Alors voilà ! J'ai vu que ces derniers jours, la Trinité était le sujet de beaucoup de conversation. Personnellement, je vais vous dire que j'ai eu du mal à suivre. Un chrétien dit un truc dessus, puis un autre dit autre chose. Dons ce que je demande içi, c'est d'avoir l'identité claire et précise des 3 formes de représentations de Dieu chez les chrétiens svp. Si possible d'avoir la conception des catholiques, tout comme celle des protestants, des orthodoxes, etc...sinon pas grave! Je demande juste à connaître les différentes conceptions. Vous ne serez pas obligé de mettre des versets pour appuier vos arguments ! Je vous laisse un début d'exemple pour répondre:
Identité de Dieu: ...
Identité du Père: ...
Identité du Fils : ...
Identité StEsprit: ...
Identité Messie : ...
Identité Jésus : ...
J'enchainerai par la suite en ayant vos réponses. A vous ...
Identités Divines Trinitaires
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
- Abdkrim
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Identités Divines Trinitaires
Ecrit le 26 janv.07, 06:52- VotreSoeurEnDieu
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Ecrit le 26 janv.07, 09:12
Chaque chrétien lorsqu'il embrasse la foi, il commence par aimer Jésus-Christ au plus profond de lui-même avant d'essayer de comprendre la trinité.CHAPITRE V.
COMMENT TROIS PERSONNES NE FONT-ELLES QU’UN SEUL DIEU?
8. Mais ici quelques-uns se troublent, quand (349) on leur dit qu’il y a
trois personnes en Dieu, le Père, le Fils et le Saint-Esprit, et que ces
trois personnes ne sont pas trois dieux, mais un seul et même Dieu. Aussi
demandent-elles comment on peut comprendre un tel langage, surtout si vous
ajoutez que toute action extérieure est commune à la Trinité entière, et
que néanmoins la voix du Père qui s’est fait entendre, n’est pas la voix
du Fils, que l’Incarnation n’appartient qu’au Fils qui a pris une chair,
qui a souffert, qui est ressuscité et qui est monté au ciel; et que seul
l’Esprit-Saint s’est montré sous la forme d’une colombe. Ces esprits
curieux veulent donc comprendre comment la Trinité entière a pu parler par
cette voix qui n’est que la voix du Père, comment encore cette même
Trinité a créé la chair que le Fils seul a prise dans le sein d’une
Vierge, et enfin comment cette colombe sous-laquelle se montra seul
l’Esprit-Saint a été l’oeuvre de toute la Trinité. Car autrement, la
Trinité n’agirait pas inséparablement, et le Père serait une chose, le
Fils une autre, et l’Esprit-Saint une autre. Si au contraire certaines
actions sont communes aux trois personnes, et certaines autres propres
seulement à chacune d’elles, l’on ne peut plus dire que la Trinité agisse
inséparablement. Ils se tourmentent encore pour savoir comment
l’Esprit-Saint fait partie essentielle de la Trinité, puisqu’il n’est
engendré ni du Père, ni du Fils, quoiqu’il soit l’Esprit du Père et du
Fils.
Telles sont les questions dont quelques personnes me poursuivent à
satiété. C’est pourquoi je vais essayer de leur répondre, autant que la
grâce divine suppléera à mon impuissance, et en évitant de suivre les
sentiers d’une jalouse et maligne critique ( Sag., VI, 25 ) je disais que
jamais je ne me préoccupe de ces mystérieuses questions, je mentirais.
J’avoue donc que j’y réfléchis souvent, parce que j’aime en toutes choses
à découvrir la vérité, et d’un autre côté la charité me presse de
communiquer à mes frères le résultat de mes réflexions. Ce n’est point que
j’aie atteint le terme, ou que je sois déjà parfait, car si l’apôtre saint
Paul n’osait se rendre ce témoignage, pourrais-je le faire, moi qui suis
si éloigné de lui? «Mais oubliant, selon ma faiblesse, ce qui est derrière
moi, et m’avançant « vers ce qui est devant moi, je m’efforce d’atteindre
le but pour remporter le prix de la céleste vocation ( Philipp., III, 12,
14 ) ». Quelle distance ai-je donc parcourue dans cette route? à quel
point suis-je arrivé? et quel espace me reste-t-il encore à franchir?
voilà les questions auxquelles onde-sire une réponse nette et précise.
