autre de façon séparative. Le monothéisme est la religion de Babel, celle de la chute. Il conduit au dualisme, alors que le salut est seulement non-dualiste.
PS : Paradoxe du barbier de Cantor. Dans un village, un barbier rase tous ceux qui ne se rasent pas eux-mêmes. Est-ce que le barbier se rase lui-même ? S'il se rase lui-même, alors il ne se fait pas raser par le barbier. S'ils se fait raser par le barbier, alors il ne se rase pas lui-même. Le problème n'a pas de solution logique. Alors la valeur est ni l'un, ni l'autre.
Ecrit le 20 déc.06, 09:50
si les gens qui ne se rasent pas ont les poils du barbier donc le barbier a raser ses poils y a aucun paradoxe lorsquIl ny a que DIEU
la cause initiale est dans la cause finale qui a impose sa destruction au regard de ses effets, la cause existe en absolu puisquelle est issue de la realite de lETRE CONNu, ne pas identifier les causes parce quil ny a pas de cause a identifier lETRE qui EST ne nie pas lexistence des causes, et justement cest la VERITE DE LETRE UNIQUE qui a engendre le chaos du neant et que ce chaos a force LETRE UNIQUE a sidentifier pour agir sur les causes de tous les effets nefastes de son ETRE qui segare de ne pas SAVOIR ce quil EST pour ETRE
ce que tu ne vois pas Illibade, cest que si lhomme peut etre un legume comme tu le preconises par le median, cest a cause de sa verite detre neant sollicite par letre DIEu, donc le median revient a sa nature de neant mais dans ce cas il ne peut donc ne doit en aucune facon precher lETRE DIEU
la cause initiale est dans la cause finale qui a impose sa destruction au regard de ses effets, la cause existe en absolu puisquelle est issue de la realite de lETRE CONNu, ne pas identifier les causes parce quil ny a pas de cause a identifier lETRE qui EST ne nie pas lexistence des causes, et justement cest la VERITE DE LETRE UNIQUE qui a engendre le chaos du neant et que ce chaos a force LETRE UNIQUE a sidentifier pour agir sur les causes de tous les effets nefastes de son ETRE qui segare de ne pas SAVOIR ce quil EST pour ETRE
ce que tu ne vois pas Illibade, cest que si lhomme peut etre un legume comme tu le preconises par le median, cest a cause de sa verite detre neant sollicite par letre DIEu, donc le median revient a sa nature de neant mais dans ce cas il ne peut donc ne doit en aucune facon precher lETRE DIEU
- medico
- Christianisme [Témoins_de_Jéhovah]
- Christianisme [Témoins_de_Jéhovah]
- Messages : 68612
- Enregistré le : 27 juin05, 06:23
- Localisation : FRANCE
-
Contact :
Ecrit le 20 déc.06, 10:12
c'est l'histoire du barbier de SEVILLE
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
Ecrit le 20 déc.06, 10:27
Non Iman, il n'y a pas d'effet final (qui serait cause) sauf dans le non-temps. Le UN tend à l'infini et dans le temps, cela n'est jamais atteint. Ensuite je ne t'ai jamais enseigné que l'homme était un légume en étant au milieu. Au contraire, il est supraconscient. N'as-tu jamais eu d'état mystique ? La nature de l'homme n'est pas d'être néant, car l'être est contraire au non-être. C'est là que ta façon de dire est insensée. Le fait pour l'homme de considérer le mal, c'est admettre aussi qu'il peut s'opposer à ses propres composants. Alors que dans la voie d'équilibre, tous ses composants ne forment qu'un seul. Alors l'être humain est un être entier, qui comme un seul principe rend l'esprit de son individualisation afin d'acquérir l'esprit universel. Il ne cesse pas d'être individuel, mais il l'est dans un nouvel état de son être (une nouvelle espèce).
Il faut sortir de ta dialectique d'être et de néant, car cela c'est le point de départ de la métaphysique, que cela est du domaine seulement de la cause et de son paradoxe essentiel insoluble du zéro = infini. Mais la conscience agit forcément dans une nature produite et dans un temps. Elle ne peut donc pas être écartelée entre existence et non-existence, mais plutôt chercher à agrandir son champ de connaissance, par la maîtrise de la connaissance et cela aboutit à comprendre comment chaque forme cesse d'être pour elle-même afin de faire naître une forme plus vaste composite. Dans ce cheminement, l'erreur est très instructive. Crois-tu que l'atome se pose la question de son être ou de son néant ? Mais il y a un cycle où l'atome s'incorpore à une molécule, puis à un organe, puis à un être plus composite. C'est alors que la conscience évolue vers la plénitude du concept sans jamais épuiser ce concept. Le chaos n'était que l'état logique avant application de la logique. Le vide coexiste aux formes, mais pas dans un espace inintelligible et sans règle. Dès le début, la loi logique a tout pré-ordonnancé. Dans la conscience, il y a toujours lumière et souffle sacré.
