Encyclopédie des Miracles du coran et de la Sunna
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La religion musulmane l'Islam, se veut une révélation en langue arabe de la religion originelle d'Adam, de Noé, et de tous les prophètes parmi lesquels elle place aussi Jésus. Ainsi, elle se présente comme un retour à la religion d'Abraham (appelé, en arabe, Ibrahim par les musulmans) du point de vue de la croyance, le Coran le définissant comme étant la voie d'Ibrahim (millata Ibrahim) c'est-à-dire une soumission exclusive à Allah.
La religion musulmane l'Islam, se veut une révélation en langue arabe de la religion originelle d'Adam, de Noé, et de tous les prophètes parmi lesquels elle place aussi Jésus. Ainsi, elle se présente comme un retour à la religion d'Abraham (appelé, en arabe, Ibrahim par les musulmans) du point de vue de la croyance, le Coran le définissant comme étant la voie d'Ibrahim (millata Ibrahim) c'est-à-dire une soumission exclusive à Allah.
Ecrit le 13 mars07, 10:34
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LE MIEL ENTRE LE CORAN ET LA SCIENCE
Le miel fait, dans ces deux dernières années, l’objet de plusieurs recherches et publications, ce qui n’était pas le cas il y a quelques décennies. Presque, chaque semaine, une étude est publiée en ce sujet, dans des revues de grande renommée.
Dans le Coran, Dieu, dont le nom est béni et exalté, dit « [Et voilà] ce que ton Seigneur révéla aux abeilles : "Prenez des demeures dans les montagnes, les arbres, et les treillages que [les hommes] font. 69. Puis mangez de toute espèce de fruits, et suivez les sentiers de votre Seigneur, rendus faciles pour vous. De leur ventre, sort une liqueur, aux couleurs variées, dans laquelle il y a une guérison pour les gens. Il y a vraiment là une preuve pour des gens qui réfléchissent. » Sourat des abeilles 16, verset 68 et 69.
D’autres nombreux Hadith, dans la Sounat, viennent mieux dévoiler les différentes qualités et caractéristiques du miel, notamment dans le domaine médicinal. Ibn Abass rapporte que le Prophète lui a dit : « la guérison réside dans 3 choses : une gorgée de miel, une scarification, ou un point de feu ; et je défend ma communauté du feu » Boukhari. Egalement, Ibn Massoud lui rapporte ce que lui a dit le Prophète : « contentez-vous des deux remèdes, le miel et le Coran » IbnMajah et Elhakim.
D’une autre part, les recherches scientifique récentes démontrent, de plus en plus, les qualités du miel dans différents domaines. Parmi les plus récentes de ces recherches, celles d’un enseignant à l’Université de Waikato en Newzeland, le Professeur Peter Molan, qui a investi avec ses collaborateurs 20 ans environs de recherche sur le miel, et qui a fini par publier des dizaines d’articles à ce sujet, dans des revues médicales les plus mondialement recommandées. Le dernier article fut publié en Avril 2003. Cependant, il n’est pas le seul. D(autre chercheurs ont consacré leur travaux à cette substance, et fini par publier de nombreux articles qui ne manquent pas d’intérêt.
Certes, le miel était depuis l’antiquité un bon remède pour un ensemble de maladies, et ses effets sur la longévité et la bonne santé étaient très connus. Ne serai-ce comme preuve que l’état de santé quasi parfait des élévateurs d’abeilles. L’histoire elle-même nous rapporte un certains nombre de personnes, célèbres, d’une longévité remarquable, et qui avaient, pour secret, un régime alimentaire à base de miel. Vitagor , à titre d’exemple, mangeait le pain et le miel régulièrement. Son âge dépassait 90 ans. Le grand maître de la médecine Hypochrate, dont l’âge était de plus de 108ans, avait pour repas quotidien le miel. Les exemple sont nombreux.
Mais, on est en droit de se demander : les musulmans avancent que le Coran parles des remèdes contenus dans le miel, tout en sachant que de nombreuse nations, tels les Pharaoniens, les Grecs, les Romans.. l’utilisaient autant que remède, et qu’il fut déjà cité dans les autres Livres Saints ; en quoi donc consiste la nouveauté dans le Coran et où ce miracle résides t-il donc ? La réponse s’éclaircit dans les 3 points suivants :
1- Dieu ne cite pas le miel explicitement, mais parle de ce qui sort du ventre des abeilles. Toute le liberté donc, est à l’homme d’étudier les excrétions des abeilles, à savoir, le miel, l’alimentation royale, la cire, voire le poison.., de connaître leur caractéristiques et d’analyser leurs compositions. C’est l’étape de connaissance.
2- Toutes ces substances, citées si-dessus, sont des remèdes. Sans une analyse de près, l’homme serait incapable d’attribuer chaque maladie à son remède. Le Coran l’invite, de ce fait, à faire des recherches et des expériences sur ces substances pour en raffiner les connaissances et en tirer profit. C’est l’étape de l’expérimentation.
3- Le Coran annonce textuellement « une guérison pour les gens. Il n’a pas dit : remède pour tout le monde. Ce qui signifie que pas toutes les maladies vont être traitées par du miel, seulement certaines.
Ces trois petites remarques ont, pour point commun, l’invitation à méditer, à réfléchir et rechercher, qu’ouvre le Coran. C’est ici que réside le miracle. Car à la fin du verset, Dieu dit : « Il y a vraiment là une preuve pour des gens qui réfléchissent ».
Voici à présent quelques extraits des publications faites au sujet du miel exposant différentes recherches réalisées et leurs résultats.
a- les microbes ne résistent pas au miel :
Tel est le titre d’un article publié dans la revue Lancet infect Dis, en Février 2003. dans cet article, le Dr Dixon confirme la grande efficacité du miel à contrôler, irrésistiblement, un grand nombre de microbes. Il finit par recommander le miel comme traitement des brûlures et des plaies. « tous les types de miel – rapporte le Pr Molan - ont un pouvoir anti-microbe, malgré que certains sont plus efficaces que d’autres. Le miel inhibe la croissance microbienne et désinfecte ainsi les plaies ».
à le miel est un grand agent cicatrisant :
C’est le titre d’un article publié dans J Wound ostomy Continence Nurs, en Novembre 2002 par le Dr Lasby, de l’Université de Charles Tsart, en Australie, qui dit : « Malgré que le miel étai utilisé comme remède traditionnel pour les plaies et les brûlures, sont introduction dans les protocoles thérapeutiques actuels était, pour longtemps, inconnues. ». Le Dr Kingsley, de l’hopital Devan, en Angleterre, dans un article publié en Br J Nurs, Decembre 2001, explique : « les médias ont tellement fait le point sur l’efficacité du miel dans le traitement des plaies, que les patients, en Angleterre, le réclament au près de leurs médecins en cas de plaie ».
De nombreuses autres recherches ont démontré les propriétés anti-mircobiennes du mile in vitro. Au même titre, un grand nombre de recherche in vivo, on confirmé que l’utilisation du miel dans les plaies très inflammées, a permis le nettoyage des suppurations et la réduction du temps de cicatrisation. « le miel était – précise le Pr Molan, de l’Université de waikato en Newzeland – un élément de base dans le traitement des plaies, quelques siècles auparavant. Mais avec l’apparition des antibiotiques, il est devenu une « mode dépassée ». Malheureusement, la résistance aux antibiotiques ne cesse de se développer et demeure un grand problème médical. Ce qui a fait ré-surgir le miel dans le traitement de ces cas » .
Bref, les études expérimentales, aussi bien in vitro qu’in vivo, ont confirmé que le miel possède de nombreuses propriétés :
- efficacité anti-microbienne,
- absence d’effet secondaire sur les tissus,
- antiseptiques fort et puissant,
- stimule les tissus responsables de la cicatrisation,
- anti-inflammatoire et antalgique
- diminue l’œdème et l’exsudation,
- diminue les séquelles de cicatrisation,
- son pH est ses effets osmotiques, jouent un rôle déterminant dans son efficacité anti-microbienne.
b- le miel inhibe la bactérie : Pseudomonas aeruginosae :
Ceci est rapporté par le Dr Cooperen guise d’introduction à son étude, publiée dans la revue J Bur Care Rehabil, en Décembre 2002 : « En l’absence d’un traitement parfait des brûlures suppurées dont l’agent est Pseudomonas aeruinosea, la recherche d’autres moyens thérapeutiques plus efficace s’imposes ».
Certaines études récentes parlent du miel, connu d’ailleurs pour son utilisation ancienne, autant qu’agent anti-pseudomonas. C’est ainsi que le Dr Cooper et ses collaborateurs, de l’Université de Kardief, en Angleterre, ont évalué la sensibilté de 17 sous-types de Pseudomonas, prélevées au niveau de brûlures suppurées, à deux types de miel : le miel « pasture » et « manuka ». tous les sous-types lui étaient sensibles à une concentration inférieure à 10% (g/ml). En plus, les 2 types de miel ont gardé la même efficacité, même après dilution à une concentration dix fois moins. Conclusion : le miel, par ses effets anti-microbes, est apte à être l’un des traitements efficaces des suppurations des brûlures dues à Pseudomonas aeruginosea.
Une autre étude, publiée dans la revue J Appl Microbial, en 2002, confirme l’efficacité du miel comme traitement des brûlures suppurées par les bactéries Cocci Gram positif.
c- le miel est un bon pansement des plaies :
Dans une étude, publiée dans la revue Ann Plast Surg, en Février 2003, qui a été effectuée sur 60 patients holandais atteint de différentes plaies profondes, classées en plaies chroniques (21 patient), plaies compliquées (23 patients), et plaies aiguës dues au rejet ( 16 patient). Dans cette étude, les chercheurs ont rapporté la facilité de l’utilisation du miel en application, chez tous les malades, à l’exception d’un seul cas, et que le miel a permis la désinfection des plaies, sans qu’aucun effet secondaire soit observé.
Lesdits chercheurs ont souligné le nombre de médecins qui hésite encore à utiliser le miel, pour traitement local, sous réserve que son utilisation n’est pas confortable vu sa viscosité et sa collabilité.
Aussi, le miel est-il conseillé pour son usage comme protecteur, sur les berges des incisions dans la chirurgie carcinologique. C’est ce que annonce un article des Arch Surgery, publié en 2002.
d- le mile est les brûrlures :
A ce sujet, la revue Burns en 1996 à publiée une étude portant sur l’utilité du mile dans le traitement des brûlures. Sur deux groupes de 50 patients, atteints de brûlures ( chaque groupes est fait de 50 patient), le miel était utilisé dans le 1er groupe. Le 2ème était traité par l’application, sur les lésions, de portions de pomme de terre bouillies ( comme élément naturel non pathogène : placebo). Le résultat de cette étude a montré que 90% des brûlures, traitées par du miel, sont devenues stériles dans 7 jours, et que le taux de cicatrisation complète, au bout de 15 jours, était de 100%. Alors que seulement 50% des patients du 2ème groupe ont cicatrisés en 15 jours.
e- le miel est riche en anti-oxydants :
Les chercheurs ont comparé, dans une étude publiée en Mars 2003, dans la revue J Agric Food Chem, entre la consommation de 1,5 g/Kg du poids du corps, du miel et la même quantité du jus du maïs. Ils ont comparé l’effet de ces deux éléments sur l’activité anti-oxydative. Le contenu plasmatique en anti-oxydants phénoliques était nettement supérieur après consommation du miel, par rapport au jus du maïs. L’étude a également signalé l’efficacité des anti-oxydants phénoliques, contenus dans le miel, qui permet à l’organisme d’augmenter sa résistance au stress oxidatif.
Il est estimé que le citoyen américain consomme, annuellement, plus de 70 Kg des édulcorants. L’utilisation du miel, comme alternative à ces édulcorants, améliorerais mieux le système anti-oxydant au sein de l’organisme humain. Telle est la recommandation que fait le Pr Schramm, le miel au lieu des édulcorants.
Dans une autre étude, réalisée en France et publiée dans la revue J Nutr, en Novembre 2002, on a administré à des rats, une alimentation contenant 65g d’amidon, sous forme d’amidon du blé, ou un mélange de fructose et du glucose ; en opposition à une autre alimentation contenant du miel. Les chercheurs ont constaté que les rats, alimentés par du miel, avaient un niveau d’anti-oxydants supérieur, et que le leur cœurs étaient moins exposés à l’oxydation des lipides. D’autres études pour mieux comprendre les mécanismes de ces propriétés anti-oxydatives s’avèrent nécessaires, ainsi commentent les chercheurs.
f- le miel et la santé buccale :
Le Pr Molan a insisté, dans un article dans la revue Gent Dent, en Décembre 2001, sur le rôle que jouerait le miel dans le traitement des maladies de la gencive, ainsi que les ulcérations buccales et autres pathologies ; et ce, grâce à ses propriétés anti-bactériennes.
g- le miel dans le traitement des muscites post radiques :
La revue Support Care Cancer a publié, en Avril 2003, une étude effectuée sur 40 patients, atteints de cancers dans la région cervicale et la tête, et nécessitant une radiothérapie. Les patients ont été partagés en 2 groupes. Le 1er groupe a reçu la cure de radiothérapie directement après diagnostic. Le 2ème groupe, a bénéficié, avant la cure de radiothérapie, d’une application locale du miel au niveau buccal. Les patients ont pris 20g de miel 15 minutes avant et après la cure, puis 6heures après la cure. L’étude a montré une baisse importante du taux de survenue de muscite chez les patients ayant utilisé du miel, ( 75% dans le 1er groupe, versus 20% dans le 2ème groupe).
La conclusion des chercheurs souligne que l’application du miel localement, au cours des séances de radiothérapie, est une méthode efficace et peu coûteuse, de prévenir les miscites post-radiques au niveau buccal. Une conclusion qui mérite, d’être confirmée par d’autres études multicentriques pour soutenir ces résultats.
h- le miel dans les affections de l’estomac et des intestins :
Dans une étude publiée dans la revue Pharmacol Res en 2001, les chercheurs ont prouvé que le miel a bien, une place dans le traitement des gastrites (inflammation de l’estomac). Des lésions et des ulcérations ont été provoquées chez des rats, par l’administration d’alcool alors qu’un 2ème groupe de rats ont reçu du miel, avant de leur administrer l’alcool. Il a été noté que le miel a protégé l’estomac des lésions que peut provoquer l’alcool. Une autre étude similaire a été publiée, en 1991, par la revue scandinave des maladies gastrologiques.
Aussi, les chercheurs ont-ils procédé à tester l’efficacité du miel naturel sur la bactérie la plus communément connue pour son incrimination dans la pathogénie de l’ulcère gastrique, et les gastrites, appelée Helicobacter Pylori. Ils ont montré que l’administration d’une solution de miel concentrée à 20% a inhibé cette bactérie in vitro. Cette étude est publiée dans la revue Trop Gastroent en 1991. D’autres expériences sont nécessaires pour étudier cet effet chez l’homme.
En lisant les hadiths du Prophètes, on s’apperçoit que le Prophète a parlé de cette propriété du miel. Dans un Hadith rapporté par Boukhari et Mouslim, un homme venant chez le Prophète et lui dit : Mon frère a une diarrhée. Le Prophète lui répondit : « donne-lui du miel ». Il lui en donna. Puis il revenu chez le Prophète et lui dit : je lui en ai donné, mais il n’a fait que aggraver sa diarrhée. Il répéta la scène à trois reprises. En venant une 4ème fois, le Prophète lui répondit encore : « donne lui du miel », il contesta : je lui en avait donné, il s’aggrave toujours. Le Prophète lui donc précisa : « Dieu a raison, alors que le ventre de ton frère lui, ment ». Il lui en donna, et il guérit.
En effet, le fameux BM J a publié en 1985 une étude réalisée au près de 169 enfant atteints de gastro-entérite. 80 parmi eux, ont reçu le sérum glucosé associé à 50 ml de miel au lieu du glucose. Les chercheurs ont noté que la diarrhée, due à la gastro-entérite, a duré 93 heurs chez les enfants n’ayant pas reçu le miel ; alors que les bénéficiers de la cure du miel ont eu une durée moins (58heurs).
i- le miel a-t-il un rôle dans le traitement des colites (inflammation du colon) ?
Telle est la question que se sont posées des chercheurs de l’Université d’Istomboule, et ont publié les résultats de leurs recherches dans la revue Dig Surg en 2002. Ils ont constaté que l’administration du miel par voie rectale a la même efficacité que le cortisone, chez des rats, aux quels une colite a été provoquée. Toutefois, cette étude reste à confirmer par d’autres contrôles.
De même, la revue Eur J obstet Gynecol Repord Biol a publié, en Septembre 2002, une étude effectuée sur des rats ayants des lésions abdominales. Elle a montré que l’administration en intra péritonéal, du miel, a permis de réduire le taux de survenue d’adhésion péritonéale. Etude qui demeure encore au stade expérimentale seulement sur des rats.
Le miel peut-t-il protéger contre les lésions inflammatoires du colon ? Cette question a fait l’objet d’une étude réalisée a l’Université du Roi Saoud , en Arabie Saoudite. Les chercheurs de cette Université ont procédé à provoquer des lésions au niveau du colon, chez des rats, par un acide. Ces rats ont reçu au préalable des doses du miel, du glucose et du fructose, par voie orale et rectale. Ils ont constaté que le miel a eu un rôle primordial de protection du colon contre l’agression de cet acide.
j- le miel et le cuir chevelu :
En se basant sur les effets anti-microbiens, antifongiques et anti-oxydants du miel, un chercheur, le Dr Al Willis, a étudié l’effet du miel en traitement de la dermatite séborrhéique. Il a étudié 30 patients, 10 hommes et 20 femmes, atteints de cette maladie qui touche le scalpe, le visage et la partie antérieure du thorax ; avec un âge entre 15 et 60 ans.
Les lésions dermatologiques, chez ces patients, étaient des squames blanches sur une surface érythémateuse. Les patients appliquaient une solution à base de miel (90% de miel dans de l’eau tiède) une fois tous les deux jours, sur les zones atteintes, notamment, le scalpe, le visage et le thorax, avec un massage de 2 à 3 minute, pour une durée de 3 heure avant de se rincer par de l’eau tiède. Un suivi quotidien de ces patients était établi, sur les critères de prurit, squames et chute de cheveux. Le traitement a duré 4 semaines, avec une bonne réponse ; les patients ne se plaignent plus de prurit ni de squames à partir de la 1ère semaine de traitement. Les autres lésions ont complètement disparu au bout de 2 semaines.
Puis, la surveillance de ces patient a continué pendant 6 mois, avec une application une fois par semaine du miel sur les zones atteintes. Aucune rechute n’a été signalée chez les 15 patients qui n’ont pas arrêté le traitement. Tandis que les lésions ont réapparu chez 12 patients parmi les 15 qui ont arrêté le traitement.
Le Dr Willis a conclu, en fin de son étude, que le miel, en traitement local, peut très bien, améliorer les symptômes de la dermatite séborrhéique, et empêche la survenue de rechute s’il est utilisé une fois par semaine.
Dieu dont le nom est béni et exalté a raison de dire : « De leur ventre, sort une liqueur, aux couleurs variées, dans laquelle il y a une guérison pour les gens. Il y a vraiment là une preuve pour des gens qui réfléchissent ».
LE MIEL ENTRE LE CORAN ET LA SCIENCE
Le miel fait, dans ces deux dernières années, l’objet de plusieurs recherches et publications, ce qui n’était pas le cas il y a quelques décennies. Presque, chaque semaine, une étude est publiée en ce sujet, dans des revues de grande renommée.
Dans le Coran, Dieu, dont le nom est béni et exalté, dit « [Et voilà] ce que ton Seigneur révéla aux abeilles : "Prenez des demeures dans les montagnes, les arbres, et les treillages que [les hommes] font. 69. Puis mangez de toute espèce de fruits, et suivez les sentiers de votre Seigneur, rendus faciles pour vous. De leur ventre, sort une liqueur, aux couleurs variées, dans laquelle il y a une guérison pour les gens. Il y a vraiment là une preuve pour des gens qui réfléchissent. » Sourat des abeilles 16, verset 68 et 69.
D’autres nombreux Hadith, dans la Sounat, viennent mieux dévoiler les différentes qualités et caractéristiques du miel, notamment dans le domaine médicinal. Ibn Abass rapporte que le Prophète lui a dit : « la guérison réside dans 3 choses : une gorgée de miel, une scarification, ou un point de feu ; et je défend ma communauté du feu » Boukhari. Egalement, Ibn Massoud lui rapporte ce que lui a dit le Prophète : « contentez-vous des deux remèdes, le miel et le Coran » IbnMajah et Elhakim.
D’une autre part, les recherches scientifique récentes démontrent, de plus en plus, les qualités du miel dans différents domaines. Parmi les plus récentes de ces recherches, celles d’un enseignant à l’Université de Waikato en Newzeland, le Professeur Peter Molan, qui a investi avec ses collaborateurs 20 ans environs de recherche sur le miel, et qui a fini par publier des dizaines d’articles à ce sujet, dans des revues médicales les plus mondialement recommandées. Le dernier article fut publié en Avril 2003. Cependant, il n’est pas le seul. D(autre chercheurs ont consacré leur travaux à cette substance, et fini par publier de nombreux articles qui ne manquent pas d’intérêt.
Certes, le miel était depuis l’antiquité un bon remède pour un ensemble de maladies, et ses effets sur la longévité et la bonne santé étaient très connus. Ne serai-ce comme preuve que l’état de santé quasi parfait des élévateurs d’abeilles. L’histoire elle-même nous rapporte un certains nombre de personnes, célèbres, d’une longévité remarquable, et qui avaient, pour secret, un régime alimentaire à base de miel. Vitagor , à titre d’exemple, mangeait le pain et le miel régulièrement. Son âge dépassait 90 ans. Le grand maître de la médecine Hypochrate, dont l’âge était de plus de 108ans, avait pour repas quotidien le miel. Les exemple sont nombreux.
Mais, on est en droit de se demander : les musulmans avancent que le Coran parles des remèdes contenus dans le miel, tout en sachant que de nombreuse nations, tels les Pharaoniens, les Grecs, les Romans.. l’utilisaient autant que remède, et qu’il fut déjà cité dans les autres Livres Saints ; en quoi donc consiste la nouveauté dans le Coran et où ce miracle résides t-il donc ? La réponse s’éclaircit dans les 3 points suivants :
1- Dieu ne cite pas le miel explicitement, mais parle de ce qui sort du ventre des abeilles. Toute le liberté donc, est à l’homme d’étudier les excrétions des abeilles, à savoir, le miel, l’alimentation royale, la cire, voire le poison.., de connaître leur caractéristiques et d’analyser leurs compositions. C’est l’étape de connaissance.
2- Toutes ces substances, citées si-dessus, sont des remèdes. Sans une analyse de près, l’homme serait incapable d’attribuer chaque maladie à son remède. Le Coran l’invite, de ce fait, à faire des recherches et des expériences sur ces substances pour en raffiner les connaissances et en tirer profit. C’est l’étape de l’expérimentation.
3- Le Coran annonce textuellement « une guérison pour les gens. Il n’a pas dit : remède pour tout le monde. Ce qui signifie que pas toutes les maladies vont être traitées par du miel, seulement certaines.
Ces trois petites remarques ont, pour point commun, l’invitation à méditer, à réfléchir et rechercher, qu’ouvre le Coran. C’est ici que réside le miracle. Car à la fin du verset, Dieu dit : « Il y a vraiment là une preuve pour des gens qui réfléchissent ».
Voici à présent quelques extraits des publications faites au sujet du miel exposant différentes recherches réalisées et leurs résultats.
a- les microbes ne résistent pas au miel :
Tel est le titre d’un article publié dans la revue Lancet infect Dis, en Février 2003. dans cet article, le Dr Dixon confirme la grande efficacité du miel à contrôler, irrésistiblement, un grand nombre de microbes. Il finit par recommander le miel comme traitement des brûlures et des plaies. « tous les types de miel – rapporte le Pr Molan - ont un pouvoir anti-microbe, malgré que certains sont plus efficaces que d’autres. Le miel inhibe la croissance microbienne et désinfecte ainsi les plaies ».
