[Catholiq]La "contre-réforme" catholique... et les

L'Église catholique est à la fois une communion de communautés et d'Églises ainsi qu'une institution et un clergé organisés de façon hiérarchique.
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[Catholiq]La "contre-réforme" catholique... et les

Ecrit le 17 mai07, 10:49

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Je suis tombé sur le site internet de ce "mouvement" de bons catholiques :|

http://www.crc-resurrection.org/accueil.asp

Leur connaissance doctrinaire et théologique est, bien que la plupart du temps totalement détournée et d'une partialité lamentable, assez poussée et j'avoue qu'en tant que non-croyant -d'éducation chrétienne...- et étudiant en philosophie, je suis assez sidéré par la façon dont ils nagent dans leur mystique moyen-âgeuse... et s'y oublient en rejetant tout autre opinion.
Car ce qui me révolte le plus c'est que l'action qui accompagne leur foi catholique est en accord parfait avec le totalitarisme et même le fascisme.

Ici je mets un extrait de la façon dont ils expliquent l'histoire de l'Eglise au 20e siècle et qui met en évidence leur glorieux conservatisme :


L'ÉGLISE TENTÉE PAR L'APOSTASIE (20e siècle)

Sous l'ardente et vigoureuse impulsion de saint Pie X, l'Église reprend sa marche en tous domaines et en tous pays jusqu'en 1950. Mais la puissance mondiale de la franc-maçonnerie et le travail souterrain de ses ennemis de l'intérieur, modernistes et progressistes, obscurciront les dernières années de Pie XII au moment où l'immense prestige du catholicisme laissait présager son triomphe universel.

SAINT PIE X : PASTEUR ET DOCTEUR


Élu en 1903, après les dernières années déliquescentes de Léon XIII, Pie X (1903-1914) stigmatise, dès sa première encyclique, « le crime capital de l'ère moderne », qui est « de vouloir substituer l'homme à Dieu ». Ce à quoi il oppose sa volonté et son programme : « Tout restaurer dans le Christ », qu'il met aussitôt en application. Par quelques rigueurs significatives : la déposition de deux évêques français, l'un moderniste, l'autre scandaleux ; la mise à l'index du pire livre de Loisy, « L'Évangile et l'Église ». Par des mesures de redressement à longue échéance, tel l'appel du Père Le Floch à la direction du Séminaire français de Rome, qui, pendant un quart de siècle, donnera à la France le meilleur de son épiscopat et de son clergé. Par des décisions longuement mûries et audacieuses : la restauration des études bibliques, la réforme du chant grégorien, du bréviaire, du catéchisme, l'élaboration d'un code de droit canonique, les décrets relatifs à la communion fréquente et à la communion précoce des enfants. Ces dix ans de pontificat se dérouleront dans une aura de sainteté.

Pie X défend, à l'encontre des gouvernements anticléricaux, en France (rupture du Concordat et inventaires), au Mexique, au Portugal, la liberté de l'Église. Il combat courageusement la secte moderniste et sa doctrine, « égout collecteur de toutes les hérésies », qui sépare la foi de toute réalité objective et de toute certitude scientifique, pour n'y voir qu'un sentiment du cœur évoluant selon les époques et les cultures. L'encyclique Pascendi (1907) en expose si parfaitement le système et le programme d'infiltration dans le clergé que les modernistes se croient trahis par l'un d'entre eux. Démasqués et poursuivis, ils se terreront pour reprendre, dès la mort du saint pontife, leur travail de sape diabolique.


Il dénonce aussi l'utopie, reprise de Lamennais, des démocrates-chrétiens du Sillon de Marc Sangnier, qui rêvent de travailler avec les hommes de toutes croyances à l'établissement de la démocratie universelle. Le 25 août 1910, Pie X montre cette erreur politico-religieuse et la réprouve fermement : « Le Sillon convoie le socialisme, l'œil fixé sur une chimère. » La suite ne lui donnera que trop raison.

Sous un si bon et si beau pape, l'Église rayonne et se réconcilie les élites intellectuelles et sociales. Alors commence un grand courant de conversions : en France, Péguy, Psichari, Huysmans, Maritain ; Benson en Angleterre... Poussé par l'amour de Jésus, le Père de Foucauld va prêcher l'Évangile aux pauvres du Sahara, tandis que sœur Élisabeth de la Trinité, au carmel de Dijon, exprime en une Prière incomparable les grandeurs et magnificences de la Sainte Trinité.