Une des questions les plus délicates serait : Est-ce que l'être universel et éternel conscient est cyclique ? En gros est-ce que le Christ est cyclique ? Dans les traditions asiatiques, on parle des jours de Brahma. Cela ne signifie pas que Vishnu (Adam-Christ) disparaisse, mais qu'il est soumis à une respiration universelle, qui se traduit par l'action double de Shiva-Kali (IHWH-Satan), lequel opère les transformations. Dans cette triade, Brahma est concepteur-producteur, Vishnou est le principe conservateur (conscience-mémoire) et Shiva celui qui mène la danse, en faisant cesser certaines formes afin d'en produire d'autres. Celui qui naît au céleste et retourne dans le royaume céleste en toute conscience, devient lui-même une parcelle de l'Adam qui doit cultiver l'Eden. Il contribue alors à générer d'autres formes et à faire germer d'autres êtres. Mais il a atteint un état de conscience qui lui permet d'éviter une nouvelle chute, bien que celle-ci soit toujours possible en toute logique.
Il faut sortir de ta dialectique d'être et de néant, car cela c'est le point de départ de la métaphysique, que cela est du domaine seulement de la cause et de son paradoxe essentiel insoluble du zéro = infini. Mais la conscience agit forcément dans une nature produite et dans un temps. Elle ne peut donc pas être écartelée entre existence et non-existence, mais plutôt chercher à agrandir son champ de connaissance, par la maîtrise de la connaissance et cela aboutit à comprendre comment chaque forme cesse d'être pour elle-même afin de faire naître une forme plus vaste composite. Dans ce cheminement, l'erreur est très instructive. Crois-tu que l'atome se pose la question de son être ou de son néant ? Mais il y a un cycle où l'atome s'incorpore à une molécule, puis à un organe, puis à un être plus composite. C'est alors que la conscience évolue vers la plénitude du concept sans jamais épuiser ce concept. Le chaos n'était que l'état logique avant application de la logique. Le vide coexiste aux formes, mais pas dans un espace inintelligible et sans règle. Dès le début, la loi logique a tout pré-ordonnancé. Dans la conscience, il y a toujours lumière et souffle sacré.
Une des questions les plus délicates serait : Est-ce que l'être universel et éternel conscient est cyclique ? En gros est-ce que le Christ est cyclique ? Dans les traditions asiatiques, on parle des jours de Brahma. Cela ne signifie pas que Vishnu (Adam-Christ) disparaisse, mais qu'il est soumis à une respiration universelle, qui se traduit par l'action double de Shiva-Kali (IHWH-Satan), lequel opère les transformations. Dans cette triade, Brahma est concepteur-producteur, Vishnou est le principe conservateur (conscience-mémoire) et Shiva celui qui mène la danse, en faisant cesser certaines formes afin d'en produire d'autres. Celui qui naît au céleste et retourne dans le royaume céleste en toute conscience, devient lui-même une parcelle de l'Adam qui doit cultiver l'Eden. Il contribue alors à générer d'autres formes et à faire germer d'autres êtres. Mais il a atteint un état de conscience qui lui permet d'éviter une nouvelle chute, bien que celle-ci soit toujours possible en toute logique.
