La prêtrise c'est justement cela: l'autorité de Dieu déléguée à l'homme - il y a plusieurs office dans la prêtrise: d'apôtres à diacres.MonstreLePuissant a écrit : Je n'en doute pas, mais nous parlons ici de la prêtrise. Se peut-il qu'il aie exister un prêtrise au premier siècle ?
Question aux Catholiques
Ecrit le 16 mars07, 06:46
Ecrit le 16 mars07, 07:15
a l'hirondelle,salut
Donc ,ont sais que les chrétiens crois a l'Évangile (du moins ,ils devraient) donc ceux qui acceptent le message du Paul ,ils s'avent bien que l'Eucharistie est la Nouvelle Alliance établit part le Seigneur est que cela est réel :communion au sang et au corps du Christ .
Comment cela se peut t'il ?Ont l'ignores : Ici ,se posse pour le chrétien un acte de foi que point tous peuvent franchir . Pourquoi ,cet acte de foi n'est point franchit part des personnes et d'autres facilement ? Ont l'ignores aussi .
Merci, je vais attendre !Comme j'ai la grippe, je peux me permettre de corriger la traduction de Babelfish...un peu de patience!
C'est un fait historique Pour les doutes antérieur a Luther ou après lui ,cela ne change rien a la présence réel ! De plus a cause des doutes justement Paul sais senties obliger de l'affirmer trés clairement:""La coupe de bénédiction que nous bénissons, n'est-elle pas communion au sang du Christ ? Le pain que nous rompons, n'est-il pas communion au corps du Christ ? ''Ton histoire de Luther et le démon est bête à pleurer, on avait des doutes sur la transsubstantiation bien avant Luther.
Donc ,ont sais que les chrétiens crois a l'Évangile (du moins ,ils devraient) donc ceux qui acceptent le message du Paul ,ils s'avent bien que l'Eucharistie est la Nouvelle Alliance établit part le Seigneur est que cela est réel :communion au sang et au corps du Christ .
Comment cela se peut t'il ?Ont l'ignores : Ici ,se posse pour le chrétien un acte de foi que point tous peuvent franchir . Pourquoi ,cet acte de foi n'est point franchit part des personnes et d'autres facilement ? Ont l'ignores aussi .
- MonstreLePuissant
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 29589
- Enregistré le : 20 févr.04, 06:29
Ecrit le 16 mars07, 08:48
Selon un dictionnaire non jusmonien, un prêtre a une fonction sacrée qui lui confère le droit d'accomplir des actes essentiels du culte religieux.Le Prophète a écrit :La prêtrise c'est justement cela: l'autorité de Dieu déléguée à l'homme - il y a plusieurs office dans la prêtrise: d'apôtres à diacres.
Peux tu me dire quels étaient les actes du culte religieux accomplis par les prêtres chrétiens du premier siècle ?
« La Bible se laisse pas faire, dès lors où vous introduisez un enseignement non conforme, la bible vous rattrape toujours quelque part. » - Agecanonix
Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix
Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix
- l'hirondelle
- [ Christianisme ]
- [ Christianisme ]
- Messages : 1956
- Enregistré le : 22 mars06, 09:26
- Localisation : Belgique
-
Contact :
Ecrit le 16 mars07, 10:01
Bien sûr, tu sais quoi? Moi, je suis le Père NoëlGilles a écrit : C'est un fait historique
Il faudrait que tu fasses la différence entre croire en la trassnubstantiation et croire en la présence du Christ dans la communion.Pour les doutes antérieur a Luther ou après lui ,cela ne change rien a la présence réel ! De plus a cause des doutes justement Paul sais senties obliger de l'affirmer trés clairement:""La coupe de bénédiction que nous bénissons, n'est-elle pas communion au sang du Christ ? Le pain que nous rompons, n'est-il pas communion au corps du Christ ? ''
Ecrit le 16 mars07, 11:18
Le mot "messe" provient de l'hébreu Massiah, le messie.
