Alors ne t'opposer plus jamais a l'Église Apostolqiue du Seigneur et fait comme Paul rejoins là :roll:a moi que évidement l'esprit saint que ta reçut s'opposse a ChristCe qu'a dit Christ est vrai. ...
Que pensez vous de la foi décrite par Jesus en Math :21:21?
Ecrit le 20 janv.07, 11:38
a Melchior"
ne point croire a toute les parties du Melchioriste :.évidement que :NON meme si de grande parties de ses écrits ont une grande part de vérité mais croire a Christ a 100% OUI aussi je te ferais remarquer que c'est toi qui est en guerre contre SON ÉgliseTe répéter à toi qui semble ne pas croire,
Parfois ,il faut mieux ignores les réponses que l'ont peut faire ou les explications que l'ont pourrais donner ..c'est point tous qui ont l'esprit sain sur le net.au vu des questions posées:
Ecrit le 21 janv.07, 01:02
Je n'ai pas obtenu de réponse qui convienne. Aussi je la repose.
Ce n'est pas une série de versets que je demande, mais votre description ou définition de la foi. Qu'est ce que la foi en Christ dans votre existence ?Qu'est-ce que la foi ?
Est-elle seulement le fait de croire à des choses qu'on ne peut vérifier ou comprendre, auquel cas la foi est alors de la superstition. Est-elle un sentiment fort, presque comme une intuition supérieure qui agirait à la façon d'une obsession ? Dans ce cas, elle ne serait pas différente d'une psychopathie. Est-elle enfin une certitude consciente et minutieuse qui oblige à comprendre intelligemment chacun des gestes que nous faisons, chacune des paroles que nous disons ou écrivons, chacune des pensées que nous envoyons dans l'univers ?
- melchior
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 1467
- Enregistré le : 30 juil.06, 04:50
- Localisation : belgique
Ecrit le 21 janv.07, 05:43
La lumière a ceci de plus que les ténèbres, c'est quand elle paraît ....l'autre n'est plus!
Modifié en dernier par melchior le 10 mars07, 22:35, modifié 1 fois.
Ecrit le 21 janv.07, 07:02
Cher melchior..sans me donner la peine de te faire un grand exposé a partir des textes Bibliques et des paroles qui y sont contenues .
Je te dirais juste cela l'Église est la colonne et soutiens de la vérité juste a Elle a été donné la protection contre les portes de l'enfer .
Je te dirais juste cela l'Église est la colonne et soutiens de la vérité juste a Elle a été donné la protection contre les portes de l'enfer .
- corsica
- Christianisme [Évangélique]
- Christianisme [Évangélique]
- Messages : 208
- Enregistré le : 28 déc.06, 04:26
Ecrit le 21 janv.07, 07:43
dE quelle eglise parles tu?Gilles a écrit :Cher melchior..sans me donner la peine de te faire un grand exposé a partir des textes Bibliques et des paroles qui y sont contenues .
Je te dirais juste cela l'Église est la colonne et soutiens de la vérité juste a Elle a été donné la protection contre les portes de l'enfer .
Ecrit le 21 janv.07, 07:47
Je pense que Septour et Gilles sont plus proches de la notion qu'en donnent les écritures.
La foi c'est l'adhérence, le contact qui relie la conscience ordinaire de l'homme avec le niveau le plus profond de cette conscience et qui est d'un niveau divin, niveau connu comme le Trône de Dieu. Ordinairement, la conscience est voilée, livrée aux sens et aux pensées nécessaires à notre vie dans le monde physique. Cette conscience ordinaire est essentiellement une conscience du paraître, du faire et de l'avoir. C'est pourquoi, les hommes devant survivre dans le monde s'affairent à jouer un rôle social, à mener des actions et à posséder des biens. Tout cela est la conscience charnelle, indispensable à la survie.
La conscience profonde est celle de l'être. Cette conscience d'être, habituellement inconsciente, ne peut surgir que lorsque cesse la conscience ordinaire du paraître, du faire et de l'avoir. Elle ne se trouve que dans les états profonds de l'oraison et de la méditation, auxquels s'ajoutent les rites traditionnels qui, lorsqu'ils sont vécus en toute compréhension, deviennent très opératifs.
