Qui a écrit le Coran ?

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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
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Ecrit le 22 mars07, 19:09

Message par K2R »

mickael__keul a écrit : Le "Ciel ne bouge pas de place, c'est l'univers qui s'expanse - concordisme encore !! :wink:
Un autre miracle pour le plaisire?
On pense aussi que cet Univers en contraction finira par atteindre une température très intense et un degré de "rétrécissement" élevé. Cette théorie est connue sous le nom de Big Crunch. Cela mènerait à la fin de toutes formes de vies telles que nous les connaissons. Renata Kallosh et Andrei Linde, professeurs de physique de l'Université de Stanford ont fait la déclaration suivante sur ce sujet :

"L'Univers est peut-être condamné à s'effondrer et à disparaître. Tout ce que nous voyons maintenant, et tout ce qui est à une plus grande distance et que nous ne voyons pas, s'effondrera et ne sera plus qu'un point pas plus gros qu'un proton. Localement, ça sera comme si vous étiez à l'intérieur d'un trou noir…

Nous avons découvert que les meilleures tentatives pour décrire l'énergie sombre, prédisent qu'elle deviendra progressivement négative, ce qui rendra l'Univers instable, puis il s'effondrera… Les physiciens savaient déjà que l'énergie sombre pourrait devenir négative et l'Univers, pourrait, dans un futur très lointain s'effondrer… Mais maintenant nous constatons que nous sommes peut-être, non pas au début mais au milieu du cycle de vie de notre Univers."

C'est ainsi que l'hypothèse scientifique du Big Crunch est indiquée dans le Coran :

Le jour où Nous plierons le ciel comme on plie le rouleau des livres. Tout comme Nous avons commencé la première création, ainsi Nous la répéterons ; c'est une promesse qui Nous incombe et Nous l'accomplirons. (Coran, 21 : 104)

Dans un autre verset, cet état des cieux est décrit ainsi :

Ils n'ont pas évalué Dieu à sa juste valeur : Il saisira la terre tout entière au Jour de la Résurrection et les cieux seront ployés dans Sa dextre. Gloire à Lui et exalté soit-Il au-delà de ce qu'ils lui associent ! (Coran, 39 : 67)

Selon la théorie du Big Crunch, l'Univers va commencer à s'effondrer progressivement puis, à la fin, ce processus ira en s'accélérant. En définitive, la densité et la chaleur qui règneront dans l'Univers seront extrêmes. Cette théorie scientifique est conforme aux explications coraniques sur ce concept scientifique particulier. (Dieu sait mieux)

Comment un petit bedouin au fin fond de l'arabie aurait-il pu deviner cela?MIRACLE DIVIN mais vous ne reflechissez pas...

Et je vous rappel que la bible a été traduite en arabe 400ans apres la venue du prophete.

Simplement moi

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Ecrit le 22 mars07, 21:34

Message par Simplement moi »

abel95 a écrit :.../....
sinon j avais oublié un truc precedement au cas ou Meshia le mot traduit en grec devient christos francisé en Christ.Des traductoin vraiment laisse tomber comme jesus on sais pas d ou sa sort sa aussi,enfin c est pas le sujet.
En effet, laisse tomber. Messie en arabe est AUSSI traduit de l'hébreu juste pour info :wink:

Ma question pourtant était simple : qu'a dit le Coran qui n'ait pas été déja dit dans la Bible ?

Tu m'as dit "le Messie" je t'ai répondu et fait constater (en dehors des presque 300 citations bibliques existantes s'appliquant toutes à Jésus) que cela avait été dit en toutes lettres.

Donc oui, ma question reste entière.

Simplement moi

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Ecrit le 22 mars07, 21:45

Message par Simplement moi »

K2R a écrit : Un autre miracle pour le plaisire?
Pour le plaisir je te prie de relire le verset en ARABE et tu verras qu'il n'y a pas le mot CONSTAMMENT.