à le miel est un grand agent cicatrisant :
C’est le titre d’un article publié dans J Wound ostomy Continence Nurs, en Novembre 2002 par le Dr Lasby, de l’Université de Charles Tsart, en Australie, qui dit : « Malgré que le miel étai utilisé comme remède traditionnel pour les plaies et les brûlures, sont introduction dans les protocoles thérapeutiques actuels était, pour longtemps, inconnues. ». Le Dr Kingsley, de l’hopital Devan, en Angleterre, dans un article publié en Br J Nurs, Decembre 2001, explique : « les médias ont tellement fait le point sur l’efficacité du miel dans le traitement des plaies, que les patients, en Angleterre, le réclament au près de leurs médecins en cas de plaie ».
De nombreuses autres recherches ont démontré les propriétés anti-mircobiennes du mile in vitro. Au même titre, un grand nombre de recherche in vivo, on confirmé que l’utilisation du miel dans les plaies très inflammées, a permis le nettoyage des suppurations et la réduction du temps de cicatrisation. « le miel était – précise le Pr Molan, de l’Université de waikato en Newzeland – un élément de base dans le traitement des plaies, quelques siècles auparavant. Mais avec l’apparition des antibiotiques, il est devenu une « mode dépassée ». Malheureusement, la résistance aux antibiotiques ne cesse de se développer et demeure un grand problème médical. Ce qui a fait ré-surgir le miel dans le traitement de ces cas » .
Bref, les études expérimentales, aussi bien in vitro qu’in vivo, ont confirmé que le miel possède de nombreuses propriétés :
- efficacité anti-microbienne,
- absence d’effet secondaire sur les tissus,
- antiseptiques fort et puissant,
- stimule les tissus responsables de la cicatrisation,
- anti-inflammatoire et antalgique
- diminue l’œdème et l’exsudation,
- diminue les séquelles de cicatrisation,
- son pH est ses effets osmotiques, jouent un rôle déterminant dans son efficacité anti-microbienne.
b- le miel inhibe la bactérie : Pseudomonas aeruginosae :
Ceci est rapporté par le Dr Cooperen guise d’introduction à son étude, publiée dans la revue J Bur Care Rehabil, en Décembre 2002 : « En l’absence d’un traitement parfait des brûlures suppurées dont l’agent est Pseudomonas aeruinosea, la recherche d’autres moyens thérapeutiques plus efficace s’imposes ».
Certaines études récentes parlent du miel, connu d’ailleurs pour son utilisation ancienne, autant qu’agent anti-pseudomonas. C’est ainsi que le Dr Cooper et ses collaborateurs, de l’Université de Kardief, en Angleterre, ont évalué la sensibilté de 17 sous-types de Pseudomonas, prélevées au niveau de brûlures suppurées, à deux types de miel : le miel « pasture » et « manuka ». tous les sous-types lui étaient sensibles à une concentration inférieure à 10% (g/ml). En plus, les 2 types de miel ont gardé la même efficacité, même après dilution à une concentration dix fois moins. Conclusion : le miel, par ses effets anti-microbes, est apte à être l’un des traitements efficaces des suppurations des brûlures dues à Pseudomonas aeruginosea.
Une autre étude, publiée dans la revue J Appl Microbial, en 2002, confirme l’efficacité du miel comme traitement des brûlures suppurées par les bactéries Cocci Gram positif.
c- le miel est un bon pansement des plaies :
Dans une étude, publiée dans la revue Ann Plast Surg, en Février 2003, qui a été effectuée sur 60 patients holandais atteint de différentes plaies profondes, classées en plaies chroniques (21 patient), plaies compliquées (23 patients), et plaies aiguës dues au rejet ( 16 patient). Dans cette étude, les chercheurs ont rapporté la facilité de l’utilisation du miel en application, chez tous les malades, à l’exception d’un seul cas, et que le miel a permis la désinfection des plaies, sans qu’aucun effet secondaire soit observé.
Lesdits chercheurs ont souligné le nombre de médecins qui hésite encore à utiliser le miel, pour traitement local, sous réserve que son utilisation n’est pas confortable vu sa viscosité et sa collabilité.
Aussi, le miel est-il conseillé pour son usage comme protecteur, sur les berges des incisions dans la chirurgie carcinologique. C’est ce que annonce un article des Arch Surgery, publié en 2002.
d- le mile est les brûrlures :
A ce sujet, la revue Burns en 1996 à publiée une étude portant sur l’utilité du mile dans le traitement des brûlures. Sur deux groupes de 50 patients, atteints de brûlures ( chaque groupes est fait de 50 patient), le miel était utilisé dans le 1er groupe. Le 2ème était traité par l’application, sur les lésions, de portions de pomme de terre bouillies ( comme élément naturel non pathogène : placebo). Le résultat de cette étude a montré que 90% des brûlures, traitées par du miel, sont devenues stériles dans 7 jours, et que le taux de cicatrisation complète, au bout de 15 jours, était de 100%. Alors que seulement 50% des patients du 2ème groupe ont cicatrisés en 15 jours.
e- le miel est riche en anti-oxydants :
Les chercheurs ont comparé, dans une étude publiée en Mars 2003, dans la revue J Agric Food Chem, entre la consommation de 1,5 g/Kg du poids du corps, du miel et la même quantité du jus du maïs. Ils ont comparé l’effet de ces deux éléments sur l’activité anti-oxydative. Le contenu plasmatique en anti-oxydants phénoliques était nettement supérieur après consommation du miel, par rapport au jus du maïs. L’étude a également signalé l’efficacité des anti-oxydants phénoliques, contenus dans le miel, qui permet à l’organisme d’augmenter sa résistance au stress oxidatif.
Il est estimé que le citoyen américain consomme, annuellement, plus de 70 Kg des édulcorants. L’utilisation du miel, comme alternative à ces édulcorants, améliorerais mieux le système anti-oxydant au sein de l’organisme humain. Telle est la recommandation que fait le Pr Schramm, le miel au lieu des édulcorants.
Dans une autre étude, réalisée en France et publiée dans la revue J Nutr, en Novembre 2002, on a administré à des rats, une alimentation contenant 65g d’amidon, sous forme d’amidon du blé, ou un mélange de fructose et du glucose ; en opposition à une autre alimentation contenant du miel. Les chercheurs ont constaté que les rats, alimentés par du miel, avaient un niveau d’anti-oxydants supérieur, et que le leur cœurs étaient moins exposés à l’oxydation des lipides. D’autres études pour mieux comprendre les mécanismes de ces propriétés anti-oxydatives s’avèrent nécessaires, ainsi commentent les chercheurs.
f- le miel et la santé buccale :
Le Pr Molan a insisté, dans un article dans la revue Gent Dent, en Décembre 2001, sur le rôle que jouerait le miel dans le traitement des maladies de la gencive, ainsi que les ulcérations buccales et autres pathologies ; et ce, grâce à ses propriétés anti-bactériennes.
g- le miel dans le traitement des muscites post radiques :
La revue Support Care Cancer a publié, en Avril 2003, une étude effectuée sur 40 patients, atteints de cancers dans la région cervicale et la tête, et nécessitant une radiothérapie. Les patients ont été partagés en 2 groupes. Le 1er groupe a reçu la cure de radiothérapie directement après diagnostic. Le 2ème groupe, a bénéficié, avant la cure de radiothérapie, d’une application locale du miel au niveau buccal. Les patients ont pris 20g de miel 15 minutes avant et après la cure, puis 6heures après la cure. L’étude a montré une baisse importante du taux de survenue de muscite chez les patients ayant utilisé du miel, ( 75% dans le 1er groupe, versus 20% dans le 2ème groupe).
La conclusion des chercheurs souligne que l’application du miel localement, au cours des séances de radiothérapie, est une méthode efficace et peu coûteuse, de prévenir les miscites post-radiques au niveau buccal. Une conclusion qui mérite, d’être confirmée par d’autres études multicentriques pour soutenir ces résultats.
h- le miel dans les affections de l’estomac et des intestins :
Dans une étude publiée dans la revue Pharmacol Res en 2001, les chercheurs ont prouvé que le miel a bien, une place dans le traitement des gastrites (inflammation de l’estomac). Des lésions et des ulcérations ont été provoquées chez des rats, par l’administration d’alcool alors qu’un 2ème groupe de rats ont reçu du miel, avant de leur administrer l’alcool. Il a été noté que le miel a protégé l’estomac des lésions que peut provoquer l’alcool. Une autre étude similaire a été publiée, en 1991, par la revue scandinave des maladies gastrologiques.
Aussi, les chercheurs ont-ils procédé à tester l’efficacité du miel naturel sur la bactérie la plus communément connue pour son incrimination dans la pathogénie de l’ulcère gastrique, et les gastrites, appelée Helicobacter Pylori. Ils ont montré que l’administration d’une solution de miel concentrée à 20% a inhibé cette bactérie in vitro. Cette étude est publiée dans la revue Trop Gastroent en 1991. D’autres expériences sont nécessaires pour étudier cet effet chez l’homme.
En lisant les hadiths du Prophètes, on s’apperçoit que le Prophète a parlé de cette propriété du miel. Dans un Hadith rapporté par Boukhari et Mouslim, un homme venant chez le Prophète et lui dit : Mon frère a une diarrhée. Le Prophète lui répondit : « donne-lui du miel ». Il lui en donna. Puis il revenu chez le Prophète et lui dit : je lui en ai donné, mais il n’a fait que aggraver sa diarrhée. Il répéta la scène à trois reprises. En venant une 4ème fois, le Prophète lui répondit encore : « donne lui du miel », il contesta : je lui en avait donné, il s’aggrave toujours. Le Prophète lui donc précisa : « Dieu a raison, alors que le ventre de ton frère lui, ment ». Il lui en donna, et il guérit.
En effet, le fameux BM J a publié en 1985 une étude réalisée au près de 169 enfant atteints de gastro-entérite. 80 parmi eux, ont reçu le sérum glucosé associé à 50 ml de miel au lieu du glucose. Les chercheurs ont noté que la diarrhée, due à la gastro-entérite, a duré 93 heurs chez les enfants n’ayant pas reçu le miel ; alors que les bénéficiers de la cure du miel ont eu une durée moins (58heurs).
i- le miel a-t-il un rôle dans le traitement des colites (inflammation du colon) ?
Telle est la question que se sont posées des chercheurs de l’Université d’Istomboule, et ont publié les résultats de leurs recherches dans la revue Dig Surg en 2002. Ils ont constaté que l’administration du miel par voie rectale a la même efficacité que le cortisone, chez des rats, aux quels une colite a été provoquée. Toutefois, cette étude reste à confirmer par d’autres contrôles.
De même, la revue Eur J obstet Gynecol Repord Biol a publié, en Septembre 2002, une étude effectuée sur des rats ayants des lésions abdominales. Elle a montré que l’administration en intra péritonéal, du miel, a permis de réduire le taux de survenue d’adhésion péritonéale. Etude qui demeure encore au stade expérimentale seulement sur des rats.
Le miel peut-t-il protéger contre les lésions inflammatoires du colon ? Cette question a fait l’objet d’une étude réalisée a l’Université du Roi Saoud , en Arabie Saoudite. Les chercheurs de cette Université ont procédé à provoquer des lésions au niveau du colon, chez des rats, par un acide. Ces rats ont reçu au préalable des doses du miel, du glucose et du fructose, par voie orale et rectale. Ils ont constaté que le miel a eu un rôle primordial de protection du colon contre l’agression de cet acide.
j- le miel et le cuir chevelu :
En se basant sur les effets anti-microbiens, antifongiques et anti-oxydants du miel, un chercheur, le Dr Al Willis, a étudié l’effet du miel en traitement de la dermatite séborrhéique. Il a étudié 30 patients, 10 hommes et 20 femmes, atteints de cette maladie qui touche le scalpe, le visage et la partie antérieure du thorax ; avec un âge entre 15 et 60 ans.
Les lésions dermatologiques, chez ces patients, étaient des squames blanches sur une surface érythémateuse. Les patients appliquaient une solution à base de miel (90% de miel dans de l’eau tiède) une fois tous les deux jours, sur les zones atteintes, notamment, le scalpe, le visage et le thorax, avec un massage de 2 à 3 minute, pour une durée de 3 heure avant de se rincer par de l’eau tiède. Un suivi quotidien de ces patients était établi, sur les critères de prurit, squames et chute de cheveux. Le traitement a duré 4 semaines, avec une bonne réponse ; les patients ne se plaignent plus de prurit ni de squames à partir de la 1ère semaine de traitement. Les autres lésions ont complètement disparu au bout de 2 semaines.
Puis, la surveillance de ces patient a continué pendant 6 mois, avec une application une fois par semaine du miel sur les zones atteintes. Aucune rechute n’a été signalée chez les 15 patients qui n’ont pas arrêté le traitement. Tandis que les lésions ont réapparu chez 12 patients parmi les 15 qui ont arrêté le traitement.
Le Dr Willis a conclu, en fin de son étude, que le miel, en traitement local, peut très bien, améliorer les symptômes de la dermatite séborrhéique, et empêche la survenue de rechute s’il est utilisé une fois par semaine.
Dieu dont le nom est béni et exalté a raison de dire : « De leur ventre, sort une liqueur, aux couleurs variées, dans laquelle il y a une guérison pour les gens. Il y a vraiment là une preuve pour des gens qui réfléchissent ».
Ecrit le 15 mars07, 03:27
Les Croyances polythéistes des Pharaons
Allah, le Très-Haut, dit : « Il en fut de même des gens de Pharaon et ceux qui avant eux avaient traité de mensonges les signes (enseignements) de leur Seigneur. Nous les avons fait périr pour leurs péchés. Et Nous avons noyé les gens de Pharaon. Car ils étaient tous des injustes ». (Al-‘Anfâl : 54).
L’ancienne civilisation égyptienne fut célèbre –comme celle de la vallée située entre les deux fleuves- par le fait qu’elles sont les plus anciennes civilisations connues par l’Histoire. Il y avait des systèmes sociaux évolués qui l’ont rendu le plus développé parmi les pays de ce temps-là. Un nombre de facteurs ont contribué au progrès et au développement de cette civilisation, comme : la découverte de l’écriture et son usage durant le troisième millinéaire avant J.-C. ainsi que leur investissement des eaux du Nil, l’inaccessibilité géographique qui leur a garantis des frontières naturelles contre les dangers de l’invasion extérieure.
Pourtant, cette société civilisée était gouvernée par la dynastie pharaonique qui régnait avec le polythéisme déclaré connu par le système du règne pharaonique, comme nous le raconte le Saint Coran. Les Pharaons étaient fats d’eux-mêmes, niaient Allah et Lui tournaient le dos. Mais, en fin de comptes, ni leur puissance ni leur inaccessibilité ni leur grande civilisation ni leur supériorité militaire n’avaient empêché leur périssement.
Le Règne des Pharaons
La civilisation pharaonique a eu lieu grâce à la fertilité du fleuve du Nil. Les Egyptiens se sont établis dans la vallée du Nil, grâce à l’abondance des eaux de ce fleuve. Ils ont pu cultiver la terre grâce à ces eaux, sans attendre la saison des pluies annuelles.
A ce sujet, le chroniqueur Ernest Gombrich dit : « Le climat de l’Afrique est chaud et sec. Il arrive que les pluies ne tombent pas durant plusieurs mois consécutifs ; c’est pour cela que plusieurs régions de ce grand continent soient arides, comme ces endroits couvets par des déserts étendus. De même, les deux bords du Nil sont, pour la plupart, d’un climat désertique et ont peu de pluies. Les pluies qui tombent dans cet endroit ne sont pas très importantes, parce que le Nil passe justement en son milieu : dès son début et jusqu’à sa fin »[1].
Ainsi, celui qui arrive à dominer le Nil, sera capable de disposer des ressources principales dominant l’Egypte, dont les plus importantes : le commerce et l’agriculture. De cette façon, les Pharaons ont étendu leur pouvoir sur l’Egypte.
La structure étroite et perpendiculaire de la vallée du Nil ne permettait pas l’établissement de grandes agglomérations ; c’est pourquoi la société égyptienne vivait dans des villages et de petites villes au lieu des grandes métropoles. Ce qui a, en effet, augmenté la puissance des Pharaons à régner sur l’Egypte et ses habitants.
Le Roi Minsa est connu pour être le premier pharaon à avoir unifié l’ancienne Egypte pour la première fois en Histoire. Il en a fait un seul pays durant le troisième millénaire avant J.-C.. Le mot « pharaon » désigne, en fait, le lieu où vivait le roi d’Egypte ; mais avec le temps, ce mot était devenu le surnom du roi d’Egypte, légué aux générations suivantes des rois, qui furent désormais connus par les « Pharaons ».
En leur qualité de détenteurs du pays et de régents du peuple, ils ont accepté d’être l’ombre de grand Dieu sur terre, que représentait le credo égyptien polythéiste dévié. Tout le pays n’était régi que pour le profit de Pharaon : les terrains agricoles, les ressources commerciales, la production nationale, bref tout ce qui appartenait au pays.
Le système tyrannique du règne a aplani la voie devant Pharaon pour diriger le pays avec la force, puisqu’il était capable d’exécuter quoi bon lui semblait.
Lors de la fondation de la première dynastie pharaonique, on a commencé la distribution de l’eau du fleuve au bas peuple, lorsque le roi Minsa a unifié le Nord au Sud de l’Egypte. De même, les produits de la terre se collectaient pour le profit de Pharaon. Toutes les ressources lui ont été confiées et c’était à lui de distribuer ces revenus sur son peuple selon leurs besoins. Il n’était pas difficile à ces rois qui ont crée toute cette force dans le pays, de tyranniser le peuple. Le roi d’Egypte ou le Pharaon –comme on l’a appelé plus tard- était vu comme une existence sacrée qui a une force suprême et qui est capable de satisfaire tous les besoins de son peuple, il a été transformé en Dieu… Avec le temps, les Pharaons sont devenus des vrais dieux dans les yeux de leur peuple. Certains termes dont Pharaon a fait usage durant son dialogue avec Moïse, confirment l’existence de cette croyance : Allah, le Très-Haut, dit : « Si tu adoptes, dit (Pharaon), une autre divinité que moi, je te mettrai parmi les prisonniers ». (Al-Chu`arâ’ : 29) Il a dit en s’adressant à son peuple : « Ô notables, je ne connais pas de divinité pour vous, autre que moi. Hâmân, allume-moi du feu sur l'argile puis construis-moi une tour peut-être alors monterai-je jusqu'au Dieu de Moïse. Je pense plutôt qu'il est du nombre des menteurs ». ( Al-Qasas : 38)
Les croyances religieuses des Egyptiens se sont principalement fondées sur le fait d’être au service de leurs dieux. « Les médiateurs » entre lesgens et ces divinités étaient les prêtres qui faisaient partie de la noblesse et de l’élite de la société. Les prêtres formaient une catégorie sociale importante, puisqu’ils pratiquaient la magie et la prestidigitation. Les Pharaons avaient recours à eux pour que les gens restent sous leur domination.
Les Croyances religieuses
Selon le chroniqueur grec Hérodote, les anciens égyptiens étaient les gens les plus pieux dans le monde de ce temps-là, mais leur religion n’était pas celle de la vérité. Ils étaient polythéistes et restaient attachés à leur fausse croyance, à cause de leur fanatisme.
Les anciens égyptiens étaient très influencés par l’environnement naturel où ils vivaient. La structure géographique de leur pays les a protégés contre toute invasion extérieure. L’Egypte était entourée de déserts, de montagnes et par la mer de tous les côtés. Les raids n’étaient pas possibles que via deux chemins seulement et pourtant, il était possible de les dominer facilement. Grâce à cette nature géographique, l’Egypte est restée isolée du monde extérieur ; mais, cet isolement s’est transformé avec le temps en un fanatisme aveugle. Ainsi, les Egyptiens voyaient d’un regard très suspect n’importe quel changement et refusaient tout éclaircissement. Ce peuple ne voyait que leur religion comme loi et vie. La religion de leurs ancêtres mentionnée par le Coran, leur est devenue très précieuse.
C’est pourquoi Pharaon et son entourage ont tourné leur dos à Moïse et à Aaron, quand ils leur sont venus avec la religion de la vérité : « Ils dirent: "Est-ce pour nous écarter de ce sur quoi nous avons trouvé nos ancêtres que tu es venu à nous, et pour que la grandeur appartienne à vous deux sur la terre? Et nous ne croyons pas en vous!" ». (Yûnus : 78)
La religion des anciens égyptiens se divisait en deux parties : une partie officielle relative à l’Etat et une autre qui traitait des croyances des gens pour ce qui est de la vie après la mort. La croyance religieuse relative à l’Etat stipule que le pharaon est une entité sacrée et qu’il est l’ombre des Dieux sur terre, pour y établir la justice et protéger les gens.
Les croyances propagées parmi les gens étaient très compliquées. Les clauses religieuses qui étaient en contradiction avec la religion officielle de l’Etat, étaient abolies avec des arrêts pharaoniques. Leur religion se fondait principalement sur la croyance en la multiplicité des divinités. Ces dieux sont souvent représentés sous la forme d’un corps humain ayant la tête d’un animal. Pourtant, il est possible de trouver des traditions nationales différentes d’une région à une autre.
La vie après la mort représente la plus grande partie des croyances égyptiennes. Ils croient que l’âme reprend la vie après la mort du corps. Selon cette croyance : les anges portent les âmes des morts auprès du Dieu-juge qui a, à ses côtés, quarante-deux juges. La balance est dressée au milieu et le cœur de l’âme est pesé à l’aide de cette balance. Ceux qui avaient plus de bonnes œuvres seront portés vers un joli endroit où ils vivent heureux. Alors que ceux dont les mauvaises œuvres l’emportent sur les bonnes, ils seront envoyés vers un endroit où ils goûteront diverses sortes de châtiment. Là, ils seront à jamais châtiés par un monstre appelé : « Le dévoreur des morts ».
Ce que les Anciens Egyptiens croient du Jour Dernier, correspond à la même croyance dans la religion monothéiste. Cette croyance suffit seule à démontrer que la religion monothéiste est arrivée à l’ancienne civilisation égyptienne. Mais, cette religion s’est à la fin corrompue et le monothéisme s’est transformé en polythéisme. Récemment, on a découvert que des prophètes se sont succédés sur l’Egypte, ils ont appelé les Egyptiens à unifier Allah et à L’adorer ; comme ils succédaient à tous les habitants de la terre, d’un temps à l’autre, comme par exemple : Joseph dont le Coran raconte l’histoire en détails. L’histoire de Joseph est importante parce qu’elle comporte l’arrivée des Banû Israël en Egypte où ils se sont établis.
D’autre part : Certaines références historiques montrent que certains Egyptiens ont appelé à la religion monothéiste avant l’arrivée de Moïse (que la paix soit sur lui). L’un d’eux est le pharaon le plus important dans l’Histoire égyptienne… C’est Aménothep IV.
Le pharaon monothéiste Aménothep IV :
Les Pharaons égyptiens étaient, en général, cruels, injustes, guerriers et barbares. Le dénominateur commun parmi les Pharaons, est qu’ils ont accepté la religion d’Egypte caractérisée par le polythéisme et qu’ils se sont divinisés.
Mais, il y a un seul pharaon dans l’Histoire égyptienne qui était différent des autres. Ce pharaon a défendu la croyance en un seul Créateur. Ainsi, il est devenu la cible d’une attaque violente suscitée par les prêtres du Dieu Amon qui profitaient de la croyance polythéiste et par certains soldates qui les ont aidés. Enfin, ce pharaon a été tué… C’était Aménothep IV qui a pris les rênes du pouvoir durant le quatorzième siècle avant J.-C.