Par l'exercice des états qui élèvent la conscience de son niveau ordinaire à son niveau profond, il se produit une transformation intellectuelle (spirituelle), mentale (conscience proprement dit) et matérielle (énergie et corps mystique) que l'individu peut ressentir et qui lui procure la certitude intellectuelle que quelque chose en lui est l'Immanu-EL, le "Dieu en nous". Il s'agit d'une transformation de toute la conscience, de toute l'âme, qui touche donc la conscience ordinaire aussi. Alors le disciple devient un veilleur, car il évolue vers des états de vigilance extrême, afin de noter le moindre effet de la présence divine en lui, comme en témoignent les grands mystiques comme par exemple Thérèse d'Avila ou Jean de la Croix, qui sont des auteurs incontournables pour tout chrétien. Cette vigilance entraîne la reconnaissance progressive de la véritable nature de l'homme, nature entière et indivise, et cela se traduit par la construction du corps mystique, l'ekklésia, qui est le corps nécessaire à l'homme pour devenir l'homme nouveau, l'homme céleste, corps qui devient comme un vêtement nouveau qui, lors de la disparition du vêtement charnel, ne laissera pas l'âme nue.
Bien que cela soit décrit dans les textes, je n'ai utilisé aucun verset. Cependant, cette façon de décrire la foi montre autre chose que le simple fait de dire "je crois". Par ce processus, les difficultés de l'existence sont bien moins importantes, puisque l'accent est mis sur l'être. Alors les montagnes du paraître, du faire et de l'avoir sont déplacées et se jettent dans la mer.
La foi c'est l'adhérence, le contact qui relie la conscience ordinaire de l'homme avec le niveau le plus profond de cette conscience et qui est d'un niveau divin, niveau connu comme le Trône de Dieu. Ordinairement, la conscience est voilée, livrée aux sens et aux pensées nécessaires à notre vie dans le monde physique. Cette conscience ordinaire est essentiellement une conscience du paraître, du faire et de l'avoir. C'est pourquoi, les hommes devant survivre dans le monde s'affairent à jouer un rôle social, à mener des actions et à posséder des biens. Tout cela est la conscience charnelle, indispensable à la survie.
La conscience profonde est celle de l'être. Cette conscience d'être, habituellement inconsciente, ne peut surgir que lorsque cesse la conscience ordinaire du paraître, du faire et de l'avoir. Elle ne se trouve que dans les états profonds de l'oraison et de la méditation, auxquels s'ajoutent les rites traditionnels qui, lorsqu'ils sont vécus en toute compréhension, deviennent très opératifs.
Par l'exercice des états qui élèvent la conscience de son niveau ordinaire à son niveau profond, il se produit une transformation intellectuelle (spirituelle), mentale (conscience proprement dit) et matérielle (énergie et corps mystique) que l'individu peut ressentir et qui lui procure la certitude intellectuelle que quelque chose en lui est l'Immanu-EL, le "Dieu en nous". Il s'agit d'une transformation de toute la conscience, de toute l'âme, qui touche donc la conscience ordinaire aussi. Alors le disciple devient un veilleur, car il évolue vers des états de vigilance extrême, afin de noter le moindre effet de la présence divine en lui, comme en témoignent les grands mystiques comme par exemple Thérèse d'Avila ou Jean de la Croix, qui sont des auteurs incontournables pour tout chrétien. Cette vigilance entraîne la reconnaissance progressive de la véritable nature de l'homme, nature entière et indivise, et cela se traduit par la construction du corps mystique, l'ekklésia, qui est le corps nécessaire à l'homme pour devenir l'homme nouveau, l'homme céleste, corps qui devient comme un vêtement nouveau qui, lors de la disparition du vêtement charnel, ne laissera pas l'âme nue.
Bien que cela soit décrit dans les textes, je n'ai utilisé aucun verset. Cependant, cette façon de décrire la foi montre autre chose que le simple fait de dire "je crois". Par ce processus, les difficultés de l'existence sont bien moins importantes, puisque l'accent est mis sur l'être. Alors les montagnes du paraître, du faire et de l'avoir sont déplacées et se jettent dans la mer.
Modifié en dernier par Ilibade le 21 janv.07, 14:14, modifié 1 fois.
- Marcel du Cantal
- [ Christianisme ]
- [ Christianisme ]
- Messages : 3
- Enregistré le : 21 janv.07, 03:34
Ecrit le 21 janv.07, 11:46
En lisant ce topic, j'ai été frappé par le texte de la première citation, celle de Matt 21. Je ne l'avais jamais lu ainsi !