C'est un rajout artistique.
K2R a écrit : C'est ainsi que l'hypothèse scientifique du Big Crunch est indiquée dans le Coran :
le Big Bang étant démonté... on passe au big Crunsh :D :D :D

A quand on va venir nous dire que le Big Mac aussi est prédit ?
K2R a écrit : Comment un petit bedouin au fin fond de l'arabie aurait-il pu deviner cela?MIRACLE DIVIN mais vous ne reflechissez pas...
Tu as raison, il n'a rien deviné... car il n'y a rien a deviner :D
K2R a écrit : Et je vous rappel que la bible a été traduite en arabe 400ans apres la venue du prophete.
Tu devrais te rappeller que ce même Monsieur a été marié a une dame dont la famille était chrétienne, que dans ses voyages il a rencontré des juifs et des chrétiens, des juifs, et que des chrétiens et des juifs habitaient en Arabie.

Je suppose qu'ils savaient comment parler entre eux n'est-ce pas ? Ou bien ils n'avaient aucun contact ?

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Ecrit le 23 mars07, 02:21

Message par K2R »

Simplement moi a écrit : Pour le plaisir je te prie de relire le verset en ARABE et tu verras qu'il n'y a pas le mot CONSTAMMENT.



C'est un rajout artistique.
le Big Bang étant démonté... on passe au big Crunsh :D :D :D

A quand on va venir nous dire que le Big Mac aussi est prédit ?
Tu as raison, il n'a rien deviné... car il n'y a rien a deviner :D
Tu devrais te rappeller que ce même Monsieur a été marié a une dame dont la famille était chrétienne, que dans ses voyages il a rencontré des juifs et des chrétiens, des juifs, et que des chrétiens et des juifs habitaient en Arabie.

Je suppose qu'ils savaient comment parler entre eux n'est-ce pas ? Ou bien ils n'avaient aucun contact ?

Certe femme chretienne mais qui c'est converti a l'islam avant qu'il ne l'epouse.
Un autre miracle si tu veut:
LES COUCHES ATMOSPHERIQUES

C'est Lui qui a créé pour vous tout ce qui est sur la terre, puis Il a orienté Sa volonté vers le ciel et en fit sept cieux. Et Il est Omniscient. (Coran, 2 : 29)

Il S'est ensuite adressé au ciel qui était alors fumée, et lui dit, ainsi qu'à la terre : "Venez tous deux, bon gré, mal gré." Tous deux dirent : "Nous venons obéissants." (Coran, 41 : 11-12)


L'atmosphère ne laisse passer que les rayons solaires requis pour la vie sur Terre. Par exemple, les rayons ultraviolets n'atteignent que partiellement notre planète. C'est la fourchette la plus appropriée pour permettre aux plantes d'effectuer la photosynthèse et en définitive de permettre aux êtres vivants de survivre.

Le mot "cieux", présent dans de nombreux versets du Coran, est employé pour désigner le ciel ainsi que l'Univers tout entier. On comprend alors que le ciel, ou l'atmosphère, est constitué de sept couches.

Nous savons aujourd'hui, que l'atmosphère est constituée de sept couches superposées.20 Fondées sur des critères de composition chimique ou de température, les définitions déterminées ont permis d'établir que l'atmosphère de la Terre est constituée de 7 couches.21 Le "Limited Fine Mesh Model (LFMMII)", un modèle d'atmosphère utilisé pour estimer les conditions météorologiques pendant 48 heures, confirme aussi que l'atmosphère est constituée de 7 couches. Selon les définitions de la géologie moderne, les sept couches atmosphériques sont décrites ainsi :

1. Troposphère

2. Stratosphère

3. Mésosphère

4. Thermosphère

5. Exosphère

6. Ionosphère

7. Magnétosphère


Le Coran dit : "Il les détermina en sept cieux et révéla à chaque ciel sa fonction." (Coran, 41 : 12) En d'autres mots, Dieu nous explique qu'Il a assigné à chaque ciel sa propre fonction. Et effectivement, comme nous le verrons dans les chapitres suivants, chacune de ces couches a un rôle vital pour le bienfait de l'humanité et de celui de tous les êtres vivants sur Terre. Chaque couche possède une fonction particulière, depuis la formation de la pluie jusqu'à la prévention des rayons nocifs, du reflet des ondes radio à la préservation contre l'effet néfaste des météores.

