Simplement moi a écrit :
citation:
"Chose qu'il faudrait encore
PROUVER et qui ne l'a jamais été "
Voici la preuve que le CORAN et la parole de DIEU :
MIRACLE Numérique du Coran :
Il est à remarquer que le secret le plus profond semble avoir trait aux lettres initiales d’ouverture telles que : Alif, Lâm, mim - Kâf, ha, ya, In, Sad - Nounn, etc.
A première vue, le rapport qui existe entre ces initiales d’ouverture et le chiffre 19 se caractérise par ceci :
- la somme des lettres initiales d’ouverture représente la moitié de l’alphabet de la langue arabe, donc 14.
- le nombre des ouvertures à initiales dissemblables est aussi égal à 14
- Le nombre des sourates ayant des ouvertures s’élève au total à 29.
Or, la somme de ces derniers chiffres donne : 14 + 14 +29 = 57 donc 19 x 3
Notre Seigneur ‘‘Gloire à LUI’’ nous a informés dans huit sourates à ouvertures symboliques que ces initiales sont les signes ou les miracles, du Coran : ‘‘Ayât’’.
Ainsi, dans les sourates : JONAS, JOSEPH, LE TONNERRE, AL HIJR, LES POETES, LES FOURMIS, LE RECIT, LOKMAN, nous trouvons immédiatement après les initiales d’ouvertures, l’explication qu’il s’agit de miracles, à savoir :
- Alif Lâm Râ. Ce sont les miracles du Livre sage, 10.1
- Alif Lâm Râ. Ce sont les miracles du Livre évident, 12.1
- Alif Lâm Mim Râ. Ce sont les miracles du Livre, 13.1
- Alif Lâm Râ. Ce sont les miracles du Livre et d’une Lecture évidente, 15.1
- T’â Sin Mim. Ce sont les miracles du Livre évident 26.1-2
- T’â Sin. Ce sont les miracles du Coran et d’un Livre évident 27.1
- T’â Sin Mim. Ce sont les miracles du livre évident 28.1-2
- Alif Lâm Mim. Ce sont les miracles du Livre sage 31.2
Jusqu’à l’heure actuelle, la plupart des interprètes et exégètes du Coran ont traduit le terme en question ‘‘Ayât’’ par versets, alors que Dieu nous montre explicitement qu’il s’agit de miracles ou de signes, comme cela est indiqué à plusieurs reprises dans le Coran avec la signification de miracles ou de signes, voir par exemple la sourate 30 ‘‘LES BYZANTINS’’ où l’on trouve des exemples significatifs à propos du contenu sémantique du mot ‘‘Ayât’’. Ce terme a effectivement deux significations : versets et Signes. Mais dans ladite sourate n°30 ainsi que dans d’autres passages du Coran, le mot ‘‘ayât’’ désigne clairement les miracles ou les signes et non pas les versets, exemple : « Parmi Ses Signes : Il vous a créés de poussière, puis vous voici des hommes dispersés sur la terre. » 30.20 « Parmi Ses Signes : Il a créé pour vous, tirées de vous, des épouses afin que vous reposiez auprès d’elles, et Il a établi l’amour et la bonté entre vous. » 30.21 « Parmi Ses Signes : la création des cieux et de la terre ; la diversité de vos idiomes et de vos couleurs. » 30.22 « Parmi Ses Signes : votre sommeil la nuit et le jour ; votre recherche de Sa Grâce. » 30.23 « Parmi Ses Signes : Il vous montre l’éclair, sujet, à la fois, de crainte et d’espoir. Il fait descendre du ciel une eau, grâce à laquelle Il rend la vie à la terre quand elle est morte. » 30.24 « Parmi Ses Signes : le ciel et la terre se maintiennent en place sur Son ordre. Puis lorsqu’Il vous appellera d’un seul appel, voilà que vous surgirez de la terre. » 30.25 « Parmi Ses Signes : Il déchaîne les vents annonciateurs de bonnes nouvelles, pour vous faire goûter quelque chose de Sa miséricorde ; pour que le vaisseau vogue sur Son ordre et que vous recherchiez Ses bienfaits. » 30.46
14) La lettre Câf se répète dans la sourate qu’elle désigne (Câf) 57 fois, donc 19 x 3. Mis à part cette sourate intitulée Câf, il y a une seule sourate dans le Coran où la lettre Câf figure parmi les initiales d’ouverture : il s’agit de la sourate ‘‘la Consultation : Ha Mim Ain Sin Câf ’’. Dans cette sourate, la lettre Câf se répète également 57 fois, soit 19 x 3. Lorsque nous faisons l’addition des deux nombres concernant la lettre Câf dans les deux sourates sus-indiquées (57 + 57) nous avons un total de 114 et cette somme représente évidemment le nombre des sourates du Saint Coran.