Je ne parle pas de Matt 17
Matt 17.20
C'est à cause de votre incrédulité, leur dit Jésus. Je vous le dis en vérité, si vous aviez de la foi comme un grain de sénevé, vous diriez à cette montagne: Transporte-toi d'ici là, et elle se transporterait; rien ne vous serait impossible.
Ce verset est tout à fait dans le sujet, et vous en parlez très bien entre vous. Je ne viendrai pas y rajouter mon grain de sel (de sènevé ?).
Je parle de l'autre verset, celui cité au début par Melchior, et qui à mes yeux parle de tout autre chose.
Matt 21.21
Jésus leur répondit: Je vous le dis en vérité, si vous aviez de la foi et que vous ne doutiez point, non seulement vous feriez ce qui a été fait à ce figuier, mais quand vous diriez à cette montagne: Ote-toi de là et jette-toi dans la mer, cela se ferait.
Ici, sous couvert de foi, Jésus nous parle de tout autre chose. Il s'agit là de la 2eme trompette d'Apocalypse, qui est la chute de Babylone. Oui, rien de moins que ça dans ce petit verset sur la foi !
Deux petits détails à souligner avant d'en voir l'explication.
"Quand vous direz à cette montagne..." Qui est-ce qui dit ? Vous. Qui est vous ? L'Eglise, la "vraie" (à définir )
"... jette-toi dans la mer, cela se ferait." Ce n'est pas elle, la montagne, qui le ferait. Elle n'irait pas se jeter à la mer. Mais cela se ferait. Contre sa volonté, cela se ferait. De par la volonté de "vous" cela se ferait.
Voyons maintenant à quoi ressemble cette deuxième trompette.
Ap 8.8
Le second ange sonna de la trompette. Et quelque chose comme une grande montagne embrasée par le feu fut jeté dans la mer; et le tiers de la mer devint du sang,
On retrouve très exactement l'image de cette montagne qui se jette dans la mer. Oups, ho pardon, qui est jetée dans la mer ! C'est pas du tout pareil !
maintenant que le rapprochement de ces deux versets est fait, il nous reste le plus simple: identifier ce que représente cette montagne.
C'est facile, y a qu'à demander à notre ami Jérémie. (heu... non, pas celui-là, l'autre.)
Jer 51.7
Babylone était dans la main de l'Éternel une coupe d'or, Qui enivrait toute la terre; Les nations ont bu de son vin: C'est pourquoi les nations ont été comme en délire.
51.8
Soudain Babylone tombe, elle est brisée! Gémissez sur elle, prenez du baume pour sa plaie: Peut-être guérira-t-elle. -
51.9
Nous avons voulu guérir Babylone, mais elle n'a pas guéri. Abandonnons-la, et allons chacun dans son pays; Car son châtiment atteint jusqu'aux cieux, Et s'élève jusqu'aux nues.
De quelle manière est détruite Babylone ? Par le feu, dit l'un
Ap 18.8
A cause de cela, en un même jour, ses fléaux arriveront, la mort, le deuil et la famine, et elle sera consumée par le feu. Car il est puissant, le Seigneur Dieu qui l'a jugée.
Par l'eau, dit l'autre
Jer 51.25
Voici, j'en veux à toi, montagne de destruction, dit l'Éternel, A toi qui détruisais toute la terre! J'étendrai ma main sur toi, Je te roulerai du haut des rochers, Et je ferai de toi une montagne embrasée.
Dans les textes, dans la prophétie de Jérémie sur Babylone, elle est représentée par une montagne embrasée. Une montagne embrasée qu'on jette dans la mer, nous dit la deuxième trompette.
Jer 51.42
La mer est montée sur Babylone: Babylone a été couverte par la multitude de ses flots.
Sous couvert d'un enseignement sur la foi, sens premier qui reste vrai malgré ce deuxième sens, Jésus nous prévient: c'est "vous", c'est l'Eglise qui a la foi, l'Eglise fidèle, féale (foi = fides = fidèle), qui détruira Babylone grâce à la foi.
Jésus l'a dit; nous le ferons.
M.
Je ne parle pas de Matt 17
Matt 17.20
C'est à cause de votre incrédulité, leur dit Jésus. Je vous le dis en vérité, si vous aviez de la foi comme un grain de sénevé, vous diriez à cette montagne: Transporte-toi d'ici là, et elle se transporterait; rien ne vous serait impossible.