BENOÎT XV : PAPE DE TRANSITION


Saint Pie X meurt, brisé de tristesse par la Déclaration de guerre du 2 août 1914, guerre dont il avait eu maintes visions prophétiques. Son successeur, Benoît XV, refuse de considérer la lutte contre les Empires centraux comme une croisade de la chrétienté contre la barbarie germanique. Prêchant la paix par le désarmement, il voudra tenir la balance égale entre l'Autriche et la France puis l'Italie, également catholiques ; entre l'Allemagne luthérienne et les Anglo-Saxons puritains ou anglicans. Tout compromis s'avérant impossible, il confie l'humanité en guerre à la Regina pacis et, presque aussitôt, le 13 mai 1917, la Vierge annonce à Fatima la fin prochaine de cette guerre.

Le « miracle de la Marne » qui sauva la France de l'invasion en 1914, la formidable bataille de Verdun, le sursaut héroïque en 1917, après les Mutineries, mettent fin à l'anticléricalisme des masses populaires. Le Sacré-Cœur paraît sur les capotes de millions de soldats.

La victoire de 1918 est rendue vaine par les mauvais traités de Versailles et de Trianon, inspirés des idées et visées anglo-saxonnes. Les pays catholiques en ressortent démantelés ou frustrés de leurs peines. L'Allemagne demeure un État centralisé, la Russie est livrée au bolchevisme, toutes deux aussitôt soutenues par l'Angleterre.

Benoît XV, secrètement libéral, profite de la guerre pour stigmatiser l'« intégrisme » à l'égal du modernisme et pour écarter insensiblement les fidèles de Pie X, préparant ainsi le retour du balancier vers la gauche.

PIE XI : ENTRE LES DICTATURES ET LA DÉMOCRATIE


Reprenant la politique de Léon XIII, d'ententes avec les gouvernements, Pie XI s'accommode de tous les pouvoirs, maçonniques et même bolcheviques. Il accepterait, disait-il, « de traiter avec le diable s'il le fallait [sic] pour sauver des âmes » ! Cela le conduira à réprouver les meilleurs catholiques, sur dénonciation et réquisition des francs-maçons : ainsi l'Action française en 1926, et les Cristeros, ces Vendéens du Mexique, en 1929.Il fonde, pour en distraire les prêtres et la jeunesse, une « Action catholique spécialisée », « apostolat du milieu par le milieu » à tendances essentiellement sillonnistes, dont le résultat sera la paralysie progressive de tout l'appareil apostolique de l'Église.

Dans les désordres et les difficultés économiques de l'après-guerre, pour faire obstacle au communisme, des dictatures nationalistes s'instaurent en maint pays. Le nazisme intrinsèquement païen, antichrétien, le fascisme mussolinien, de tradition anticléricale. Ailleurs, des régimes autoritaires franchement catholiques, ceux de Salazar, de Dollfuss en Autriche, de Franco.

Pie XI, germanophile et démocrate, condamnera enfin, en 1937 ! sur un pied d'égalité marqué, le communisme athée et le nazisme hitlérien. Puis il poussera à la guerre des démocraties, y compris la Russie, contre l'Allemagne.

Cependant le prestige de l'Église, la ferveur et le zèle catholiques sont inentamés. L'élan missionnaire grandit encore sous la bannière de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus que Pie XI canonise. De magnifiques encycliques, telle Quas primas sur le Christ-Roi, excitent la piété.

PIE XII : LE RAYONNEMENT UNIVERSEL DE L'ÉGLISE


Après la terrible guerre qui marque d'héroïsme le début de son pontificat, Pie XII donne à l'Église un incroyable rayonnement et une efficacité encore inégalée. Elle gagne la Hollande protestante, et les États-Unis... Le retour des « chrétiens séparés » se laisse pressentir...

Pie XII, « le pape de Fatima », consacre le monde – mais non pas nommément la Russie – au Cœur Immaculé de Marie. Il bénit l'« armée bleue », anticommuniste. Il institue la fête de Marie-Reine et définit en 1950 le dogme de l'Assomption. Il encourage les études bibliques et les libère de tout « intégrisme » par l'encyclique Divino afflante ; il poursuit la rénovation de la liturgie par l'encyclique Médiator Dei, et restaure déjà les rites de la Semaine sainte. Il fait progresser la théologie par son magistère doctrinal universel, en particulier l'encyclique Mystici corporis Christi. Il endigue la montée d'un néo-modernisme qui ne se cache plus, par l'encyclique Humani generis, en 1950, date qui marque l'apogée de l'Église contemporaine. Il réprouve les mauvais catéchismes prétendus progressifs, les prêtres-ouvriers communistes, et le réformisme des P P. Congar, de Lubac, Chenu, sans parler de Teilhard le panchristique. Mais, retenu par des scrupules de conscience, Pie XII ne condamne personne.