Les versets ci-dessous nous informent de l'apparition de ces sept couches de l'atmosphère :

N'avez-vous pas vu comment Dieu a créé sept cieux superposés ? (Coran, 71 : 15)

Celui qui a créé sept cieux superposés… (Coran, 67 : 3)

Le mot en arabe tibaaq dans ces versets, traduit en français par "couches" signifie "couche, couverture ou enveloppe appropriée de quelque chose", et met l'accent sur le fait que la couche supérieure est très appropriée pour la couche inférieure. Le mot est utilisé ici aussi au pluriel : "couches". Les sept cieux superposés, tels que décrits dans ce verset, sont sans aucun doute l'expression la plus parfaite pour décrire l'atmosphère. C'est un grand miracle que ces vérités, qui n'auraient absolument pas pu être découvertes sans la technologie du 20ème siècle, aient été explicitement énoncées dans le Coran voici 1.400 ans.

Satisfait?ou encore un autre?

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Ecrit le 23 mars07, 02:37

Message par etudiant »

eowyn a écrit : Bof mahomet n'est pas à un plagiat près. :D
Le fait que des récits se trouvant dans le texte biblique soient aussi présents dans le texte coranique n'implique pas que le second soit un plagiat du premier : nous musulmans expliquons cette communauté de certains récits par deux raisons…

A) L'une est que le Coran a le même auteur qu'un certain nombre de passages de la Bible ; le texte de l'Ancien Testament a connu des retouches à cause de l'histoire difficile que connurent ses porteurs, mais il est des éléments s'y trouvant qui ont la même origine que le texte coranique : Dieu.

B) L'autre raison expliquant la communauté de certains récits entre le texte coranique et certains écrits judéo-chrétiens non prophétiques est que parfois Dieu a, dans Sa Parole qu'est le Coran, relaté des événements historiques auparavant rapportés par des hommes non prophètes. C'est le cas par exemple du récit des Sept Dormants.
Dieu n'a fait que confirmer un événement que des hommes non-prophètes avaient relaté avant qu'Il n'en parle dans une Révélation.

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Ecrit le 23 mars07, 02:45

Message par etudiant »

Ensuite il faut savoir qu'à côté des similitudes entre texte biblique et texte coranique à propos de certains récits, il existe aussi entre eux trois différences majeures à ce propos…

1) La première différence entre la Bible et le Coran sur ce point est qu'à côté des récits présents dans la Bible aussi, le Coran contient d'autres récits qui ne figurent absolument pas dans le texte biblique. Ainsi, les histoires de 'Ad, de Thamûd, de Madian avec leur prophète respectif – Hûd, Sâlih et Shu'ayb – ne figurent pas dans le texte biblique, alors qu'ils sont développés dans le Coran

2) La seconde différence est qu'il arrive que, pour un même récit, texte coranique et texte biblique présentent de sérieuses divergences. Au regard des musulmans, la raison en est la présence d'erreurs humaines dans la retransmission d'une parole divine antérieure, ou dans la relation d'un événement historique antérieur:

2.1) Il est des points où le Coran se démarque explicitement d'éléments présents dans le texte biblique : ainsi, le Coran affirme que Adam et Eve mangèrent ensemble le fruit interdit, demandèrent ensemble pardon à Dieu et reçurent ensemble le pardon de Dieu : ce disant, il semble se démarquer de l'idée que ce soit Eve qui ait montré la voie du péché à Adam et que Adam se soit plaint à Dieu de son épouse comme étant l'instigatrice de la faute ; ainsi encore, le Coran se démarque explicitement de l'idée que Jacob, entendant le récit que Joseph, son fils, lui fait de son songe, l'ait grondé ; le Coran affirme clairement que la main de Moïse est devenue blanche sans aucune maladie (allusion au fait qu'elle ne devenait pas "lépreuse", comme le dit le texte biblique) ; le Coran déclare avec force que Salomon n'a jamais adoré des idoles, etc. ; de même, le Coran donne comme nom au père de Abraham : "Azar", et non "Térah" ; pareillement, le Coran parle du roi d'Egypte de l'époque de Moïse en disant "Pharaon", mais désigne celui de l'époque de Joseph par un simple "le roi"
2.2) Il est d'autres points à propos desquels le Coran ne confirme ni n'infirme les éléments du texte biblique : le Coran n'affirme par exemple pas que le Déluge de l'époque de Noé ait été universel, comme il n'affirme pas non plus qu'il ait été localisé ; en fait il ne dit rien de son ampleur ; le Coran ne donne non plus aucun chiffre concernant la communauté israélite qui émigre d'Egypte sous la conduite de Moïse ...
2.3) Enfin, il est des éléments que l'on trouve dans le Coran alors qu'ils sont inconnus de la tradition judéo-chrétienne (ils sont absents aussi bien du texte biblique que des autres écrits) : ainsi en est-il de la présence d'un "Haman", responsable de constructions, dans l'entourage de Pharaon, du sauvetage du corps de Pharaon après sa mort dans les flots (Coran 10/92), de la demande faite par les apôtres à Jésus de prier Dieu qu'Il fasse descendre une table garnie (Coran 5/112-115)