Ce verset est tout à fait dans le sujet, et vous en parlez très bien entre vous. Je ne viendrai pas y rajouter mon grain de sel (de sènevé ?).
Je parle de l'autre verset, celui cité au début par Melchior, et qui à mes yeux parle de tout autre chose.
Matt 21.21
Jésus leur répondit: Je vous le dis en vérité, si vous aviez de la foi et que vous ne doutiez point, non seulement vous feriez ce qui a été fait à ce figuier, mais quand vous diriez à cette montagne: Ote-toi de là et jette-toi dans la mer, cela se ferait.
Ici, sous couvert de foi, Jésus nous parle de tout autre chose. Il s'agit là de la 2eme trompette d'Apocalypse, qui est la chute de Babylone. Oui, rien de moins que ça dans ce petit verset sur la foi !
Deux petits détails à souligner avant d'en voir l'explication.
"Quand vous direz à cette montagne..." Qui est-ce qui dit ? Vous. Qui est vous ? L'Eglise, la "vraie" (à définir )
"... jette-toi dans la mer, cela se ferait." Ce n'est pas elle, la montagne, qui le ferait. Elle n'irait pas se jeter à la mer. Mais cela se ferait. Contre sa volonté, cela se ferait. De par la volonté de "vous" cela se ferait.
Voyons maintenant à quoi ressemble cette deuxième trompette.
Ap 8.8
Le second ange sonna de la trompette. Et quelque chose comme une grande montagne embrasée par le feu fut jeté dans la mer; et le tiers de la mer devint du sang,
On retrouve très exactement l'image de cette montagne qui se jette dans la mer. Oups, ho pardon, qui est jetée dans la mer ! C'est pas du tout pareil !
maintenant que le rapprochement de ces deux versets est fait, il nous reste le plus simple: identifier ce que représente cette montagne.
C'est facile, y a qu'à demander à notre ami Jérémie. (heu... non, pas celui-là, l'autre.)
Jer 51.7
Babylone était dans la main de l'Éternel une coupe d'or, Qui enivrait toute la terre; Les nations ont bu de son vin: C'est pourquoi les nations ont été comme en délire.
51.8
Soudain Babylone tombe, elle est brisée! Gémissez sur elle, prenez du baume pour sa plaie: Peut-être guérira-t-elle. -
51.9
Nous avons voulu guérir Babylone, mais elle n'a pas guéri. Abandonnons-la, et allons chacun dans son pays; Car son châtiment atteint jusqu'aux cieux, Et s'élève jusqu'aux nues.
De quelle manière est détruite Babylone ? Par le feu, dit l'un
Ap 18.8
A cause de cela, en un même jour, ses fléaux arriveront, la mort, le deuil et la famine, et elle sera consumée par le feu. Car il est puissant, le Seigneur Dieu qui l'a jugée.
Par l'eau, dit l'autre
Jer 51.25
Voici, j'en veux à toi, montagne de destruction, dit l'Éternel, A toi qui détruisais toute la terre! J'étendrai ma main sur toi, Je te roulerai du haut des rochers, Et je ferai de toi une montagne embrasée.
Dans les textes, dans la prophétie de Jérémie sur Babylone, elle est représentée par une montagne embrasée. Une montagne embrasée qu'on jette dans la mer, nous dit la deuxième trompette.
Jer 51.42
La mer est montée sur Babylone: Babylone a été couverte par la multitude de ses flots.
Sous couvert d'un enseignement sur la foi, sens premier qui reste vrai malgré ce deuxième sens, Jésus nous prévient: c'est "vous", c'est l'Eglise qui a la foi, l'Eglise fidèle, féale (foi = fides = fidèle), qui détruira Babylone grâce à la foi.
Jésus l'a dit; nous le ferons.
M.
- xav
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 1453
- Enregistré le : 08 mai05, 01:18
- Localisation : Belgique - Province de Brabant (Court-Saint-Etienne)
Ecrit le 21 janv.07, 12:04
Est-ce qu'avoir la foi c'est faire de grand miracle, est-ce que faire des tour de passe passe et des exploit extraordinnaire prouve que l'Esprit agit en nous ?
NON je ne pense pas.Mais je crois que ce que voulait dire Jésus, c'est si nous avions la foi nous ne serions pas là à nous lamenter, pas la à nous déserpérer, nous serrions prêt à faire 10 000 pas avec celui qui nous en propose 1000. La foi qui déplace les montagne, c'est de croire que JESUS SEUL EST LE CHEMIN LA VERITE et que rien, et personne d'autres que lui nous sauve. La foi qui transporte les montagne, c'est simplement s'en remettre à 100 % à DIEU que malgré les apparences le mal est vaincu et la mort détruite.