La politique pèse maintenant de tout son poids sur la vie de l'Église. Après la défaite des pays de l'Axe, Allemagne, Italie, Japon, le grand vainqueur apparent est le monde anglo-saxon. C'est la fin des dictatures, le triomphe de la démocratie. En fait, c'est une démission des États, laissant leurs peuples aller à la décadence. C'est l'abandon de son rôle colonisateur par la race blanche, anticolonialisme hélas ! favorisé par l'Église. !!!

Mais le grand vainqueur réel de l'effroyable bouleversement de la guerre mondiale, c'est l'Empire soviétique. Il occupe désormais la moitié est de l'Europe. La Chine verse dans le communisme en 1948, sa chrétienté est anéantie, persécutée, un schisme s'y introduit. Les anciennes colonies tombent dans l'anarchie et de là dans le communisme.

Notre-Dame de Fatima n'avait-elle pas prédit que « la Russie répandrait ses erreurs dans le monde, provoquant guerres et persécutions »... si l'on ne faisait pas ce qu'elle demandait ? Or, mystérieuse faiblesse de Pie XII, lui-même, le pape de Fatima, n'avait pas osé convoquer un Concile en 1950 et accomplir les volontés du Ciel... La suite montrera que le Concile se fera par d'autres avec des objectifs contraires, accomplissant les volontés de l'Adversaire. Du moins, en 1954, Pie XII canonisait Pie X, pour montrer en lui la lumière qui brille dans la nuit de notre siècle et à laquelle il n'est que de revenir.

Le culte de l'homme dans le lieu saint

LE CONCILE, L'APRÈS-CONCILE

Pas un évêque sur cent, pas un prêtre sur mille, pas un catholique sur dix mille n'imaginait à la mort de Pie XII que dix ans plus tard serait consommée la plus grande révolution religieuse de l'histoire de l'Église, accompagnant, convoyant le plus grand effondrement humain de l'histoire du monde. Seuls de très rares esprits savaient que la secte secrète des modernistes n'attendait qu'un relâchement de l'autorité pontificale pour jeter le masque et s'imposer, avec le concours du parti progressiste, lui-même soutenu par la franc-maçonnerie et le communisme.

Ouverture du Concile Vatican II.


On peut analyser les années 1960-1985 sous trois rubriques :

1. La décadence des démocraties occidentales.

2. La décadence de l'Église provoquée par le Concile Vatican II.

3. L'opposition obstinée de l'Église hiérarchique aux demandes de Notre-Dame de Fatima, la montée terrifiante de l'Armée rouge qui s'en est suivie en U R S S, puis en Chine, et l'avancée implacable de l'Empire communiste en Afrique et en Amérique du sud aujourd'hui.

L'EFFONDREMENT DES DÉMOCRATIES OCCIDENTALES

Amorcé dès les lendemains de la deuxième guerre mondiale, cet effondrement irrémédiable de notre civilisation chrétienne est le fait de la démocratie idéologique et structurelle, « maladie sénile des sociétés ». Toutes les nations atteintes de ce mal manifestent un désintérêt stupide pour leur religion, une impuissance à toute œuvre intellectuelle d'envergure, à toute politique de grandeur, à tout combat héroïque, à toute éducation, à tout effort et même au simple renouvellement des générations.


Qu'ils soient de droite libérale ou de gauche socialiste, les gouvernements démocratiques sont contraints de céder aux rites absurdes des compétitions de partis, des luttes électorales et du parlementarisme, et d'honorer les principes révolutionnaires de liberté, égalité, fraternité qui sont la ruine de la religion, de la civilisation et de la race elle-même. !!!

De Gaulle, ramené au pouvoir pour sauver l'Empire français ! Pompidou, Giscard, Mitterrand, c'est la ligne continue de la décadence française. Perte de l'Empire français, perte de l'Algérie, perte de Djibouti et des îles du Pacifique, de la Corse, de la Bretagne, de l'Alsace, pourquoi pas ? C'était hier ou c'est pour demain.

Kennedy, Johnson, Nixon, Carter ou Reagan, c'est, en dents de scie, l'abandon en traîtrise du Vietnam, de l'Iran, du Nicaragua, demain du Salvador et du Guatemala, de la Namibie, des Philippines et de Taiwan, pourquoi pas ? En attendant l'abandon de l'Europe, négocié avec Moscou.


Salazar (1889-1970)

La mort de Salazar et la révolution dite « des œillets » (1974) et la mort de Franco (1975) ont délivré le monde des dernières dictatures historiques, catholiques, communautaires. Seul le Chili fait sa contre-révolution, nationale, catholique, à contre-courant, en 1973, et y restera fidèle malgré tous les assauts jusqu'en 1989. Les amis de l'Occident, partout dans le monde, sont assassinés (Diem, Kim, Sadate), ou d'abord déposés et exilés (le Chah d'Iran, Somoza, Romero) ou menacés (Marcos aux Philippines, Hussein de Transjordanie).