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Ecrit le 23 mars07, 02:50

Message par etudiant »

3) La troisième différence est que, dans le Coran, les détails des récits et la narration linéaire sont souvent estompés, au profit d'allusions et de réminiscences qui mettent en exergue l'objectif premier du récit : la leçon spirituelle, morale et humaine à en retirer. Youssef Seddik écrit : "Faisant preuve d'une profonde connaissance de la matière biblique, il [le Coran] en récapitule l'héritage, du récit adamique jusqu'à l'ascension de Jésus et la prédication de Jean-Baptiste, en passant par le Déluge, l'Exode, le règne de David et de Salomon, les vicissitudes de Job et Jonas… Mais il abandonne la narration factuelle, si frappante dans les deux Testaments, au profit d'un ton métaphorique visant à délivrer une leçon d'humanité. Les péripéties historiques s'estompent, le récit coranique se fait parabole" (Le Nouvel Observateur, n° 2042-2043, p. 78).

medico

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Ecrit le 23 mars07, 02:51

Message par medico »

l'histoire de JOSEPH dans le coran est longue comme un jour sans pain ou il a été checrhé ses rajouts MAHOMET :wink:
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah

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Ecrit le 23 mars07, 03:04

Message par etudiant »

Le Coran déclare donc que la Torah, les Psaumes, l'Evangile, ainsi que d'autres Ecritures ont été révélés par Dieu à des prophètes ; et il affirme que lui, le Coran, "déclare véridique l'Ecriture l'ayant précédé". Mais de quoi parle-t-il ?

1) Certains ulémas comme Ibn Hazm pensent que la quasi-totalité (mu'zam) des textes actuels de la Torah, des Psaumes et d'autres Livres révélés n'est pas le message authentique laissé par les prophètes qui les avaient communiqués. Dès lors, ce que le Coran "déclare véridique" est la Torah authentique, celle qui avait été révélée à Moïse (ou à Moïse et à d'autres prophètes si on prend le nom Torah dans le sens de Tanak), les Psaumes révélés à David, et l'Evangile révélé à Jésus, et non les livres dont la plupart des juifs et des chrétiens d'aujourd'hui disposent et qu'ils présentent sous les mêmes noms

2) Mais l'avis qui semble pertinent est celui de ces autres ulémas qui, à l'instar de Ibn Taymiyya, disent que les Ecritures dont la plupart des juifs et des chrétiens d'aujourd'hui disposent et qu'ils présentent sous les noms de "Torah, Psaumes et Evangiles" renferment une partie conséquente des Ecritures laissées à l'origine par les prophètes en question, partie à laquelle certains autres éléments sont venus s'insérer.

Dès lors, quand le Coran "déclare véridique" – c'est-à-dire relevant du message de Dieu destiné à l'orientation des hommes – la Torah, les Psaumes et l'Evangile, il parle en fait de la partie originelle présente dans ces Ecritures : il s'agit de la Parole de Dieu que Celui-ci a révélé à ces messagers, ainsi que les paroles et des actes que ces messagers ont réellement dites et faites en tant que voie à suivre par leurs disciples.