Aménothep IV accéda au trône en l’an 1375 avant J.-C. et il fit face à des habitudes et des coutumes traditionnelles héritées depuis des centaines d’années. Jusqu’à ce temps-là la structure de la société et ses liens avec le palais, allaient sans aucun changement. La société resta fermée face à tous les événements extérieurs et à toutes les rénovations religieuses. Les voyageurs grecs remarquèrent cet extrémisme à la préservation des traditions religieuses que nous avons déjà mentionnées. Pharaon imposait aux gens, à travers la religion officielle, d’accepter tout ce qui est suranné et traditionnel sans restriction. Cependant, Aménothep IV n’accepta pas cette religion officielle. Selon le chroniqueur Ernest Gombrich, Aménothep détruisit de nombreuses traditions qui étaient sacrées par les anciennes traditions. Il ne voulut pas montrer sa loyauté à de nombreux des dieux de forme étrange auxquels son peuple rendait culte. Le seul grand Dieu, à ses yeux, fut Aton qui était représenté sous la forme du soleil. Il se donna le nom de Ikhnaton et déplaça son palais loin des prêtres des autres dieux, vers un endroit connu maintenant par Al-`Amarina[2]. Après la mort de son père, Aménothep IV souffrit sous une grande pression causée par son adoption d’une nouvelle religion basée sur le monothéisme et son changement de la religion polythéiste traditionnelle égyptienne. Il essaya d’opérer un changement radical dans tous les domaines. Mais, les chefs de Thèbes ne lui permirent pas de transférer le message de la religion qu’il avait adopté. Aménothep IV et ses disciples se déplacèrent de la ville de Thèbes vers Tel Al-`Amarina. Et là, ils construirent une nouvelle ville contemporaine qu’ils appelèrent « Ikh-In-Aton ». Mais, Aménothep IV changera son nom qui signifiait (la tranquillité d’Amon) vers Ikhnaton qui signifiât (la soumission à Aton). Le nom Amon était donné au plus grand idole dans la croyance polythéiste égyptienne. Alors que selon Aménothep, Aton signifiait « le créateur des cieux et de la terre » comparable au nom d’Allah.
Cette affaire déconcerta les prêtres d’Amon qui voulaient le détrôner Ikhnaton, en saisissant la crise économique sévie dans la région. Enfin, Ikhnaton mourut empoisonné par les comploteurs. Ainsi, les Pharaons qui lui succédèrent, tenaient à rester sous l’influence des prêtres.
Après Ikhnaton, des pharaons ayant des tendances militaires, succédèrent sur le trône d’Egypte ; et encore une fois, retournèrent les habitudes de la croyance polythéiste ancienne pour régner, après de grands efforts déployés en vue du retour vers le passé. Un siècle plus tard à peu près, Ramsès II accéda au trône d’Egypte. Ce fut la plus longue période de règne connue dans l’Histoire égyptienne, suivant les avis de nombreux chroniqueurs : C’est ce Ramsès qui a asservi les Banû Israël et a combattu Moïse (que la paix soit sur lui)[3].
Notes:
Ernest Gombrich, d’après le texte allemand originel : « Les mythes des peuples pour les jeunes », 1997 – Page 25.
Ernest Gombrich, « l’Histoire de la littérature », London MCML, imprimeries Fadions, page 42.
Ely Bernavy, Atlas de l’Histoire juive, Londres, Hotchinson 1992, page 4 « L’Egypte », encyclopédie Godyâkâ, volume 6, page 481 ; « L’Exode et l’égarement da le Sinaï », volume 8, page 575, le monde de l’Evangile numéro 8 » Juillet – Août 1983 page 50. L’Institut oriental des nouvelles numéro 144, hiver 1995 ; Jacques Le Grand, l’Histoire du monde, Paris : Histoire Longmen, SA, les imprimeries internationales, 1989, page 68, David ibn Orion, Atlas historique des juifs, New York, 1974, page 32.
Allah, le Très-Haut, dit : « Il en fut de même des gens de Pharaon et ceux qui avant eux avaient traité de mensonges les signes (enseignements) de leur Seigneur. Nous les avons fait périr pour leurs péchés. Et Nous avons noyé les gens de Pharaon. Car ils étaient tous des injustes ». (Al-‘Anfâl : 54).
L’ancienne civilisation égyptienne fut célèbre –comme celle de la vallée située entre les deux fleuves- par le fait qu’elles sont les plus anciennes civilisations connues par l’Histoire. Il y avait des systèmes sociaux évolués qui l’ont rendu le plus développé parmi les pays de ce temps-là. Un nombre de facteurs ont contribué au progrès et au développement de cette civilisation, comme : la découverte de l’écriture et son usage durant le troisième millinéaire avant J.-C. ainsi que leur investissement des eaux du Nil, l’inaccessibilité géographique qui leur a garantis des frontières naturelles contre les dangers de l’invasion extérieure.
Pourtant, cette société civilisée était gouvernée par la dynastie pharaonique qui régnait avec le polythéisme déclaré connu par le système du règne pharaonique, comme nous le raconte le Saint Coran. Les Pharaons étaient fats d’eux-mêmes, niaient Allah et Lui tournaient le dos. Mais, en fin de comptes, ni leur puissance ni leur inaccessibilité ni leur grande civilisation ni leur supériorité militaire n’avaient empêché leur périssement.
Le Règne des Pharaons
La civilisation pharaonique a eu lieu grâce à la fertilité du fleuve du Nil. Les Egyptiens se sont établis dans la vallée du Nil, grâce à l’abondance des eaux de ce fleuve. Ils ont pu cultiver la terre grâce à ces eaux, sans attendre la saison des pluies annuelles.
A ce sujet, le chroniqueur Ernest Gombrich dit : « Le climat de l’Afrique est chaud et sec. Il arrive que les pluies ne tombent pas durant plusieurs mois consécutifs ; c’est pour cela que plusieurs régions de ce grand continent soient arides, comme ces endroits couvets par des déserts étendus. De même, les deux bords du Nil sont, pour la plupart, d’un climat désertique et ont peu de pluies. Les pluies qui tombent dans cet endroit ne sont pas très importantes, parce que le Nil passe justement en son milieu : dès son début et jusqu’à sa fin »[1].
Ainsi, celui qui arrive à dominer le Nil, sera capable de disposer des ressources principales dominant l’Egypte, dont les plus importantes : le commerce et l’agriculture. De cette façon, les Pharaons ont étendu leur pouvoir sur l’Egypte.
La structure étroite et perpendiculaire de la vallée du Nil ne permettait pas l’établissement de grandes agglomérations ; c’est pourquoi la société égyptienne vivait dans des villages et de petites villes au lieu des grandes métropoles. Ce qui a, en effet, augmenté la puissance des Pharaons à régner sur l’Egypte et ses habitants.
Le Roi Minsa est connu pour être le premier pharaon à avoir unifié l’ancienne Egypte pour la première fois en Histoire. Il en a fait un seul pays durant le troisième millénaire avant J.-C.. Le mot « pharaon » désigne, en fait, le lieu où vivait le roi d’Egypte ; mais avec le temps, ce mot était devenu le surnom du roi d’Egypte, légué aux générations suivantes des rois, qui furent désormais connus par les « Pharaons ».
En leur qualité de détenteurs du pays et de régents du peuple, ils ont accepté d’être l’ombre de grand Dieu sur terre, que représentait le credo égyptien polythéiste dévié. Tout le pays n’était régi que pour le profit de Pharaon : les terrains agricoles, les ressources commerciales, la production nationale, bref tout ce qui appartenait au pays.
Le système tyrannique du règne a aplani la voie devant Pharaon pour diriger le pays avec la force, puisqu’il était capable d’exécuter quoi bon lui semblait.
Lors de la fondation de la première dynastie pharaonique, on a commencé la distribution de l’eau du fleuve au bas peuple, lorsque le roi Minsa a unifié le Nord au Sud de l’Egypte. De même, les produits de la terre se collectaient pour le profit de Pharaon. Toutes les ressources lui ont été confiées et c’était à lui de distribuer ces revenus sur son peuple selon leurs besoins. Il n’était pas difficile à ces rois qui ont crée toute cette force dans le pays, de tyranniser le peuple. Le roi d’Egypte ou le Pharaon –comme on l’a appelé plus tard- était vu comme une existence sacrée qui a une force suprême et qui est capable de satisfaire tous les besoins de son peuple, il a été transformé en Dieu… Avec le temps, les Pharaons sont devenus des vrais dieux dans les yeux de leur peuple. Certains termes dont Pharaon a fait usage durant son dialogue avec Moïse, confirment l’existence de cette croyance : Allah, le Très-Haut, dit : « Si tu adoptes, dit (Pharaon), une autre divinité que moi, je te mettrai parmi les prisonniers ». (Al-Chu`arâ’ : 29) Il a dit en s’adressant à son peuple : « Ô notables, je ne connais pas de divinité pour vous, autre que moi. Hâmân, allume-moi du feu sur l'argile puis construis-moi une tour peut-être alors monterai-je jusqu'au Dieu de Moïse. Je pense plutôt qu'il est du nombre des menteurs ». ( Al-Qasas : 38)
Les croyances religieuses des Egyptiens se sont principalement fondées sur le fait d’être au service de leurs dieux. « Les médiateurs » entre lesgens et ces divinités étaient les prêtres qui faisaient partie de la noblesse et de l’élite de la société. Les prêtres formaient une catégorie sociale importante, puisqu’ils pratiquaient la magie et la prestidigitation. Les Pharaons avaient recours à eux pour que les gens restent sous leur domination.
Les Croyances religieuses
Selon le chroniqueur grec Hérodote, les anciens égyptiens étaient les gens les plus pieux dans le monde de ce temps-là, mais leur religion n’était pas celle de la vérité. Ils étaient polythéistes et restaient attachés à leur fausse croyance, à cause de leur fanatisme.
Les anciens égyptiens étaient très influencés par l’environnement naturel où ils vivaient. La structure géographique de leur pays les a protégés contre toute invasion extérieure. L’Egypte était entourée de déserts, de montagnes et par la mer de tous les côtés. Les raids n’étaient pas possibles que via deux chemins seulement et pourtant, il était possible de les dominer facilement. Grâce à cette nature géographique, l’Egypte est restée isolée du monde extérieur ; mais, cet isolement s’est transformé avec le temps en un fanatisme aveugle. Ainsi, les Egyptiens voyaient d’un regard très suspect n’importe quel changement et refusaient tout éclaircissement. Ce peuple ne voyait que leur religion comme loi et vie. La religion de leurs ancêtres mentionnée par le Coran, leur est devenue très précieuse.
C’est pourquoi Pharaon et son entourage ont tourné leur dos à Moïse et à Aaron, quand ils leur sont venus avec la religion de la vérité : « Ils dirent: "Est-ce pour nous écarter de ce sur quoi nous avons trouvé nos ancêtres que tu es venu à nous, et pour que la grandeur appartienne à vous deux sur la terre? Et nous ne croyons pas en vous!" ». (Yûnus : 78)
La religion des anciens égyptiens se divisait en deux parties : une partie officielle relative à l’Etat et une autre qui traitait des croyances des gens pour ce qui est de la vie après la mort. La croyance religieuse relative à l’Etat stipule que le pharaon est une entité sacrée et qu’il est l’ombre des Dieux sur terre, pour y établir la justice et protéger les gens.
Les croyances propagées parmi les gens étaient très compliquées. Les clauses religieuses qui étaient en contradiction avec la religion officielle de l’Etat, étaient abolies avec des arrêts pharaoniques. Leur religion se fondait principalement sur la croyance en la multiplicité des divinités. Ces dieux sont souvent représentés sous la forme d’un corps humain ayant la tête d’un animal. Pourtant, il est possible de trouver des traditions nationales différentes d’une région à une autre.
La vie après la mort représente la plus grande partie des croyances égyptiennes. Ils croient que l’âme reprend la vie après la mort du corps. Selon cette croyance : les anges portent les âmes des morts auprès du Dieu-juge qui a, à ses côtés, quarante-deux juges. La balance est dressée au milieu et le cœur de l’âme est pesé à l’aide de cette balance. Ceux qui avaient plus de bonnes œuvres seront portés vers un joli endroit où ils vivent heureux. Alors que ceux dont les mauvaises œuvres l’emportent sur les bonnes, ils seront envoyés vers un endroit où ils goûteront diverses sortes de châtiment. Là, ils seront à jamais châtiés par un monstre appelé : « Le dévoreur des morts ».
Ce que les Anciens Egyptiens croient du Jour Dernier, correspond à la même croyance dans la religion monothéiste. Cette croyance suffit seule à démontrer que la religion monothéiste est arrivée à l’ancienne civilisation égyptienne. Mais, cette religion s’est à la fin corrompue et le monothéisme s’est transformé en polythéisme. Récemment, on a découvert que des prophètes se sont succédés sur l’Egypte, ils ont appelé les Egyptiens à unifier Allah et à L’adorer ; comme ils succédaient à tous les habitants de la terre, d’un temps à l’autre, comme par exemple : Joseph dont le Coran raconte l’histoire en détails. L’histoire de Joseph est importante parce qu’elle comporte l’arrivée des Banû Israël en Egypte où ils se sont établis.
D’autre part : Certaines références historiques montrent que certains Egyptiens ont appelé à la religion monothéiste avant l’arrivée de Moïse (que la paix soit sur lui). L’un d’eux est le pharaon le plus important dans l’Histoire égyptienne… C’est Aménothep IV.
Le pharaon monothéiste Aménothep IV :
Les Pharaons égyptiens étaient, en général, cruels, injustes, guerriers et barbares. Le dénominateur commun parmi les Pharaons, est qu’ils ont accepté la religion d’Egypte caractérisée par le polythéisme et qu’ils se sont divinisés.
Mais, il y a un seul pharaon dans l’Histoire égyptienne qui était différent des autres. Ce pharaon a défendu la croyance en un seul Créateur. Ainsi, il est devenu la cible d’une attaque violente suscitée par les prêtres du Dieu Amon qui profitaient de la croyance polythéiste et par certains soldates qui les ont aidés. Enfin, ce pharaon a été tué… C’était Aménothep IV qui a pris les rênes du pouvoir durant le quatorzième siècle avant J.-C.
Aménothep IV accéda au trône en l’an 1375 avant J.-C. et il fit face à des habitudes et des coutumes traditionnelles héritées depuis des centaines d’années. Jusqu’à ce temps-là la structure de la société et ses liens avec le palais, allaient sans aucun changement. La société resta fermée face à tous les événements extérieurs et à toutes les rénovations religieuses. Les voyageurs grecs remarquèrent cet extrémisme à la préservation des traditions religieuses que nous avons déjà mentionnées. Pharaon imposait aux gens, à travers la religion officielle, d’accepter tout ce qui est suranné et traditionnel sans restriction. Cependant, Aménothep IV n’accepta pas cette religion officielle. Selon le chroniqueur Ernest Gombrich, Aménothep détruisit de nombreuses traditions qui étaient sacrées par les anciennes traditions. Il ne voulut pas montrer sa loyauté à de nombreux des dieux de forme étrange auxquels son peuple rendait culte. Le seul grand Dieu, à ses yeux, fut Aton qui était représenté sous la forme du soleil. Il se donna le nom de Ikhnaton et déplaça son palais loin des prêtres des autres dieux, vers un endroit connu maintenant par Al-`Amarina[2]. Après la mort de son père, Aménothep IV souffrit sous une grande pression causée par son adoption d’une nouvelle religion basée sur le monothéisme et son changement de la religion polythéiste traditionnelle égyptienne. Il essaya d’opérer un changement radical dans tous les domaines. Mais, les chefs de Thèbes ne lui permirent pas de transférer le message de la religion qu’il avait adopté. Aménothep IV et ses disciples se déplacèrent de la ville de Thèbes vers Tel Al-`Amarina. Et là, ils construirent une nouvelle ville contemporaine qu’ils appelèrent « Ikh-In-Aton ». Mais, Aménothep IV changera son nom qui signifiait (la tranquillité d’Amon) vers Ikhnaton qui signifiât (la soumission à Aton). Le nom Amon était donné au plus grand idole dans la croyance polythéiste égyptienne. Alors que selon Aménothep, Aton signifiait « le créateur des cieux et de la terre » comparable au nom d’Allah.
Cette affaire déconcerta les prêtres d’Amon qui voulaient le détrôner Ikhnaton, en saisissant la crise économique sévie dans la région. Enfin, Ikhnaton mourut empoisonné par les comploteurs. Ainsi, les Pharaons qui lui succédèrent, tenaient à rester sous l’influence des prêtres.
Après Ikhnaton, des pharaons ayant des tendances militaires, succédèrent sur le trône d’Egypte ; et encore une fois, retournèrent les habitudes de la croyance polythéiste ancienne pour régner, après de grands efforts déployés en vue du retour vers le passé. Un siècle plus tard à peu près, Ramsès II accéda au trône d’Egypte. Ce fut la plus longue période de règne connue dans l’Histoire égyptienne, suivant les avis de nombreux chroniqueurs : C’est ce Ramsès qui a asservi les Banû Israël et a combattu Moïse (que la paix soit sur lui)[3].
Notes:
Ernest Gombrich, d’après le texte allemand originel : « Les mythes des peuples pour les jeunes », 1997 – Page 25.
Ernest Gombrich, « l’Histoire de la littérature », London MCML, imprimeries Fadions, page 42.
Ely Bernavy, Atlas de l’Histoire juive, Londres, Hotchinson 1992, page 4 « L’Egypte », encyclopédie Godyâkâ, volume 6, page 481 ; « L’Exode et l’égarement da le Sinaï », volume 8, page 575, le monde de l’Evangile numéro 8 » Juillet – Août 1983 page 50. L’Institut oriental des nouvelles numéro 144, hiver 1995 ; Jacques Le Grand, l’Histoire du monde, Paris : Histoire Longmen, SA, les imprimeries internationales, 1989, page 68, David ibn Orion, Atlas historique des juifs, New York, 1974, page 32.
Ecrit le 24 mars07, 09:09
J'ai emprunté ceci de la signature de JusteAli
" Lorsque le ciel se fendra, écarlate, tel une rose rouge. Lequel des bienfaits du Seigneur oserez-vous nier? "
Coran (sourate 55, versets 37,38).
http://goes.gsfc.nasa.gov/pub/goes/hubble.rosa_neb.gif
" Lorsque le ciel se fendra, écarlate, tel une rose rouge. Lequel des bienfaits du Seigneur oserez-vous nier? "
Coran (sourate 55, versets 37,38).
http://goes.gsfc.nasa.gov/pub/goes/hubble.rosa_neb.gif
Ecrit le 28 mars07, 07:52
"On ne peut s’empêcher d’être perplexe face au comportement d’une divinité qui se révèle dans des Écrits, dont la véritable signification échappe totalement durant des siècles aux croyants les plus zélés et ne finit par être comprise que grâce aux travaux des sceptiques ; les voies de la Providence sont vraiment impénétrables."
David Hume
David Hume
Traiter la fièvre avec de l’eau
Ecrit le 12 avr.07, 06:01Traiter la fièvre avec de l’eau
Par le Dr Mohammed Nizar AL-DAKR
D’après Ibn Omar (que Dieu les agrée), le prophète (PBSL) a dit : « la fièvre est une bouffée de chaleur de l’enfer, faites-la disparaître avec de l’eau », hadith rapporté par les deux Imam.
D’après Fatima Bent Al-Monzer ; quand on amène une femme fébrile à Asma Bent Abi-Bakr, elle lui répand de l’eau sur le front et dit : « le prophète (PBSL) nous demandait de la rafraîchir avec de l’eau »1
Selon Rafé Ibn Khadij, le prophète (PBSL) a dit : « la fièvre est une bouffée de chaleur de l’enfer, rafraîchissez-la avec de l’eau»2
Selon Abi Jamra Nasr Ibn Imran ; j’accompagnait Ibn Abbas quand je suis trouvé atteint de fièvre, alors, il m’a conseillé de la faire baisser avec de l’eau bénite de Zamzam car le prophète (PBSL) avait dit : « la fièvre est une bouffée de chaleur de l’enfer, faites-la baisser avec de l’eau – ou peut-être a-t-il dit : avec de l’eau de Zamzam», rapporté par Al-Boukhari.
D’après Samra (que Dieu l’agrée) ; le prophète (PBSL) a dit : « la fièvre est un tison de feu, éteignez-la avec de l’eau fraîche », et le prophète (PBSL), en cas de fièvre, répand de l’eau sur sa tête, et il se lave.3
D’après Anas Ibn Malek (que Dieu l’agrée), le prophète (PBSL) a dit : « si la fièvre s’empare de l’un parmi vous, qu’il se lave continuellement avec de l’eau, (dans une autre version : qu’il se lave de temps en temps) pendant trois jours ».4
Ibn Hajar a dit : (une bouffée de chaleur de l’enfer signifie son état torride et caniculaire, et cette ressemblance à l’enfer a été expliquée de maintes façons par les savants ; certains croyaient que c’est une assimilation au sens propre car le sujet fébrile se sent brûlé par un tison de feu, et le Bon Dieu a fait d’elle une épreuve pour que les serviteurs en tirent des leçons, exactement comme le plaisir et la joie qui font partie de la jouissance du paradis, et ils ne sont que des épreuves ici-bas. D’autres savants disaient que c’est plutôt au bien acquis [par la fièvre que le prophète (PBSL) a fait allusion], or, la chaleur de la fièvre est comparée à celle de l’enfer au sens figuré, pour attirer l’attention sur son état caniculaire, et que cette chaleur est presque comme l’enfer qui n’épargne pas quiconque s’en approche).
De sa part, Ibn Al-Kaïem considère que : (le propos du prophète (PBSL) visait les habitants d’Al-Hijaz et son entourage, car ils s’étaient trouvés la plupart du temps frappés par la fièvre occasionnelle et consécutive provoquée par l’excès de chaleur, et celle-ci exige l’hydratation avec l’eau fraîche ; boire ou se laver. La fièvre s’apaise quand le patient fébrile boit ou se lave avec de l’eau fraîche. Il se peut également que le terme de la fièvre soit pris dans un sens plus large pour désigner toute sorte de fièvre, Galien voyait que l’eau fraîche pourrait faire baisser la fièvre). (… quant à « l’eau », il y avait deux avis : l’un en voit l’eau quelle que soit sa source, et celui-ci est le vrai, l’autre se penche vers l’eau de Zamzam en se référant à la version d’Al-Boukhari, d’après Abi Jamra qui a entendu Ibn Abbas rapporter que le prophète (PBSL) a dit : faites-la baisser avec de l’eau – ou peut-être a-t-il dit : avec de l’eau de Zamzam. Mais le rapporteur de ce hadith était sceptique quant à son exactitude, et s’il en était sûr, il viserait les habitants d’Al-hyjaz seulement puisque l’eau de Zamzam était à leur portée).
Al-Nassimi dit : (le fait de désigner l’eau de Zamzam n’est pas obligatoire, mais quand elle est là, son utilisation aura des effets avantageux aussi bien pour l’âme que pour le corps).
Al-Kahhal Ibn Tarkhan dit : (quant à son propos (PBSL) : « la fièvre est une bouffée de chaleur de l’enfer, faites-la baisser avec de l’eau », il signifie apparemment toute sorte de fièvre sauf celle causée par un coup de soleil, car elle était fréquente chez les habitants d’Al-Hyjaz, mais pour les autres fièvres, l’eau de Zamzam n’est pas obligatoire).
Le Dr Mohammed Ali Al-Bar confirme la théorie d’Al-Kahhal : (c’est tout à fait juste où les pèlerins sont victimes de coups de soleil, et le traitement des patients consiste à les installer à l’ombre, les bassiner, voire les asperger avec l’eau froide pour faire baisser la température du corps. Dans les cas les moins graves, il faut faire boire aux patients de l’eau fraîche petit à petit, et leur arroser la tête). L’utilisation des compresses d’eau froide est importante aussi, et il est recommandé d’ajouter du sel aux boissons fraîches.
En fait, le rafraîchissement avec de l’eau est utile pour soigner toute fièvre infectieuse, et comme Al-Nassimi le confirme, le prophète (PBSL) ne visait seulement pas le coup de chaleur, mais il a bien conseillé d’utiliser l’eau froide pour la fièvre ; l’abaisser et atténuer de ses risques, sans qu’il en précise une forme quelconque. Cette recommandation est sans doute un des miracles du prophète (PBSL). Nous voici au XXème siècle, n’est-ce pas le 1er conseil du médecin est d’appliquer des compresses d’eau froide et des glaçons sur la tête du sujet fébrile ?! Le prophète (PBSL), lors de ses moments d’agonie, était atteint de fièvre, et il se rafraîchissait avec de l’eau.