Ecrit le 20 déc.06, 11:36
parler denseignement que tu fais en conversant avec moi lorsquon ne se rejoint sur aucune piste de nos visions sur le monde et ce quIl la fait est de labsurde qui ne revele quune cause intentionnee de timposer en savant a mes depens
le plus sincerement de mon etre, je nai aucune ambition de savoir, par contre le savoir que jai est ma principale obligation puisquil est ma paix, tes experiences mystiques depuis vingt ans que jai depasse parce que jai beaucoup mieux, que tu ne peux experimenter quen FAISANT LE BIEN que DIEU FAIT, cest la liberte du mal en meme temps que faire pour tes veritables besoins de ton Etre DIEu que tu parviens a un sens de sereinite profond lie a lepanouissement de ton etre qui se veut parfait
le neant nest pas le but de lhumanite celle ci continuera a etre des actes de lambition de DIEU, maintenant que les points de ce corps projettant DIEU continuent a etre de la manipulation quils ne verront pas cest possible mais ca me convient pas, cest possible puisquil suffit a DIEU dun corps qui prouve sa Verite et comme DIEU SEUL EST ce corps en le voyant verrait tout, mais il reste que cest pas DIEU qui est a prouver mais sa Verite donc etant DIEu dans ce quIl voit ne suffit pas a prouver sa Verite, pour que la Verite soit verite il faut quelle se prouve lessence du tout et donc meme du neant, et tous atomes savereront etre par ELLE, maintenant que certains nen soient pas conscients serait leffet quune conscience suffit mais tous les sens presents seraient de cette Verite
tu vois comme je vois la verite des sens dominants et leurs pistes causales en DIEU, des sens detre essentiellement fait des plaisirs de DIEU issus principalement de son pouvoir de creer alors quIl est neant son pouvoir de dominer alors quIl est rien son pouvoir de ne pas aimer alors quIl nest quamour en verite
le plus sincerement de mon etre, je nai aucune ambition de savoir, par contre le savoir que jai est ma principale obligation puisquil est ma paix, tes experiences mystiques depuis vingt ans que jai depasse parce que jai beaucoup mieux, que tu ne peux experimenter quen FAISANT LE BIEN que DIEU FAIT, cest la liberte du mal en meme temps que faire pour tes veritables besoins de ton Etre DIEu que tu parviens a un sens de sereinite profond lie a lepanouissement de ton etre qui se veut parfait
le neant nest pas le but de lhumanite celle ci continuera a etre des actes de lambition de DIEU, maintenant que les points de ce corps projettant DIEU continuent a etre de la manipulation quils ne verront pas cest possible mais ca me convient pas, cest possible puisquil suffit a DIEU dun corps qui prouve sa Verite et comme DIEU SEUL EST ce corps en le voyant verrait tout, mais il reste que cest pas DIEU qui est a prouver mais sa Verite donc etant DIEu dans ce quIl voit ne suffit pas a prouver sa Verite, pour que la Verite soit verite il faut quelle se prouve lessence du tout et donc meme du neant, et tous atomes savereront etre par ELLE, maintenant que certains nen soient pas conscients serait leffet quune conscience suffit mais tous les sens presents seraient de cette Verite
tu vois comme je vois la verite des sens dominants et leurs pistes causales en DIEU, des sens detre essentiellement fait des plaisirs de DIEU issus principalement de son pouvoir de creer alors quIl est neant son pouvoir de dominer alors quIl est rien son pouvoir de ne pas aimer alors quIl nest quamour en verite
Ecrit le 20 déc.06, 12:14
les tentations sont toujours du plaisir datteindre la verite que tu ne vois pas, et c la les illusions de DIEU qui ont fait naitre et perpetuer une force de destruction puisque leurs fondements est pas de la Verite, cest toujours DIEu qui est par ce quIl fait mais je crois que devenu plus vrai Il fera plus vrai qui donc logiquement etant vrai pourrait survivre aussi parallelement par le souffle de verite, ce sera plus comme avant ou labsurde regnait dun neant vivant par le plaisir de DIEu
Ecrit le 20 déc.06, 13:52
Par tes propos, tu manifestes un refus de savoir, donc un refus de conscience. Si tu avais dépassé l'expérience surconsciente, tu ne ferais pas le mélange des étapes. Tes premiers propos lors de nos premiers échanges ne me sont pas apparus ceux d'un homme en paix. Moi je trouve ma paix dans le non-jugement, mais cela résulte d'une connaissance et d'une pratique. Le dieu véritable n'a aucune ambition de plus que celle qu'il a déjà placée dans la conception des choses. Ce que l'homme doit comprendre, c'est d'être le plus en conformité de sa finalité, donc de sa nature, même si celle-ci est toujours dans une vision de dépassement de l'étape en cours. Le néant n'a pas d'essence, il est essence. Et la cause ne cesse d'être la cause et elle est immuable. Aussi le vrai ne peut pas devenir plus vrai, le un ne peut pas devenir plus un. Quand au zéro, n'étant rien il ne peut être ni vrai, ni faux. Il n'est pas absurde, car à ce niveau, l'absurde serait déjà quelque chose. La logique ne peut opérer que par le UN. La vérité selon ton discours s'appelle existence dans le mien. Et ce que j'appelle vérité n'est qu'un aspect logique de l'être conscient qui existe, tenant compte que le UN causal n'a pas d'existence, puisque son état n'est qu'une façon logique de le concevoir et que le néant est la seule réalité intangible et logique.