Ce que l'Occident réussit le mieux, en suite de son extraordinaire avancée technologique, ce sont les grèves, les manifestations pacifistes, les vacances, les loisirs, la société de consommation. Il imagine que cela durera toujours, sans souci de l'inexorable déclin de sa puissance ni de la guerre économique que lui livre l'Asie industrielle. Et personne ne l'avertit de renoncer à la démocratie ou de se préparer à mourir.

L'EFFONDREMENT DE L'ÉGLISE CONCILIAIRE

L'Église est faite d'hommes vivant dans ce monde et tentés de partager ses idées du moment et ses mœurs. Longtemps dressée contre le monde moderne, c'est-à-dire l'humanisme antichrétien de la franc-maçonnerie et son système de domination, le régime démocratique, l'Église a vu ses intellectuels, puis ses dignitaires et enfin les masses fidèles se laisser entraîner et glisser au fil du courant. Contre les solennelles et infaillibles condamnations du Syllabus de Pie IX, les graves avertissements de saint Pie X et encore de Pie XII, un parti de plus en plus puissant et organisé voulait l'ouverture au monde, l'entente avec toutes les religions, la liberté des croyances et des mœurs, le changement permanent. En deux mots : la réforme de l'Église et la révolution sociale.

Formulées par des minorités agissantes, ces revendications reçurent des puissances anglo-saxonnes et soviétiques victorieuses, aux jours de la « Libération », un appui extérieur qui leur permit de s'imposer par terrorisme, dans l'Église même, aux évêques d'abord et aux supérieurs d'ordre, puis au Pape. Ou plutôt, dans l'élection des papes. Jean XXIII, pontife pieux et bon, fut choisi pour faire la transition. Sous son pontificat se fit une révolution tranquille où le parti réformateur prit les postes de direction. Il publiait Veterum sapientia pour obliger à intensifier l'usage de la langue latine, et on lui faisait signer des encycliques, l'une anticolonialiste, Mater et Magistra, révolutionnaire l'autre, Pacem in terris, qu'il n'avait même pas lues. Il convoquait un synode romain réactionnaire et, peu après, prononçait pour l'ouverture du Concile Vatican II un discours subversif ... écrit par un autre !

Cet énorme Concile de 2 400 évêques, inouï par le nombre de ses Pères et experts, par l'étendue de ses remises en cause, inouï par la longueur des débats et la lourdeur de la procédure, par le nombre des votations et les roueries des commissions, dura quatre ans. Les Actes qu'il promulgua, longs, filandreux et équivoques à souhait tournent tous autour de quelques slogans révolutionnaires, enfin à l'aise et enthousiaste pour les œuvres de l'Église romaine hiérarchique ! C'est l'ouverture au monde, c'est la réconciliation œcuménique, c'est la mise au goût du jour des dogmes, des mœurs et des institutions catholiques. Prodigieuse mutation, qui se termine les 7 et 8 décembre 1965 par la proclamation, de la bouche même du pape Paul VI, du « Culte de l'homme ». Pie X avait vu clair : c'est l'homme substitué à Dieu. Le saint Pape n'avait pas cependant osé dire, ce que peut-être il savait par connaissance prophétique, que le nouveau dieu serait intronisé dans Saint-Pierre, où reposent les corps de tant de papes, et le sien même.


Quels furent les fruits de cette réforme, annoncés comme ceux d'une « nouvelle Pentecôte » ? Des fruits pourris, des fruits de mort. Toutes les statistiques s'accordent avec le sentiment populaire, à l'encontre de l'optimisme officiel et des intenses propagandes : « On a changé la religion » et l'Église en meurt. Le pape Paul VI lui-même a parlé des « fumées de Satan » et de l'« autodémolition de l'Église », sans rien tenter cependant pour arrêter l'incendie et la ruine.

Quelles nouveautés ? Une liturgie laide, ennuyeuse, souvent impie ; des catéchismes vides et vagues, accumulant hérésies et immoralités. Un clergé, des religieux et religieuses qui soudain, comme dans l'Allemagne de Luther, ne rêvent que mariage et révolution armée. Les Papes voyagent, voyagent et se font applaudir. Après comme avant, les choses vont à vau-l'eau. Leurs encycliques, ou bien sont d'un effet funeste, telle Ecclesiam suam de Paul VI, charte du réformisme, ou bien ne sont pas acceptées par les noyaux directeurs de l'Église conciliaire, par exemple Mysterium fidei, le Credo de Paul VI, Humanæ Vitæ, ou bien sont obscures et tout de suite oubliées, comme Redemptor hominis et Dives in misericordia, ou sont incomprises et c'est tant mieux, quand elles distillent l'utopie révolutionnaire de Lamennais et de Karl Marx, comme Populorum progressio de Paul VI et Laborem exercens de Jean-Paul II.