Comment pouvons-nous, nous musulmans, affirmer qu'il se trouve dans le texte actuel de la Tanak et des Evangiles des éléments qui ne se trouvaient pas dans le texte révélé par Dieu à ceux de Ses prophètes aux noms de qui ces livres se rattachent ?

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Ecrit le 23 mars07, 03:08

Message par etudiant »

medico a écrit :l'histoire de JOSEPH dans le coran est longue comme un jour sans pain ou il a été checrhé ses rajouts MAHOMET :wink:
Salut medico,
Au fait a-tu fait des recherches sur l'article "Awake" des TdJ où le titre est:
50000 érreurs dans la Bible?

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Ecrit le 23 mars07, 03:09

Message par medico »

REPOND MOI SUR L'HISTOIRE DE Joseph S T P
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah

etudiant

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Ecrit le 23 mars07, 03:11

Message par etudiant »

En effet, comment peut-on dire cela?

a) A propos de la Tanak (Torah):


Voici une preuve très simple : le 34ème chapitre du Deutéronome ne peut pas relever de ce que Dieu a révélé à Moïse, puisque y sont relatés… la mort de Moïse et l'endroit où il fut inhumé. C'est forcément un homme postérieur qui a relaté cet événement, et son témoignage a été intégré au texte dit "Torah".

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Message par etudiant »

medico a écrit :REPOND MOI SUR L'HISTOIRE DE Joseph S T P
Le Coran a consacré toute une sourate à la vie de Joseph (‘alayhi Salam=Paix sur lui). Allah Taala(=Le très Haut) dit :
« Alif, Lam, Ra. Tels sont les versets du Livre explicite. Nous l'avons fait descendre, un Coran en [langue] arabe, afin que vous raisonniez. Nous te racontons le meilleur récit, grâce à la révélation que Nous te faisons dans le Coran même si tu étais auparavant du nombre des inattentifs (à ces récits). » (Sourate 12:1-3)

http://imaniatte.over-blog.com/article-3512210.html

Ici tu a toute la vie des Prophètes(Paix sur eux) notament celle Joseph.

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Ecrit le 23 mars07, 03:26

Message par etudiant »

Je revient a mes preuves sur la Bible:

Une autre preuve : selon le texte de la Genèse, Noé eut son fils Sem (ainsi que ses autres fils Cham et Japhet) à l'âge de 500 ans (3/32) ; Sem eut son fils Arpakshad à l'âge de 100 ans (11/10) ; Arpakshad eut son fils Shélah à l'âge de 35 ans (11/12) ; Shélah eut son fils Eber à l'âge de 30 ans (11/14) ; Eber eut son fils Pèleg à l'âge de 34 ans (11/16) ; Pèleg eut son fils Réou à l'âge de 30 ans (11/18) ; Réou eut son fils Seroug à l'âge de 32 ans (11/20) ; Seroug eut son fils Nahor à l'âge de 30 ans (11/24) ; Nahor eut son fils Tèrah à l'âge de 29 ans (11/24) ; Tèrah eut son fils Abram (Abraham) à l'âge de 70 ans (11/26).
Noé avait donc 500 ans quand Sem lui naquit. Or Noé vécut en tout 950 ans (Genèse 9/29). Et Noé vécut encore 350 ans après le Déluge (9/28). Celui-ci se produisit donc quand il était âgé de 600 ans, et Sem avait alors 100 ans. Or ce fut à cet âge-là que Sem eut son fils Arpakshad, et Noé avait donc 600 ans (ce qui est d'ailleurs spécifié en Genèse 7/11). Si on additionne les chiffres qui suivent jusqu'à la naissance de Abraham, on trouve 290. Ceci revient à dire que quand Abraham naquit, Noé était encore vivant et âgé de 890 ans, et que lorsque Noé mourut à l'âge de 950 ans, Abraham était âgé de 60 ans !

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Message par gaetan8888 »

Hello

Voici un texte révélateur.