Avec la foi on va loi, très loin, et jamais on n'a peur, jamais on ne recule, mais on avance.
NON je ne pense pas.Mais je crois que ce que voulait dire Jésus, c'est si nous avions la foi nous ne serions pas là à nous lamenter, pas la à nous déserpérer, nous serrions prêt à faire 10 000 pas avec celui qui nous en propose 1000. La foi qui déplace les montagne, c'est de croire que JESUS SEUL EST LE CHEMIN LA VERITE et que rien, et personne d'autres que lui nous sauve. La foi qui transporte les montagne, c'est simplement s'en remettre à 100 % à DIEU que malgré les apparences le mal est vaincu et la mort détruite.
Avec la foi on va loi, très loin, et jamais on n'a peur, jamais on ne recule, mais on avance.
Ecrit le 21 janv.07, 13:46
Bienvenue à Marcel du Cantal sur ce forum.
Aussi, je pense qu'il y a un réel inconvénient à vouloir interpréter l'apocalypse comme un évènement terrestre et visible. J'écris cela non pas pour dénigrer que la fin des temps ne touche l'humanité terrestre dans son ensemble un jour (Tout doit avoir une fin), mais ce texte doit aussi s'interpréter comme la fin des temps pour l'homme individuel, et cela, quelle que soit l'époque. Sans quoi, les auteurs et notamment Jésus, auraient menti à leur contemporains. Aussi, l'interprétation de l'apocalypse peut-elle être en rapport avec la mort physique, laquelle s'accompagne d'évènements liés à la conscience et dans lesquels se trouve la chute de Babylone.
Dans ce contexte, la foi est alors ce qui détermine qu'un disciple est réellement de cette Eglise mystique, et non d'une assemblée humaine terrestre et visible. Dès lors, la montagne des versets cités ci-dessus est en rapport avec la religion de Babylone, laquelle est un véritable obstacle à la vraie religion intérieure qui est la seule capable d'élever la foi jusqu'à un niveau qui déplace les montagnes (obstacles au royaume des cieux) hors des doutes paralysants et des suppositions approximatives.
Je suis d'accord avec cette idée que l'Eglise doit renverser Babylone. En effet, Babylone n'est que le schéma de la religion conventionnelle et sociale. Elle est décrite comme une prostituée, c'est-à-dire une personne qui vend son corps. Cette religion de Babylone est donc le symbole de la religion dans sa forme visible extérieurement, par opposition à une religion invisible et mystique qui est représentée par l'Eglise véritable, le vrai corps mystique et céleste du Christ.Sous couvert d'un enseignement sur la foi, sens premier qui reste vrai malgré ce deuxième sens, Jésus nous prévient: c'est "vous", c'est l'Eglise qui a la foi, l'Eglise fidèle, féale (foi = fides = fidèle), qui détruira Babylone grâce à la foi.
Aussi, je pense qu'il y a un réel inconvénient à vouloir interpréter l'apocalypse comme un évènement terrestre et visible. J'écris cela non pas pour dénigrer que la fin des temps ne touche l'humanité terrestre dans son ensemble un jour (Tout doit avoir une fin), mais ce texte doit aussi s'interpréter comme la fin des temps pour l'homme individuel, et cela, quelle que soit l'époque. Sans quoi, les auteurs et notamment Jésus, auraient menti à leur contemporains. Aussi, l'interprétation de l'apocalypse peut-elle être en rapport avec la mort physique, laquelle s'accompagne d'évènements liés à la conscience et dans lesquels se trouve la chute de Babylone.
Dans ce contexte, la foi est alors ce qui détermine qu'un disciple est réellement de cette Eglise mystique, et non d'une assemblée humaine terrestre et visible. Dès lors, la montagne des versets cités ci-dessus est en rapport avec la religion de Babylone, laquelle est un véritable obstacle à la vraie religion intérieure qui est la seule capable d'élever la foi jusqu'à un niveau qui déplace les montagnes (obstacles au royaume des cieux) hors des doutes paralysants et des suppositions approximatives.
-
- Sujets similaires
- Réponses
- Vues
- Dernier message
Qui est en ligne
Utilisateurs parcourant ce forum : Google et 2 invités