La fièvre est une température corporelle anormalement élevée, et on sait que la température de l’organisme est régie par un groupe de neurones situés au niveau de l'hypothalamus considéré comme le thermostat de notre organisme (normalement réglé à environ 37°). Celui-ci provoqué par une hausse de température, une réaction sudorale est enclenchée. Elle consiste à évaporer la sueur sécrétée par les glandes sudoripares, via les pores situés à la surface de l’épiderme. Mais quand il fait chaud, plus de 40°, la chaleur du corps ne peut pas dégager du corps, et il faudrait alors faire recours à l’eau fraîche et aux glaçons.
Malgré la diversité des stimuli de la fièvre, mais à la fin, elle est déclenchée par des substances pyrogènes qui provoquent le centre hypothalamique, ce qui entraîne une hausse du thermostat, accompagnée de frissons et une vasomotricité. Des raisons principales de la fièvre sont le coup de soleil, le rhume ou la malaria (la fièvre paludéenne), la grippe, la fièvre typhoïde, la brucellose (fièvre de Malte), et autres… or, le traitement avec les compresses mouillées à l’eau froide et la hydratation est fortement conseillé pour éliminer les symptômes de la fièvre.
Cependant, si l’origine des antipyrétiques ne remonte qu’aux XIXème siècle, telles que l’aspirine et la quinine 5; l’utilisation de l’eau froide était le premier traitement, et comme le prophète nous a guidés vers ce traitement important, c’est là que réside le miracle, car le fait d’abaisser la fièvre avec de l’eau est toujours considéré comme le traitement occasionnel le mieux adapté qui s’ajoute aux antipyrétiques.
Ainsi, pour faire baisser la fièvre, il est essentiel de recourir à des moyens tels que :
1- les compresses, les serviettes et les linges mouillés d’eau froide : où l’on procède à envelopper certains certaines parties du corps comme le front, la tête, les membres, ou le corps tout entier. Ce moyen est utilisé pour soulager les sujets fébriles atteints d’un coup de soleil, de la fièvre typhoïde et autres… notamment en cas d’une hyperthermie importante accompagnée des délires. Mais l’enveloppement total du corps est contre-indiqué chez les patients présentant des affections cardio-vasculaires ou rénales où l’on se contente, dans ce cas, à utiliser des compresses froides locales pour abaisser une forte fièvre.
2- Le bain à l’eau tiède : Brand a proposé de donner aux patients atteints de la fièvre un bain avec de l’eau tiède (15 – 20°) en cas de fièvre typhoïde car il baisse la température, aide à produire l’urine, et active le corps. Quant aux bains au degré de (20 – 25°), ils sont utiles pour les névrotiques et certains sujets fébriles, mais le degré idéal est (25 – 30°).
3- Plonger le patient dans une cuvette d’eau froide : cette cure est proposée par Savil pour baisser la température des sujets fébriles en les plongeant dans une cuvette pleine au tiers d’eau au degré de (15.5°), mais il est contre-indiqué de traiter ainsi les patients atteints de la malaria, du catarrhe 6, des maladies cardiovasculaires ou rénales.
La fièvre comme traitement :
D’après Abi Houraïra (que Dieu l’agrée), le prophète (PBSL) a dit à un homme qui a insultait la fièvre en sa présence : « n’insulte pas la fièvre, car elle efface les péchés comme le soufflet de forge purifie le fer de ses scories», rapporté par Ibn Maja. Aussi, Abou Houraïra (que Dieu l’agrée) disait-il : (la maladie favorite pour moi est la fièvre car elle atteint toute partie de mon corps, et le Bon Dieu récompense tout membre atteint).
D’après Jaber Ibn Abdullah (que Dieu les agrée), le prophète (PBSL) entra chez Oum Essaïb ou Oum ElMoussaïb, et dit : « pourquoi trembles-tu ainsi, ô Oum Essaïb ? Elle dit : « c’est cette maudite fièvre ô Messager d’Allah ! ». Il lui dit alors : « n’insulte pas la fièvre, car elle efface les péchés des fils d’Adam, comme le soufflet de forge purifie le fer de ses scories», rapporté par Mouslim.
Ibn Al-Kaïem a dit : (la fièvre pourrait avoir des effets bénéfiques sur le corps plus que certains médicaments. En une journée, elle aiderait donc à décomposer des substances nuisibles du corps, et à ouvrir les pores pour évacuer toutes les impuretés… quant aux bienfaits de la fièvre sur le coeur, ils sont connus pour les cardiologues qui trouvent vraie la parole du prophète (PBSL) car la fièvre est bénéfique pour le corps et le coeur, alors, le fait de l’insulter est tout à fait injuste).
La fièvre était considérée jusqu’au début du XXème siècle comme un traitement pour le syphilis, l’ophtalmie, la paralysie faciale, la paralysie causée par la fièvre où l’on injecte dans le corps du patient des substances pyrogènes. Ce moyen de traitement est toujours adopté par certains spécialistes pour soigner certaines infections dermatologiques telles que les furoncles, l’anthrax 7, et d’autres inflammations épidermiques. Or, il est vraiment étonnant que le traitement par la fièvre soit adopté pour soigner le sida, cette nouvelle a été diffusée par les chaînes de télévision américaines en 1990. En fait, la fièvre augmente la vitesse du métabolisme cellulaire, les réactions de défense et les leucocytes s’en trouvent ainsi accélérées, et de la sorte le système immunitaire entre en combat avec les substances étrangères dans l’organisme.
« et il ne prononce rien sous l’effet de la passion, ce n’est rien d’autre que révélation inspirée, que lui a enseigné [l’Ange Gabriel] à la force prodigieuse », An-Najm (l’étoile), 3 – 4 – 5.
Par le Dr Mohammed Nizar AL-DAKR
D’après Ibn Omar (que Dieu les agrée), le prophète (PBSL) a dit : « la fièvre est une bouffée de chaleur de l’enfer, faites-la disparaître avec de l’eau », hadith rapporté par les deux Imam.
D’après Fatima Bent Al-Monzer ; quand on amène une femme fébrile à Asma Bent Abi-Bakr, elle lui répand de l’eau sur le front et dit : « le prophète (PBSL) nous demandait de la rafraîchir avec de l’eau »1
Selon Rafé Ibn Khadij, le prophète (PBSL) a dit : « la fièvre est une bouffée de chaleur de l’enfer, rafraîchissez-la avec de l’eau»2
Selon Abi Jamra Nasr Ibn Imran ; j’accompagnait Ibn Abbas quand je suis trouvé atteint de fièvre, alors, il m’a conseillé de la faire baisser avec de l’eau bénite de Zamzam car le prophète (PBSL) avait dit : « la fièvre est une bouffée de chaleur de l’enfer, faites-la baisser avec de l’eau – ou peut-être a-t-il dit : avec de l’eau de Zamzam», rapporté par Al-Boukhari.
D’après Samra (que Dieu l’agrée) ; le prophète (PBSL) a dit : « la fièvre est un tison de feu, éteignez-la avec de l’eau fraîche », et le prophète (PBSL), en cas de fièvre, répand de l’eau sur sa tête, et il se lave.3
D’après Anas Ibn Malek (que Dieu l’agrée), le prophète (PBSL) a dit : « si la fièvre s’empare de l’un parmi vous, qu’il se lave continuellement avec de l’eau, (dans une autre version : qu’il se lave de temps en temps) pendant trois jours ».4
Ibn Hajar a dit : (une bouffée de chaleur de l’enfer signifie son état torride et caniculaire, et cette ressemblance à l’enfer a été expliquée de maintes façons par les savants ; certains croyaient que c’est une assimilation au sens propre car le sujet fébrile se sent brûlé par un tison de feu, et le Bon Dieu a fait d’elle une épreuve pour que les serviteurs en tirent des leçons, exactement comme le plaisir et la joie qui font partie de la jouissance du paradis, et ils ne sont que des épreuves ici-bas. D’autres savants disaient que c’est plutôt au bien acquis [par la fièvre que le prophète (PBSL) a fait allusion], or, la chaleur de la fièvre est comparée à celle de l’enfer au sens figuré, pour attirer l’attention sur son état caniculaire, et que cette chaleur est presque comme l’enfer qui n’épargne pas quiconque s’en approche).
De sa part, Ibn Al-Kaïem considère que : (le propos du prophète (PBSL) visait les habitants d’Al-Hijaz et son entourage, car ils s’étaient trouvés la plupart du temps frappés par la fièvre occasionnelle et consécutive provoquée par l’excès de chaleur, et celle-ci exige l’hydratation avec l’eau fraîche ; boire ou se laver. La fièvre s’apaise quand le patient fébrile boit ou se lave avec de l’eau fraîche. Il se peut également que le terme de la fièvre soit pris dans un sens plus large pour désigner toute sorte de fièvre, Galien voyait que l’eau fraîche pourrait faire baisser la fièvre). (… quant à « l’eau », il y avait deux avis : l’un en voit l’eau quelle que soit sa source, et celui-ci est le vrai, l’autre se penche vers l’eau de Zamzam en se référant à la version d’Al-Boukhari, d’après Abi Jamra qui a entendu Ibn Abbas rapporter que le prophète (PBSL) a dit : faites-la baisser avec de l’eau – ou peut-être a-t-il dit : avec de l’eau de Zamzam. Mais le rapporteur de ce hadith était sceptique quant à son exactitude, et s’il en était sûr, il viserait les habitants d’Al-hyjaz seulement puisque l’eau de Zamzam était à leur portée).
Al-Nassimi dit : (le fait de désigner l’eau de Zamzam n’est pas obligatoire, mais quand elle est là, son utilisation aura des effets avantageux aussi bien pour l’âme que pour le corps).
Al-Kahhal Ibn Tarkhan dit : (quant à son propos (PBSL) : « la fièvre est une bouffée de chaleur de l’enfer, faites-la baisser avec de l’eau », il signifie apparemment toute sorte de fièvre sauf celle causée par un coup de soleil, car elle était fréquente chez les habitants d’Al-Hyjaz, mais pour les autres fièvres, l’eau de Zamzam n’est pas obligatoire).
Le Dr Mohammed Ali Al-Bar confirme la théorie d’Al-Kahhal : (c’est tout à fait juste où les pèlerins sont victimes de coups de soleil, et le traitement des patients consiste à les installer à l’ombre, les bassiner, voire les asperger avec l’eau froide pour faire baisser la température du corps. Dans les cas les moins graves, il faut faire boire aux patients de l’eau fraîche petit à petit, et leur arroser la tête). L’utilisation des compresses d’eau froide est importante aussi, et il est recommandé d’ajouter du sel aux boissons fraîches.
En fait, le rafraîchissement avec de l’eau est utile pour soigner toute fièvre infectieuse, et comme Al-Nassimi le confirme, le prophète (PBSL) ne visait seulement pas le coup de chaleur, mais il a bien conseillé d’utiliser l’eau froide pour la fièvre ; l’abaisser et atténuer de ses risques, sans qu’il en précise une forme quelconque. Cette recommandation est sans doute un des miracles du prophète (PBSL). Nous voici au XXème siècle, n’est-ce pas le 1er conseil du médecin est d’appliquer des compresses d’eau froide et des glaçons sur la tête du sujet fébrile ?! Le prophète (PBSL), lors de ses moments d’agonie, était atteint de fièvre, et il se rafraîchissait avec de l’eau.
La fièvre est une température corporelle anormalement élevée, et on sait que la température de l’organisme est régie par un groupe de neurones situés au niveau de l'hypothalamus considéré comme le thermostat de notre organisme (normalement réglé à environ 37°). Celui-ci provoqué par une hausse de température, une réaction sudorale est enclenchée. Elle consiste à évaporer la sueur sécrétée par les glandes sudoripares, via les pores situés à la surface de l’épiderme. Mais quand il fait chaud, plus de 40°, la chaleur du corps ne peut pas dégager du corps, et il faudrait alors faire recours à l’eau fraîche et aux glaçons.
Malgré la diversité des stimuli de la fièvre, mais à la fin, elle est déclenchée par des substances pyrogènes qui provoquent le centre hypothalamique, ce qui entraîne une hausse du thermostat, accompagnée de frissons et une vasomotricité. Des raisons principales de la fièvre sont le coup de soleil, le rhume ou la malaria (la fièvre paludéenne), la grippe, la fièvre typhoïde, la brucellose (fièvre de Malte), et autres… or, le traitement avec les compresses mouillées à l’eau froide et la hydratation est fortement conseillé pour éliminer les symptômes de la fièvre.
Cependant, si l’origine des antipyrétiques ne remonte qu’aux XIXème siècle, telles que l’aspirine et la quinine 5; l’utilisation de l’eau froide était le premier traitement, et comme le prophète nous a guidés vers ce traitement important, c’est là que réside le miracle, car le fait d’abaisser la fièvre avec de l’eau est toujours considéré comme le traitement occasionnel le mieux adapté qui s’ajoute aux antipyrétiques.
Ainsi, pour faire baisser la fièvre, il est essentiel de recourir à des moyens tels que :
1- les compresses, les serviettes et les linges mouillés d’eau froide : où l’on procède à envelopper certains certaines parties du corps comme le front, la tête, les membres, ou le corps tout entier. Ce moyen est utilisé pour soulager les sujets fébriles atteints d’un coup de soleil, de la fièvre typhoïde et autres… notamment en cas d’une hyperthermie importante accompagnée des délires. Mais l’enveloppement total du corps est contre-indiqué chez les patients présentant des affections cardio-vasculaires ou rénales où l’on se contente, dans ce cas, à utiliser des compresses froides locales pour abaisser une forte fièvre.
2- Le bain à l’eau tiède : Brand a proposé de donner aux patients atteints de la fièvre un bain avec de l’eau tiède (15 – 20°) en cas de fièvre typhoïde car il baisse la température, aide à produire l’urine, et active le corps. Quant aux bains au degré de (20 – 25°), ils sont utiles pour les névrotiques et certains sujets fébriles, mais le degré idéal est (25 – 30°).
3- Plonger le patient dans une cuvette d’eau froide : cette cure est proposée par Savil pour baisser la température des sujets fébriles en les plongeant dans une cuvette pleine au tiers d’eau au degré de (15.5°), mais il est contre-indiqué de traiter ainsi les patients atteints de la malaria, du catarrhe 6, des maladies cardiovasculaires ou rénales.
La fièvre comme traitement :
D’après Abi Houraïra (que Dieu l’agrée), le prophète (PBSL) a dit à un homme qui a insultait la fièvre en sa présence : « n’insulte pas la fièvre, car elle efface les péchés comme le soufflet de forge purifie le fer de ses scories», rapporté par Ibn Maja. Aussi, Abou Houraïra (que Dieu l’agrée) disait-il : (la maladie favorite pour moi est la fièvre car elle atteint toute partie de mon corps, et le Bon Dieu récompense tout membre atteint).
D’après Jaber Ibn Abdullah (que Dieu les agrée), le prophète (PBSL) entra chez Oum Essaïb ou Oum ElMoussaïb, et dit : « pourquoi trembles-tu ainsi, ô Oum Essaïb ? Elle dit : « c’est cette maudite fièvre ô Messager d’Allah ! ». Il lui dit alors : « n’insulte pas la fièvre, car elle efface les péchés des fils d’Adam, comme le soufflet de forge purifie le fer de ses scories», rapporté par Mouslim.
Ibn Al-Kaïem a dit : (la fièvre pourrait avoir des effets bénéfiques sur le corps plus que certains médicaments. En une journée, elle aiderait donc à décomposer des substances nuisibles du corps, et à ouvrir les pores pour évacuer toutes les impuretés… quant aux bienfaits de la fièvre sur le coeur, ils sont connus pour les cardiologues qui trouvent vraie la parole du prophète (PBSL) car la fièvre est bénéfique pour le corps et le coeur, alors, le fait de l’insulter est tout à fait injuste).
La fièvre était considérée jusqu’au début du XXème siècle comme un traitement pour le syphilis, l’ophtalmie, la paralysie faciale, la paralysie causée par la fièvre où l’on injecte dans le corps du patient des substances pyrogènes. Ce moyen de traitement est toujours adopté par certains spécialistes pour soigner certaines infections dermatologiques telles que les furoncles, l’anthrax 7, et d’autres inflammations épidermiques. Or, il est vraiment étonnant que le traitement par la fièvre soit adopté pour soigner le sida, cette nouvelle a été diffusée par les chaînes de télévision américaines en 1990. En fait, la fièvre augmente la vitesse du métabolisme cellulaire, les réactions de défense et les leucocytes s’en trouvent ainsi accélérées, et de la sorte le système immunitaire entre en combat avec les substances étrangères dans l’organisme.
« et il ne prononce rien sous l’effet de la passion, ce n’est rien d’autre que révélation inspirée, que lui a enseigné [l’Ange Gabriel] à la force prodigieuse », An-Najm (l’étoile), 3 – 4 – 5.
Ecrit le 14 avr.07, 08:14
Le toit protégé
A travers le Saint Coran, Allah – sublime soit le Très Haut - attire notre attention sur une caractéristique importante du ciel quand il dit : « Et Nous avons fait du ciel un toit protégé . Et cependant, ils se détournent de ses merveilles ». (Les Prophètes, 32), caractéristique établie par les recherches scientifiques effectuées au cours du XX ème siècle.
La couche atmosphérique qui entoure la terre remplit des fonctions indispensables à la continuité de la vie. C’est ainsi que lors de la destruction des astéroïdes, grands et petits, ce toit les empêche de s’heurter à la terre et les êtres vivants.
La couche de magnétosphère est constituée des champs magnétiques terrestres et forme un écran protecteur pour la terre contre les météores, les rayonnements cosmiques et les particules nuisibles. On peut voir sur la photographie ci-dessus la couche de magnétosphère ainsi que la ceinture de Van Allen. Ces ceintures qui se trouvent au-dessus de la terre à des milliers de kilomètres protègent les êtres vivants de cette énergie dont le Coran fait mention depuis plus de quatorze siècles en ces termes : « Et nous avons fait du ciel un toit protégé ».
De plus, l’enveloppe atmosphérique filtre les rayons lumineux des rayonnements nocifs pour les êtres vivants. Et le plus surprenant est que l’atmosphère ne laisse passer que les rayonnements non nuisibles, tels que la lumière visible, les rayons ultra-violets (U-V) et les ondes radio, rayonnements essentiels pour la vie.
L’illustration ci-dessus montre les météorites sur le point de cogner la terre, car toute particule céleste baignant dans l’atmosphère constitue un danger réel pour la terre. Mais Allah – Sublime soit le Glorifié - qui a créé si parfaitement la terre, lui a fait de l’atmosphère un écran protecteur. Grâce à cette protection spéciale, la plupart des météorites ne nuisent pas à la terre, parce qu’ils se décomposent dans la couche atmosphérique.
Les rayons U-V dont une partie peut traverser l’atmosphère sont indispensables pour la photosynthèse chez les plantes et pour la survie des êtres vivants. La plupart des rayonnements U-V concentrés qui s’éloignent du soleil sont filtrés à travers la couche d’ozone dans l’atmosphère et seule une quantité limitée et indispensable de ce rayonnement atteint la terre.
Cette fonction protectrice de l’atmosphère ne s’arrête pas à ce stade. Elle protège la terre également du froid glacial de l’espace qui atteint moins 270 °C .
En outre, la protection de la terre contre les effets nuisibles ne provient pas de la seule atmosphère : en effet, la ceinture de Van Allen, une couche formée des champs magnétiques terrestres constitue une protection contre les rayonnements nuisibles qui menacent notre planète. Ces rayonnements, régulièrement produits par le soleil et les autres astres, ont une action fatale pour les être vivants. Sans la ceinture de Van Allen, les énormes explosions d’énergie dites ondes ou explosions solaires (qui se produisent régulièrement dans le soleil) auraient déjà provoqué la destruction de la terre.
L’illustration ci-dessus montre un cratère provoqué par la chute d’un météore en Arizona aux Etats-Unis. Sans l’existence de la couche atmosphérique, des millions de météores seraient tombés sur la terre la rendant impropre à la vie. Mais la spécificité de la protection atmosphérique permet la continuité d’une vie paisible sur la terre. Et ce naturellement par la Grâce Divine dont le miracle a été révélé dans le Coran.
Le Docteur Hugh Ross souligne l’importance de la ceinture de Van Allen en ces termes :« La terre est la plus dense des planètes du système solaire. Ce grand noyau composé de nickel et de fer exerce un important champ magnétique qui forme la couche protectrice de radiation de Van Allen. Cette couche protège la terre contre des bombardements de radiation. Sans cette couche, il n’y aurait pas de vie sur terre. La seule autre planète qui a un champ magnétique et qui est formé de zones rocheuses est Mercure. Mais la force de ce champ magnétique est 100 fois moins importante que celle de la Terre. La ceinture de Van Allen est propre à la Terre.
L ’énergie produite par une seule de ces explosions dont le calcul a été effectué dernièrement équivaut à 100 Milliards de bombes atomiques semblables à celle larguée sur Hiroshima. 85 heures après l’explosion de cette dernière, il a été remarqué que les aiguilles magnétiques des boussoles ont eu un comportement anormal et la température au-dessus de l’atmosphère, à une altitude de 250 km , a atteint 1.500 °C .
.
En somme, il existe un système parfait de protection de notre univers contre les menaces extérieures. Mais les savants ne l’ont découvert que récemment alors qu’Allah – Sublime soit le Glorifié – nous a informé depuis des siècles de l’existence de la couche atmosphérique protectrice.
La plupart des gens regardent le ciel sans réfléchir au rôle protecteur que joue l’atmosphère. Et ils ne pensent pas non plus à l’état dans lequel aurait été l’univers sans cette couche protectrice.
Et lorsque nous parlons de la terre, nous trouvons qu’elle convient parfaitement à la vie humaine. Et lorsque nous traversons l’atmosphère vers l’espace extérieur, nous rencontrons une température de moins 270 °C , température dont le monde a été protégé grâce à l’atmosphère.
explose comme une bombe extraordinaire que l’esprit humain éprouve bien du mal à imaginer. Une seule explosion est difficile à imaginer. Une seule explosion équivaut à 100 Milliards de bombes atomiques semblables à celle larguée sur Hiroshima. Le monde se trouve donc protégé contre les effets dévastateurs d’une telle énergie et ce grâce à la couche atmosphérique et à la ceinture de Van Allen.
A travers le Saint Coran, Allah – sublime soit le Très Haut - attire notre attention sur une caractéristique importante du ciel quand il dit : « Et Nous avons fait du ciel un toit protégé . Et cependant, ils se détournent de ses merveilles ». (Les Prophètes, 32), caractéristique établie par les recherches scientifiques effectuées au cours du XX ème siècle.
La couche atmosphérique qui entoure la terre remplit des fonctions indispensables à la continuité de la vie. C’est ainsi que lors de la destruction des astéroïdes, grands et petits, ce toit les empêche de s’heurter à la terre et les êtres vivants.
La couche de magnétosphère est constituée des champs magnétiques terrestres et forme un écran protecteur pour la terre contre les météores, les rayonnements cosmiques et les particules nuisibles. On peut voir sur la photographie ci-dessus la couche de magnétosphère ainsi que la ceinture de Van Allen. Ces ceintures qui se trouvent au-dessus de la terre à des milliers de kilomètres protègent les êtres vivants de cette énergie dont le Coran fait mention depuis plus de quatorze siècles en ces termes : « Et nous avons fait du ciel un toit protégé ».
De plus, l’enveloppe atmosphérique filtre les rayons lumineux des rayonnements nocifs pour les êtres vivants. Et le plus surprenant est que l’atmosphère ne laisse passer que les rayonnements non nuisibles, tels que la lumière visible, les rayons ultra-violets (U-V) et les ondes radio, rayonnements essentiels pour la vie.