En fraternité avec le pape, les évêques, qui se veulent un Collège muni de pouvoirs nouveaux, se réunissent en synodes à Rome, en conférences nationales, en assemblées continentales. Ils parlent, ils organisent, ils prophétisent. Le résultat est chaque fois une ruine nouvelle. Forts pour détruire, ils sont impuissants à défendre l'acquis et plus encore à rien créer. La nullité universelle de l'épiscopat mondial postconciliaire est un fait. On connaît en France le cardinal Marty, pour son accent rouergat, et peut-être feu Mgr Riobé, le prophète de l'objection de conscience. Dans le monde, Helder Camara. Aucun autre. Un seul suscite des mouvements passionnés et contradictoires : l'Opposant, Mgr Lefebvre, le dernier représentant des anciens du Séminaire français de Rome, disciples de saint Pie X, du cardinal Billot, du Père Le Floch.

Des saints dans l'Église postconciliaire, il y en a. De grands, d'immenses. Ils ont nom Gandhi, Martin Luther King, Helder Camara, Romero le martyr, le pasteur Schutz... Que voilà d'étranges saints !

CONCLUSION : LA LUMIÈRE DU 3e SECRET DE FATIMA

LE SALUT DU MONDE PAR LA RUSSIE CONFIÉE AU CŒUR IMMACULÉ DE MARIE


Le saint véritable que Dieu nous a donné s'appelait Albino Luciani, Blanche Lumière, et nous nous sommes réjouis à sa lumière. Le 10 juillet 1977, pèlerin à Fatima et à Coïmbre, il rencontra sœur Lucie. " Si je vis, je retournerai à Fatima pour consacrer le monde et particulièrement les peuples de la Russie à la Sainte Vierge, selon les indications que celle-ci a données à sœur Lucie ".

Paul VI l'avait rencontrée le 13 mai 1967 et avait refusé de l'entendre. Jean-Paul II l'a reçue le 13 mai 1982, sans rien laisser filtrer de leur entretien. Il n'y a pourtant de grand dans l'Église, depuis la mort de saint Pie X, que ce fascinant et doux mystère de Fatima, qui accompagne l'Église et l'humanité entière au long de ce siècle d'apostasie et sans doute les accompagnera jusqu'au bout de leur chute, jusqu'à leur relèvement.

La vision du troisième Secret, enfin révélé le 26 juin 2000, mais aussitôt profané, détourné de son sens et oublié, met en scène une destruction, comme d' « une grande ville à moitié en ruine » après une guerre ou un tremblement de terre, et cette ville est jonchée de cadavres. Trois innocents enfants ont contemplé dès le 13 juillet 1917 l'image de la Cité sainte dévastée.


La suite de la vision raconte la « Pâque » de l'Évêque vêtu de Blanc : le martyre au pied de la grande Croix. Et une consomption de toute l'Église hiérarchique : « ... de la même manière moururent les uns après les autres les Évêques, Prêtres, religieux et religieuses et divers laïcs, des messieurs et des dames de rangs et de conditions différentes. »

Ces lignes résument l'histoire du pontificat de Jean-Paul II, vérifiant à la lettre ce qu'annonçait l'Abbé de Nantes en 1995, comme une vue prophétique du troisième Secret : « Le tableau effrayant de l'apostasie et du malheur du monde sobrement évoqué, décrit cependant avec précision, reconnaissable ! sur la petite feuille d'écolier de l'enfant de Fatima. »

Cependant, avec assurance, le fondateur de la CRC affirmait qu'en ce Secret, « comme dans la réalité connue de tous, à côté de l'océan du mal, flottant comme l'Arche sur les eaux du Déluge, se verra l'œuvre de Dieu persistante, ouverte à toute âme, toute famille, toute ancienne maison religieuse, de bonne volonté, avide de dévotion », bref : aux « âmes qui s'approcheront de Dieu ».


Ce n'est plus de la foi c'est du totalitarisme. Et à voir la façon dont on loue ici les valeurs d'organisations nageant dans l'extrême-droite comme Action française, ces catholiques sont bien peu chrétiens.

Dans ce texte on critique Hitler le païen et on fait l'impasse sur les collusions et les tolérances de l'Eglise à l'égard de certains fascismes, avant de parler de la bonne vieille race blanche colonisatrice et de dénoncer à tous va les bolchéviques. Bandes de lâches.