Gaétan

L'Islam ou le plagiat du judaïsme

Al Nader


Les croyances et les rites de l’Islam trahissent très clairement leur origine hébraïque. Rappelons qu’après la mort précoce de son père, Mahomet accompagna son oncle Abu Talib en Syrie durant sa jeunesse. Commerçant de profession, son père adoptif fréquenta de nombreux collègues juifs dans ce pays, ce qui suggère la grande affinité culturelle que pouvait entretenir le jeune Mahomet avec les mystères du judaïsme. De même les juifs s’avéraient nombreux dans les environs de la Mecque, ce nœud commercial important et prospère au VIIième siècle. Avant leur extermination par Mahomet, les juifs représentaient trois clans sur onze à Médine, ce qui illustre la présence persistance des juifs à cette époque dans l’Arabie méridionale.

A ses débuts, Mahomet admirait la religion juive pour son monothéisme. Il n’était pas le seul arabe dans ce cas, car le zoroastrisme d’origine perse et le christianisme diffusait largement en Arabie, convertissant de nombreux arabes païens à leurs conceptions monothéistes. Son intérêt pour le judaïsme le conduisit à récupérer les mythes juifs dans la genèse de sa nouvelle religion, bien que leur assemblage ultérieur dans le Coran ne suive ni d’ordre logique, ni d’ordre chronologique. D'ailleurs l'empressement à compiler sauvagement les récits hébraïques dénote le peu d’intérêt que ses héritiers musulmans accordaient à une réflexion profonde quant au sens caché des textes sacrés, peut-être inspirés par l'exemple même de Mahomet dont les récupérations bibliques avaient surtout une finalité politique.

Ce n’est que progressivement que Mahomet se détourna des juifs, déçus de leur manque d’enthousiasme pour ses prêches enflammés. Le choix initial de la direction de prière (la kiblah) pour Jérusalem (s.2, v.36) avant d’opter pour la Mecque traduit assez clairement cette défiance croissante envers les juifs. L’extermination de la tribu juive des Qurayza de Médine, à la suite d’une bataille avec les mecquois, marqua la funeste apogée de sa haine antisémite.

Malgré ce divorce consommé dans le sang, l’Islam ne constitue historiquement qu’une sorte de secte juive, bien que les apports païens, zoroastriens et chrétiens ne soient pas négligeables. Par exemple la plupart des personnages de l’ancien Testament sont cités dans le Coran, dont voici une liste non exhaustive avec leur équivalent islamisé :

Aaron – Harun
Elie – Ilyas
Jonas – Yunus

Abel – Habil
Gabriel – Jibril
Joseph – Yusuf

Abraham – Ibrahim
Goliath – Jalut
Joshua – Yusha

Adam – Adam
Isaac – Ishaq
Lot – Lut

Caïn – Quabil
Ismaël – Ismail
Moïse – Musa

David – Dawd
Jacob – Yacub
Noé – Nuh


A ces personnages correspondent des histoires bien connues du judaïsme :

Récit biblique avec leurs références coraniques de la version islamisée

Aaron fait un veau
s.20, v.90

Abraham prêt à sacrifier son fils Ismaël
s.37, v.103

Abraham visité par les anges
s.11, v.69 ; s.15, v.52

Arche de Noé
s.11, v.40

Caïn et Abel
s.30

Chute d’Adam
s.7, v.24 ; s.2, v.35

Création du monde
s.13, v.3 ; s.16, v.3 ; s.35, v.1-12

Déluge
s.11, v.42 ; s.54, v.9 ; s.69, v.11

Jacob en Egypte
s.12, v.100

Jonas et la baleine
s.6, v.86 ; s.10, v.98 ; s.37, v.139 ; s.68, v.48

Jugement de Salomon
s.21, v.78

La manne et les cailles
s.7, v.160 ; s.20, v.82

Louange de David à Dieu
s.34 , v.10

Moïse frappe le rocher
s.7, v.160

Pharaon
s.2, v.46 ; s.10, v.76 ; s.40, v.38 ; s.43, v.45

Reine de Saba
s.27, v.72


A ce niveau d’analyse, nous pouvons déjà démontrer rationnellement que le Coran n’a jamais été dicté par Dieu lui-même à Mahomet, ainsi que le croient les musulmans.