De ce point de vue, la destruction n'est que le contraire de la construction et cela ne vaut que dans l'ordre existentiel où cette dualité est possible. construction et destruction sont également vraies dans cet ordre logique. Dans un ordre logique supérieur (ou antérieur), les deux seraient fusionnés ou non discernés. Alors comment parler de vrai ou de faux ? Les tentations sont inspirées par le vrai ? Je pense qu'il n'y a de tentations que dans la dualité, et qu'en dehors de la dualité, cette question ne se pose plus. De la même manière le jugement n'existe que dans la dualité. Notre discernement nous sert à connaître et à savoir, mais l'objectif d'être bon ou mauvais ne nous est pas accessible. Par contre, chacun peut être vrai ou faux dans sa façon d'agir ou de savoir. C'est à ce niveau là que l'être individuel peut rechercher une amélioration, mais cela n'est pas un problème existentiel. C'est un problème de conscience.
De ce point de vue, la destruction n'est que le contraire de la construction et cela ne vaut que dans l'ordre existentiel où cette dualité est possible. construction et destruction sont également vraies dans cet ordre logique. Dans un ordre logique supérieur (ou antérieur), les deux seraient fusionnés ou non discernés. Alors comment parler de vrai ou de faux ? Les tentations sont inspirées par le vrai ? Je pense qu'il n'y a de tentations que dans la dualité, et qu'en dehors de la dualité, cette question ne se pose plus. De la même manière le jugement n'existe que dans la dualité. Notre discernement nous sert à connaître et à savoir, mais l'objectif d'être bon ou mauvais ne nous est pas accessible. Par contre, chacun peut être vrai ou faux dans sa façon d'agir ou de savoir. C'est à ce niveau là que l'être individuel peut rechercher une amélioration, mais cela n'est pas un problème existentiel. C'est un problème de conscience.
Ecrit le 20 déc.06, 21:09
ta paix est de Satan parce que tu refuses la verite du Bien du Vrai du UN parfait et donc de lETRE AMOUR, c drole comment il est facile de voir le fond il suffit de regarder lexpression, tu nes que volonte detre en detruisant et tu nas aucun scrupule ni envers un etre si juste et bon comme moi, ni envers la parole qui te donne a paraitre savoir, personne ne sameliore il sagit detre bon ou mauvais, DIEu ne savait pas les valeurs de lEtre absolu qui commence par lexpression positive de la bonte, reste dans ton pseudo savoir des ombres incapables detre de ce qui donne la Vie, profites en le peu de temps qui vous reste a parler, cest la mort definitive votre avenir bientot, meme si tu crois te forcer tu as ete elu pour cela et DIEU fait toujours pour la Verite du plus vrai dans le faux que tu es
Ecrit le 20 déc.06, 22:49
Aucune paix ne peux être de Satan et compte tenu de sa position, j'ajoute qu'aucune paix ne peut provenir d'IHWH. La paix du Christ est celle des anciens sanhyasins et elle est du type ni vrai ni faux. Le chrétien s'accoutume à ne considérer que les fruits, qui représentent comme une balise sur la voie. L'étude des grands courants religieux montrent comment les révélations ont été systématiquement perverties. Notre époque en est l'illustration parfaite. Elle est pour nous un signe très encourageant, non pas de voir le diable triompher, mais de le voir triompher si brillamment en singeant complètement son opposé et en inspirant de façon si active la recherche du bien et la lutte contre le mal qui sont une connaissance de l'enfoncement, la Babylone. Alors quelle valeur pourrais-je accorder à un tel fond sinon d'être en bas ?
La bonté n'est pas de prôner le bien, car ce genre de prétention conduit inexorablement à la division et à la situation actuelle. Les gens sont tellement tentés de vouloir la paix et le bien, que par effet karmique, ils ne peuvent obtenir que le contraire. Voulant l'Amour, ils ne s'aiment pas et n'aiment pas davantage leur cause et leur finalité. Voulant l'unité, ils obtiennent la division. Voulant et agissant pour la paix, ils ont la guerre.