Puis-je la refuser à ceux qui la sollicitent, et dont la charité me rend
l’humble serviteur? Mais je prie aussi le Seigneur de faire qu’en voulant
instruire mes frères, je ne néglige point ma propre perfection , et qu’en
répondant à leurs questions, je trouve moi-même la solution de tous mes
doutes. J’entreprends donc ce traité par l’ordre et avec le secours du
Seigneur notre Dieu, et je me propose bien moins d’y soutenir d’un ton
magistral des vérités déjà connues, que d’approfondir ces mêmes vérités en
les examinant avec une religieuse piété.
CHAPITRE VI.
CONSUBSTANTIALITÉ DES TROIS PERSONNES.
9. Quelques-uns ont dit que Notre-Seigneur Jésus-Christ n’était pas Dieu,
ou qu’il n’était pas vrai Dieu, ou qu’il n’était pas avec le Père un seul
et même Dieu, ou qu’il n’était pas réellement immortel parce qu’il était
sujet au changement. Mais il suffit pour les réfuter de leur opposer les
témoignages évidents et unanimes de nos saintes Ecritures. Ainsi saint
Jean nous dit « qu’au commencement était le « Verbe, que le Verbe était
avec Dieu, et que le Verbe était Dieu ». Or l’on ne peut nier que nous ne
reconnaissions en ce Verbe qui est Dieu, le Fils unique de Dieu, celui
dont le même Evangéliste dit ensuite, « qu’il s’est fait chair, et qu’il a
habité parmi nous ». Ce qui arriva lorsque par l’incarnation le Fils de
Dieu naquit dans le temps de la vierge Marie. Observons aussi que dans ce
passage, saint Jean ne déclare pas seulement que le Verbe est Dieu, mais
encore qu’il affirme sa consubstantialité avec le Père. Car après avoir
dit « que le Verbe était Dieu », il ajoute « qu’au commencement il était
avec Dieu, que toutes choses ont été faites par lui, et que rien de ce qui
a été fait n’a été fait sans lui ( Jean, I, 14, 2, 3 ). Or, quand
l’Evangéliste dit que tout a été fait par le Verbe, il entend évidemment
parler de tout ce qui a été créé; et nous en tirons cette rigoureuse
conséquence que le Verbe lui-même n’a pas été fait par Celui qui a fait
toutes choses. Mais s’il n’a pas été fait, il n’est donc (350) pas
créature, et s’il n’est pas créature, il est donc de la même substance ou
nature que le Père. Et en effet, tout ce qui existe est créature, s’il
n’est Dieu; et tout ce qui n’est pas créature, est Dieu, De plus, si le
Fils n’est pas consubstantiel au Père, il a donc été créé; mais s’il a été
créé, tout n’a donc pas été fait par lui, et cependant l’Evangéliste nous
assure que tout a été fait par lui n. Concluons donc et que le Fils est de
la même substance ou nature que le Père, et que non-seulement il est Dieu,
mais le vrai Dieu. C’est ce que saint Jean nous atteste expressément dans
sa première épître: « Nous savons, dit-il, que le Fils de Dieu est venu,
et qu’il nous a donné l’intelligence, afin que nous connaissions le vrai
Dieu, et que nous vivions en son vrai « Fils qui est Jésus-Christ. C’est
lui qui est le vrai Dieu et la vie éternelle ( I Jean, V, 20 ) ».