Notons que cette récupération des mythes fondateurs du judaïsme s’effectue en coupant de nombreux passages, rendant souvent incompréhensibles des versets. Il faut parfois se munir de la version hébraïque pour redonner un sens aux citations coraniques. Là encore, ce détail montre que Mahomet n’a pas daigné se relire dans la compilation du Coran, comme s’il avait surtout été pressé d’élaborer un recueil de bonnes paroles en vue de pressants besoins politiques.

De manière général, la copie ne peut prétendre rivaliser avec l’original, comme l’affirment franchement de nombreux spécialistes : « Ses personnages sont tous pareils et ils débitent les mêmes platitudes. Il aime les dialogues théâtraux, mais il a une conception limitée de la mise en scène et de l’action théâtrale. L’enchaînement logique des épisodes est fantaisiste et des détails importants, nécessaires à la compréhension du récit, sont fréquemment oubliés. Il ne peut s’empêcher de ressasser les mêmes histoires et il a un sens très limité de l’humour (…) La sourate s.11, v.27-51 donne un récit ennuyeux des aventures de Noé. Elle contient très peu de faits. Elle est composée de harangues uniformément lassantes qui se répètent sans inspiration et on a le sentiment qu’un contemporain de Noé, placé devant l’éventualité de passer quarante jours et quarante nuits dans l’arche, préfèrerait affronter le Déluge… », Torrey, "The Jewish Foundation of Islam", New York, 1933.

Enfin des passages maintes fois cités par les admirateurs de l’Islam ne constituent, là-encore, que des récupérations pures et simples d’écrits hébraïques. Ainsi ce verset où il est question du meurtre de l’humanité :

« C’est pour cause nous avons prescrit aux Enfants d’Israël que celui qui tue quelqu’un, à moins que ce ne soit pour un autre meurtre, ou pour violence dans le pays, est comme s’il avait tué tous les hommes, mais celui qui en sauve un, est comme s’il avait sauvé tous les hommes » (s.5, v.35).

Ce passage est en fait un plagiat dont l’original se trouve dans le Mishnah Sanhédrin des juifs.

L’influence capitale des samaritains

Mais parmi les différents courants du judaïsme, il semble que les samaritains, ces adeptes d’une branche juive ne reconnaissant que le Pentateuque, ait eu une influence déterminante dans la genèse de l’Islam. En effet les samaritains rejetaient la ville sainte de Jérusalem pour lui préférer le sanctuaire de Sichem, près du mont Garizim. Tout comme Mahomet imposant comme direction de prière, à la place de Jérusalem, la ville de la Mecque près du mont Hira. De même Sichem était étroitement associé à Adam et Abraham, comme l’est également la Mecque, et dans les deux sanctuaires une station d’Abraham était censée se trouver. Cette ressemblance troublante conduit le spécialiste de l’Islam Cook à affirmer :

« Le parallèle est remarquable. Tous deux présentent la même structure binaire d’une ville sainte étroitement associée à une proche montagne sainte. Le rite fondamental est un pèlerinage de la ville vers la montagne et dans chaque cas le sanctuaire est une fondation d’Abraham. Le pilier sur lequel Abraham sacrifia à Sichem trouve son équivalent dans le rukn (l’angle Yamani de la Kaaba) du sanctuaire mecquois. Finalement, le sanctuaire urbain est dans chaque cas intimement associé à la tombe d’un patriarche : Joseph pour les samaritains, Ismaël pour la Mecque ».

Au niveau du rite, des ressemblances troublantes apparaissent, telle la formule « Il n’ y a qu’un seul Dieu » récurrente dans les deux religions. Enfin les samaritains vénéraient particulièrement Moïse. Or Moïse conduisit son peuple hors de l’Egypte synonyme de servitude (Exode) avant de recevoir la Loi au Mont Sinaï. Exactement comme Mahomet fuyant la Mecque alors hostile (Hégire) et recevant ses révélations divines sur le Mont Hira. Ces coïncidences se résument dans le tableau suivant :

Moïse
Exode
Pentateuque
Mont Sinaï / Mont Gazirim
Sichem

Mahomet
Hégire
Coran
Mont Hira
La Mecque


Le judaïsme en général et la doctrine des samaritains en particulier sont donc indispensables pour une meilleure compréhension de l’Islam. D’autres influences religieuses, cependant, existent dans l’Islam.