L'Hirondelle a raison de séparer la notion de sacrificateur et celle d'ancien, car l'autorité étant liée au savoir, il faut avoir vécu et pratiqué, pour disposer d'un savoir minimal et ainsi avoir de l'autorité. L'ancien est alors l'animateur des rites et le transmetteur des enseignements.
L'être humain est globalement soumis à deux fonctions :
1- celle de survivre sur terre et de gérer sa vie matérielle : c'est le rôle du Roi
2- celle de surpasser la condition terrestre, et de grandir spirituellement : c'est le rôle du prêtre. Cela impose un sacrifice du Roi (Voir plus loin).
Melchi-Tsédeq était Roi-Prêtre, à savoir, qu'il représente le prototype de l'homme intégral, capable de survivre sur terre, mais sans aucune exagération. Il dispose d'un rite qui n'est pas compris comme un sacrifice, mais comme un service de répartition équilibrée entre le pain qui sert à la survie terrestre, et le vin qui sert à l'élévation spirituelle. Ce prototype n'a pas de début et de fin, et Melchi-Tsédeq n'a ni père, ni mère.
C'est à partir d'Abraham, que l'exagération s'est installée du côté matériel et conduisant à séparer les deux fonctions, jusqu'à la royauté de Saul, David et Salomon. Salomon construit le temple terrestre, le lieu terrestre le plus apte à recevoir la présence divine. Cependant, l'augmentation de la vie matérielle impose de réguler les exagérations commises sur le plan matériel, qui dépassent de loin le niveau nécessaire à la survie. Alors, la loi de Moïse instaure des sacrifices animaux et matériels, afin de rappeler à l'ordre le peuple, et de le rappeler à l'ordre face à sa fonction spirituelle. Les lévites sont gardiens de la tradition et les prêtres sacrificateurs sont spécialisés dans la façon de conduire les sacrifices.
Avec Jésus va cesser le sacrifice animal, son sacrifice tenant lieu de dernier sacrifice, car il restaure l'ordre de Melchi-Tsédeq en remplacement des prêtres de l'ordre d'Aaron. Il restaure en même temps le rite du partage équilibré entre le pain et le vin, tout en le dédiant à lui-même, en tant que Christ, car le Christ est aussi le Roi du futur royaume. Nouveau roi et nouveau prêtre, il est donc l'accomplissement achevé de Melchi-Tsédeq, le Roi-Prêtre.
La question de la transsubstanciation répond au problème de savoir comment un pain physique et un vin physique peuvent devenir pain céleste et vin céleste. Lors de l'eucharistie, le rite effectue dans le monde physique ce qui s'effectue en chaque participant sur le plan céleste. C'est que le Christ a aussi restauré l'harmonie entre les deux fonctions royale et sacerdotale. Ainsi la réalisation du partage des espèces au sein de la communauté humaine se produit en synchronisation avec le partage du pain et du vin célestes dans chaque disciple. Pour que ce rite soit opérant, il faut que chaque participant soit en communion avec toute la communauté et attentif à chaque mot évoqué dans cette commémoration. Cette opération est donc "au-delà de la substance", trans-substancielle, car elle s'opère par la conscience, en profondeur, et qu'elle est conditionnée par la foi. La liturgie comprend le "Notre Père", afin que "la volonté du Père soit faite SUR LA TERRE COMME AU CIEL", sous-entendant que les rites terrestres sont synchrones aux rites célestes.