L’illustration ci-dessus montre les météorites sur le point de cogner la terre, car toute particule céleste baignant dans l’atmosphère constitue un danger réel pour la terre. Mais Allah – Sublime soit le Glorifié - qui a créé si parfaitement la terre, lui a fait de l’atmosphère un écran protecteur. Grâce à cette protection spéciale, la plupart des météorites ne nuisent pas à la terre, parce qu’ils se décomposent dans la couche atmosphérique.
Les rayons U-V dont une partie peut traverser l’atmosphère sont indispensables pour la photosynthèse chez les plantes et pour la survie des êtres vivants. La plupart des rayonnements U-V concentrés qui s’éloignent du soleil sont filtrés à travers la couche d’ozone dans l’atmosphère et seule une quantité limitée et indispensable de ce rayonnement atteint la terre.
Cette fonction protectrice de l’atmosphère ne s’arrête pas à ce stade. Elle protège la terre également du froid glacial de l’espace qui atteint moins 270 °C .
En outre, la protection de la terre contre les effets nuisibles ne provient pas de la seule atmosphère : en effet, la ceinture de Van Allen, une couche formée des champs magnétiques terrestres constitue une protection contre les rayonnements nuisibles qui menacent notre planète. Ces rayonnements, régulièrement produits par le soleil et les autres astres, ont une action fatale pour les être vivants. Sans la ceinture de Van Allen, les énormes explosions d’énergie dites ondes ou explosions solaires (qui se produisent régulièrement dans le soleil) auraient déjà provoqué la destruction de la terre.
L’illustration ci-dessus montre un cratère provoqué par la chute d’un météore en Arizona aux Etats-Unis. Sans l’existence de la couche atmosphérique, des millions de météores seraient tombés sur la terre la rendant impropre à la vie. Mais la spécificité de la protection atmosphérique permet la continuité d’une vie paisible sur la terre. Et ce naturellement par la Grâce Divine dont le miracle a été révélé dans le Coran.
Le Docteur Hugh Ross souligne l’importance de la ceinture de Van Allen en ces termes :« La terre est la plus dense des planètes du système solaire. Ce grand noyau composé de nickel et de fer exerce un important champ magnétique qui forme la couche protectrice de radiation de Van Allen. Cette couche protège la terre contre des bombardements de radiation. Sans cette couche, il n’y aurait pas de vie sur terre. La seule autre planète qui a un champ magnétique et qui est formé de zones rocheuses est Mercure. Mais la force de ce champ magnétique est 100 fois moins importante que celle de la Terre. La ceinture de Van Allen est propre à la Terre.
L ’énergie produite par une seule de ces explosions dont le calcul a été effectué dernièrement équivaut à 100 Milliards de bombes atomiques semblables à celle larguée sur Hiroshima. 85 heures après l’explosion de cette dernière, il a été remarqué que les aiguilles magnétiques des boussoles ont eu un comportement anormal et la température au-dessus de l’atmosphère, à une altitude de 250 km , a atteint 1.500 °C .
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En somme, il existe un système parfait de protection de notre univers contre les menaces extérieures. Mais les savants ne l’ont découvert que récemment alors qu’Allah – Sublime soit le Glorifié – nous a informé depuis des siècles de l’existence de la couche atmosphérique protectrice.
La plupart des gens regardent le ciel sans réfléchir au rôle protecteur que joue l’atmosphère. Et ils ne pensent pas non plus à l’état dans lequel aurait été l’univers sans cette couche protectrice.
Et lorsque nous parlons de la terre, nous trouvons qu’elle convient parfaitement à la vie humaine. Et lorsque nous traversons l’atmosphère vers l’espace extérieur, nous rencontrons une température de moins 270 °C , température dont le monde a été protégé grâce à l’atmosphère.
explose comme une bombe extraordinaire que l’esprit humain éprouve bien du mal à imaginer. Une seule explosion est difficile à imaginer. Une seule explosion équivaut à 100 Milliards de bombes atomiques semblables à celle larguée sur Hiroshima. Le monde se trouve donc protégé contre les effets dévastateurs d’une telle énergie et ce grâce à la couche atmosphérique et à la ceinture de Van Allen.
Ecrit le 15 avr.07, 00:19
Allaitement maternel, avantages et durée!
Par Elkahil Abd Daim
Les savants ont récemment découvert que la lait maternel est, sans conteste, l’aliment le plus complet pour le nourrisson, et que le nourrisson ne profite de ses bienfaits que si la mère l’allaite pendant 2ans entiers ! telle est la conclusion de l’organisation mondiale de la santé durant le 21eme siècle, affirmée par le coran depuis quatorze siècle !
Les médecins estimaient que l’allaitement naturel ne permettait que l’établissement d’un lien émotionnel entre l’enfant et sa mère, rien de plus ! Mais après un demi siècle de recherches on a commencé à découvrir les avantages de cet allaitement.
On a découvert également des anticorps, dits aussi immunoglobulines dans le lait maternel ; ces anticorps sont dirigés contre toutes sortes de bactéries et de virus.
On a aussi découvert que le nombre de bactéries présentes dans les intestins d’un enfant qui se nourrit de lait de vache est 10 fois plus important que le nombre de bactéries présentes chez l’enfant qui se nourrit du lait maternel .
Les vertus de l’allaitement maternel :
Le lait maternel, qui protège l’enfant de nombreuses maladies, est certes le meilleur nutriment pour l’enfant comme l’a déclaré l’Académie Américaine de Pédiatrie :
Le lait maternel contient toujours des proportions de protéines de glucides et de lipides, différentes des proportions dans les autres laits.
Ce lait a toujours une température adéquate et idéale pour l’enfant !
Les avantages pour l’enfant :
-les anticorps de la famille des immunoglobulines aident a protéger l’organisme de l’enfant contre les différentes agressions virales a la quelles le corps est confronté durant les premiers mois. Ces anticorps aident aussi dans le développement du système immunitaire et son renforcement.
-le lait maternel contient des éléments immunitaires appelés « mucines » qui contiennent beaucoup de protéines et des «hydrates de carbone » et ce sont des substances qui adhèrent aux bactéries et aux virus et l’éliminent complètement sans effets secondaires, contrairement aux médicaments. [9]
-la quantité de protéines dans le lait de vache est le double de la quantité dans le lait maternel, mais comme l’enfant ne peut pas absorber toute cette quantité, il y aura alors stockage de cet excès de protéines ce qui favorise des complications. Alors que les protéines du lait maternels sont absorbés a 100 %.
Les recherches ont affirmé aussi que la durée de la digestion complète du lait maternel est de 15 minutes alors que celle du lait de vache dépasse les 60, ce qui épargne du temps et de l’effort a l’organisme de l’enfant.
Tous les médecins déclarent que le lait maternel est dépourvu de bactéries et qu’il est meilleur pour l’enfant que n’importe quel autre lait industrialisé ,car les biberons même stérilisés présentent des vecteurs de bactéries.
-le lait maternel aide au développement correct du système digestif. [9]
-le lait maternel donne à l’enfant un équilibre psychique et aide au sommeil, c’est le meilleur calmant pour l’enfant !
- le lait maternel diminue le risque d’allergie pour l’enfant et peut même en prévenir.
-parmi les méfaits du lait de vache est le fait qu’il multiplie la probabilité d’atteintes d’un cancer huit fois. [4]
L’allaitement naturel :
Protége l’enfant de diverses maladies respiratoires tel que l’asthme.
Protège l’enfant contre les maladies de l’oreille et son inflammation.
Protège l’enfant de la maladie de la mort subite (SIDS)
Protège l’enfant des cancers qui surviennent durant les 6 premiers mois.
Protège l’enfant contre des maladies rhumatologiques tel que le rachitisme, ainsi que contre des maladies gastriques.
Les avantages pour la mère :
- des études effectuées dans 30 pays ont prouvé que la mère qui donne le sein a son enfant est moins exposée au cancer du sein. [5]
-l’allaitement maternel favorise le retour à la taille normale du vagin après qu’il s’est dilaté 20 fois pendant l’accouchement. Ainsi, il protège la mère contre le cancer du vagin et de l’endomètre. [9]
-l’allaitement aide la nouvelle mère a perdre du poids et la protège de l’obésité. [6]
C’est aussi un calmant naturel et pour la mère et pour l’enfant.
Les bienfaits pour la société :
-l’allaitement naturel n’est pas coûteux contrairement a l’allaitement artificiel, d’après l’Académie Américaine de Pédiatrie si les États-Unis suivaient la méthode de l’allaitement maternel elles épargneraient 3600 millions de dollars chaque année !! [7]
-l’allaitement a des effets positifs sur l’environnement puisqu’il nous évite les déchets dues a l’industrie des boites, du séchage du lait de vache et de cette façon diminue la pollution. [8]
Parmi les avantages du lait maternel est que la peau du bébé qui se nourrit du lait de sa mère est plus douce, ainsi que sa vue est meilleure que celles du bébé qui se nourrit du lait de vache. Comme on a remarqué aussi que l’odeur des celles de l’enfant nourrit pas le lait maternel est moins désagréables que celles de l’enfant nourrit par un autre lait. [10]
è En conclusion le lait de vache est le meilleur nutriment venant des vaches pour les bébés-vaches et le lait maternel est le meilleur nutriment venant des humains pour le bébé-humain, ainsi Dieu a créé pour chaque espèce son nutriment comme il est dit dans le verses 2 de sourate Alforkan :
« et qui a créé toute chose en lui donnant ses justes proportions »(Alforkan 2)
Ce sont les dons que dieu t’a donné toi l’être humain depuis ta tendre enfance alors que tu ne réalisait encore rien, alors te souviens tu de tout ce que dieu t’as donné ?
(ibrahim 34 ) « Il vous a accordé de tout ce que vous Lui avez demandé. Et si vous comptiez les bienfaits d'Allah, vous ne sauriez les dénombrer. L'homme est vraiment très injuste, très ingrat »
Quelle est la meilleure période pour l’allaitement ?
D’après des études de l’organisation mondiale de la santé et celles de l’UNICEF, on a pu démontré que la durée idéale de l’allaitement est de deux ans : l’enfant pendant les 2 premières années de sa vie a énormément besoin d’un lait stérilisé comme celui de sa mère puisque durant cette période son corps est encore incapable de se défendre complètement contre les agressions bactériennes et virales.
D’après les chercheurs, le foetus dans le ventre de sa mère puise les anticorps anti-viraux directement de l’organisme de sa mère, mais après l’accouchement le nouveau né se trouve exposé a énormément d’agressions externes c’est pourquoi il a besoin d’une immunité supplémentaire qu’il acquis depuis le lait de sa mère. Gloire a dieu qui lui a accordé cette source naturelle de défense.
En 2001, l’organisation mondiale de la santé a organisé un séminaire sous le nom de « complementary feeding » au terme duquel elle a déclaré que : [11]
( The first two years of a child’s life are a critical window during which the foundations for healthy growth and development are built. Infant and young child feeding is a core dimension of care in this period. )
èLesdeux premières années de la vie de l’enfant sont une fenêtre sensible durant les quelles il y a constitution des éléments indispensables a la croissance et au développement de l’organisme c’est pourquoi la qualité de la nutrition durant cette période est capitale.
Et c’est ainsi que les médecins affirment qu’aucun élément nutritif ne peut remplacer le lait maternel puisqu’il est le seul à contenir des anticorps de défense pour se protéger contre les agressions extérieures durant ces deux premières années les plus critiques de l’enfance.
De nos jours les savants déclarent que : [12]
“ After a child reaches 2 years of age, it is very difficult to reverse stunting that has occurred earlier
èAprès l’age de deux ans c’est très improbable qu’un élément inhibant la croissance se déclare, alors que ce n’est pas le cas avant cet âge.
Ils ont aussi déclaré que l’allaitement maternel qui dure 24mois protège la mère contre le cancer de l’ovaire et fait chuter sa probabilité d’apparition au 1/3. [13]
L’age le plus important est le plus critique de l’enfance est les 2 premières années durant lesquelles l’enfant est exposé à diverses agressions telle que La diarrhée. Et le lait maternel avec les anticorps qu’il apporte à l’enfant aide son organisme à faire face a ces agressions. En dépit de tous les résultats qu’ils ont découvert, le savoir des médecins sur les avantages du lait maternel reste très limité et il reste encore beaucoup à découvrir.
Que déclare le Coran a propos de la durée de l’allaitement ?
L’allaitement dans le coran :
Observons cher lecteur les paroles de Dieu le tout puissant : (Albakara -233)
« 233. Et les mères, qui veulent donner un allaitement complet, allaiteront leurs bébés deux ans complets »
Ceci est un appel divin rempli de miséricorde qui incite les mères à allaiter leurs enfants 2 ans complets. Et ce message comprend 3 miracles médicinaux :
1/ « Et les mères, qui veulent donner un allaitement complet, allaiteront leurs bébés »
Dieu a ordonné les mères de nourrir leurs enfants de leur lait et de ne pas le remplacer par d’autres nutriments. Cet appel divin a devancé l’appel humain avant quatorze siècles : cet appel humains qu’on entend beaucoup aujourd’hui dans les États-Unis, de la part de l’organisation mondiale de la santé et de l’UNICEF, après leurs découvertes récentes sur les bienfaits énormes du lait maternel.
2/ « deux ans complets » : une précision de la durée de 2 ans nécessaire d’allaitement naturel, exactement comme l’ont prouvé les recherches médicales. Et voyons le terme « complets » qui met l’accent sur la nécessité de terminer les 2 ans, exactement ce que déclarent les médecins du 21siecles qui confirment la nécessité de l’allaitement naturel durant les deux premières années complètes (24 mois).
3/ « qui veulent donner un allaitement complet », un signe formidable que l’allaitement n’est considéré complet qu’après ces 2ans. Et comme nous l’avons vu, la découverte que les 2 premières années sont les plus importantes de l’enfance durant lesquelles il y a développement du système immunitaire de l’enfant, d’où la nécessité d’effectuer l’allaitement pendant une durée minimale d’un an et le meilleur serait de l’effectuer durant les 2 premières années complètes.
Gloire a Dieu qui nous a appris la durée exacte directement avant d’avoir besoin de toutes ces recherches et expériences.
Traduit par: Rihab GAma
Les références :
http://www.drgreene.com/21_552.html
A.A.P. Breastfeeding Policy Statement: Breastfeeding and the Use of Human Milk Pediatrics Vol. 115 No. 2 February 2005
Acheston, L, "Family violence and breastfeeding" Arch. Fam. Med. 1995, 4:650-652
[4] http://www.nrdc.org/breastmilk/benefits.asp
[5] Jernstorm, H et al "Breast-feeding and the risk of breast cancer in BRCA1 and BRCA2 mutation carriers." J Natl Cancer Inst. 2004;96:1094-1098
[6] DC.A. Lovelady et al "The effect of weight loss in overweight lactating women on the growth of their infants." New Eng Journal of Med, 2000; 342: 449-453
[7]http://aappolicy.aappublications.org/cg ... 0115/2/496
[8] http://www.4woman.gov/breastfeeding/index.cfm?page=227
[9] Leslie Burby, 101 reasons to breastfeed your child, www.promom.org, 2005.
[10] http://www.askdrsears.com/html/2/T020200.asp
[11] Complementary feeding, Report of the global consultation, Geneva, 10-13 December 2001.
[12] Kathryn Dewey, GUIDING PRINCIPLES FOR COMPLEMENTARY FEEDING OF THE BREASTFED CHILD, Global Consultation on Complementary Feeding, December 10-13, 2001.
[13] "Rates and risks of ovarian cancer in subgroups of white women in the United States." Obstet Gynecol 1994 Nov; 84(5): 760-764
[14] Jack Newman, How Breast Milk Protects Newborns, www.promom.org.
[15] GUIDING PRINCIPLES FOR COMPLEMENTARY FEEDING OF THE BREASTFED CHILD, WHO.
[16] http://en.wikipedia.org/wiki/Breastfeeding
Par Elkahil Abd Daim
Les savants ont récemment découvert que la lait maternel est, sans conteste, l’aliment le plus complet pour le nourrisson, et que le nourrisson ne profite de ses bienfaits que si la mère l’allaite pendant 2ans entiers ! telle est la conclusion de l’organisation mondiale de la santé durant le 21eme siècle, affirmée par le coran depuis quatorze siècle !
Les médecins estimaient que l’allaitement naturel ne permettait que l’établissement d’un lien émotionnel entre l’enfant et sa mère, rien de plus ! Mais après un demi siècle de recherches on a commencé à découvrir les avantages de cet allaitement.
On a découvert également des anticorps, dits aussi immunoglobulines dans le lait maternel ; ces anticorps sont dirigés contre toutes sortes de bactéries et de virus.
On a aussi découvert que le nombre de bactéries présentes dans les intestins d’un enfant qui se nourrit de lait de vache est 10 fois plus important que le nombre de bactéries présentes chez l’enfant qui se nourrit du lait maternel .
Les vertus de l’allaitement maternel :
Le lait maternel, qui protège l’enfant de nombreuses maladies, est certes le meilleur nutriment pour l’enfant comme l’a déclaré l’Académie Américaine de Pédiatrie :
Le lait maternel contient toujours des proportions de protéines de glucides et de lipides, différentes des proportions dans les autres laits.
Ce lait a toujours une température adéquate et idéale pour l’enfant !
Les avantages pour l’enfant :
-les anticorps de la famille des immunoglobulines aident a protéger l’organisme de l’enfant contre les différentes agressions virales a la quelles le corps est confronté durant les premiers mois. Ces anticorps aident aussi dans le développement du système immunitaire et son renforcement.
-le lait maternel contient des éléments immunitaires appelés « mucines » qui contiennent beaucoup de protéines et des «hydrates de carbone » et ce sont des substances qui adhèrent aux bactéries et aux virus et l’éliminent complètement sans effets secondaires, contrairement aux médicaments. [9]
-la quantité de protéines dans le lait de vache est le double de la quantité dans le lait maternel, mais comme l’enfant ne peut pas absorber toute cette quantité, il y aura alors stockage de cet excès de protéines ce qui favorise des complications. Alors que les protéines du lait maternels sont absorbés a 100 %.
Les recherches ont affirmé aussi que la durée de la digestion complète du lait maternel est de 15 minutes alors que celle du lait de vache dépasse les 60, ce qui épargne du temps et de l’effort a l’organisme de l’enfant.
Tous les médecins déclarent que le lait maternel est dépourvu de bactéries et qu’il est meilleur pour l’enfant que n’importe quel autre lait industrialisé ,car les biberons même stérilisés présentent des vecteurs de bactéries.
-le lait maternel aide au développement correct du système digestif. [9]
-le lait maternel donne à l’enfant un équilibre psychique et aide au sommeil, c’est le meilleur calmant pour l’enfant !
- le lait maternel diminue le risque d’allergie pour l’enfant et peut même en prévenir.
-parmi les méfaits du lait de vache est le fait qu’il multiplie la probabilité d’atteintes d’un cancer huit fois. [4]
L’allaitement naturel :
Protége l’enfant de diverses maladies respiratoires tel que l’asthme.
Protège l’enfant contre les maladies de l’oreille et son inflammation.
Protège l’enfant de la maladie de la mort subite (SIDS)
Protège l’enfant des cancers qui surviennent durant les 6 premiers mois.
Protège l’enfant contre des maladies rhumatologiques tel que le rachitisme, ainsi que contre des maladies gastriques.
Les avantages pour la mère :
- des études effectuées dans 30 pays ont prouvé que la mère qui donne le sein a son enfant est moins exposée au cancer du sein. [5]
-l’allaitement maternel favorise le retour à la taille normale du vagin après qu’il s’est dilaté 20 fois pendant l’accouchement. Ainsi, il protège la mère contre le cancer du vagin et de l’endomètre. [9]
-l’allaitement aide la nouvelle mère a perdre du poids et la protège de l’obésité. [6]
C’est aussi un calmant naturel et pour la mère et pour l’enfant.
Les bienfaits pour la société :
-l’allaitement naturel n’est pas coûteux contrairement a l’allaitement artificiel, d’après l’Académie Américaine de Pédiatrie si les États-Unis suivaient la méthode de l’allaitement maternel elles épargneraient 3600 millions de dollars chaque année !! [7]
-l’allaitement a des effets positifs sur l’environnement puisqu’il nous évite les déchets dues a l’industrie des boites, du séchage du lait de vache et de cette façon diminue la pollution. [8]
Parmi les avantages du lait maternel est que la peau du bébé qui se nourrit du lait de sa mère est plus douce, ainsi que sa vue est meilleure que celles du bébé qui se nourrit du lait de vache. Comme on a remarqué aussi que l’odeur des celles de l’enfant nourrit pas le lait maternel est moins désagréables que celles de l’enfant nourrit par un autre lait. [10]
è En conclusion le lait de vache est le meilleur nutriment venant des vaches pour les bébés-vaches et le lait maternel est le meilleur nutriment venant des humains pour le bébé-humain, ainsi Dieu a créé pour chaque espèce son nutriment comme il est dit dans le verses 2 de sourate Alforkan :
« et qui a créé toute chose en lui donnant ses justes proportions »(Alforkan 2)
Ce sont les dons que dieu t’a donné toi l’être humain depuis ta tendre enfance alors que tu ne réalisait encore rien, alors te souviens tu de tout ce que dieu t’as donné ?
(ibrahim 34 ) « Il vous a accordé de tout ce que vous Lui avez demandé. Et si vous comptiez les bienfaits d'Allah, vous ne sauriez les dénombrer. L'homme est vraiment très injuste, très ingrat »
Quelle est la meilleure période pour l’allaitement ?
D’après des études de l’organisation mondiale de la santé et celles de l’UNICEF, on a pu démontré que la durée idéale de l’allaitement est de deux ans : l’enfant pendant les 2 premières années de sa vie a énormément besoin d’un lait stérilisé comme celui de sa mère puisque durant cette période son corps est encore incapable de se défendre complètement contre les agressions bactériennes et virales.
D’après les chercheurs, le foetus dans le ventre de sa mère puise les anticorps anti-viraux directement de l’organisme de sa mère, mais après l’accouchement le nouveau né se trouve exposé a énormément d’agressions externes c’est pourquoi il a besoin d’une immunité supplémentaire qu’il acquis depuis le lait de sa mère. Gloire a dieu qui lui a accordé cette source naturelle de défense.
En 2001, l’organisation mondiale de la santé a organisé un séminaire sous le nom de « complementary feeding » au terme duquel elle a déclaré que : [11]
( The first two years of a child’s life are a critical window during which the foundations for healthy growth and development are built. Infant and young child feeding is a core dimension of care in this period. )
èLesdeux premières années de la vie de l’enfant sont une fenêtre sensible durant les quelles il y a constitution des éléments indispensables a la croissance et au développement de l’organisme c’est pourquoi la qualité de la nutrition durant cette période est capitale.
Et c’est ainsi que les médecins affirment qu’aucun élément nutritif ne peut remplacer le lait maternel puisqu’il est le seul à contenir des anticorps de défense pour se protéger contre les agressions extérieures durant ces deux premières années les plus critiques de l’enfance.
De nos jours les savants déclarent que : [12]
“ After a child reaches 2 years of age, it is very difficult to reverse stunting that has occurred earlier
èAprès l’age de deux ans c’est très improbable qu’un élément inhibant la croissance se déclare, alors que ce n’est pas le cas avant cet âge.
Ils ont aussi déclaré que l’allaitement maternel qui dure 24mois protège la mère contre le cancer de l’ovaire et fait chuter sa probabilité d’apparition au 1/3. [13]
L’age le plus important est le plus critique de l’enfance est les 2 premières années durant lesquelles l’enfant est exposé à diverses agressions telle que La diarrhée. Et le lait maternel avec les anticorps qu’il apporte à l’enfant aide son organisme à faire face a ces agressions. En dépit de tous les résultats qu’ils ont découvert, le savoir des médecins sur les avantages du lait maternel reste très limité et il reste encore beaucoup à découvrir.
Que déclare le Coran a propos de la durée de l’allaitement ?