C'est ce qui arrive quand la pensée se met sur Off et que l'homme, mu par la peur et sa faiblesse, s'en remet à des idéologies sécurisantes et croit voir dans la radicalité des actes et des pensées une solution à ses problèmes existentiels et sociaux. Ce catholicisme est un appel à la démission de l'homme et à la négation de la vie pour se tourner béatement vers un seul au-delà paradisiaque.
On prône un bonheur universel en en appelant désespérément à un Dieu le père qui ressemble plus à un leader politique d'extrême-droite illuminé qu'au vrai Dieu des chrétiens.
En croyant être sous l'oeil bienveillant de Dieu, ces gens ne pensent à rien d'autre qu'à eux-même, et par leur peur, à leur nation et leur race.

Ceci n'est pas l'amour prôné par le christ, ceci c'est la violence à l'égard de l'autre.

On tend une main à son "frère" et avec l'autre on tire une balle dans la tête de l'étranger ou du communiste.


Je vomis ces lâches.

Le genre de lâches qui font partie de mouvements tels par exemple "Belgique et chrétienté" au sujet duquel je mets un bref article :

Dans l'ombre du Front national

Belgique & Chrétienté, le rendez-vous de la ''vraie droite belge''



Les conférences des intégristes de B&C seraient-elles devenues le lieu de rencontre des divers mouvements politiques et religieux qui agissent en marge du Front national de Daniel Féret ? Dans l'objectif de créer un nouveau parti ? Si tel était le cas, elles pourraient rassembler la ''vraie droite belge'', selon le journal néofasciste ''Rivarol''.

L'actuel président de Belgique & Chrétienté, Alain Escada, fut le directeur-fondateur de ''Polémique'', un hebdomadaire d'ultradroite, favorable au libéralisme et partisan affiché du dictateur Pinochet (connu pour son soutien indéfectible au système libéral). Aujourd'hui Alain Escada milite avec le mouvement Nation, qui s'affiche quant à lui comme n’étant ''ni de droite ni gauche''. La ''vraie droite'' a belle et bien un problème d'identité.


L'association intégriste Belgique & Chrétienté (B&C) organise plusieurs fois par an des conférences. Réservées à ses adhérents, elles sont également fréquentées par des activistes d'autres mouvements politiques (d'ultradroite, d'extrême droite...) et religieux (singularisés par leur intégrisme). Comme le rapportait, en février 2005, ''Rivarol'' dans un article consacré à la conférence donnée à Bruxelles pour Belgique et Chrétienté par Camile Galic, sa propre directrice (au sujet de ''Rivarol'', hebdomadaire français d'extrême droite nostalgique du Maréchal Pétain, voir l'article de RésistanceS : Le journal ''Rivarol'' soutient toujours les négationnistes et ex-SS ()


Un panel ''droitiste'' hétéroclite
Ce jour-là, dans la salle, Alain Escada (le président de B&C) pouvait côtoyer Hervé Van Laethem (le dirigeant-fondateur de Nation et ex-chef du groupe néonazi l'Assaut), François-Xavier Robert (le secrétaire général du FNB), Jean-Pierre Huguet (responsable belge de l'Union des Nations européennes chrétiennes, Unec, d'obédience intégriste et liée à l'extrême droite politique), les avocats Mussa (de la Ligue du Nord, formation xénophobe revendiquant l'indépendance de l'Italie du Nord) et Henry Laquay (président de Jus et Patria), ainsi que M. de Marcken (1), Korbo (dessinateur vedette de l'ex-VMO et du Vlaams Blok), des ''militants nationaux-révolutionnaires'', des intégristes catholiques de la Fraternité Saint-Pie X et de l'Opus Dei (2). Pour ''Rivarol'', le public de cette ''chaleureuse réunion'' rassemblait le panel de ''la vraie droite belge'' (sic).


La tendance pure et dure du Front national de Daniel Féret soutient désormais B&C. Ci-dessus, un extrait de son journal ''A Droite'', numéro d'octobre 2005.

Aujourd'hui, il faut encore rajouter à cette ''vraie droite'' la tendance ''identitaire'' du Front national de Daniel Féret, conduite par le sénateur frontiste Michel Delacroix et son bras droit Patrick Sessler, ex-membre de la direction du Parti des forces nouvelles (un groupuscule néonazi). Cette tendance opposée à Daniel Féret agit au sein du cercle Droite et Modernité (sur celui-ci, lire notre article : Le cercle Droite et Modernité, le Front national de demain ? )

En octobre dernier, dans ''A Droite'', le journal de Delacroix-Sessler ne pouvant pas cacher ses orientations politiques ''droitistes'', un soutien clair était apporté à Alain Escada et à son association Belgique & Chrétienté (comme en témoigne l'illustration ci-dessus). Au sein de l'extrême droite, une grande ''alliance de droite'' est aujourd'hui préconisée dans le but d'arriver en coalition au pouvoir. Delacroix, Sessler, tout comme Escada, ne sont pas opposés à cette stratégie.