Le prêtre tel qu'il peut apparaître dans le christianisme n'a rien d'un sacrificateur, et de toutes façons, il n'y a plus de sacrifice, puisque le Christ en est le grand-prêtre. Le prêtre ne peut être qu'un officiant public. Toutefois, on a assisté à la mort de Jésus comme dernier sacrifice qui est aussi le sacrifice du roi, car c'est sous ce label qu'un écriteau placé sur la croix mentionne "Roi des Juifs". La fonction royale est expansive dans ce monde et la fonction sacerdotale est normalement régulatrice de ce monde, afin d'en préserver le disciple des excès. La messe est aussi la commémoration de la mort de Jésus, étape clef de la rédemption et du relèvement des pêcheurs. La voie chrétienne doit aboutir à faire mourir le roi dans l'individu, ce qui est alors le choix de contribuer activement au sacrifice dernier, et dès lors, la fonction sacerdotale du chrétien reprend un rôle de sacrificateur. Dans les évangiles, ce sont bien les prêtres du Sanhedrin qui condamnent à mort Jésus. Pilate, en tant que représentant de la fonction royale, s'en lave les mains tout en reconnaissant la mise à mort royale (c'est lui qui impose l'écriteau). Notre époque étant celle de la séparation législative généralisée du Roi et du Prêtre et des excès les plus extrêmes de la fonction royale et de la vie matérielle, on peut donc en conclure que le sacrifice du Roi est pour bientôt. Cela permet de comprendre pourquoi on assiste à la montée des intégrismes religieux de tous poils.
La question de la langue de la messe devrait porter sur la question suivante : quelle est la langue qui permettrait au mieux au participants d'être attentifs au déroulement du rite ? La réponse est : la langue que l'on comprend le moins bien.
L'Hirondelle a raison de séparer la notion de sacrificateur et celle d'ancien, car l'autorité étant liée au savoir, il faut avoir vécu et pratiqué, pour disposer d'un savoir minimal et ainsi avoir de l'autorité. L'ancien est alors l'animateur des rites et le transmetteur des enseignements.
L'être humain est globalement soumis à deux fonctions :
1- celle de survivre sur terre et de gérer sa vie matérielle : c'est le rôle du Roi
2- celle de surpasser la condition terrestre, et de grandir spirituellement : c'est le rôle du prêtre. Cela impose un sacrifice du Roi (Voir plus loin).
Melchi-Tsédeq était Roi-Prêtre, à savoir, qu'il représente le prototype de l'homme intégral, capable de survivre sur terre, mais sans aucune exagération. Il dispose d'un rite qui n'est pas compris comme un sacrifice, mais comme un service de répartition équilibrée entre le pain qui sert à la survie terrestre, et le vin qui sert à l'élévation spirituelle. Ce prototype n'a pas de début et de fin, et Melchi-Tsédeq n'a ni père, ni mère.
C'est à partir d'Abraham, que l'exagération s'est installée du côté matériel et conduisant à séparer les deux fonctions, jusqu'à la royauté de Saul, David et Salomon. Salomon construit le temple terrestre, le lieu terrestre le plus apte à recevoir la présence divine. Cependant, l'augmentation de la vie matérielle impose de réguler les exagérations commises sur le plan matériel, qui dépassent de loin le niveau nécessaire à la survie. Alors, la loi de Moïse instaure des sacrifices animaux et matériels, afin de rappeler à l'ordre le peuple, et de le rappeler à l'ordre face à sa fonction spirituelle. Les lévites sont gardiens de la tradition et les prêtres sacrificateurs sont spécialisés dans la façon de conduire les sacrifices.
Avec Jésus va cesser le sacrifice animal, son sacrifice tenant lieu de dernier sacrifice, car il restaure l'ordre de Melchi-Tsédeq en remplacement des prêtres de l'ordre d'Aaron. Il restaure en même temps le rite du partage équilibré entre le pain et le vin, tout en le dédiant à lui-même, en tant que Christ, car le Christ est aussi le Roi du futur royaume. Nouveau roi et nouveau prêtre, il est donc l'accomplissement achevé de Melchi-Tsédeq, le Roi-Prêtre.