L’allaitement dans le coran :
Observons cher lecteur les paroles de Dieu le tout puissant : (Albakara -233)
« 233. Et les mères, qui veulent donner un allaitement complet, allaiteront leurs bébés deux ans complets »
Ceci est un appel divin rempli de miséricorde qui incite les mères à allaiter leurs enfants 2 ans complets. Et ce message comprend 3 miracles médicinaux :
1/ « Et les mères, qui veulent donner un allaitement complet, allaiteront leurs bébés »
Dieu a ordonné les mères de nourrir leurs enfants de leur lait et de ne pas le remplacer par d’autres nutriments. Cet appel divin a devancé l’appel humain avant quatorze siècles : cet appel humains qu’on entend beaucoup aujourd’hui dans les États-Unis, de la part de l’organisation mondiale de la santé et de l’UNICEF, après leurs découvertes récentes sur les bienfaits énormes du lait maternel.
2/ « deux ans complets » : une précision de la durée de 2 ans nécessaire d’allaitement naturel, exactement comme l’ont prouvé les recherches médicales. Et voyons le terme « complets » qui met l’accent sur la nécessité de terminer les 2 ans, exactement ce que déclarent les médecins du 21siecles qui confirment la nécessité de l’allaitement naturel durant les deux premières années complètes (24 mois).
3/ « qui veulent donner un allaitement complet », un signe formidable que l’allaitement n’est considéré complet qu’après ces 2ans. Et comme nous l’avons vu, la découverte que les 2 premières années sont les plus importantes de l’enfance durant lesquelles il y a développement du système immunitaire de l’enfant, d’où la nécessité d’effectuer l’allaitement pendant une durée minimale d’un an et le meilleur serait de l’effectuer durant les 2 premières années complètes.
Gloire a Dieu qui nous a appris la durée exacte directement avant d’avoir besoin de toutes ces recherches et expériences.
Traduit par: Rihab GAma
Les références :
http://www.drgreene.com/21_552.html
A.A.P. Breastfeeding Policy Statement: Breastfeeding and the Use of Human Milk Pediatrics Vol. 115 No. 2 February 2005
Acheston, L, "Family violence and breastfeeding" Arch. Fam. Med. 1995, 4:650-652
[4] http://www.nrdc.org/breastmilk/benefits.asp
[5] Jernstorm, H et al "Breast-feeding and the risk of breast cancer in BRCA1 and BRCA2 mutation carriers." J Natl Cancer Inst. 2004;96:1094-1098
[6] DC.A. Lovelady et al "The effect of weight loss in overweight lactating women on the growth of their infants." New Eng Journal of Med, 2000; 342: 449-453
[7]http://aappolicy.aappublications.org/cg ... 0115/2/496
[8] http://www.4woman.gov/breastfeeding/index.cfm?page=227
[9] Leslie Burby, 101 reasons to breastfeed your child, www.promom.org, 2005.
[10] http://www.askdrsears.com/html/2/T020200.asp
[11] Complementary feeding, Report of the global consultation, Geneva, 10-13 December 2001.
[12] Kathryn Dewey, GUIDING PRINCIPLES FOR COMPLEMENTARY FEEDING OF THE BREASTFED CHILD, Global Consultation on Complementary Feeding, December 10-13, 2001.
[13] "Rates and risks of ovarian cancer in subgroups of white women in the United States." Obstet Gynecol 1994 Nov; 84(5): 760-764
[14] Jack Newman, How Breast Milk Protects Newborns, www.promom.org.
[15] GUIDING PRINCIPLES FOR COMPLEMENTARY FEEDING OF THE BREASTFED CHILD, WHO.
[16] http://en.wikipedia.org/wiki/Breastfeeding
Ecrit le 15 avr.07, 00:32
LES MERS DISTINCTES
Une photo satellite de Gibraltar.
Une des caractéristiques des mers découverte tout récemment est exprimée dans un verset coranique comme suit :
Il a donné libre cours aux deux mers pour se rencontrer ; il y a entre elles une barrière qu'elles ne dépassent. (Coran, 55 : 19-20)
Cette propriété des mers, qui convergent sans pourtant se mélanger, n'a été découverte que très récemment par les océanographes. En raison d'une force physique appelée "tension de surface", les eaux des mers voisines ne se mélangent pas. Du fait d'une différence de densité, la tension superficielle empêche les mers de se mélanger, comme si un mur très fin les séparait.64
Ce qui est remarquable, c'est qu'à une époque où l'on n'avait aucune connaissance sur la physique, la tension de surface ou l'océanographie, ce phénomène ait été évoqué dans le Coran.
De grandes vagues, de puissants courants, et des marées existent en mer méditerranée et dans l'océan atlantique. L'eau de la mer méditerranée pénètre dans l'atlantique par le détroit de Gibraltar. Mais leurs température, salinité et densité ne changent pas, à cause de la barrière qui les sépare.
Une photo satellite de Gibraltar.
Une des caractéristiques des mers découverte tout récemment est exprimée dans un verset coranique comme suit :
Il a donné libre cours aux deux mers pour se rencontrer ; il y a entre elles une barrière qu'elles ne dépassent. (Coran, 55 : 19-20)
Cette propriété des mers, qui convergent sans pourtant se mélanger, n'a été découverte que très récemment par les océanographes. En raison d'une force physique appelée "tension de surface", les eaux des mers voisines ne se mélangent pas. Du fait d'une différence de densité, la tension superficielle empêche les mers de se mélanger, comme si un mur très fin les séparait.64
Ce qui est remarquable, c'est qu'à une époque où l'on n'avait aucune connaissance sur la physique, la tension de surface ou l'océanographie, ce phénomène ait été évoqué dans le Coran.
De grandes vagues, de puissants courants, et des marées existent en mer méditerranée et dans l'océan atlantique. L'eau de la mer méditerranée pénètre dans l'atlantique par le détroit de Gibraltar. Mais leurs température, salinité et densité ne changent pas, à cause de la barrière qui les sépare.
Ecrit le 01 mai07, 06:18
Thoulkaranïn un Ingénieur de l’Antiquité
Par: Mohamed MESSEN
Les livres saints, relayés par les contes populaires, foisonnent d’histoires de peuples de l’Antiquité. Voici l’une des plus belles que je me ferai un plaisir de vous raconter. Je suis sûr que vous saurez en tirer de nombreuses leçons.
Ce qui donne encore plus d’intérêt à mon histoire, c’est que le noble Coran l’a relatée avec concision et précision d’une part et avec beauté d’expression et d’image, d’autre part. C’est dans la sourate 18 'El-Kahf' (La Grotte - Versets 83 à 98) que le Coran nous parle de Thoulkaranïne et de ses exploits...
Mais, tout d’abord, qui est Thoulkaranïn ?
Certains historiens et certains exégètes, croyait qu’il s’agissait d’Alexandre Le Grand le Macédoine.
Toutefois, cette affirmation simpliste, n’a résisté aux analyses critiques et aux recherches plus récentes. En effet, l’Imam Cheikh Bayoud, dans son exégèse du Coran (Fi rihab el Coran) se réfère à une étude réalisée par un grand savant indou surnommé Abou-El-Kalam AZAD (1888 - 1958) pour la réfuter.
En effet, en rappelant les raisons de révélation des Versets coraniques mentionnés ci-dessus, et rapportées par la quasi-totalité des exégètes, Azad découvrit dans la Bible, (livre de Daniel) l’histoire d’un grand roi conquérant, croyant et ami de Daniel. Azad prouva, qu’il s’agissait du roi Perse ‘’Kôrech’’. Celui-ci appartenait à la dynastie achéménide (600-529 av. J-C). Il se faisait appeler ‘’Cyrus le Grand’’. On le surnommait également "Le Grand Roi Juste’’. C’est lui qui avait libéré les juifs détenus et torturés par les Babyloniens notamment par Bakhtansar. Il les avait aidés à retourner en Palestine et à reconstruire le temple de Salomon. Son action ne s’arrêta pas là car c’est lui qui fonda le Premier Empire Perse ; il usa de son tout génie militaire et de toute sa sagesse, pour unifier les états voisins, déchirés par les guerres et les conquêtes.
Les historiens contemporains estiment que son territoire s’étendait du fleuve ‘’Halys’’ à l’ouest à tout l’empire babylonien au sud et à l’est.
Tombe de Cyrus
Mais, pourquoi le Coran l’appela –t- il Thoulkaranïn ?
Thoulkaranïn signifie, en Arabe "l’homme aux deux cornes". Cette appellation avait dérouté certains exégètes qui ont pensé à un roi Himyarite de l’ancien Yémen, car ces derniers portaient un nom commençant par "Thou" qui veut dire "celui qui possède". D’autres disent qu’il doit ce surnom au rêve du Prophète Daniel, raconté par la Bible. Ce dernier aurait rêvé d’un bélier à deux cornes, tué par un bouc à une corne. Il en demanda la signification à l’Ange Gabriel. Il apprit ainsi que le bélier à deux cornes est un roi pieux qui viendra libérer les juifs et gouverner sur les terres d’Orient et d’Occident. Quant au bouc à une seule corne, ce sera un tyran qui reprendra le pouvoir sur ces terres. Le roi pieux a bel et bien été ‘’Kôrech’’, l’Homme Aux Deux Cornes’’. Il est même probable que pour mériter ce surnom venu du ciel, il aurait porté sur la tête un casque à "deux cornes", comme certains guerriers de ce temps-là. Le roi tyran fut Alexandre le Grand qui a reconquis le Moyen Orient et tué le dernier successeur de Cyrus : ‘’Dar le petit.’’
Azad nous apprend qu’une statue de Thoulkaranïn, portant deux ailes et deux cornes, aurait été découverte au XIVème siècle près de l’ancienne capitale perse Persopolis. Elle serait exposée dans un musée iranien.
Qui sont les Yajouj et Majouj ?
El Maraghi, grand exégète égyptien, se réfère à une encyclopédie (sans la nommer), à Ibn khaldoun, Ibn Mekkaoui et aux lettres de Ikhouan Essafa (sans précision non plus) pour affirmer que ‘’Yajouj (Gog) sont les Tatars et ‘’Majouj’’ (Magog) sont les Mongols. Ces deux peuples, descendants du même père ‘’Tork’’, avaient conquis le Tibet, la Chine, l’Antarctique et le Turkestan. Ils lançaient régulièrement des attaques contre les peuples voisins, pillant, brûlant et massacrant tout sur leur passage.
Quant à la fameuse digue, appelée "Porte de fer", elle se trouverait près de la ville de Gijon, dans le département de "Balkh". Le grand conquérant Timorlink serait passé près de ce barrage au XVème siècle en compagnie du savant Allemand Sild Bréguer. Celui-ci l’aurait mentionnée dans son journal de route. L’historien Espagnol Clavigo l’aurait également mentionnée dans son livre d’expédition en 1403. Clavigo était l’envoyé du Roi Castellan d’Andalousie auprès de Timorlink. Il dit que ce barrage s’appelait "Porte de fer" et se situait sur la route qui menait de Samarkand au Pakistan.
Ainsi, le manque de précisions de toutes ces sources, nous incite à faire plus de recherches pour situer ce barrage s’il existe encore. Les historiens et les archéologues qui disposeraient d’informations crédibles sont priés de nous contacter.
Pour le moment contentons-nous des Versets mentionnés ci-dessus !
« 83- « Et ils t’interrogent sur Thoulkarnaïn. Dis (leurs) : "Je vais vous en lire quelques récits"».
Ce sont les Juifs de Médine qui ont suggéré aux Koraïchites de la Mecque de mettre Mohammed (SAS) à l’épreuve pour savoir s’il était réellement Prophète.
"Pour te croire dirent-ils, donnes nous quelques nouvelles sur trois sujets : Un groupe de jeunes gens qui ont eu une aventure extraordinaire, un grand voyageur qui a conquis les terres d’Est en Ouest et sur l’âme".
La Sourate 18 du Coran lui fut alors révélée. Il importe de souligner que les deux expressions tout à fait particulière : "Ils t’interrogent" et "je vais vous en lire" sont sciemment utilisées pour nous faire sentir que le Messager du Coran ne fait que répéter ce qui lui est dicté.
Ainsi commence le récit de Toulkarnaïn :
« 84- C’est Nous qui lui avons permis d’affermir son empire sur terre, et l’avons doté de tous les moyens ».
Nous apprenons ainsi que c’est un conquérant puissant, qui a étendu son pouvoir sur de nombreuses terres. Il a été doté de tous les moyens nécessaires pour assurer sa mission de bienfaisance.
85- « (Un jour), il emprunta un certain chemin ».
86- « jusqu’à ce qu’il atteignit le Couchant. Il trouva que le soleil se couchait dans une source vaseuse. Et auprès d’elle, il trouva une certaine peuplade. Nous l’interpellâmes :
" Thoulkaranïn ! Tu vas soit les châtier soit leur rendre service !" ».
Dans ce Verset, nous apprenons deux faits importants :
Thoulkarnaïn recevait la Parole de Dieu, soit par révélation directe, soit par l’intermédiaire d’un Prophète que le Coran ne nomme pas. Ceci renforce l’hypothèse qui prétend que Korëch était accompagné par le Prophète Daniel, tel qu’il est dit dans la Bible.
Il a reçu la permission de Dieu, soit de châtier ce peuple dévoyé, soit de le ramener à la voix divine par la bienfaisance. Le Verset précédent nous disait qu’il avait reçu du Seigneur tous les moyens nécessaires pour assurer sa mission sur terre. La réponse de Korëch n’a pas été catégorique ; elle a été plutôt nuancée :
87- « Il dit : "Quant à celui qui a commis des abus, nous allons le punir ; et il sera ensuite ramené auprès de son Seigneur qui lui infligera un châtiment horrible.
88- « Quant à celui qui croit en Dieu et aura fait du bien, il recevra la récompense de sa bienfaisance et nous lui dicterons de notre loi ce qu’elle a de plus tolérant" ».
C’est donc un Roi juste et un prédicateur qui promet d’appliquer la loi de Dieu et de n’imposer aux peuples qu’il gouverne qu’une religion tolérante et facile à pratiquer.
Il importe de souligner que tous les historiens s’accordent pour confirmer ce que le Coran a révélé il y a plus de quatorze siècles, à savoir : La dynastie des achéménides à la quelle appartient Korêch a été particulièrement tolérante vis-à-vis des autres religions.
Ce Verset nous apprend également un fait historique important : "Le Roi Juste" avait commencé sa conquête à l’ouest de son royaume, là où le mal et l’injustice sévissaient. Ensuite il passa à l’Est puis au Nord. Quand aux limites de son empire, les avis sont partagés. Le plus probable est qu’il soit arrivé à l‘Ouest, dans une étendue de l’horizon au dessus de laquelle le soleil se couche. Il s’agirait d’une mer ou d’un fleuve au bord du quel le chemin qu’il avait emprunté s’arrêtait. Là il y a une source qui se déverse dans une étendue marécageuse ou vaseuse. Ce serait donc l’embouchure d’un fleuve, ou un lac boueux. Je vous invite au passage, à apprécier cette image du texte coranique qui décrit le soleil se couchant "dans" une source à l’horizon.
De nombreux exégètes ont pensé à la rive de l’Océan Atlantique, au Maroc de nos jours; c’était le Maghreb de jadis, c'est-à-dire le "Couchant" en Arabe ; c’était également le bout du monde. Il pourrait également s’agir de la côte méditerranéenne non loin du Delta du Nil, là où la terre est vaseuse et noire ; le Coran la qualifie de "hama".
« 89- « Puis, il suivit (une autre) voie ».
90- « Et quand il eut atteint le Levant, il trouva que le soleil se levait sur une peuplade à laquelle nous n’avions pas donné de couverture( pour s’en protéger). Nous savions tout à son sujet ».
Il s’agissait apparemment d’un désert ou d’une région à climat doux où les gens vivaient dans la nature et sans abri. Certains commentateurs ont compris qu’il s’agissait d’un peuple primitif nudiste. Leur soumission fut apparemment facile, le Coran ne dit rien de plus à leur sujet. On peut situer cette région dans le désert de Thar ou la vallée du fleuve Indus.
Une œuvre bénévole au profit d’un peuple isolé…
« 92- Puis, il suivit (une autre) voie.
« 93- Et quand il eut atteint un lieu situé entre les Deux Barrières, il trouva en deçà une peuplade qui ne comprenait pratiquement aucun langage. »
Après le pays à l’Ouest et à l’Est, le "Roi aux deux cornes" s’en alla vers les régions montagneuses de l’Asie centrale. Partant de la Perse, ce serait vers l’Afghanistan et le Turkestan. Dans cette région, il y avait deux barrages. De quelle nature étaient-ils ? Était-ce des barrages hydrauliques ou simplement des barrages routiers ? Le Coran n’a pas jugé utile de nous le dire. Il est très probable qu’en barrant une route en haute montagne, ils remplissaient les deux fonctions. C’est là où notre conquérant avait réalisé son bel ouvrage de Génie Civil. Il y trouva une tribu retirée, probablement illettrée et ne comprenant pratiquement aucun langage des peuples voisins ; mais elle n’était certainement pas primitive ou ignorante, comme l’ont suggéré certains commentateurs, qui avaient interprété ce Verset à la lettre. Les négociations que les chefs de cette tribu avaient engagées avec Thoulkaranïn et les travaux qu’ils avaient réalisés sous sa supervision, le prouvent amplement.
94-"Ils lui dirent : Tholkarnaïn ! les Ya'joûj et les Ma'joûj (Gog et Magog) sont de véritables destructeurs sur terre. Pourrions nous te payer un tribut afin que tu ériges un rempart entre nous et eux"?
Ces gens étaient riches ; c’est pourquoi ils ont proposé de payer une rente pour la construction d’un rempart. Nous allons bientôt voir qu’ils possédaient des minerais de fer et de cuivre. Ils devaient même disposer d’ateliers pour la transformation de ces deux métaux. Ce qu’ils ne savaient pas faire, c’était l’ingénierie de grands ouvrages. Celui-ci était destiné à couper une route entre les plaines du royaume de Thoulkaranïn et les montagnes du nord. Ce sont là autant de renseignements précieux, que nous livre le Coran en quelques Versets. Ces informations devraient
permettre aux historiens et aux archéologues de délimiter la région et l’époque exacte dans lesquelles se sont déroulés ces évènements et pourquoi pas, situer le barrage et son site.
Vu ses richesses, cette population subissait les convoitises de ses voisins. Au départ, ses chefs pensaient que ce nouveau conquérant était venu, à l’instar des autres, imposer sa loi et confisquer leurs biens. Très vite, ils ont compris que le Grand Roi avait des visées plus nobles. Le Coran nous les avait annoncés dès sa première campagne en Occident.
« 95- Il répondit: "Ce que Mon Seigneur m'a conféré vaut plus".
Il veut dire que le royaume et les richesses que Dieu lui a offerts valent beaucoup plus que leur rente.
Thoulkaranïn n’a pas besoin d’argent, mais il a besoin d’une force ouvrière.
"Aidez moi plutôt avec une force ; je vais construise un remblai entre vous et eux.
Le procédé technologique
Il importe de souligner que Thoulkaranïn n’était pas venu avec une grande armée comme la plupart des conquérants, c’est pourquoi il exigea de la main d’œuvre.
Il précisa d’emblée la nature de son ouvrage : Il s’agissait d’ériger par-dessus la route à couper, une digue faite de remblai. Est-ce un remblai rocheux extrait de la montagne ou un remblai tout venant ramené de la vallée ? Les deux matériaux disponibles sur place, pouvaient convenir. Mais je pencherai plutôt vers le tout venant qui est plus facile à extraire et à transporter et plus rapide à amasser. Le terme arabe "radm" utilisé par le Coran, le suggère d’ailleurs.
Une fois le remblai constitué, l’ingénieur procéda à son blindage.
« 96- "Apportez- moi des blocs de fer, dit-il". »
L’expression arabe "Zoubar" peut signifier blocs ou gros barreaux. Ces derniers allaient être empilés sur le remblai, jusqu’à joindre les deux flancs de la montage. L’expression coranique est très expressive : "Saoua" veut dire joindre et mettre à niveau. L’ouvrage a été donc ancré dans la montagne et élevé jusqu’à atteindre le niveau des deux rives de la vallée.
Ainsi, l’Ingénieur des barrages du sixième siècle Av. J.–C. a eu recours à la main d’œuvre locale pour le transport des matériaux et pour la constitution du remblai ; il a eu recours aux fonderies pour la confection d’une quantité industrielle de blocs de fer. Nous pouvons imaginer ce gigantesque chantier et l’activité exceptionnelle que ce projet a procurée à cette population isolée.
Sur le plan technique, nous savons que le fer sort de fonderie sous forme de fonte ; celle-ci est fragile. L’ingénieur Thoulkaranïn lui a fait subir le traitement métallurgique que les aciéries modernes pratiquent de nos jours. Il est évident que les nombreux montagnards qu’il a embauché pour cette tâche, ont dû être formés et assistés de près.
« Puis, lorsqu' il en eut comblé l’espace jusqu’à la hauteur des deux montagnes, il ordonna : "Soufflez!" ».
Si le Coran ne nous l’avait pas dit, on n’aurait jamais pensé que six cents ans avant Jésus, les hommes savaient construire des souffleries aussi géantes pour attiser un feu aussi gigantesque tout le long d’une digue couverte de blocs de fer. L’air soufflé même de nos jours par les métallurgistes, joue un double rôle : Entretenir une flamme vigoureuse et chaude, et injecter de l’oxygène dans la fonte pour la réduire en acier. En effet, le gaz carbonique et l’oxyde de carbone dégagés par la flamme, assurent cette transformation. La teneur en carbone de l’acier ne doit pas dépasser 1.7%
L’ouvrage fut transformé en feu, dit le Coran. En première lecture, j’avais pensé que cette expression voulait simplement dire que le fer avait été élevé à une température telle qu’il avait la couleur de la flamme, c'est-à-dire un jaune pâle avoisinant les 1200 °C. Mais en me référant à la littérature du fer et ses dérivés, je me suis rendu compte que l’expression coranique renfermait une réalité technique bien connue : A cette température de recuit, le carbone et les impuretés renfermées dans les barreaux de fer brûlent en giclant des étincelles. La masse de fer qui recouvrait le remblai, s’est donc bel et bien transformée en un feu réel, comme nous le voyons dans un creuset de fonderie !
"Et lorsqu’il transforma l’ouvrage en feu, il ordonna :
Amenez-moi du cuivre en fusion que je vais verser pardessus."
L’Ingénieur de l’Antiquité passa donc à la phase ultime de consolidation de l’ouvrage et à la soudure des blocs d’acier entre eux. Les sidérurgistes savent que c’est une opération délicate et doit se faire dans des conditions de température et dans des délais bien calculés :
Le Coran utilise le terme "Elkitr" c’est à dire du cuivre en fusion. Celui-ci avait dû être préparé à l’avance, dans des fonderies sur le site.
Là encore Thoulkaranïn a fait appel à des ouvriers spécialisés, formés sur place.
De ce temps là et jusqu’à une époque peu lointaine, les hommes appelaient cuivre ses alliages laiton et bronze. Ils ne savaient pas purifier le cuivre tel que nous le faisons de nos jours. Les ouvriers de Thoulkarnaïn fabriquaient donc du bronze. Nous étions encore à l’âge du bronze.
Rappelons-nous que la température de fusion du cuivre et de ses alliages est de 1080 °C, Déversé sur de l’acier en feu à 1200 °C, il provoque une véritable trempe douce. L’acier se fragilise mais il devient très dur. Il est en plus protégé contre la corrosion rapide. Isolé de l’air libre par l’écran en bronze, son refroidissement est ralenti ; Les métallurgistes peuvent attester qu’il s’agit là d’un art métallurgique exceptionnel !
Que se passa-t-il lorsque l’ouvrage s’était refroidi ?
Le rempart consolidé était devenu aussi dur et robuste que l’acier trempé et aussi lisse qu’une plaque de cuivre polie. Le résultat escompté fut atteint :
« 97- Ainsi, ils ne furent capables ni de l'escalader ni de l'ébrécher ».
Ce constat du Coran est une attestation de réussite qu’il a discernée à l’ingénieur des barrages de l’antiquité.