Ni gauche ni droite ?
Ce regroupement ''à droite'', via B&C, est cependant caractérisé par son hétérogénéité. Force est de constater que les orientations idéologiques profondes des uns et des autres sont bien différentes. Le mouvement Nation d'Hervé Van Laethem, par exemple, affirmait récemment encore à propos du concept de ''droite'' que ''La ''droite de conviction !'' : si elle existait, ça se saurait...La droite, en plus d’être généralement pourrie, est de surcroît lâche et manipulatrice. Manipulatrice car lorsqu’elle prend un accord avec vous, c’est souvent le baiser de la mort. On l’a vu avec Haider en Autriche et avec les ''post-fascistes'' italiens qui en sont réduits à voter la régularisation de milliers de clandestins. ''(...) Les Haider, les Fortuyn, que sont leurs partis devenus ? Qu’a fait Fini (le leader ''post-fasciste'') ou la Ligue du Nord d’années de coalition avec l’escroc Berlusconi ?''. Pour Nation, il n'y dès lors qu'une seule orientation : ''Ni gauche, ni droite ! La Troisième Voie est en marche !''

Résumons : dans cette mouvance agissant autour de B&C, se trouvent donc d'un côté des adeptes de la droite musclée et ''plurielle'', de l'autres des propagandistes du slogan ''ni gauche ni droite''. Leurs stratégies respectives seraient-elles inconciliables ? Rien n'est moins sûr. Il faut en effet savoir que les slogans radicaux du mouvement Nation servent à camoufler les vraies valeurs politiques de celui-ci : conservatrices, rétrogrades et antisociales. La fraction radicale de l'extrême droite a toujours eu pour rôle d'attirer les plus rebelles du ''camp nationaliste'' pour les transformer ensuite en bons petits soldats de la ''droite nationale''.

Alexandre VICK

(1) Dans l'article du journal néofasciste "Rivarol" se rapportant à la
conférence de Belgique & Chrétienté, au sujet de M. de Marcken , il est mentionné que cet individu appartient aux Chrétiens démocrates francophones (CDF). Le président des CDF de Bruxelles-Hal-Vilvorde nous informe que cette information est inexacte. M. de Marcken n'est en effet pas membre des CDF. Ancien militant du Parti social-chrétien (PSC), il a assisté, il est
vrai, à des réunions des CDF. Cependant, dès que ses "relations et son discours extrémistes" ont été connus de la direction des CDF, il y a plus d'un an, celle-ci lui a formellement interdit d'assister à ses réunions. Une fois de plus, la propagande d'extrême droite est prise en flagrant délit d'intoxication. Dont acte.

(2) Tous les noms cités figuraient dans l'article du journal ''Rivarol'' du 4 février 2005.

© RésistanceS – www.resistances.be – info@resistances – Belgique – 26 avril 2006.


VOTRE ANALYSE ??

Salah Al Din

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Ecrit le 17 mai07, 11:58

Message par Salah Al Din »

J'ai pas tout lu car c'est trop long,mais je suppose que ce texte parle de la décadence de l'église moderne.
Si c'est le cas,ils ont raison,si l'église catholique continue dans cette voie,elle disparaîtra.

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Ecrit le 17 mai07, 14:51

Message par Filter Flash »

C'est une décadence qui n'est pas nouvelle... lis tout c'est mieux...

Mais ce qui est mis en évidence c'est la collusion entre religion-idéologie-peur-conservatisme-totalitarisme, et cela est valable de différentes manières pour d'autres religions telles l'Islam.

J'aimerais avoir l'avis de catholiques principalement, voir si ils vont rester indifférents, critiquer, ou justifier.

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Ecrit le 17 mai07, 18:46

Message par VexillumRegis »

Ce mouvement "catholique" est sédévacantiste, c'est-à-dire schismatique.

Je ne me sens donc pas concerné.

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Ecrit le 17 mai07, 21:32

Message par xav »

Tout comme Vexillum, je ne me sens pas concerné par ce mouvement qui rejette Vatican II. ils ne sont pas représentatif du monde chrétien. il s'agit vraissemblablement de lefèvriste pur et dur. Ils font une lecture vachement orienté de l'Eglise. Il passe sous silence le bien que Vatican II a fait. Ils mélangent allègrement vérités et mensonges.

Ce texte est d'ailleurs en cantradiction avec la doctrine sociale de l'Eglise elle même.

Le Serpent

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Ecrit le 17 mai07, 23:43

Message par Le Serpent »

VexillumRegis a écrit :Ce mouvement "catholique" est sédévacantiste, c'est-à-dire schismatique.

Je ne me sens donc pas concerné.

- VR -
schismatiques, mais pour combien de temps ?

http://eucharistiemisericor.free.fr/ind ... 2067_pie_x

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Ecrit le 17 mai07, 23:47

Message par xav »

La condition de retour à l'Eglise Kto c'est l'acceptation de VA II.