10. Nous pouvons également affirmer que l’apôtre saint Paul parlait de la
Trinité entière, et non du Père exclusivement, lorsqu’il disait «que Dieu
seul possède l’immortalité ( I Tim., VI, 16 ) ». Et, en effet, l’Etre
éternel ne saurait être soumis ni au changement, ni à la mortalité; et par
conséquent, dès là que le Fils de Dieu « est la vie éternelle », on ne
doit point le séparer du Père quand on dit que celui-ci « possède seul
l’immortalité ». C’est aussi parce que l’homme entre en participation de
cette vie éternelle, qu’il devient lui-même immortel. Mais il y a une
distance infinie entre celui qui est par essence la vie éternelle, et
l’homme qui n’est immortel qu’accidentellement, et parce qu’il participe à
cette vie. Bien plus, ce serait une erreur d’entendre séparément du Fils
et à l’exclusion du Père, ces autres paroles du même apôtre : « Il le fera
paraître en son temps, Celui qui est souverainement heureux, le seul
puissant, le Roi des rois, et le Seigneur des seigneurs, qui seul possède
l’immortalité ». Nous voyons, en effet, que le Fils lui-même parlant au
nom de la Sagesse, car « il est la Sagesse de Dieu ( I Cor., I, 24 ) »,
ne se sépare point du Père, quand il dit : « Seul, j’ai parcouru le
cercle des cieux ( Eccli., XXIV, 8 ) ». A plus forte raison, il n’est
point nécessaire de rapporter exclusivement au Père et en dehors du Fils,
ce mot de l’Apôtre : « Qui seul possède l’immortalité ». D’ailleurs,
l’ensemble du passage s’y oppose. « Je vous commande, dit saint Paul à
Timothée, d’observer les préceptes que je vous donne, vous conservant sans
tache et sans reproche jusqu’à l’avènement de Notre-Seigneur Jésus-Christ
que doit faire paraître, en son temps, Celui qui est souverainement
heureux, le seul puissant, le Roi des rois, et le Seigneur des seigneurs;
qui seul possède l’immortalité, qui habite une lumière inaccessible,
qu’aucun homme n’a pu ni ne peut voir, et à qui est l’honneur et la gloire
aux siècles des siècles. « Amen ( I Tim., VI, 14, 15, 16 ) ». Remarquez
bien que dans ce passage l’Apôtre ne désigne personnellement ni le Père,
ni le Fils, ni l’Esprit-Saint, et qu’il caractérise le seul vrai Dieu,
c’est-à-dire la Trinité tout entière par ces mots : « Celui qui est
souverainement heureux, le seul puissant, le Roi des rois, le Seigneur des
seigneurs ».
11. Mais peut-être vous troublez-vous, parce que vous saisissez
difficilement ce mot de l’Apôtre : « Qu’aucun homme n’a pu, ni ne peut
voir ». Rassurez-vous : il s’agit ici de la divinité de Jésus-Christ; et
en effet, les Juifs qui ne pouvaient voir en lui le Dieu, ne laissèrent
pas de crucifier l’homme qu’ils voyaient. C’est qu’un oeil mortel ne
saurait contempler l’essence divine, et qu’elle n’est aperçue que de
l’homme qui s’est élevé au-dessus de l’humanité. Nous avons donc raison de
rapporter à la sainte Trinité ces paroles « Le Dieu souverainement heureux
et seul puissant, qui fera paraître en son temps Notre-Seigneur
Jésus-Christ ». D’ailleurs, si l’Apôtre dit ici que ce Dieu « possède seul
l’immortalité », le psalmiste n’avait-il pas dit, « que seul il opère des
prodiges? ( Ps., LXXI, 18 ) ». Et maintenant je demanderai à mes
adversaires de qui ils entendent cette parole. Du Père seul? mais alors
comment sera-t-elle véritable cette affirmation du Fils: «Tout ce que le
Père fait, le Fils le fait également? » De tous les miracles? le plus
grand est certainement la résurrection d’un mort. Eh bien! « Comme le
Père, dit Jésus-Christ, ressuscite les morts et les vivifie, ainsi le Fils
vivifie ceux qu’il veut ( Jean, V, 19, 21 )». Comment donc le Père
opèrerait-il seul des prodiges? et comment pourrait-on expliquer autrement
ces paroles qu’en les rapportant non au Père seul, ni au Fils, mais au