Et Thoulkaranïn de conclure dans son "discours d’inauguration" :
« 98 C’est par la grâce de mon Seigneur que cet ouvrage a pu être réalisé! Et lorsque l’échéance fixée par mon Seigneur arrivera, il l’écrasera. La promesse de mon Seigneur est certitude".
Ainsi, Le Roi conquérant aux deux cornes, prêche sa foi en Dieu et exprime sa croyance au Jugement Dernier. Il dit qu’il a pu réaliser son barrage par la grâce de son Seigneur. Devant un ouvrage aussi grandiose, le Maître d’œuvre manifesta une modestie exemplaire. Malgré sa solidité, la construction s’écroulera bien le jour où Dieu, son Seigneur, donnera Son ordre de destruction. Dieu a promis une fin à tout et Sa promesse est certitude.
Concernant le barrage de Thoulkarnaïn, l’ordre d’anéantissement aurait-il été donné ? aurait-il été enfoncé sous terre ? Est-il en ruine sous les décombre d’une montagne ? Existe-t-il encore de nos jours? Les archéologues pourront peut-être nous le dire…
Loin d’être économique, le procédé technologique de Thoulkaranïn a été néanmoins très efficace. Il employa les méthodes de traitement thermique et métallurgique appliqués encore de nos jours. Le Coran nous les a rapportés avec une précision étonnante, et dans un style inimitable.
La dernière déclaration de foi du "Roi Juste", jointe à sa réponse à la question posée par Dieu à sa première campagne, confirme qu’il était pieux, sage et intelligent. Ceci concorde avec les informations rapportées par la Bible dans le livre de Daniel (chapitres 8 à 10). De ce fait, et sauf avis contraire des scientifiques, les hypothèses sur son identité sont confirmées. Reste à confirmer l’existance actuelle ou ancienne de son ouvrage. Les Universités Iraniennes questionnées nous répondront je l’espère ! Ce serait alors, l’une des nombreuses merveilles historiques et scientifiques du Coran ! Elle pourrait constituer un excellent sujet de recheche pour un doctorat en histoire.
Par: Mohamed MESSEN
Les livres saints, relayés par les contes populaires, foisonnent d’histoires de peuples de l’Antiquité. Voici l’une des plus belles que je me ferai un plaisir de vous raconter. Je suis sûr que vous saurez en tirer de nombreuses leçons.
Ce qui donne encore plus d’intérêt à mon histoire, c’est que le noble Coran l’a relatée avec concision et précision d’une part et avec beauté d’expression et d’image, d’autre part. C’est dans la sourate 18 'El-Kahf' (La Grotte - Versets 83 à 98) que le Coran nous parle de Thoulkaranïne et de ses exploits...
Mais, tout d’abord, qui est Thoulkaranïn ?
Certains historiens et certains exégètes, croyait qu’il s’agissait d’Alexandre Le Grand le Macédoine.
Toutefois, cette affirmation simpliste, n’a résisté aux analyses critiques et aux recherches plus récentes. En effet, l’Imam Cheikh Bayoud, dans son exégèse du Coran (Fi rihab el Coran) se réfère à une étude réalisée par un grand savant indou surnommé Abou-El-Kalam AZAD (1888 - 1958) pour la réfuter.
En effet, en rappelant les raisons de révélation des Versets coraniques mentionnés ci-dessus, et rapportées par la quasi-totalité des exégètes, Azad découvrit dans la Bible, (livre de Daniel) l’histoire d’un grand roi conquérant, croyant et ami de Daniel. Azad prouva, qu’il s’agissait du roi Perse ‘’Kôrech’’. Celui-ci appartenait à la dynastie achéménide (600-529 av. J-C). Il se faisait appeler ‘’Cyrus le Grand’’. On le surnommait également "Le Grand Roi Juste’’. C’est lui qui avait libéré les juifs détenus et torturés par les Babyloniens notamment par Bakhtansar. Il les avait aidés à retourner en Palestine et à reconstruire le temple de Salomon. Son action ne s’arrêta pas là car c’est lui qui fonda le Premier Empire Perse ; il usa de son tout génie militaire et de toute sa sagesse, pour unifier les états voisins, déchirés par les guerres et les conquêtes.
Les historiens contemporains estiment que son territoire s’étendait du fleuve ‘’Halys’’ à l’ouest à tout l’empire babylonien au sud et à l’est.
Tombe de Cyrus
Mais, pourquoi le Coran l’appela –t- il Thoulkaranïn ?
Thoulkaranïn signifie, en Arabe "l’homme aux deux cornes". Cette appellation avait dérouté certains exégètes qui ont pensé à un roi Himyarite de l’ancien Yémen, car ces derniers portaient un nom commençant par "Thou" qui veut dire "celui qui possède". D’autres disent qu’il doit ce surnom au rêve du Prophète Daniel, raconté par la Bible. Ce dernier aurait rêvé d’un bélier à deux cornes, tué par un bouc à une corne. Il en demanda la signification à l’Ange Gabriel. Il apprit ainsi que le bélier à deux cornes est un roi pieux qui viendra libérer les juifs et gouverner sur les terres d’Orient et d’Occident. Quant au bouc à une seule corne, ce sera un tyran qui reprendra le pouvoir sur ces terres. Le roi pieux a bel et bien été ‘’Kôrech’’, l’Homme Aux Deux Cornes’’. Il est même probable que pour mériter ce surnom venu du ciel, il aurait porté sur la tête un casque à "deux cornes", comme certains guerriers de ce temps-là. Le roi tyran fut Alexandre le Grand qui a reconquis le Moyen Orient et tué le dernier successeur de Cyrus : ‘’Dar le petit.’’
Azad nous apprend qu’une statue de Thoulkaranïn, portant deux ailes et deux cornes, aurait été découverte au XIVème siècle près de l’ancienne capitale perse Persopolis. Elle serait exposée dans un musée iranien.
Qui sont les Yajouj et Majouj ?
El Maraghi, grand exégète égyptien, se réfère à une encyclopédie (sans la nommer), à Ibn khaldoun, Ibn Mekkaoui et aux lettres de Ikhouan Essafa (sans précision non plus) pour affirmer que ‘’Yajouj (Gog) sont les Tatars et ‘’Majouj’’ (Magog) sont les Mongols. Ces deux peuples, descendants du même père ‘’Tork’’, avaient conquis le Tibet, la Chine, l’Antarctique et le Turkestan. Ils lançaient régulièrement des attaques contre les peuples voisins, pillant, brûlant et massacrant tout sur leur passage.
Quant à la fameuse digue, appelée "Porte de fer", elle se trouverait près de la ville de Gijon, dans le département de "Balkh". Le grand conquérant Timorlink serait passé près de ce barrage au XVème siècle en compagnie du savant Allemand Sild Bréguer. Celui-ci l’aurait mentionnée dans son journal de route. L’historien Espagnol Clavigo l’aurait également mentionnée dans son livre d’expédition en 1403. Clavigo était l’envoyé du Roi Castellan d’Andalousie auprès de Timorlink. Il dit que ce barrage s’appelait "Porte de fer" et se situait sur la route qui menait de Samarkand au Pakistan.
Ainsi, le manque de précisions de toutes ces sources, nous incite à faire plus de recherches pour situer ce barrage s’il existe encore. Les historiens et les archéologues qui disposeraient d’informations crédibles sont priés de nous contacter.
Pour le moment contentons-nous des Versets mentionnés ci-dessus !
« 83- « Et ils t’interrogent sur Thoulkarnaïn. Dis (leurs) : "Je vais vous en lire quelques récits"».
Ce sont les Juifs de Médine qui ont suggéré aux Koraïchites de la Mecque de mettre Mohammed (SAS) à l’épreuve pour savoir s’il était réellement Prophète.
"Pour te croire dirent-ils, donnes nous quelques nouvelles sur trois sujets : Un groupe de jeunes gens qui ont eu une aventure extraordinaire, un grand voyageur qui a conquis les terres d’Est en Ouest et sur l’âme".
La Sourate 18 du Coran lui fut alors révélée. Il importe de souligner que les deux expressions tout à fait particulière : "Ils t’interrogent" et "je vais vous en lire" sont sciemment utilisées pour nous faire sentir que le Messager du Coran ne fait que répéter ce qui lui est dicté.
Ainsi commence le récit de Toulkarnaïn :
« 84- C’est Nous qui lui avons permis d’affermir son empire sur terre, et l’avons doté de tous les moyens ».
Nous apprenons ainsi que c’est un conquérant puissant, qui a étendu son pouvoir sur de nombreuses terres. Il a été doté de tous les moyens nécessaires pour assurer sa mission de bienfaisance.
85- « (Un jour), il emprunta un certain chemin ».
86- « jusqu’à ce qu’il atteignit le Couchant. Il trouva que le soleil se couchait dans une source vaseuse. Et auprès d’elle, il trouva une certaine peuplade. Nous l’interpellâmes :
" Thoulkaranïn ! Tu vas soit les châtier soit leur rendre service !" ».
Dans ce Verset, nous apprenons deux faits importants :
Thoulkarnaïn recevait la Parole de Dieu, soit par révélation directe, soit par l’intermédiaire d’un Prophète que le Coran ne nomme pas. Ceci renforce l’hypothèse qui prétend que Korëch était accompagné par le Prophète Daniel, tel qu’il est dit dans la Bible.
Il a reçu la permission de Dieu, soit de châtier ce peuple dévoyé, soit de le ramener à la voix divine par la bienfaisance. Le Verset précédent nous disait qu’il avait reçu du Seigneur tous les moyens nécessaires pour assurer sa mission sur terre. La réponse de Korëch n’a pas été catégorique ; elle a été plutôt nuancée :
87- « Il dit : "Quant à celui qui a commis des abus, nous allons le punir ; et il sera ensuite ramené auprès de son Seigneur qui lui infligera un châtiment horrible.
88- « Quant à celui qui croit en Dieu et aura fait du bien, il recevra la récompense de sa bienfaisance et nous lui dicterons de notre loi ce qu’elle a de plus tolérant" ».
C’est donc un Roi juste et un prédicateur qui promet d’appliquer la loi de Dieu et de n’imposer aux peuples qu’il gouverne qu’une religion tolérante et facile à pratiquer.
Il importe de souligner que tous les historiens s’accordent pour confirmer ce que le Coran a révélé il y a plus de quatorze siècles, à savoir : La dynastie des achéménides à la quelle appartient Korêch a été particulièrement tolérante vis-à-vis des autres religions.
Ce Verset nous apprend également un fait historique important : "Le Roi Juste" avait commencé sa conquête à l’ouest de son royaume, là où le mal et l’injustice sévissaient. Ensuite il passa à l’Est puis au Nord. Quand aux limites de son empire, les avis sont partagés. Le plus probable est qu’il soit arrivé à l‘Ouest, dans une étendue de l’horizon au dessus de laquelle le soleil se couche. Il s’agirait d’une mer ou d’un fleuve au bord du quel le chemin qu’il avait emprunté s’arrêtait. Là il y a une source qui se déverse dans une étendue marécageuse ou vaseuse. Ce serait donc l’embouchure d’un fleuve, ou un lac boueux. Je vous invite au passage, à apprécier cette image du texte coranique qui décrit le soleil se couchant "dans" une source à l’horizon.
De nombreux exégètes ont pensé à la rive de l’Océan Atlantique, au Maroc de nos jours; c’était le Maghreb de jadis, c'est-à-dire le "Couchant" en Arabe ; c’était également le bout du monde. Il pourrait également s’agir de la côte méditerranéenne non loin du Delta du Nil, là où la terre est vaseuse et noire ; le Coran la qualifie de "hama".
« 89- « Puis, il suivit (une autre) voie ».
90- « Et quand il eut atteint le Levant, il trouva que le soleil se levait sur une peuplade à laquelle nous n’avions pas donné de couverture( pour s’en protéger). Nous savions tout à son sujet ».
Il s’agissait apparemment d’un désert ou d’une région à climat doux où les gens vivaient dans la nature et sans abri. Certains commentateurs ont compris qu’il s’agissait d’un peuple primitif nudiste. Leur soumission fut apparemment facile, le Coran ne dit rien de plus à leur sujet. On peut situer cette région dans le désert de Thar ou la vallée du fleuve Indus.
Une œuvre bénévole au profit d’un peuple isolé…
« 92- Puis, il suivit (une autre) voie.
« 93- Et quand il eut atteint un lieu situé entre les Deux Barrières, il trouva en deçà une peuplade qui ne comprenait pratiquement aucun langage. »
Après le pays à l’Ouest et à l’Est, le "Roi aux deux cornes" s’en alla vers les régions montagneuses de l’Asie centrale. Partant de la Perse, ce serait vers l’Afghanistan et le Turkestan. Dans cette région, il y avait deux barrages. De quelle nature étaient-ils ? Était-ce des barrages hydrauliques ou simplement des barrages routiers ? Le Coran n’a pas jugé utile de nous le dire. Il est très probable qu’en barrant une route en haute montagne, ils remplissaient les deux fonctions. C’est là où notre conquérant avait réalisé son bel ouvrage de Génie Civil. Il y trouva une tribu retirée, probablement illettrée et ne comprenant pratiquement aucun langage des peuples voisins ; mais elle n’était certainement pas primitive ou ignorante, comme l’ont suggéré certains commentateurs, qui avaient interprété ce Verset à la lettre. Les négociations que les chefs de cette tribu avaient engagées avec Thoulkaranïn et les travaux qu’ils avaient réalisés sous sa supervision, le prouvent amplement.
94-"Ils lui dirent : Tholkarnaïn ! les Ya'joûj et les Ma'joûj (Gog et Magog) sont de véritables destructeurs sur terre. Pourrions nous te payer un tribut afin que tu ériges un rempart entre nous et eux"?
Ces gens étaient riches ; c’est pourquoi ils ont proposé de payer une rente pour la construction d’un rempart. Nous allons bientôt voir qu’ils possédaient des minerais de fer et de cuivre. Ils devaient même disposer d’ateliers pour la transformation de ces deux métaux. Ce qu’ils ne savaient pas faire, c’était l’ingénierie de grands ouvrages. Celui-ci était destiné à couper une route entre les plaines du royaume de Thoulkaranïn et les montagnes du nord. Ce sont là autant de renseignements précieux, que nous livre le Coran en quelques Versets. Ces informations devraient
permettre aux historiens et aux archéologues de délimiter la région et l’époque exacte dans lesquelles se sont déroulés ces évènements et pourquoi pas, situer le barrage et son site.
Vu ses richesses, cette population subissait les convoitises de ses voisins. Au départ, ses chefs pensaient que ce nouveau conquérant était venu, à l’instar des autres, imposer sa loi et confisquer leurs biens. Très vite, ils ont compris que le Grand Roi avait des visées plus nobles. Le Coran nous les avait annoncés dès sa première campagne en Occident.
« 95- Il répondit: "Ce que Mon Seigneur m'a conféré vaut plus".
Il veut dire que le royaume et les richesses que Dieu lui a offerts valent beaucoup plus que leur rente.
Thoulkaranïn n’a pas besoin d’argent, mais il a besoin d’une force ouvrière.
"Aidez moi plutôt avec une force ; je vais construise un remblai entre vous et eux.
Le procédé technologique
Il importe de souligner que Thoulkaranïn n’était pas venu avec une grande armée comme la plupart des conquérants, c’est pourquoi il exigea de la main d’œuvre.
Il précisa d’emblée la nature de son ouvrage : Il s’agissait d’ériger par-dessus la route à couper, une digue faite de remblai. Est-ce un remblai rocheux extrait de la montagne ou un remblai tout venant ramené de la vallée ? Les deux matériaux disponibles sur place, pouvaient convenir. Mais je pencherai plutôt vers le tout venant qui est plus facile à extraire et à transporter et plus rapide à amasser. Le terme arabe "radm" utilisé par le Coran, le suggère d’ailleurs.
Une fois le remblai constitué, l’ingénieur procéda à son blindage.
« 96- "Apportez- moi des blocs de fer, dit-il". »
L’expression arabe "Zoubar" peut signifier blocs ou gros barreaux. Ces derniers allaient être empilés sur le remblai, jusqu’à joindre les deux flancs de la montage. L’expression coranique est très expressive : "Saoua" veut dire joindre et mettre à niveau. L’ouvrage a été donc ancré dans la montagne et élevé jusqu’à atteindre le niveau des deux rives de la vallée.
Ainsi, l’Ingénieur des barrages du sixième siècle Av. J.–C. a eu recours à la main d’œuvre locale pour le transport des matériaux et pour la constitution du remblai ; il a eu recours aux fonderies pour la confection d’une quantité industrielle de blocs de fer. Nous pouvons imaginer ce gigantesque chantier et l’activité exceptionnelle que ce projet a procurée à cette population isolée.
Sur le plan technique, nous savons que le fer sort de fonderie sous forme de fonte ; celle-ci est fragile. L’ingénieur Thoulkaranïn lui a fait subir le traitement métallurgique que les aciéries modernes pratiquent de nos jours. Il est évident que les nombreux montagnards qu’il a embauché pour cette tâche, ont dû être formés et assistés de près.
« Puis, lorsqu' il en eut comblé l’espace jusqu’à la hauteur des deux montagnes, il ordonna : "Soufflez!" ».
Si le Coran ne nous l’avait pas dit, on n’aurait jamais pensé que six cents ans avant Jésus, les hommes savaient construire des souffleries aussi géantes pour attiser un feu aussi gigantesque tout le long d’une digue couverte de blocs de fer. L’air soufflé même de nos jours par les métallurgistes, joue un double rôle : Entretenir une flamme vigoureuse et chaude, et injecter de l’oxygène dans la fonte pour la réduire en acier. En effet, le gaz carbonique et l’oxyde de carbone dégagés par la flamme, assurent cette transformation. La teneur en carbone de l’acier ne doit pas dépasser 1.7%
L’ouvrage fut transformé en feu, dit le Coran. En première lecture, j’avais pensé que cette expression voulait simplement dire que le fer avait été élevé à une température telle qu’il avait la couleur de la flamme, c'est-à-dire un jaune pâle avoisinant les 1200 °C. Mais en me référant à la littérature du fer et ses dérivés, je me suis rendu compte que l’expression coranique renfermait une réalité technique bien connue : A cette température de recuit, le carbone et les impuretés renfermées dans les barreaux de fer brûlent en giclant des étincelles. La masse de fer qui recouvrait le remblai, s’est donc bel et bien transformée en un feu réel, comme nous le voyons dans un creuset de fonderie !
"Et lorsqu’il transforma l’ouvrage en feu, il ordonna :
Amenez-moi du cuivre en fusion que je vais verser pardessus."
L’Ingénieur de l’Antiquité passa donc à la phase ultime de consolidation de l’ouvrage et à la soudure des blocs d’acier entre eux. Les sidérurgistes savent que c’est une opération délicate et doit se faire dans des conditions de température et dans des délais bien calculés :
Le Coran utilise le terme "Elkitr" c’est à dire du cuivre en fusion. Celui-ci avait dû être préparé à l’avance, dans des fonderies sur le site.
Là encore Thoulkaranïn a fait appel à des ouvriers spécialisés, formés sur place.
De ce temps là et jusqu’à une époque peu lointaine, les hommes appelaient cuivre ses alliages laiton et bronze. Ils ne savaient pas purifier le cuivre tel que nous le faisons de nos jours. Les ouvriers de Thoulkarnaïn fabriquaient donc du bronze. Nous étions encore à l’âge du bronze.
Rappelons-nous que la température de fusion du cuivre et de ses alliages est de 1080 °C, Déversé sur de l’acier en feu à 1200 °C, il provoque une véritable trempe douce. L’acier se fragilise mais il devient très dur. Il est en plus protégé contre la corrosion rapide. Isolé de l’air libre par l’écran en bronze, son refroidissement est ralenti ; Les métallurgistes peuvent attester qu’il s’agit là d’un art métallurgique exceptionnel !
Que se passa-t-il lorsque l’ouvrage s’était refroidi ?
Le rempart consolidé était devenu aussi dur et robuste que l’acier trempé et aussi lisse qu’une plaque de cuivre polie. Le résultat escompté fut atteint :
« 97- Ainsi, ils ne furent capables ni de l'escalader ni de l'ébrécher ».
Ce constat du Coran est une attestation de réussite qu’il a discernée à l’ingénieur des barrages de l’antiquité.
Et Thoulkaranïn de conclure dans son "discours d’inauguration" :
« 98 C’est par la grâce de mon Seigneur que cet ouvrage a pu être réalisé! Et lorsque l’échéance fixée par mon Seigneur arrivera, il l’écrasera. La promesse de mon Seigneur est certitude".
Ainsi, Le Roi conquérant aux deux cornes, prêche sa foi en Dieu et exprime sa croyance au Jugement Dernier. Il dit qu’il a pu réaliser son barrage par la grâce de son Seigneur. Devant un ouvrage aussi grandiose, le Maître d’œuvre manifesta une modestie exemplaire. Malgré sa solidité, la construction s’écroulera bien le jour où Dieu, son Seigneur, donnera Son ordre de destruction. Dieu a promis une fin à tout et Sa promesse est certitude.
Concernant le barrage de Thoulkarnaïn, l’ordre d’anéantissement aurait-il été donné ? aurait-il été enfoncé sous terre ? Est-il en ruine sous les décombre d’une montagne ? Existe-t-il encore de nos jours? Les archéologues pourront peut-être nous le dire…
Loin d’être économique, le procédé technologique de Thoulkaranïn a été néanmoins très efficace. Il employa les méthodes de traitement thermique et métallurgique appliqués encore de nos jours. Le Coran nous les a rapportés avec une précision étonnante, et dans un style inimitable.
La dernière déclaration de foi du "Roi Juste", jointe à sa réponse à la question posée par Dieu à sa première campagne, confirme qu’il était pieux, sage et intelligent. Ceci concorde avec les informations rapportées par la Bible dans le livre de Daniel (chapitres 8 à 10). De ce fait, et sauf avis contraire des scientifiques, les hypothèses sur son identité sont confirmées. Reste à confirmer l’existance actuelle ou ancienne de son ouvrage. Les Universités Iraniennes questionnées nous répondront je l’espère ! Ce serait alors, l’une des nombreuses merveilles historiques et scientifiques du Coran ! Elle pourrait constituer un excellent sujet de recheche pour un doctorat en histoire.
Ecrit le 12 mai07, 06:37
Voguer dans l’espace
Plus on s’approfondit dans les secrets de l’univers, plus on découvre la méticulosité et la minutie avec lesquelles sont rédigés les termes coraniques, le Coran emploie toujours les mots les plus pertinents, et les plus appropriés. Lisons cet article, et glorifions Dieu le créateur de cet univers grandiose…
Une nouvelle ère de la science a commencé dans les débuts du vingtième Siècle après la découverte de la structure de l’atome ainsi que l’exploration de divers secrets de l’univers dans lequel nous vivons.
De nouvelles critiques ont été proférées à l’encontre du Coran par des orientalistes qui allèguent que celui-ci n’est pas pointilleux au niveau scientifique.
Je citerai par l’occasion leur prétention que le Coran s’est trompé quand il a évoqué le mouvement des corps dans l’univers en disant « et chacun vogue dans une orbite ; وَكُلٌّ فِي فَلَكٍ يَسْبَحُونَ » (l’orbite étant la trajectoire inclinée sur laquelle circulent les planètes, est représentée dans le Coran comme le bateau qui les transporte !! C’est le sens du terme coranique « الفُلْكُ » ]Sourate Yâ-Sîn, 40[. Ils ont avancé à cette époque que le terme « voguer » n’est pas précis scientifiquement étant donné que les planètes et les étoiles ne voguent pas, parce que ça nécessite un milieu matériel tel que l’eau, mais tournent dans le vide.
Mais avec les débuts du vingt-et-unième Siècle, une nouvelle découverte scientifique a vu le jour sous le nom de « la construction cosmique ; البناء الكوني», les savants ont découvert des briques dans l’univers, ainsi, chaque groupe de galaxies forme une brique, et l’ensemble construit un univers solide
Il s’est avéré aux savants que l’univers est plein de matière et d’énergie, donc, le vide n’existe pas, et par conséquent tous les corps cosmiques comme la terre et les autres planètes flottent dans ce milieu plein de matière et d’énergie qui envahissent l’univers mais en faible condensation. Cette vérité n’a été découverte que récemment.