Il est à noter que la sourate Câf débute comme suit : ‘‘Câf et le Saint Coran’’. Cela sous-entend que cette lettre Câf représente les 114 sourates qui sont le Coran, tout le Coran, rien que le Coran. Les initiales de la sourate 7 (Alif, Lâm, Mim, Sâd) comptent au total dans cette même sourate 5358 lettres, soit 282x 19. Les initiales de la sourate 19 (Kâf, Ha, Ya, Ain, Sâd) se répètent 798 fois dans la même sourate : le chiffre 798 est le produit de 42x19 II y a huit sourates (2, 3, 7, 13, 29, 30, 31 et 32) qui ont en commun les mêmes initiales A.L.M (Alif, Lâm, Mim). Le nombre de ces lettres initiales dans les huit sourates s’élève à 26.676, soit 1404x19
Il ressort de là que le calcul et la précision avec laquelle, chaque verset, chaque mot et chaque lettre ont été placés, confirme irréfutablement l’origine surhumaine du Saint Coran et par conséquent l’impuissance totale des hommes et des Djinns à en produire pareil.
Voici entre autre un exemple significatif de ce calcul : dans le 13 verset de la sourate Câf nous lisons : ‘‘Et les Aad et Pharaon et les frères de Loth’’(Ikhwâni Lût).
Il est évident que les gens qui ont démenti Loth s’appellent dans le Coran ‘‘Peuple de Loth’’ (qawm lût) Par contre, dans la sourate Câf, ils sont désignés exceptionnellement par l’expression ‘‘frères de Loth’’. ( ikhwâni lût) Cette variante a-t-elle une signification ? Eh, oui, parce que l’emploi de ‘‘Peuple de Loth’’ ( Qawmi Lût) aurait ajouté un Câf et ramené le total de cette lettre à 58 si bien que, non seulement la lettre Câf perdrait le rapport avec le nombre 19, mais aussi, elle ne correspondrait plus au nombre des sourates du Coran, soit 114.
- Si nous comptons la lettre ‘‘Noun’’ dans la sourate y correspondant, soit ‘‘Le Calame’’ ou ‘‘La plume’’ nous trouvons que le nombre de cette lettre compte 133 donc 19 x 7, étant précisé que, selon la graphie originale, la lettre Noun s’écrit ( n w n ) au lieu de ( n ).
- Si nous comptons la lettre Sâd dans les trois sourates où cette lettre figure parmi les initiales symboliques, à savoir : Les limbes (a’râf n°7) Marie ( n°19) et Sâd(n°38) nous constatons que le nombre de lettres Sâd s’élève à 152, soit 19 x 8.
Cette règle arithmétique s’applique indiscutablement à toutes les sourates à ouvertures symboliques de sorte que le nombre de chaque lettre prise séparément corresponde au chiffre 19 ou à un multiple de 19. De tels exemples foisonnent dans le Coran en ce sens que toutes ses lettres sont comptées par rapport au chiffre 19. Par ailleurs, ce qui est vrai pour les lettres, est vrai pour les chiffres cités dans le Coran. Cela dit, le texte coranique contient des nombres cités 285 fois, soit : 19 x 15.
- Si nous faisons l’addition des nombres« Ce Coran n’est nullement de nature à être inventé en dehors de Dieu, mais c’est la confirmation de ce qui l’a devancé et l’exposé détaillé du Livre. Il n’y a là aucun sujet de doute et cela provient du Seigneur et Maître des univers. » Coran 10.37
Le génie littéraire et scientifique de ce glorieux Livre ne peut être l’oeuvre d’un homme ni d’un groupe d’hommes ni des humains et des Djinns réunis. Coran 17.88
« Ou bien ils disent : ‘Il l’a inventé’. Dis : Apportez donc un chapitre semblable à ceci, et faites appel à qui vous pouvez en dehors de Dieu si vous êtes sincères. » Coran 10.38
C’est une oeuvre de très haute perfection, bien au-dessus des capacités et des intelligences humaines. Néanmoins, il est inaccessible aux mécréants, aux orgueilleux ainsi qu’ aux esprits bourrés de préjugés, de fausses croyances et verrouillés. « Allah a scellé leurs coeurs et leurs oreilles ; et un voile épais leur couvre la vue ; et pour eux il y aura un grand châtiment. » Coran : 2.7
exprimés dans le Coran, nous trouvons un total de 174.591, soit 19 x 9189.
- En faisant l’addition des chiffres cités différemment, non compris ceux qui se répètent identiquement, nous avons pour résultat 162.146, soit 19 x 8534.