Il est des groupe "traditionnaliste" qui ne se sont pas séparé pour une question de font, mais plutôt liturgique. Il faut dire qu'après Vatican II certains parys dont la France et la Belgique n'ont pas tout compris notamment dans la liturgie où il n'a jamais été dit qu'il ne fallaitplus célébré en latin et dos au peuple.

Moi, perso j'aime bien les deux liturgies

Maintenant il est d'autre céssessionistes, comme ceux qui ont écrit l'article, Manifestement pour eux il n'y pas de possibilité de retour s'il ne change pas de langage.

VexillumRegis

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Ecrit le 18 mai07, 04:48

Message par VexillumRegis »

Le Serpent a écrit :schismatiques, mais pour combien de temps ?

http://eucharistiemisericor.free.fr/ind ... 2067_pie_x
Vous confondez la FSSPX et le mouvement de l'abbé de Nantes, dont il est question ici. Celui-ci est encore plus intégriste que le mouvement lefebvriste.

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Ecrit le 18 mai07, 12:13

Message par Filter Flash »

à l'évidence...

ces gens n'ont absolument rien compris : ni à l'homme, ni à la vie "mystique", ni à la transcendance, ils sont fondamentalement entièrement tournés vers la mort et eulement vers cela : la leur, mais avant tout celle des autres. Un tel niveau de régression est lamentable.

L'abbé de Nantes travailla pour le maréchal Pétain, et dans leur lâcheté ses disciples puritains et conservateurs le suivirent. Ceux-ci ne fleurtent pas seulement avec les extrémistes de droite mais leur apporte un soutien, cependant souvent caché sous le masque des bonnes valeurs chrétiennes. C'est pour ça que le mot lâche s'applique tellement bien à eux...

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Ecrit le 19 mai07, 10:07

Message par Libremax »

Bonjour Filter Flash!
ravi de vous revoir!
Merci de nous soutenir un peu. Je soutiens à peu près tout ce que vous dites sur ces "braves gens"; ils sont l'exemple type de l'obscurantisme religieux dont nous avons déjà eu l'occasion de parler.

Mais voilà: ils ont rompu avec le reste de l'Eglise pour rester dans leur truc. J'espère, quant à moi, que les catholiques font mieux que ça.

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Ecrit le 20 mai07, 05:57

Message par Filter Flash »

ravi te te revoir aussi ;-)

je viens par périodes sur ce forum mais c'est vrai que là ça faisait longtemps que j'avais plus pointé le bout de mon nez...

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Message par Le Serpent »

VexillumRegis a écrit : Vous confondez la FSSPX et le mouvement de l'abbé de Nantes, dont il est question ici. Celui-ci est encore plus intégriste que le mouvement lefebvriste.

- VR -
Merci de cette précision, mais si vous me dites qu'il y a pire que ceux qui sont pires que le pape, mon opinion du christianisme ne va pas s'améliorer.

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Ecrit le 21 mai07, 22:02

Message par Alisdair »

C'est juger la foi d'autrui et sa religion sur le jugement de quelques tierces personnes.
Je n'irai pas juger le drudisme eu égard à des mystiques racistes extrémistes par exemple.

Et je t'invite toujours a poster un message sur ton vécu spirituel, ça m'intéresse. J'aimerais voir ce qui nous aurait disitngué si j'avais été wiccan ou druidique. Voire néo-barde vu que j'apprends la harpe celtique en ce moment. :D

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Message par Le Serpent »

Alisdair a écrit :C'est juger la foi d'autrui et sa religion sur le jugement de quelques tierces personnes.
Je n'irai pas juger le drudisme eu égard à des mystiques racistes extrémistes par exemple.

Et je t'invite toujours a poster un message sur ton vécu spirituel, ça m'intéresse. J'aimerais voir ce qui nous aurait disitngué si j'avais été wiccan ou druidique. Voire néo-barde vu que j'apprends la harpe celtique en ce moment. :D
Suite à ton message, j'ai demandé avec insistance à la modération de me donner l'étiquette religieuse la plus proche de mes croyances, tout comme les chrétiens, les juifs, les boudhistes, et meme les musulmans (c'est tout dire) le font... et comme tu peux le constater, cette faveur m'a été refusé.
Ce n'est donc pas dans ce forum que je donnerai des détails sur mes croyances qui ne sont visiblement pas bienvenues dans ce forum de "dialogue".

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Ecrit le 03 juin07, 20:59

Message par Libremax »

votre demande n'a pas été refusée pour des raisons religieuses; il faut (quand même) se rendre compte qu'elle nécessite un travail de la part des admins, et que vous êtes peut-être le seul à représenter votre croyance sur ce forum... Encore un peu de persévérance, donc!

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