Dans notre monde, rien n'est bon ou mauvais, mais tout est une combinaison des deux, en des proportions variables. C'est lorsque ces proportions sont équilibrées que l'on ne peut plus reconnaître le bien ou le mal en mode séparé. De même, la meilleure vision est celle où lumière et obscurité sont en égale proportion, car là on perçoit toutes les formes. Avec trop de lumière, on est ébloui, et avec trop d'obscurité, certaines formes restent invisibles. La vérité est au milieu, car c'est le point de la conscience optimale.
La bonté n'est pas de prôner le bien, car ce genre de prétention conduit inexorablement à la division et à la situation actuelle. Les gens sont tellement tentés de vouloir la paix et le bien, que par effet karmique, ils ne peuvent obtenir que le contraire. Voulant l'Amour, ils ne s'aiment pas et n'aiment pas davantage leur cause et leur finalité. Voulant l'unité, ils obtiennent la division. Voulant et agissant pour la paix, ils ont la guerre.
Dans notre monde, rien n'est bon ou mauvais, mais tout est une combinaison des deux, en des proportions variables. C'est lorsque ces proportions sont équilibrées que l'on ne peut plus reconnaître le bien ou le mal en mode séparé. De même, la meilleure vision est celle où lumière et obscurité sont en égale proportion, car là on perçoit toutes les formes. Avec trop de lumière, on est ébloui, et avec trop d'obscurité, certaines formes restent invisibles. La vérité est au milieu, car c'est le point de la conscience optimale.
- septour
- [Religion] Aucune [Organisation] Aucune
- [Religion] Aucune [Organisation] Aucune
- Messages : 7600
- Enregistré le : 23 oct.03, 11:08
- Localisation : québec
-
Contact :
Ecrit le 20 déc.06, 23:08
vrai, rien n'est bon, ni mauvais, tout est outils faits pour servir. notre monde est relatif, une chose n'existe que grace a son contraire: le jour, la nuit, le chaud, le froid, le bien , le mal; ttes ces dyades nous servent a etre, faire et avoir, c'est a dire a nous definir.
quant au mal et au bien, ce ne sont que des perceptions dans un systeme de valeurs tres humaines: ceci peut etre bien pour toi , mais mal pour un autre, or une meme chose ne peut etre a la fois bien et mal.
quant au mal et au bien, ce ne sont que des perceptions dans un systeme de valeurs tres humaines: ceci peut etre bien pour toi , mais mal pour un autre, or une meme chose ne peut etre a la fois bien et mal.
Ecrit le 20 déc.06, 23:24
Pourtant une même chose est à la fois bien et mal selon le critère que l'on se donne. L'antibiothérapie est bonne et pourtant elle induit les bactéries résistantes et les maladies nosocomiales. Le bien pur et le mal pur n'existent pas dans ce monde, et les deux composent entre eux. C'est pour cela que la connaissance du bien et du mal représentant la faute originelle était une faute, car on ne peut connaître le bien (en tant que principe pur) et on ne peut connaître le mal (en tant que principe pur).
Le même raisonnement existe en employant le langage de la lumière. La lumière pure est invisible (Principe éblouissant) et l'obscurité pure est invisibilité.
Le même raisonnement existe en employant le langage de la lumière. La lumière pure est invisible (Principe éblouissant) et l'obscurité pure est invisibilité.
Ecrit le 21 déc.06, 01:46
la paix de Satan est detre au repos de sa volonte de recevoir tout en reniant le verbe donner dont il na aucune volonte, Seul le Createur dans sa Verite veut donner et le fait, comme sa Verite rendue a la portee de la plus petite conscience faite de pouvoir faire le bien qui donne la Vie en Verite, cest cela seulement le salut de lhumanite qui sera de la Verite
Ecrit le 21 déc.06, 02:25
Pourtant le fait de donner est plutôt un acte altruiste et se définit comme une inspiration vers l'alter Ego plus que de l'Ego qui est de prendre. Or l'Alter Ego est le contraire du dieu "Je suis". La vie n'est elle que vérité et l'erreur n'existe-t-elle pas ? L'Iman vivant ne s'est-il jamais trompé ? Si la vérité est au milieu, elle ne peut donc pas être ni d'un côté, ni de l'autre. C'est pourquoi la considération d'un côté plus que l'autre est une faute, une erreur et représente le faux.
"Aimez vous l'un l'autre".
"Aimez vous l'un l'autre".
-
- Sujets similaires
- Réponses
- Vues
- Dernier message
-
- 15 Réponses
- 2450 Vues
-
Dernier message par medico
-
- 25 Réponses
- 3918 Vues
-
Dernier message par ChristianK
Qui est en ligne
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 3 invités