De ce qui précède, il s’est confirmé aux scientifiques que le terme « l’espace » "فضاء" n’a pas de fondement, le vide n’a pas de place dans un univers dont chaque particule est saturée à la fois de matière et d’énergie.
Ainsi, le terme coranique «voguer » est très précis scientifiquement, les savants occidentaux l’auraient utilisé si on leur avait proposé, et auraient sûrement réalisé qu’il est plus concis que le terme « tourner », de même pour le terme « construction » tel qu’il a été utilisé dans le Coran «et le ciel comme édifice ;وَالسَّمَاءَ بِنَاءً » ]Sourate Gafer ; le Pardonneur, verset 64[, traduit la réalité de l’univers, contrairement au mot espace qui est vidé de sens !!!
Et si on examine terme « tourner » cité à maintes reprises dans leurs articles, on trouvera que celui-ci n’est pas correct, étant donné que le mouvement du soleil, de la lune, de la terre, des étoiles, des planètes, les nuages de gaz et de la poussière cosmique…s’apparente à une vibration composée à l’instar d’un corps qui flotte sur la surface de l’eau bercé doucement par des vagues inclinées.
La concertation du mouvement de la terre autour du soleil, ensuite autour du centre de notre galaxie (la voie lactée), et l’ensemble autour du centre de regroupement des galaxies, provoque une agitation vibrée et penchée comme un corps qui tangue sur la surface de l’eau, de ce fait, on comprend mieux pourquoi le Coran n’a pas utilisé le terme « tourner » mais « voguer ou flotter », car il désigne la nature de l’action des corps cosmiques.
Pour illustrer de façon pratique cette vérité, on se réfère aux déclarations des astronautes qui ont dépassé la pesanteur terrestre, qu’ont-ils ressentis une fois dans l’espace ?
Chacun d’entre eux certifie qu’il ressentait comme s’il flottait sur la surface de l’eau !! Ainsi disent les scientifiques de la NASA à la lettre : « Astronauts feel like they are floating when they are in space », cela veut dire que les Astronautes sentent comme s’ils flottent quand ils sont dans l’espace.
Quand l’homme se trouve dans l’univers, il sent comme s’il flotte sur la surface de l’eau, et ce sentiment est tout à fait réel, et non illusoire, étant donné qu’il baigne dans un milieu matériel submergé de matières et d’énergie mais en faible condensation, et non pas dans le vide, de ce fait l’expression « voguer dans l’univers » est correcte, inspirée du terme coranique « chacun vogue dans une orbite ».
On comprend finalement pourquoi le Coran a utilisé avec minutie cette expression dans une autre Sourate : « وَهُوَ الَّذِي خَلَقَ اللَّيْلَ وَالنَّهَارَ وَالشَّمْسَ وَالْقَمَرَ كُلٌّ فِي فَلَكٍ يَسْبَحُونَ "
Et c’est lui a crée la nuit et le jour, le soleil et la lune, chacun voguant dans une orbite »] Sourate Al Anbiyae ; les prophètes, verset 33[. On comprend également que plus le développement de la science révèle des vérités certifiées sur l’univers, plus on atteste que les termes coraniques sont très pointilleux au niveau scientifique, et non contradictoires et confus comme prétendent certains soupçonneux.
« سنريهم آياتنا في الآفاق وفي أنفسهم حتى يتبين لهم أنه الحق
Nous leur montrerons Nos signes dans l’univers et en eux-mêmes, jusqu’à ce qu’il leur devienne évident que c’est cela (le Coran), la vérité. »] Sourate Fosselat, les versets détaillés, verset 53[.
Ecrit par Abdel Daem KAHEEL
Traduit par: F Z BOULAICH BAYSSA
Plus on s’approfondit dans les secrets de l’univers, plus on découvre la méticulosité et la minutie avec lesquelles sont rédigés les termes coraniques, le Coran emploie toujours les mots les plus pertinents, et les plus appropriés. Lisons cet article, et glorifions Dieu le créateur de cet univers grandiose…
Une nouvelle ère de la science a commencé dans les débuts du vingtième Siècle après la découverte de la structure de l’atome ainsi que l’exploration de divers secrets de l’univers dans lequel nous vivons.
De nouvelles critiques ont été proférées à l’encontre du Coran par des orientalistes qui allèguent que celui-ci n’est pas pointilleux au niveau scientifique.
Je citerai par l’occasion leur prétention que le Coran s’est trompé quand il a évoqué le mouvement des corps dans l’univers en disant « et chacun vogue dans une orbite ; وَكُلٌّ فِي فَلَكٍ يَسْبَحُونَ » (l’orbite étant la trajectoire inclinée sur laquelle circulent les planètes, est représentée dans le Coran comme le bateau qui les transporte !! C’est le sens du terme coranique « الفُلْكُ » ]Sourate Yâ-Sîn, 40[. Ils ont avancé à cette époque que le terme « voguer » n’est pas précis scientifiquement étant donné que les planètes et les étoiles ne voguent pas, parce que ça nécessite un milieu matériel tel que l’eau, mais tournent dans le vide.
Mais avec les débuts du vingt-et-unième Siècle, une nouvelle découverte scientifique a vu le jour sous le nom de « la construction cosmique ; البناء الكوني», les savants ont découvert des briques dans l’univers, ainsi, chaque groupe de galaxies forme une brique, et l’ensemble construit un univers solide
Il s’est avéré aux savants que l’univers est plein de matière et d’énergie, donc, le vide n’existe pas, et par conséquent tous les corps cosmiques comme la terre et les autres planètes flottent dans ce milieu plein de matière et d’énergie qui envahissent l’univers mais en faible condensation. Cette vérité n’a été découverte que récemment.
De ce qui précède, il s’est confirmé aux scientifiques que le terme « l’espace » "فضاء" n’a pas de fondement, le vide n’a pas de place dans un univers dont chaque particule est saturée à la fois de matière et d’énergie.
Ainsi, le terme coranique «voguer » est très précis scientifiquement, les savants occidentaux l’auraient utilisé si on leur avait proposé, et auraient sûrement réalisé qu’il est plus concis que le terme « tourner », de même pour le terme « construction » tel qu’il a été utilisé dans le Coran «et le ciel comme édifice ;وَالسَّمَاءَ بِنَاءً » ]Sourate Gafer ; le Pardonneur, verset 64[, traduit la réalité de l’univers, contrairement au mot espace qui est vidé de sens !!!
Et si on examine terme « tourner » cité à maintes reprises dans leurs articles, on trouvera que celui-ci n’est pas correct, étant donné que le mouvement du soleil, de la lune, de la terre, des étoiles, des planètes, les nuages de gaz et de la poussière cosmique…s’apparente à une vibration composée à l’instar d’un corps qui flotte sur la surface de l’eau bercé doucement par des vagues inclinées.
La concertation du mouvement de la terre autour du soleil, ensuite autour du centre de notre galaxie (la voie lactée), et l’ensemble autour du centre de regroupement des galaxies, provoque une agitation vibrée et penchée comme un corps qui tangue sur la surface de l’eau, de ce fait, on comprend mieux pourquoi le Coran n’a pas utilisé le terme « tourner » mais « voguer ou flotter », car il désigne la nature de l’action des corps cosmiques.
Pour illustrer de façon pratique cette vérité, on se réfère aux déclarations des astronautes qui ont dépassé la pesanteur terrestre, qu’ont-ils ressentis une fois dans l’espace ?
Chacun d’entre eux certifie qu’il ressentait comme s’il flottait sur la surface de l’eau !! Ainsi disent les scientifiques de la NASA à la lettre : « Astronauts feel like they are floating when they are in space », cela veut dire que les Astronautes sentent comme s’ils flottent quand ils sont dans l’espace.
Quand l’homme se trouve dans l’univers, il sent comme s’il flotte sur la surface de l’eau, et ce sentiment est tout à fait réel, et non illusoire, étant donné qu’il baigne dans un milieu matériel submergé de matières et d’énergie mais en faible condensation, et non pas dans le vide, de ce fait l’expression « voguer dans l’univers » est correcte, inspirée du terme coranique « chacun vogue dans une orbite ».
On comprend finalement pourquoi le Coran a utilisé avec minutie cette expression dans une autre Sourate : « وَهُوَ الَّذِي خَلَقَ اللَّيْلَ وَالنَّهَارَ وَالشَّمْسَ وَالْقَمَرَ كُلٌّ فِي فَلَكٍ يَسْبَحُونَ "
Et c’est lui a crée la nuit et le jour, le soleil et la lune, chacun voguant dans une orbite »] Sourate Al Anbiyae ; les prophètes, verset 33[. On comprend également que plus le développement de la science révèle des vérités certifiées sur l’univers, plus on atteste que les termes coraniques sont très pointilleux au niveau scientifique, et non contradictoires et confus comme prétendent certains soupçonneux.
« سنريهم آياتنا في الآفاق وفي أنفسهم حتى يتبين لهم أنه الحق
Nous leur montrerons Nos signes dans l’univers et en eux-mêmes, jusqu’à ce qu’il leur devienne évident que c’est cela (le Coran), la vérité. »] Sourate Fosselat, les versets détaillés, verset 53[.
Ecrit par Abdel Daem KAHEEL
Traduit par: F Z BOULAICH BAYSSA
Ecrit le 12 mai07, 06:43
La mer et la terre ferme : une vérité étonnante !
Depuis environ 25 ans, les chercheurs ont découvert une réalité numérique que le Saint Coran a citée avec une précision prodigieuse, et ce concernant la proportion de la mer (contenant océan, mer, lac, …) par rapport au continent (la terre ferme), j’ai reçu plusieurs requêtes m’interrogeant sur la validité du fait. J’ai décidé alors de compter de nouveau le nombre de fois que les mots « mer » et «La terre ferme » (ou La terre) sont répétés dans le Coran tout entier.
Le mot « mer » est cité dans le Coran, au singulier, dans 32 versets.
Et le mot « terre ferme » est cité au singulier dans 12 versets, en plus d’un autre verset où il est mentionné sous la forme de « passage à sec »[1] qui veut dire la même chose, et donc le total est de 13.
Résumons;
* Le nombre de versets du Coran dans lesquels le mot « mer » est cité est de 32.
* Le nombre de versets du Coran dans lesquels le mot « terre ferme » est cité est de 13.
* Le nombre total de versets du Saint Coran dans lesquels les mots « mer » et « terre ferme » sont cités est de : 32+13=45 versets.
Le mers et les océans occupent 71 % de la surface de la planète terre
Et par un simple calcul de proportionnalité de chacun de ces deux éléments ; si on veut calculer combien représente le mot « mer » dans la totalité des 45 versets ; on doit diviser le nombre de répétitions de ce mot (32) sur le total qui est 45 : Le pourcentage sera comme suit :
32 ÷ 45 = 71 %
Et la proportion des versets contenants le mot « Terre » (13) par rapport au total des versets (45) on obtient :
13 ÷ 45 = 29 %
Récapitulons ;
On aboutit au résultat suivant : la proportion de la mer et du continent (la terre ferme) dans le Coran est 71 % et 29 % successivement.
Et si on visite le site web de l’administration de l’aéronautique nationale et de l’espace (NASA) , on découvre qu’ils citent les mêmes pourcentages ; 71% pour les mers et 29% pour les continents (terre ferme).
Cette concordance surprenante, même miraculeuse, témoigne que Dieu, Le Tout Puissant, a bien éclairci toute chose dans le Saint Coran, IL dit : « Et Nous avons fait descendre sur toi le Livre, comme un exposé explicite de toute chose, ainsi qu'un guide, une grâce et une bonne annonce aux Musulmans. » [Les abeilles (An-Nahl) ; verset 89]
Sources
Sourate « Ta-Ha » verset 77
www.nasa.gov
Depuis environ 25 ans, les chercheurs ont découvert une réalité numérique que le Saint Coran a citée avec une précision prodigieuse, et ce concernant la proportion de la mer (contenant océan, mer, lac, …) par rapport au continent (la terre ferme), j’ai reçu plusieurs requêtes m’interrogeant sur la validité du fait. J’ai décidé alors de compter de nouveau le nombre de fois que les mots « mer » et «La terre ferme » (ou La terre) sont répétés dans le Coran tout entier.
Le mot « mer » est cité dans le Coran, au singulier, dans 32 versets.
Et le mot « terre ferme » est cité au singulier dans 12 versets, en plus d’un autre verset où il est mentionné sous la forme de « passage à sec »[1] qui veut dire la même chose, et donc le total est de 13.
Résumons;
* Le nombre de versets du Coran dans lesquels le mot « mer » est cité est de 32.
* Le nombre de versets du Coran dans lesquels le mot « terre ferme » est cité est de 13.
* Le nombre total de versets du Saint Coran dans lesquels les mots « mer » et « terre ferme » sont cités est de : 32+13=45 versets.
Le mers et les océans occupent 71 % de la surface de la planète terre
Et par un simple calcul de proportionnalité de chacun de ces deux éléments ; si on veut calculer combien représente le mot « mer » dans la totalité des 45 versets ; on doit diviser le nombre de répétitions de ce mot (32) sur le total qui est 45 : Le pourcentage sera comme suit :
32 ÷ 45 = 71 %
Et la proportion des versets contenants le mot « Terre » (13) par rapport au total des versets (45) on obtient :
13 ÷ 45 = 29 %
Récapitulons ;
On aboutit au résultat suivant : la proportion de la mer et du continent (la terre ferme) dans le Coran est 71 % et 29 % successivement.
Et si on visite le site web de l’administration de l’aéronautique nationale et de l’espace (NASA) , on découvre qu’ils citent les mêmes pourcentages ; 71% pour les mers et 29% pour les continents (terre ferme).
Cette concordance surprenante, même miraculeuse, témoigne que Dieu, Le Tout Puissant, a bien éclairci toute chose dans le Saint Coran, IL dit : « Et Nous avons fait descendre sur toi le Livre, comme un exposé explicite de toute chose, ainsi qu'un guide, une grâce et une bonne annonce aux Musulmans. » [Les abeilles (An-Nahl) ; verset 89]
Sources
Sourate « Ta-Ha » verset 77
www.nasa.gov
Ecrit le 19 mai07, 00:21
Se coucher sur le côté droit
Se coucher peut être sur le dos, sur l'abdomen, sur le côté gauche ou le côté droit. Lesquelles de ces positions sont les meilleures pour le fonctionnement des organes?
Quand on se couche sur l'abdomen, comme le Dr. Attar dit, l’être humain se sent après un certain moment en respiration difficile comme la masse des épines dorsales. Ceci empêche le coffre de se contracter et puis de se détendre pendant l'inhalation et l'exhalation. D'ailleurs cette position mène à un recourbement obligatoire dans les vertèbres du cou. En outre, le contact des organes reproducteurs avec le lit mène à la masturbation. En plus, la crise respiratoire résultante a comme conséquence, aussi bien la fatigue du cerveau que du cœur. Un chercheur australien a noté l'augmentation de la mort soudaine des bébés quand ils dorment sur leurs ventres comparés à ceux qui dorment sur un des deux côtés. De même, un magazine britannique TIME a diffusé une étude ressemblante qui indique l’augmentation du pourcentage de la mort soudaine des enfants dormant sur leurs ventres.
Il est miraculeux que ces études modernes soient conformes à ce que notre prophète a dit comme relaté par Abu Huraira (qu'Allah soit satisfait de lui) : « Quand le prophète (que la paix soit sur lui) a vu un homme dormant sur son avant, il lui a dit : "Allah et son prophète détestent cette position) » (rapporté par Al-Tirmd)
Un autre Hadith est celui relaté par Abou Umama (qu'Allah soit satisfait de lui) qui a dit : « Quand le prophète (que la paix soit sur lui) est passé devant un homme dormant sur son avant dans la mosquée, il l'a frappé avec ses pieds et lui a dit : réveillez-vous et asseyez-vous car c'est un sommeil diabolique ".
D'autre part, l’endormissement sur le dos, emmène à la respiration buccale. Le Dr. Attar explique qu'en se trouvant sur le dos, la bouche s’ouvre car la mâchoire inférieure se détend. Cependant, le nez est celui qui est préparé pour la respiration puisqu'il contient des poils muqueux pour épurer l'air entrant pendant ce fonctionnement. En fait, le nez comprend des vaisseaux sanguins denses qui jouent le rôle de réchauffeur d’air entrant. Alors que la respiration par la bouche rend la personne encline aux rhumes, particulièrement en hiver. Elle évoque également la sécheresse et l’inflammation de la gencive.
Ainsi, à cause de cette position, la mâchoire et la luette s'opposent à la largeur du nez et empêchent le courant du souffle ce qui augmente le ronflement. D'ailleurs, dans ce cas-là, la personne se réveille avec une bâche blanche anormale sur la langue avec une odeur. Dormir sur le côté gauche n'est pas favorisé non plus, car le coeur serait alors sous la pression du poumon droit, le plus grand des deux poumons, et ceci affecterait sa contraction notamment si la personne est âgée. D’autre part, le plein estomac étant sous la pression de l'organe le plus lourd dans la région digestive, à savoir le foie qui retarde son vidage (de l'estomac) imposerait aussi une pression sur le coeur.
Un ensemble d'expériences effectué par Galteh et Butseh a constaté que le passage de la nourriture de l'estomac aux intestins dure de 2.5 à 4.5 heures si une personne dort sur le bon côté. Pour le cas contraire, cette opération prend de 5 à 8 heures si on dort sur le côté gauche.
Ainsi, le sommeil sur le bon côté est la position correcte, car le poumon gauche est plus petit que le droit et la pression sur le coeur sera moins. Le foie ne sera pas suspendu, et l'estomac sera là-dessus. Vider son contenu (de l'estomac) sera plus rapide. D'ailleurs cette position correcte est l'une des meilleures interventions médicales pour faciliter l'excrétion des sécrétions muqueuses des bronchioles respiratoires gauches. C'est ce qui a été mentionné par le Dr. Al-Rawi qui a ajouté que la raison de l'expansion des voies aériennes dans le poumon gauche et pas de celles dans le droit, en raison que les bronchioles du poumon droit sont latéralement placées dans une certaine mesure, tandis que celles dans le poumon gauche sont verticales; il est plus difficile de pousser les sécrétions vers le haut à excréter. Ceci mène à leur accumulation dans le segment inférieur. A vrai dire, mener aux symptômes de l'expansion est à ce stade, une décharge excessive de flegmes le matin, qui peut aggraver et mener aux maladies sérieuses, telles que l’apse et la maladie urinaire des poumons. Chose est sure, dormir sur le bon côté s'est avéré l'un des traitements les plus modernes pour ces deux cas.
Traduit par HANANE AZZAOUI
Références:
- "Miracles of Islamic medicine" Vol.4 par le Dr. Mohammad Nezar Al-Dakar
- Dr. Thafer Al-Attar “Lay down on your right side”
"Your Doctor" magazine 1961
- The Arabic medical magazine: "The wrong sleeping positions"
N°=196 Year 1993
- "The Art Of Health And Protective Medicine"
Dr. Ahmad Hamdi Alkhayat (university of Damascus
Se coucher peut être sur le dos, sur l'abdomen, sur le côté gauche ou le côté droit. Lesquelles de ces positions sont les meilleures pour le fonctionnement des organes?
Quand on se couche sur l'abdomen, comme le Dr. Attar dit, l’être humain se sent après un certain moment en respiration difficile comme la masse des épines dorsales. Ceci empêche le coffre de se contracter et puis de se détendre pendant l'inhalation et l'exhalation. D'ailleurs cette position mène à un recourbement obligatoire dans les vertèbres du cou. En outre, le contact des organes reproducteurs avec le lit mène à la masturbation. En plus, la crise respiratoire résultante a comme conséquence, aussi bien la fatigue du cerveau que du cœur. Un chercheur australien a noté l'augmentation de la mort soudaine des bébés quand ils dorment sur leurs ventres comparés à ceux qui dorment sur un des deux côtés. De même, un magazine britannique TIME a diffusé une étude ressemblante qui indique l’augmentation du pourcentage de la mort soudaine des enfants dormant sur leurs ventres.
Il est miraculeux que ces études modernes soient conformes à ce que notre prophète a dit comme relaté par Abu Huraira (qu'Allah soit satisfait de lui) : « Quand le prophète (que la paix soit sur lui) a vu un homme dormant sur son avant, il lui a dit : "Allah et son prophète détestent cette position) » (rapporté par Al-Tirmd)
Un autre Hadith est celui relaté par Abou Umama (qu'Allah soit satisfait de lui) qui a dit : « Quand le prophète (que la paix soit sur lui) est passé devant un homme dormant sur son avant dans la mosquée, il l'a frappé avec ses pieds et lui a dit : réveillez-vous et asseyez-vous car c'est un sommeil diabolique ".
D'autre part, l’endormissement sur le dos, emmène à la respiration buccale. Le Dr. Attar explique qu'en se trouvant sur le dos, la bouche s’ouvre car la mâchoire inférieure se détend. Cependant, le nez est celui qui est préparé pour la respiration puisqu'il contient des poils muqueux pour épurer l'air entrant pendant ce fonctionnement. En fait, le nez comprend des vaisseaux sanguins denses qui jouent le rôle de réchauffeur d’air entrant. Alors que la respiration par la bouche rend la personne encline aux rhumes, particulièrement en hiver. Elle évoque également la sécheresse et l’inflammation de la gencive.
Ainsi, à cause de cette position, la mâchoire et la luette s'opposent à la largeur du nez et empêchent le courant du souffle ce qui augmente le ronflement. D'ailleurs, dans ce cas-là, la personne se réveille avec une bâche blanche anormale sur la langue avec une odeur. Dormir sur le côté gauche n'est pas favorisé non plus, car le coeur serait alors sous la pression du poumon droit, le plus grand des deux poumons, et ceci affecterait sa contraction notamment si la personne est âgée. D’autre part, le plein estomac étant sous la pression de l'organe le plus lourd dans la région digestive, à savoir le foie qui retarde son vidage (de l'estomac) imposerait aussi une pression sur le coeur.
Un ensemble d'expériences effectué par Galteh et Butseh a constaté que le passage de la nourriture de l'estomac aux intestins dure de 2.5 à 4.5 heures si une personne dort sur le bon côté. Pour le cas contraire, cette opération prend de 5 à 8 heures si on dort sur le côté gauche.
Ainsi, le sommeil sur le bon côté est la position correcte, car le poumon gauche est plus petit que le droit et la pression sur le coeur sera moins. Le foie ne sera pas suspendu, et l'estomac sera là-dessus. Vider son contenu (de l'estomac) sera plus rapide. D'ailleurs cette position correcte est l'une des meilleures interventions médicales pour faciliter l'excrétion des sécrétions muqueuses des bronchioles respiratoires gauches. C'est ce qui a été mentionné par le Dr. Al-Rawi qui a ajouté que la raison de l'expansion des voies aériennes dans le poumon gauche et pas de celles dans le droit, en raison que les bronchioles du poumon droit sont latéralement placées dans une certaine mesure, tandis que celles dans le poumon gauche sont verticales; il est plus difficile de pousser les sécrétions vers le haut à excréter. Ceci mène à leur accumulation dans le segment inférieur. A vrai dire, mener aux symptômes de l'expansion est à ce stade, une décharge excessive de flegmes le matin, qui peut aggraver et mener aux maladies sérieuses, telles que l’apse et la maladie urinaire des poumons. Chose est sure, dormir sur le bon côté s'est avéré l'un des traitements les plus modernes pour ces deux cas.
Traduit par HANANE AZZAOUI
Références:
- "Miracles of Islamic medicine" Vol.4 par le Dr. Mohammad Nezar Al-Dakar
- Dr. Thafer Al-Attar “Lay down on your right side”
"Your Doctor" magazine 1961
- The Arabic medical magazine: "The wrong sleeping positions"
N°=196 Year 1993
- "The Art Of Health And Protective Medicine"
Dr. Ahmad Hamdi Alkhayat (university of Damascus
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