- Les doubles emplois, comptés à part, forment à eux seuls un total de 12.445 donc 19 x 655.
Il est un autre aspect de la précision numérique du Coran. En ce qui concerne, par exemple, les gens de la grotte (les sept dormants). Le Coran indique : « ils demeurèrent dans leur grotte trois cents ans et en ajoutèrent neuf ». 18.25.
Ces jeunes gens ont vécu à Ephèse, une ville qui se trouvait dans la partie méridionale de l’Asie Occidentale ; cette région faisait partie de l’empire romain d’Orient. Cela correspond sur le plan géographique à la Turquie actuellement. Leur histoire, d’après les historiens chrétiens, remonte à l’an 251 après J.C. Là, on utilisait le calendrier solaire . Dans une année solaire, il y a 365,25 jours. Mais le Coran est révélé en Arabie dans un peuple qui utilise le calendrier lunaire. Le mois lunaire moyen est de 29 jours, 12 heures, 44 minutes et 2,8 secondes, c’est dire que dans une année, il y a 354,36 jours. Le rapport des deux années serait alors : 365,25/354,36 = 1,03 Si dans le calendrier solaire on a 300 ans, suivant le calendrier lunaire, on aura : 300 x 1,03 = 309. La différence serait exactement de 9 ans comme cela est dissocié dans le verset.
Par ailleurs, le verset 18.25 s’exprime d’une manière telle que notre Seigneur ‘‘Gloire à LUI’’ nous indique implicitement la différence entre les deux cycles du comput et que leur séjour dans la grotte s’adapte aux deux calendriers. Cela s’explique par le fait que Dieu ne dit pas d’emblée 309 ans, mais Il précise bien 300 ans et en ajoutèrent 9, ce qui revient à dire logiquement 300 ans par rapport aux uns et 309 par rapport aux autres.
Ces données correspondent à des réalités scientifiques tangibles et irréfragables.
- Qui détient donc depuis 14 siècles ces informations scientifiques si précises ?
- Qui peut ordonner et disposer dans un ordre numérique minutieusement précis,les mots, les phrases, les lettres et les chiffres d’un livre sans en bouleverser le sens, l’harmonie, la cohérence et la rime ?
Quelles sont les possibilités d’écrire un livre par hasard avec une structure numérique aussi complexe ? Les spécialistes en probabilité ont une réponse à cette question : la probabilité d’un événement pareil est de 626.1024 contre 1. Cet ordre est alors voulu ; il tient sa structure, son calcul et son génie à l’essence même de la science, à la source du savoir qu’est le Tout-Puissant. Il est indéniable que dans le Coran, les sourates, les versets, les mots, les lettres et les chiffres sont si bien connectés et ordonnés qu’il est absolument impossible à quiconque de l’imiter même si l’on se fait aider par les machines les plus perfectionnées du monde.
Il est absolument impossible de parler ou d’écrire dans n’importe quelle langue quelque chose de compréhensible et surtout en bonne langue et en même temps coordonner ses phrases, ses mots et ses lettres suivant un ordre préétabli, même s’il se fait aider par les ordinateurs les plus sophistiqués du monde. « Dis : si les hommes et les Djinns se réunissent pour produire quelque chose de semblable à ce Coran, ils ne produiraient rien de pareil même s’ils se mettent les uns en face des autres » 17.88
De plus, le Coran a été révélé par morceaux pendant 23 ans, cela implique que ce qui a été révélé au début doit tenir compte de ce qui va être révélé par la suite pour satisfaire l’ordre indiqué, si bien que l’on se demande si notre Seigneur avait dirigé les événements au profit de l’oeuvre coranique, ce qui prouve une fois de plus que Dieu est partout dans le temps, que le passé, le présent et le futur sont pour LUI une actualité permanente, qu’Il connaît en profondeur les mystères de l’univers et de toutes les créatures dont il est l’UNIQUE AUTEUR.
« Il cerna tout ce qu’ils ont et dénombra toutes choses numériquement » 72.28
« Nous avons tout dénombré dans un livre manifeste » 36.12
« Ce livre dont les versets ont été faits avec perfection et développés de la part d’un Sage, bien informé » 11.1
« Ne méditeront-ils pas le Coran ? S’il émanait d’un autre que Dieu, ils y auraient trouvé des contradictions abondantes ». 4.82
CONCLUSION
Ce thème est pour les enseignements du Coran, ce qui est une goutte d’eau dans un fleuve, encore faut-il signaler que la présente étude est loin d’être exhaustive ? Ce glorieux Livre que nous avons la chance d’avoir sain et sauf, abonde en idées scientifiques dont bon nombre défiant les conceptions humaines. Ces idées, les unes, inconnues de la science, demeurent à l’état énigmatique ; les autres, à présent soumises à l’examen de la raison, ne peuvent être saisies qu’en faisant appel à la foi, que certains considèrent injustement comme une antithèse ne pouvant fonctionner simultanément avec la raison. Or seule la conjonction de ces deux facultés pourrait faciliter l’explication d’un certain nombre de phénomènes comme celui de l’esprit, du rêve, des extra-terrestres, etc.