Les autres influences religieuses : le zoroastrisme

Depuis des temps immémoriaux, la région du Proche Orient servit de terreau fertile à de nombreuses croyances religieuses, qu’il s’agisse de la révolution monothéiste initiée en Egypte par le pharaon Aménophis IV, de l’avènement du judaïsme avec Moïse traversant le Sinaï, ou encore le zoroastrisme qui essaima en Perse.

Fondé par un fils de prêtre païen répondant au nom de Zorastre plusieurs siècles avant notre ère, le zoroastrisme est une religion monothéiste qui croit en l'existence du dieu céleste Ahura-Mazda. Ce dieu unique est associé à la lumière, de sorte que les zoroastriens lui rendent hommage en adorant des feux. Zorastre aurait reçu cette nouvelle religion de l'ange Vohu-Manah (remarquez le parallèle avec l'ange Gabriel de l'Islam) avant de convertir le roi Vishtapa, père de Darius I le Grand. Tout comme le Allah des musulmans, Ahura-Mazda aurait expressément demandé à Zoroastre de lutter vigoureusement contre le polythéisme. Précisons que les concepts hébraïques de la Genèse, d’Adam et Eve, du Déluge se retrouvent dans le zoroastrisme, reliques de très anciens mythes mésopotamiens.

Sur le plan historique, la victoire des musulmans sur les perses sassanides en 636 contribua à la mise en relation directe de l’Islam avec le zoroastrisme. A cette époque de cristallisation progressive du Coran dont la version définitive n’apparaît que bien plus tard, une pénétration des dogmes musulmans par les concepts zoroastriens s’est nécessairement effectuée. N’oublions pas que les musulmans ne s’étaient pas privé d’emprunter au judaïsme nombre de leurs croyances et rites, de sorte que leur réceptivité au zoroastrisme ait déjà un précédent. Argument plus convaincant encore, il faut imaginer l’intrusion des arabes grossièrement barbares et analphabètes dans cette zone de haute culture et de raffinement qu’est la Perse. Ce changement de décor a dû fortement impressionner ces nomades descendus de leurs montagnes désertiques, favorisant leur perméabilité culturelle aux croyances zoroastriennes.

Or l’influence du zoroastrisme perse sur l’Islam est évidente, notamment dans le nombre de prières quotidiennes que doit effectuer le fidèle musulman, ou encore la croyance eschatologique en le mizan, ou plateau sur lequel les âmes des morts sont jugées (Coran : s.21, v.47). D’ailleurs le Coran place les zoroastriens au même niveau que les juifs, les sabéens et les chrétiens.

Selon la tradition musulmane, l’âme du défunt doit emprunter un pont fin et tranchant comme une lame pour accéder au paradis. Les justes le franchissent avec succès, les injustes trébuchent et tombent en enfer. Cette idée se retrouve dans le zoroastrisme, et sa trace ressurgit même chez les hindous, du fait des influences croisées que nourrirent les peuples perses et indiens.

Autre exemple, les houris réservées aux guerriers supposés méritants de l’Islam, ou vierges célestes offertes à leurs fantasmes sexuels, suggèrent une ascendance zoroastrienne. Dans le zoroastrisme en effet, les anges sont de sexe féminin, et on imagine sans mal la confusion mentale qu’a dû opéré ces créatures charmantes sur ces barbares conquérants loin de leur foyer, en cette Mésopotamie heureuse où tout respire sexe et volupté…

Le substrat païen

De nombreux rites, coutumes, croyances musulmans découlent directement d’un fort substrat païen. Le pèlerinage à la Mecque et ses révolutions autour de la kebba reprennent un ancien culte païen, la pierre noire embrassée par les pèlerins représente en fait une idole archaïque, et même le nom d’Allah correspond à une antique divinité adorée chez les arabes du nord, de sorte que le doute subsiste quant aux croyances idolâtres de Mahomet . De même le chant du muezzin est d’origine animiste. Les djinns, ou esprits de la nature, demeurent récurrents dans le Coran. Ce terme signifie « voilé, caché, obscure » et traduit la crainte qu’éprouvaient les arabes païens à l’encontre de ces esprits supposés malfaisants.

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