seul vrai Dieu, c’est-à-dire au Père, au Fils et au Saint-Esprit? (351)
12. L’apôtre saint Paul nous dit encore: « Il n’y a pour nous qu’un seul
Dieu, le Père d’où procèdent toutes choses, et qui nous a faits pour lui;
et un seul Seigneur, Jésus-Christ, par qui toutes choses ont été faites,
et nous par lui ». Or, je le demande, l’apôtre, comme l’évangéliste,
n’affirme-t-il pas « que toutes choses ont été faites par le Verbe? » Et
dans cet autre passage, n’est-ce pas aussi ce même Verbe qu’il désigne
évidemment? « Tout est de lui, tout est par lui, tout est en lui. A lui
soit la gloire aux siècles des siècles. Amen ( Rom., XI, 36 ) ». Veut-on,
au contraire, reconnaître ici la distinction des personnes, et rapporter
au Père ces mots: «Tout est de lui »; au Fils, ceux-ci : « Tout est par
lui »; et au Saint-Esprit, ces autres : «Tout est en lui ? » .Il devient
manifeste que le Père, le Fils et le Saint-Esprit sont un seul Dieu,
puisque l’Apôtre attribue à chacune des trois personnes cette même et
unique doxologie : « Honneur et gloire aux siècles des siècles. Amen ». Et
en effet, si nous reprenons ce passage de plus haut, nous verrons que
l’Apôtre ne dit pas « O profondeur des richesses de la sagesse et de la
science », du Père, ou du Fils, ou du Saint-Esprit, mais simplement, « de
la sagesse et de la science de Dieu! Que ses jugements, ajoute-t-il, sont
incompréhensibles, et ses voies impénétrables! car qui connaît les
desseins de Dieu, ou qui est entré dans le secret de ses conseils? ou qui
lui a donné le premier pour en attendre la récompense? car tout est de
lui, tout est par lui, tout est en lui. A lui la gloire aux siècles des
siècles. Amen ( Rom., XI, 33-36 ) ».
Mais si vous ne rapportez ces paroles qu’au Père, en soutenant que seul il
a fait toutes choses, comme l’Apôtre l’affirme ici, je vous demanderai de
les concilier et avec ce passage de l’épître aux Corinthiens, où, parlant
du Fils, saint Paul dit : « Nous n’avons qu’un seul Seigneur,
Jésus-Christ, par qui toutes choses ont été faites », et avec ce
témoignage de l’évangéliste saint Jean: « Toutes choses ont été faites par
le Verbe ( I Cor., III, 6 ; Jean, I, 2 ) ». Et, en effet, supposons que
certaines choses aient été faites par le Père, et d’autres par le Fils, il
faudra eu conclure que ni l’un ni l’autre n’ont fait toutes choses.
Admettez-vous, au contraire, que toutes choses ont été faites ensemble par
le Père et par le Fils, vous en déduirez l’égalité du Père et du Fils, et
la simultanéité des opérations du Père et du Fils. Pressons encore cet
argument. Si le Père a fait le Fils qui lui-même n’a pas fait le Père, j!
n’est plus vrai que le Fils ait fait toutes choses. Et cependant tout a
été fait par le Fils donc il n’a pas été fait lui-même; autrement il
n’aurait pas fait avec le Père tout ce qui a été fait. Au reste, le mot
lui-même se rencontre sous la plume de l’Apôtre; car dans l’épître aux
Philippiens, il dit nettement « que le Verbe ayant la nature de Dieu, n’a
point cru que ce fût pour lui une usurpation de s’égaler à. Dieu (
Philipp., II, 6 ) ». Ici saint Paul donne expressément au Père le nom de
Dieu, ainsi que dans cet autre passage : «Dieu est le Chef de Jésus-Christ
( I Cor., XI, 3 ) ».
13. Quant au Saint-Esprit, ceux qui avant moi ont écrit sur ces matières,.
ont également réuni d’abondants témoignages pour prouver qu’il est Dieu et
non créature. Mais s’il n’est pas créature, il est non-seulement Dieu dans
le même sens que quelques hommes sont appelés dieux ( Ps., LXXXI, 6 );
mais il est réellement le vrai Dieu. D’où je conclus qu’il est entièrement
égal au Père et au Fils, consubstantiel au Père et au Fils, coéternel avec
eux, et complétant l’unité de la nature dans la trinité des personnes.