Cependant, il est fort regrettable de constater que certaines découvertes, inutiles sur le plan matériel, trop coûteuses en plus, demeurent sans intérêt dans la mesure où les sceptiques n’y trouvent aucune conviction, entraînant par le seul fait de leur ignorance plus ou moins voulue des millions et des millions d’individus.
Il en est ainsi parce que l’homme manque d’objectivité et de sagesse ; son orgueil irraisonné le pousse à nier la vérité malgré son évidence ; parfois même, il veut la combattre. Incapable de créer un moustique, une cellule vivante, incapable de soulager ses souffrances ou de prolonger l’heure de son transfert à l’Au-delà, sans parler d’hérésie, il s’obstine futilement à dénier ses faiblesses vis-à-vis de son Créateur.
Quoi qu’il en soit, nous disons :
1) Aux adeptes de la matière qui ont pour Dieu une denrée périssable que leur vieille théorie est restée lettre morte, que le voile de leur illusion n’a pu résister à l’énergie solaire, que la Vérité a démasqué leurs mensonges car ‘‘le mensonge n’a pas la puissance de la vérité’’.
2) Aux rationalistes qui ont pour Dieu la raison, nous disons que la science elle-même a reconnu son effet relatif et que, éblouie par la lumière de la Vérité, elle est en quête d’un refuge qui n’existe que dans la foi.
Qui dit Coran, dit paroles de DIEU. De même que Dieu est Justice dans Ses actions, de même Il est Lumière dans ses paroles ; par conséquent, le Coran est une lumière à laquelle on ne peut avoir accès sans la foi en Dieu. Il est notoirement établi que le Coran ne contredit pas la science, au contraire il éclaire son chemin surtout au moment où celle-ci tend à rechercher l’Absolu. On en déduit que le savoir mis en orbite autour de la vérité, telle une planète autour d’une étoile, a besoin d’utiliser cette lumière pour y parvenir facilement. Il est bien évident que la Terre ne peut, au risque de dépérir, se passer du soleil ; d’où la nécessité d’utiliser la lumière de cet astre comme guide pour des besoins immatériels au lieu de s’en servir uniquement à des fins matérielles.
3) Aux esprits indécis, nous rappelons que le Coran est une preuve irréfutable pour ou contre tout le monde car, nul n’est censé ignorer la loi, par conséquent :
a) Si vous n’êtes pas convaincus de son authenticité, la logique et le bon sens vous commandent de vérifier personnellement et attentivement, traduit dans toutes les langues, il est digne d’être lu en priorité, s’agissant d’un Livre qui vous met directement en rapport avec votre Créateur. Vous y trouvez la Vérité si vous êtes objectifs et raisonnables.
b) En revanche, si vous en êtes convaincus, qu’attendez-vous de vous y conformer et de le mettre en application, d’autant plus qu’il incarne le parfait et l’idéal d’une règle de conduite morale et juridique tant sur le plan individuel que social.
Ceci prouve que le coran n'est pas de nature humaine car meme si tout les scientifiques du monde s'unissaient pour faire juste un chapitre identique ils ne réussiront pas.
« Ce Coran n’est nullement de nature à être inventé en dehors de Dieu, mais c’est la confirmation de ce qui l’a devancé et l’exposé détaillé du Livre. Il n’y a là aucun sujet de doute et cela provient du Seigneur et Maître des univers. » Coran 10.37
Le génie littéraire et scientifique de ce glorieux Livre ne peut être l’oeuvre d’un homme ni d’un groupe d’hommes ni des humains et des Djinns réunis. Coran 17.88
« Ou bien ils disent : ‘Il l’a inventé’. Dis : Apportez donc un chapitre semblable à ceci, et faites appel à qui vous pouvez en dehors de Dieu si vous êtes sincères. » Coran 10.38
C’est une oeuvre de très haute perfection, bien au-dessus des capacités et des intelligences humaines. Néanmoins, il est inaccessible aux mécréants, aux orgueilleux ainsi qu’ aux esprits bourrés de préjugés, de fausses croyances et verrouillés. « Allah a scellé leurs coeurs et leurs oreilles ; et un voile épais leur couvre la vue ; et pour eux il y aura un grand châtiment. » Coran : 2.7
Cordialement