La question de la transsubstanciation répond au problème de savoir comment un pain physique et un vin physique peuvent devenir pain céleste et vin céleste. Lors de l'eucharistie, le rite effectue dans le monde physique ce qui s'effectue en chaque participant sur le plan céleste. C'est que le Christ a aussi restauré l'harmonie entre les deux fonctions royale et sacerdotale. Ainsi la réalisation du partage des espèces au sein de la communauté humaine se produit en synchronisation avec le partage du pain et du vin célestes dans chaque disciple. Pour que ce rite soit opérant, il faut que chaque participant soit en communion avec toute la communauté et attentif à chaque mot évoqué dans cette commémoration. Cette opération est donc "au-delà de la substance", trans-substancielle, car elle s'opère par la conscience, en profondeur, et qu'elle est conditionnée par la foi. La liturgie comprend le "Notre Père", afin que "la volonté du Père soit faite SUR LA TERRE COMME AU CIEL", sous-entendant que les rites terrestres sont synchrones aux rites célestes.
Le prêtre tel qu'il peut apparaître dans le christianisme n'a rien d'un sacrificateur, et de toutes façons, il n'y a plus de sacrifice, puisque le Christ en est le grand-prêtre. Le prêtre ne peut être qu'un officiant public. Toutefois, on a assisté à la mort de Jésus comme dernier sacrifice qui est aussi le sacrifice du roi, car c'est sous ce label qu'un écriteau placé sur la croix mentionne "Roi des Juifs". La fonction royale est expansive dans ce monde et la fonction sacerdotale est normalement régulatrice de ce monde, afin d'en préserver le disciple des excès. La messe est aussi la commémoration de la mort de Jésus, étape clef de la rédemption et du relèvement des pêcheurs. La voie chrétienne doit aboutir à faire mourir le roi dans l'individu, ce qui est alors le choix de contribuer activement au sacrifice dernier, et dès lors, la fonction sacerdotale du chrétien reprend un rôle de sacrificateur. Dans les évangiles, ce sont bien les prêtres du Sanhedrin qui condamnent à mort Jésus. Pilate, en tant que représentant de la fonction royale, s'en lave les mains tout en reconnaissant la mise à mort royale (c'est lui qui impose l'écriteau). Notre époque étant celle de la séparation législative généralisée du Roi et du Prêtre et des excès les plus extrêmes de la fonction royale et de la vie matérielle, on peut donc en conclure que le sacrifice du Roi est pour bientôt. Cela permet de comprendre pourquoi on assiste à la montée des intégrismes religieux de tous poils.
La question de la langue de la messe devrait porter sur la question suivante : quelle est la langue qui permettrait au mieux au participants d'être attentifs au déroulement du rite ? La réponse est : la langue que l'on comprend le moins bien.
- medico
- Christianisme [Témoins_de_Jéhovah]
- Christianisme [Témoins_de_Jéhovah]
- Messages : 68400
- Enregistré le : 27 juin05, 06:23
- Localisation : FRANCE
-
Contact :
Ecrit le 16 mars07, 11:28
pas besoin de prétrise JESUS suffit.
(Hébreux 4:14-16) 14 Ainsi, puisque nous avons un grand prêtre souverain qui a traversé les cieux, Jésus le Fils de Dieu, tenons fermement [notre] confession de [Jésus]. 15 Car nous avons pour grand prêtre, non pas quelqu’un qui ne puisse compatir à nos faiblesses, mais quelqu’un qui, à tous égards, a été mis à l’épreuve comme nous, mais sans péché. 16 Avançons-nous donc avec franchise vers le trône de la faveur imméritée, pour que nous puissions obtenir miséricorde et trouver faveur imméritée pour du secours au bon moment.
(Hébreux 4:14-16) 14 Ainsi, puisque nous avons un grand prêtre souverain qui a traversé les cieux, Jésus le Fils de Dieu, tenons fermement [notre] confession de [Jésus]. 15 Car nous avons pour grand prêtre, non pas quelqu’un qui ne puisse compatir à nos faiblesses, mais quelqu’un qui, à tous égards, a été mis à l’épreuve comme nous, mais sans péché. 16 Avançons-nous donc avec franchise vers le trône de la faveur imméritée, pour que nous puissions obtenir miséricorde et trouver faveur imméritée pour du secours au bon moment.
