Zaid a écrit : tu n'as pas compris que le nous est un nous de majesté
Toujours la même excuse...!
Divinité du Christ dans l'ancien testament.
Elle est implicitement présentée, et clairement annoncée dans l’Ancien Testament. Les théophanies de l’Ange de l’Éternel (voir ce mot) doivent faire comprendre aux patriarches que Dieu un jour exercera sur la terre un ministère de salut, en prenant une forme humaine (#Ge 16:7-13; 18:1-2,10,13,17; 32:25-31 ; cf. #Os 12:4-5 ; #Za 3:1-5). Il est expressément écrit que le Messie sera le Fils de Dieu (#Ps 2:2-9; 110:1 cf. #Mt 22:44), et Dieu lui-même (#Ps 45:7-8). Sa naissance miraculeuse est annoncée, de sorte qu’il pourra être Emmanuel, Dieu avec nous (#Esa 7:14 ; #Mt 1:22-23). Des noms divins lui sont donnés (#Esa 9:5). Son ministère et ses souffrances sont expressément présentés comme étant ceux du Seigneur : c’est l’Éternel qui est vendu pour 30 pièces d’argent (#Za 11:4,13) ; le Sauveur de Jérusalem se présentera à la fois comme Dieu, l’Ange de l’Éternel et le représentant de la maison de David (#Za 12:8) ; c’est encore l’Éternel qui dit : « Ils tourneront les regards vers moi, celui qu’ils ont percé » (#Za 12:10). Le pasteur frappé pour les brebis est appelé « le compatriote de l’Éternel » (#Za 13:7). L’éternité du Messie est expressément affirmée (#Mi 5:1).
Christ lui-même souligne constamment sa divinité.
Il s’applique à lui-même le « Je suis » de Yahvé (#Jn 8:24, en grec : « Si vous ne croyez pas que Je suis » ; #Jn 8:58). Les Juifs aussitôt comprennent sa prétention à la divinité et veulent le lapider (#Jn 8:59 ; cf. #Jn 5:18; 10:30-33). Jésus déclare qu’il est le Seigneur de l’Ancien Testament (#Mt 22:42-45), étant essentiellement un avec le Père (#Jn 10:38; 14:9-11; 17:3,11,22). Il possède les attributs divins : omniprésence (#Mt 18:20 ; #Jn 3:13), omniscience (#Jn 2:24-25; 11:11-14 ; #Mr 11:1-8), toute-puissance (#Mt 28:18 ; #Lu 7:14 ; #Jn 5:21-23), éternité (#Jn 8:58; 17:5), sainteté (#Jn 8:46), grâce salvatrice (#Mr 2:5-7 ; #Lu 7:48-49). Jésus accepte et approuve l’adoration des hommes (#Mt 2:11; 14:33; 28:9 ; #Lu 24:52 ; #Jn 5:23; 20:28).
Les écrivains du Nouveau Testament reconnaissent également au Christ des titres et des attributs divins (#Jn 1:1,3,10 ; #Ro 9:5 ; #Col 1:16-17 ; #Hé 1:2; 8-12; 13:8 ; #1Jn 5:20). Ils enseignent que l’adoration lui est due, comme au Père (#1Co 1:2 ; #Ph 2:10-11 ; #Hé 1:6 ; #Ap 5:12-13). Pour eux, sa résurrection a été la preuve éclatante de sa divinité (#Ro 1:4).
2. Divinité du Saint-Esprit. Elle est aussi clairement affirmée. Le Saint-Esprit est appelé l’Esprit de l’Éternel, de Dieu, du Seigneur, avec toute l’intimité et l’unité de nature que cela comporte (cf. #1Co 2:10-11). Le Seigneur, c’est l’Esprit (#2Co 3:17). Dieu est Esprit (#Jn 4:24). L’Esprit parle et agit comme étant Dieu lui-même (#Ac 13:2) ; lui mentir c’est mentir à Dieu (#Ac 5:3-4). Des œuvres divines lui sont attribuées (#Job 33:4 ; #Ps 104:29-30 ; #Jn 3:8; 6:63 ; #Ro 1:4; 8:11 ; #2Co 3:18, etc.). L’Esprit-Saint vient du Père, il est envoyé à la fois par lui et par le Fils (#Jn 15:26; 14:16; 16:7 ; #Ac 2:33). Voir Saint-Esprit.
3. L’unité des trois Personnes divines. Tout en révélant sans cesse le Dieu unique, l’Ancien Testament fait pressentir la pluralité au sein de la divinité. #Ge 1:1 dit en réalité : « Au commencement les Dieux (Elohim, plur.) créa », et #Ge 1:2 mentionne en même temps l’Esprit de Dieu présent lors de la création. Dieu dit après la chute : « Voici l’homme est devenu comme l’un de nous... » (#Ge 3:22). Parmi les prophéties relatives au Messie, le psalmiste parle en ces termes du Fils et du Père : « Ô Dieu, ton Dieu t’a oint... » (#Ps 45:8). Le Nouveau Testament présente constamment les 3 Personnes divines unies dans l’œuvre du salut, comme elles l’ont été dans la création. Le Père, le Fils et l’Esprit sont manifestés lors du baptême de Jésus (#Mt 3:16-17). Christ ordonne que les disciples soient baptisés au nom (singulier) du Père, du Fils et du Saint-Esprit (#Mt 28:19). La nouvelle naissance est possible par la régénération du Saint-Esprit, l’amour du Père et le don du Fils sur la croix (#Jn 3:5-6; 14$-16$). Le Père, le Fils et l’Esprit viennent faire leur demeure dans le cœur du croyant (#Jn 14:17,23 ; cf. #1Co 3:16-17; 6:19 ; #Col 1:27) ; ils communiquent ensemble la plénitude de la vie divine (#Ep 3:14; 16-19). La bénédiction apostolique est donnée en leur triple nom (#2Co 13:13). La résurrection du Christ est attribuée au Père, à Jésus lui-même et à l’Esprit (#Ac 2:24 ; #Jn 2:19; 10:17-18 ; #Ro 8:11) ; il en est ainsi de notre propre résurrection (#Jn 5:21; 6:40 ; #Ro 8:11 ; pour d’autres passages trinitaires, voir #Ac 2:33 ; #1Co 12:4-6 ; #Ep 4:4-6 ; #1P 1:2 ; #Ap 1:4-6, etc.). Les 3 Personnes sont unies de telle manière qu’elles manifestent la plénitude du seul Dieu vivant : elles accomplissent les mêmes œuvres et reçoivent la même adoration. Il y a entre les trois Personnes divines une unité totale, un amour infini, une soumission parfaite au Père, une harmonie incomparable. Le strict monothéisme de l’Ancien Testament n’en est nullement compromis. Par un progrès dans la révélation nous avons simplement appris à connaître quelque chose de plus de l’ineffable nature de Dieu. Dans l’Ancien Testament, nous avions avant tout la révélation du Créateur et Père souverain, « Dieu pour nous » ; dans les évangiles, le Seigneur s’est approché au point d’être « Dieu avec nous » Emmanuel ; depuis la Pentecôte, il est devenu « Dieu en nous » par le Saint-Esprit.
Vraiment le site musulmans est bidon....!