D’ailleurs, le texte des saintes Ecritures qui atteste le plus évidemment
que le Saint-Esprit n’est pas créature, est ce passage de l’épître aux
Romains, où l’Apôtre nous ordonne de servir non la créature, mais le
Créateur( Rom., I, 24. ) Et ici saint Paul n’entend pas nous prescrire ce
service que la charité nous recommande envers tous nos frères, et que les
Grecs nomment culte de dulie; mais il veut que ce soit ce culte qui n’est
dû qu’à Dieu seul, et que les Grecs appellent culte de latrie. Aussi
regardons-nous comme idolâtres tous ceux qui rendent aux idoles ce culte
de latrie, car c’est à ce culte que se rapporte ce précepte du Décalogue:
«Vous adorerez le Seigneur votre Dieu, et vous ne servirez que lui seul (
Deut., VI, 13 ) ». Au reste, le texte grec lève ici toute difficulté, car
il porte expressément: « Et vous lui rendrez le culte de latrie ».
Or, si nous ne pouvons rendre à une créature ce culte de latrie, parce que
le Décalogue nous dit: « Vous adorerez le Seigneur, votre Dieu, et vous ne
servirez que lui seul », et si l’Apôtre condamne ceux qui ont servi la
(352) créature plutôt que le Créateur», nous sommes en droit de conclure.
que le Saint-Esprit n’est pas une créature , puisque tous les chrétiens
l’adorent et le servent. Et en effet, saint Paul dit « que nous ne sommes
point soumis à la circoncision, parce que nous servons l’Esprit de Dieu »,
c’est-à-dire, selon le terme grec, que nous lui rendons le culte de latrie
( Philipp., III, 3 ). Telle est la leçon que donnent tous ou presque tous
les manuscrits grecs, et qui se trouve également dans plusieurs
exemplaires latins. Quelques-uns cependant portent : nous servons Dieu en
esprit, au lieu de lire: nous servons l’Esprit de Dieu. C’est pourquoi,
sans me préoccuper de prouver à mes adversaires l’authenticité d’un texte
dont ils récusent la valeur, je leur demanderai s’ils ont jamais rencontré
la plus légère variante dans ce passage de la première épître aux
Corinthiens: « Ne savez-vous pas que vos corps sont le temple du
Saint-Esprit, que vous avez reçu de Dieu? » Mais ne serait-ce point un
blasphème et un sacrilège que d’oser dire que le chrétien, membre de
Jésus-Christ, est le temple d’une créature inférieure à Jésus-Christ? Or,
l’Apôtre nous affirme, dans un autre endroit : « que nos corps sont les
membres de Jésus-Christ ». Si donc ces mêmes corps, membres de
Jésus-Christ, sont également les temples de l’Esprit-Saint, celui-ci ne
saurait être créature. Et, en effet, dès là que notre corps devient le
temple de l’Esprit-Saint, nous devons rendre à cet Esprit le culte qui
n’est dû qu’à Dieu, et que les Grecs nomment culte de latrie. Aussi saint
Paul a-t-il raison d’ajouter: « Glorifiez donc Dieu dans votre corps ( I
Cor., VI, 19, 15, 20.).
Ce n'est pas un mystère facile à expliquer puisque c'est un mystère.
Seul l'Amour dans lequel on plonge, peut dévoiler aux yeux de notre esprit la signification de la trinité ou du moins l'IMMENSITE et la Toute-Puissance divine à qui est réservé le droit de garder ses mystères.
Dieu sait TOUT, et cela existe aussi dans le Coran, Nous a-t-il pour autant transmis tout son savoir à travers les prophètes?! NON.
Le SAVOIR n'a pas de fin, et l'homme n'est qu'au début de ses découvertes==> l'ABSOLU SAVOIR est réservé à Dieu
Idem pour La CONNAISSANCE ABSOLUE,
Idem pour la COMPREHENSION ABSOLUE de Dieu, ...and so on...
Tout est INFINI en LUI
Nos coeurs de croyants aiment et croient, sans que Dieu nous donne à tout savoir et tout comprendre.
Il en va ainsi pour la TRINITE!!! Chaque individu selon son degré de spiritualité et de son mysticisme...arrivera à atteindre un degré de compréhension qui malgré tout restera infinitésimal en comparaison avec une connaissance TOTALE de Dieu.
Dieu, Lui , nous comprend TOUS et nous aime TOUS,
Aimons-le avec la simplicité d'un enfant....cela lui suffit.
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Ecrit le 26 janv.07, 10:09
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