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
- Libremax
- Christianisme [Catholique]
- Christianisme [Catholique]
- Messages : 1246
- Enregistré le : 27 déc.06, 00:17
Ecrit le 16 mars07, 11:33
chèr Ilibade,Le mot "messe" provient de l'hébreu Massiah, le messie.
pardonnez-moi : juste sur ce point vous faites erreur: le mot vient (précisément) de la formule latine qui cloturait la messe, "ite missa est", qui signifie "Allez, vous êtes envoyés" et qui a été remplacée par "allez, dans la paix du Christ".
Le mot "messe" est donc plus à rapprocher de celui de "mission".
- xav
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 1453
- Enregistré le : 08 mai05, 01:18
- Localisation : Belgique - Province de Brabant (Court-Saint-Etienne)
Ecrit le 16 mars07, 12:19
Tout à fait.Libremax a écrit : chèr Ilibade,
pardonnez-moi : juste sur ce point vous faites erreur: le mot vient (précisément) de la formule latine qui cloturait la messe, "ite missa est", qui signifie "Allez, vous êtes envoyés" et qui a été remplacée par "allez, dans la paix du Christ".
Le mot "messe" est donc plus à rapprocher de celui de "mission".
Ecrit le 16 mars07, 12:26
Oui, je connais cette origine. Mais, il me semble qu'elle est controversée. Il est vrai qu'en latin, missus est à la fois l'acte d'envoyer et l'Envoyé de Dieu. Il est curieux de voir que toute la liturgie serait nommée seulement sur la base du renvoi, et non sur son contenu, qui évoque fortement le Messie et l'unité de la communion. Or le terme latin pour Messie est Messias, d'origine hébreu. Alors quid de la réalité ?
- xav
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 1453
- Enregistré le : 08 mai05, 01:18
- Localisation : Belgique - Province de Brabant (Court-Saint-Etienne)
Ecrit le 16 mars07, 13:22
Je voudrai revenir sur d'ancien message et clarifier ma pensée.
je me sens enfant de Va II et aussi de l'Eglise tout court. Pour moi le rite que je vis est celui de Paul VI. j'ai déjà vécu de près pendant 4 ans la liturgie de Saint gens chrisostome, car j'ai été chantre chez des orthodoxes grecs.
Donc pour moi la liturgie tridentine est un de ses rites. Chaque rite à son approche du mystère de Dieu. Aucun n'est parfait, mais tous tendent vers jésus la perfection. chaque rite s'incrit dans ne culture, aussi chaque rite a sa logique, il n'est donc pas bon de les mélanger.
Pour moi le rite Tridentin a toute sa place PARMIS LES AUTRES. Mais qu'il soit le seul vrai et véritable. la je rigole.
Il est clair que des tridentinistes enragés regarde les autres de hauts, boaf, ils sont vraiment misérable quand on les voit.
je me sens enfant de Va II et aussi de l'Eglise tout court. Pour moi le rite que je vis est celui de Paul VI. j'ai déjà vécu de près pendant 4 ans la liturgie de Saint gens chrisostome, car j'ai été chantre chez des orthodoxes grecs.
Donc pour moi la liturgie tridentine est un de ses rites. Chaque rite à son approche du mystère de Dieu. Aucun n'est parfait, mais tous tendent vers jésus la perfection. chaque rite s'incrit dans ne culture, aussi chaque rite a sa logique, il n'est donc pas bon de les mélanger.
Pour moi le rite Tridentin a toute sa place PARMIS LES AUTRES. Mais qu'il soit le seul vrai et véritable. la je rigole.
Il est clair que des tridentinistes enragés regarde les autres de hauts, boaf, ils sont vraiment misérable quand on les voit.
-
- Sujets similaires
- Réponses
- Vues
- Dernier message
-
- 10 Réponses
- 2810 Vues
-
Dernier message par InfoHay1915
-
- 22 Réponses
- 1041 Vues
-
Dernier message par prisca
Qui est en ligne
Utilisateurs parcourant ce forum : pauline.px et 17 invités